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Sociale Dans (sociale + dan)
Selected AbstractsSafe place or ,catastrophic society'?THE CANADIAN GEOGRAPHER/LE GEOGRAPHE CANADIEN, Issue 4 2000Perspectives on hazards, disasters in Canada The essay introduces public risk and destructive events in Canada, their conceptual and policy implications. The discussion is developed in four main steps. First, some widely held, if contradictory, perceptions of public security are identified. A relatively high level of personal safety for most Canadians is attributed to large government and private investments. But these have not prevented recurring disasters, nor singular vulnerability for certain groups and parts of the country. Meanwhile, some novel dangers of modern living compromise the safety of all Canadians. The second section examines evidence of losses from a broad range of hazards, and related, risk-averting investments. The national geography of dangers is shown to have been transformed and reorganized by post-World War II developments. Losses, even from natural hazards, are identified with common, nationwide behaviours and infrastructure, especially motorised mobility and consumer products. A fourth section looks at some appropriate conceptual frameworks. Charles Perrow's idea of ,organizational society' is considered, and Ulrich Beck's of ,risk society', including his view that late modern societies shift towards a ,catastrophic' condition. In general, the Canadian scene and these ideas support a human ecological view of modernity, but challenge an agent-specific and extreme event approach that had prevailed in hazards geography. ,Manufactured' vulnerability is a neglected but decisive element. The social space of risks is shown to be recast around changing priorities for, and social justice in, public security and emerging crises of personal safety. Risk aversion turns upon questions of the acceptability of risks, acceptance for and by whom, and how it is achieved. For academic work, this suggests a reexamination of risk knowledge and its ,social construction'. La dissertation aborde le sujet des évènements destructifs et du risque public au Canada, leurs implications conceptuels et de principe. La discussion est développée en quatre étapes principales. Premièrement, certaines perceptions de la sécurité publique tenues par beaucoup, non sans être contradictoires, sont identifiées. Un niveau relativement élevé de sécurité personnelle pour la plupart des canadiens est attribuéà un gouvernement de grande taille et aux investissements privés mais ceux-ci n'ont pas empêché des désastres de se reproduire, ni une vulnérabilité singulière pour certains groupes et certains endroits du pays. Entretemps, de nouveaux dangers de la vie moderne compromettent la sécurité de tous les canadiens. La deuxième section examine la preuve d'une perte à partir d'une gamme étendue de risques et d'investissement risqués et apparentés. II est montré que la géographie nationale des dangers a été transformée et réorganisée par des développements de l'après seconde guerre mondiale. Les pertes, même provenant de risques naturels, sont identifiées avec des comportements et infrastructures en commun et dans tout le pays, spécialement la mobilité motorisée et les produits de consommation. Une quatrième section examine les supports de travail conceptuels appropriés. L'idée de Charles Perrow d'une ,société structurelle' est prise en considération, et celle d'Ulrich Beck d'une ,sociétéà risque' comprenant sa vue que les dernières sociétés modernes s'accélèrent vers une condition ,catastrophique'. En général, le monde canadien et ces idées soutiennent une vue humaine et écologique de la modernité, mais défie un agent spécifique et une approche extrême des évènements qui avait prévalu dans la géographie des risques. La vulnérabilité,fabriquée' est un élément négligé mais décisif. II est démontré que le rôle de l'espace de risques social est redistribué selon des priorités qui changent pour, et la justice sociale dans, la sécurité publique et les crises qui émergent dans la sécurité personnelle. L'aversion des risques révolve autour des questions d'acceptabilité des risques, risques acceptés pour et par qui, et la façon dont cela est accompli. En ce qui concerne un travail théorique, cela suggère une réexamination de la connaissance des risques et de sa ,construction sociale'. [source] De l'expérimentation À l'institutionnalisation positive: l'innovation sociale dans le logement communautaire au QuébecANNALS OF PUBLIC AND COOPERATIVE ECONOMICS, Issue 2 2006Marie J. Bouchard Résumé,:,L'économie sociale est de plus en plus souvent associée explicitement à la notion d'innovation sociale. Comme un concept analogue à celui d'innovation technologique dans l'analyse de la dynamique économique, l'innovation sociale peut être vue comme un concept opératoire dans l'analyse de la dynamique sociale, de son évolution, de ses crises et de ses