Small Reservoirs (small + reservoir)

Distribution by Scientific Domains


Selected Abstracts


Phenotypic diversity of Flo protein family-mediated adhesion in Saccharomyces cerevisiae

FEMS YEAST RESEARCH, Issue 2 2009
Sebastiaan E. Van Mulders
Abstract The Saccharomyces cerevisiae genome encodes a Flo (flocculin) adhesin family responsible for cell,cell and cell,surface adherence. In commonly used laboratory strains, these FLO genes are transcriptionally silent, because of a nonsense mutation in the transcriptional activator FLO8, concealing the potential phenotypic diversity of fungal adhesion. Here, we analyse the distinct adhesion characteristics conferred by each of the five FLO genes in the S288C strain and compare these phenotypes with a strain containing a functional copy of FLO8. Our results show that four FLO genes confer flocculation, but with divergent characteristics such as binding strength, carbohydrate recognition and floc size. Adhesion to agar surfaces, on the other hand, largely depended on two adhesins, Flo10 and Flo11. Expression of any FLO gene caused a significant increase in cell wall hydrophobicity. Nevertheless, the capacity to adhere to plastic surfaces, which is believed to depend on hydrophobic interactions, differed strongly between the adhesins. Restoring Flo8 yielded both flocculation and cell,surface adherence, such as invasive growth, a phenotype not observed when any of the single FLO genes was overexpressed. Taken together, this study reveals how S. cerevisiae carries a small reservoir of FLO genes that allows cells to display a wide variety of adhesive properties. [source]


Water use and productivity of two small reservoir irrigation schemes in Ghana's upper east region,

IRRIGATION AND DRAINAGE, Issue 2 2008
Joshua W. Faulkner
irrigation; gestion des ressources en eau; développement international; petit réservoirs Abstract To examine the impact of small reservoir irrigation development in Africa, the performance and productivity of two small reservoirs and irrigation schemes in the Upper East Region of Ghana were investigated in this study. Hydrologic data measured included daily irrigation volumes and daily evaporation. Farmer cost inputs, excluding labor, and harvest data were also recorded. There was a strong contrast in water availability between the two systems, the Tanga system having a higher amount of available water than did the Weega system. The concept of relative water supply was used to confirm this disparity; Tanga was an inefficient system with a relative water supply of 5.7, compared to a value of 2.4 for the efficient Weega system. It was also concluded that the dissimilar water availabilities resulted in the evolution of very different irrigation methods and coincided with different management structures. Where there was more water available per unit land (Tanga), management was relaxed and the irrigation inefficient. Where there was less water available per unit land (Weega), management was well structured and irrigation efficient. The productivity of water (US$ m,3) of the Tanga system was half that of the Weega system, when analyzed at a high market price for crops grown. In terms of productivity of cultivated land (US$ ha,1), however, the Tanga system was 49% more productive than the Weega system. The difference in the productivity of land is primarily a result of increased farmer cash inputs in the Tanga system as compared to the Weega system. The difference in the productivity of water can be attributed to the varying irrigation methods and management structures, and ultimately to the contrasting water availability. Copyright © 2008 John Wiley & Sons, Ltd. L'impact du développement de petits réservoirs d'irrigation en Afriques est étudié en analysant la performance et le bénéfice économique de deux petits réservoirs avec de différents schèmes d'utilisation dans une région au nord-est du Ghana. Les données hydrologiques utilisées dans cette étude comprennent les volumes journaliers d'irrigation, ainsi que des mesures journaliers d'évaporation. En outre les coûts des investissements des agriculteurs ainsi que des données de récoltes ont été enregistrés. La quantité d'eau disponible était considérablement différente dans les deux systèmes: les ressources en eau du système de Tanga étaient nettement supérieures par rapport à celles du système de Weega. Le concept de l'approvisionnement relatif en eau a été utilisé pour démontrer cette disparité: Tanga avait un système inefficace avec un taux d'approvisionnement relatif en eau de 5.7 comparé à un taux de 2.4 du système efficace de Weega. Il a été conclu que les différences au niveau de la disponibilité d'eau sont à la base d'une évolution de méthodes et s'accordent avec de concepts de gestion d'irrigation très contrastés. Quand il y avait plus d'eau disponible par unité de surface (Tanga), la gestion était peu organisée et l'irrigation moins efficace. Par contre, quand les ressources en eau étaient limitées (Weega) la gestion était bien structurée et l'irrigation très efficace. En termes d'eau les agriculteurs de Tanga recevaient seulement la moitié du bénéfice économique des agriculteurs de Weega quand le prix du marché était élevé pour les produits récoltés. Par contre, en termes de surface cultivée, les agriculteurs de Tanga faisaient 49% plus de profit par rapport aux agriculteurs de Weega. La différence du bénéfice économique de la terre cultivé est principalement une conséquence des investissements élevés des agriculteurs dans le système de Tanga comparé au système de Weega. La différence du bénéfice économique de l'eau peut être attribuée aux variations des méthodes d'irrigation et des structures de gestion et donc finalement aux disponibilités en eau très contrastées. Copyright © 2008 John Wiley & Sons, Ltd. [source]


The influence of geographic and morphometric factors on the distribution of water bird species in small high altitude tropical man made reservoirs, Central Rift Valley, Kenya

AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 3 2010
Francis Mwaura
Abstract Variability in waterfowl characteristics among eight high altitude (2040,2640 m) small shallow (0.065,0.249 km2; 0.9,3.1 m) reservoirs in the escarpment zone along the central rift valley in Kenya between Naivasha and Nakuru towns were studied between 1998 and 2000. The aim of the study was to establish whether the geographic status of small reservoirs in terms of altitude and surface gradient can affect the characteristics of their birdlife in terms of bird counts and species numbers. The study also aimed at establishing whether reservoir bird counts and species number can be predicted by reservoir morphometric factors especially water depth, surface area, length of shoreline and area-shoreline ratio. The other aim was to determine the influence of local environment especially distance from the nearest natural lakes, and house density on the birdlife. The findings showed that geographic location of the reservoirs in terms of altitude and landscape had a strong influence on birdlife whereby reservoirs in higher altitude and flat plateau landscape were found to support higher bird species and counts. Larger and deeper reservoirs were richer in water bird species but small and shallow reservoirs were superior in terms of both bird species and counts. Reservoirs with more coarse, irregular and highly erratic shorelines had higher species number than those with smooth and well-rounded shorelines. The reservoir birdlife was found to be influenced by the number of farm houses near the waterbodies and also the distance from the nearby rift valley lakes. The results showed that both geographic and morphometric considerations are necessary in the establishment of new reservoirs especially for utilization in birdlife conservation and ecotourism. Résumé Entre 1998 et 2000, nous avons étudié la variabilité des caractéristiques de l'avifaune aquatique de huit petits réservoirs peu profonds (0,065,0,249 km²; 0,9,3,1 m) de haute altitude (2040,2640 m) dans la région de l'escarpement de la Rift Valley située entre Naivasha et Nakuru, au Kenya. L'objectif de cette étude était d'établir si le statut géographique de réservoirs petits en termes d'altitude et de gradient de surface peut affecter les caractéristiques de leur avifaune en ce qui concerne le nombre d'oiseaux et d'espèces. L'étude visait aussi àétablir si l'on peut prédire la densité des oiseaux et le nombre d'espèces d'après les facteurs morphométriques du réservoir, et en particulier la profondeur de l'eau, la superficie de la surface, la longueur des berges et le rapport entre la superficie et la longueur de berges. L'autre objectif était de déterminer plus spécialement l'influence de la distance par rapport aux lacs naturels les plus proches et celle de la densité des habitations sur l'avifaune. Les résultats ont montré que la situation géographique des réservoirs en termes d'altitude et de paysage avait une forte influence sur l'avifaune, en ceci que les réservoirs de plus haute altitude et situés dans un paysage de plateau régulier accueillaient un plus grand nombre d'espèces et une plus forte densité d'oiseaux. Les réservoirs plus étendus et plus profonds étaient plus riches en espèces d'oiseaux d'eau, et les réservoirs plus petits et moins profonds étaient supérieurs en termes de nombre d'espèces d'oiseaux et de densité. Les réservoirs dont les berges étaient accidentées, instables et irrégulières avaient un nombre d'espèces plus élevé que ceux dont les berges étaient bien délimitées et planes. On a découvert que l'avifaune d'un réservoir était influencée par le nombre d'exploitations agricoles situées près du plan d'eau et aussi par la distance qui le séparait des lacs les plus proches de la Rift Valley. Les résultats ont montré qu'il faut tenir compte des données géographiques et morphométriques pour établir de nouveaux réservoirs, spécialement s'ils sont destinés à la conservation de l'avifaune et au tourisme. [source]


Assessing sediment inputs to small reservoirs in Upper East Region, Ghana

LAKES & RESERVOIRS: RESEARCH AND MANAGEMENT, Issue 4 2009
Afua Adwubi
Abstract Many small dams and dugouts have been constructed in the Upper East Region of Ghana to address the problem of regional water scarcity. The reservoirs were constructed primarily as water supplies for agricultural irrigation and livestock watering, aquaculture and domestic use. However, many of the reservoirs dry up during the dry season, affecting the livelihoods of their basin inhabitants. A major cause for the dried reservoirs is siltation, which reduces the reservoir's storage capacities. The goal of this study is to quantify the annual siltation rate of four study reservoirs, using a bathymetric survey and reservoir soil sampling. The sediment yield and its relation to catchment area also were assessed. The results of this study indicate that the annual siltation rates are 1272, 3518, 2764 and 6135 t year,1 for Doba, Dua, Zebilla and Kumpalgogo reservoirs, respectively. Analyses of the sediment yield and catchment areas illustrated that the sediment yields decreased with increasing catchment area. All the study reservoirs have lost their dead storage capacity, which was meant to store sediment until the end of their anticipated design lives. The decreasing storage capacity because of siltation will affect the livelihoods of the local basin inhabitants, as the reservoirs will not be able to achieve all their intended purposes. The results of this study indicate that, because siltation is not the only factor threatening the benefits gained from the reservoirs, the integrated assessment of all relevant factors is required. [source]