transformations. Nous présentons ici un cas d'économie sociale qui peut porter un éclairage sur les dynamiques de l'innovation sociale. Celle-ci peut émerger pour combler les vides laissés par les transformations économiques, mais elle peut aussi mener à des transformations du système. Le cas du logement communautaire au Québec (organisations coopératives et sans but lucratif) permet d'illustrer les conditions qui mènent à l'émergence d'innovations sociales et les facteurs qui favorisent une trajectoire vers ce que nous appellerons une «institutionnalisation positive», qui intègre le changement dans les institutions plutôt que de subir les pressions isomorphiques du marché ou de l'État. [source] Ashéninka amity: a study of social relations in an Amazonian societyTHE JOURNAL OF THE ROYAL ANTHROPOLOGICAL INSTITUTE, Issue 4 2009Evan Killick Starting with Ashéninka people's avowed preference for living apart, in nuclear family households, this article analyses Ashéninka social practices within the context of ongoing academic debates over reciprocity, kinship, and the relative importance of similarity and difference in Amazonian thought. I argue that instead of attempting to pull others into fixed and narrowly prescribed relationships, particularly those based on kinship, the Ashéninka prefer for all ties to be based on relations of friendship that remain voluntary, limited, and flexible. I show how these relationships are underpinned by a cultural imperative on unilateral giving that is manifested in masateadas, social gatherings centred on the consumption of manioc beer. Résumé À partir de la préférence déclarée des Ashéninkas pour une vie isolée en maisonnées composées de familles nucléaires, l'article analyse les pratiques sociales dans le contexte des débats académiques actuels sur la réciprocité, la parenté et l'importance relative de la similitude et de la différence dans la pensée amazonienne. L'auteur avance qu'au lieu de tenter de contraindre les autres à des relations fixes et strictement prescrites, notamment sur la base de la parenté, les Ashéninkas préfèrent qu'elles soient tissées à partir de liens d'amitié volontaires, limités et souples. L'auteur montre comment ces relations sont sous-tendues par un impératif culturel de don unilatéral, manifesté dans les masateadas, des rassemblements sociaux centrés sur la consommation de bière de manioc. [source] Intergovernmental relations, social policy and federal transfers after RomanowCANADIAN PUBLIC ADMINISTRATION/ADMINISTRATION PUBLIQUE DU CANADA, Issue 1 2004Tom McIntosh Though the provinces have agreed to the split, the federal government undertook the allocation of the transfer to the new Canada Health Transfer and the Canada Social Transfer unilaterally. At the same time, the federal government has simultaneously been increasing its own social spending in areas of provincial jurisdiction in recent years. In response, the provinces have been taking an increasingly hard line towards Ottawa's unilateral actions, as demonstrated by the creation of the Council of the Federation and its focus on the so-called fiscal imbalance in the federation. These dynamics make the intergovernmental commitment to collaborative federalism ring somewhat hollow. The article argues that the inability of both orders of government to take collaborative federalism and policy interdependence seriously poses significant threats not only to the health of the federation but also to efforts to create healthy public policy. Sommaire: Le présent article porte sur les nouvelles et anciennes dynamiques inter-gouvemementales concernant les transferts accordés par le fédéral aux provinces pour le financement des politiques sociales et de santé, qui ont découlé du Rapport Romanow et de la décision de scinder le Transfert canadien en matiè-e de santé et de programmes sociaux (TCSPS) en deux composantes distinctes. Quoique les provinces aient accepté la scission, le gouvernement fédéral a entrepris de procéder unilatérale-ment à l'affectation des paiements aux nouveaux Transfert canadien en matière de santé et Transfert canadien en matière de programmes sociaux. Simultanément, ces dernières années, le gouvernement fédéral a accru ses propres dépenses sociales dans des domaines de juridiction provinciale. Face à cela, les provinces ont adopté une position de plus en plus intransigeante à l'egard des initiatives unilatéralcs d'Ottawa comme le démontrent la céeation du Conseil de la fédération et sa concentration sur le soi-disant déséquilibre financier au sein de la fédération. Cette dynarnique fait que l'engagement intergouvernemental envers le fédéralisme de collaboration sonne plutôt vide. L'article soutient que L'inaptitude des deux ordres de gouverncment a prendre au serieux le fédéralisme de collaboration et L'interdépendance politique représente une forte menace, non seulement pour la santé de la fédération, mais aussi pour les efforts visant à créer un politique publique saine. [source] |