River Reserve (river + reserve)

Distribution by Scientific Domains


Selected Abstracts


Seasonal variation in forages utilized by the African buffalo (Syncerus caffer) in the succulent thicket of South Africa

AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 2 2010
Thulani Tshabalala
Abstract The succulent thicket of the Eastern Cape, South Africa, is characterized by densely wooded vegetation that is dominated by succulents with little understory of ephemeral and weakly perennial grasses and forbs. Studies have developed around the question: how do bulk grazers such as the African buffalo (Syncerus caffer) survive in the succulent thicket? In this study, the diet of the African buffalo at the Great Fish River Reserve (GFRR) was studied in two seasons (wet and dry). The diet profile was assessed from faecal matter, using the micro-histological analysis method. During the wet season, grass species contributed 72% to the diet while 28% was contributed by browse species. In the dry season there was a significant increase in the intake of browse by 5% (,2 = 19.94, df = 11, P < 0.05). There were species that were neglected in the wet season but became principal dietary items in the dry season, these included Setaria neglecta, Cymbopogon plurinodis, Capparis sepiaria and Portulacaria afra. Diet quality, as estimated from faecal samples, suggested that the buffalo were nutritionally stable; however, the presence of sarcoptic mange in the buffalo suggests nutritional stress. Résumé Le fourré de plantes succulentes de l'Eastern Cape, en Afrique du Sud, se caractérise par une végétation boisée dense dominée par des succulentes avec un peu de sous-bois d'herbes éphémères ou faiblement pérennes. Des études se sont développées au départ de cette question: comment des gros ruminants comme le buffle (Syncerus caffer) peuvent-ils survivre dans le fourré de succulentes ? Dans cette étude, nous avons étudié pendant deux saisons (des pluies et sèche) le régime alimentaire du buffle de la Great Fish River Reserve (GFRR). On a évalué le profil du régime à partir de la matière fécale, en utilisant la méthode de l'analyse micro-histologique. Pendant la saison des pluies, les monocotylédones composaient 72% du régime et les 28% restants étaient composés d'espèces de brout. En saison sèche, il y avait une augmentation significative (5%) des espèces de brout (X²= 19,94, d.f = 11, P < 0,05). Il y avait des espèces qui étaient négligées en saison des pluies mais qui devenaient des éléments principaux du régime en saison sèche. Parmi ceux-ci, citons Setaria neglecta, Cymbopogon plurinodis, Capparis sepiaria et Portulacaria afra. La qualité du régime alimentaire, estimée d'après les matières fécales, suggère que les buffles sont stables au point de vue nutritionnel; toutefois, la présence de gale sarcoptique chez les buffles suggère un stress alimentaire. [source]


Impact of the black rhinoceros (Diceros bicornis minor) on a local population of Euphorbia bothae in the Great Fish River Reserve, South Africa

AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 4 2009
Bodina L. Luske
Abstract In the Great Fish River Reserve, South Africa, black rhinoceros (Diceros bicornis minor) feed extensively on a local population of Euphorbia bothae. Maintaining the endangered black rhinoceros and the protected E. bothae population are both conservation priorities of the reserve. Therefore, the sustainability of this plant,animal interaction was investigated by comparing population characteristics, browsing incidence and intensity within the reserve and in an adjacent exclosure without access to rhino. Fixed-point photographs showed that over a 2-month period 36.6% of 213 monitored plants were browsed, with an average biomass loss of 13%, and 1% were destroyed. Of 26 plants re-photographed after approximately 3 years, 70% showed a decrease in biomass, averaging 37.8% over this period. In this time span, 19% of the monitored plants died. Small plants (<45 cm) were over-represented in the rhino-browsed area, whereas the fraction of reproductively active plants and overall plant density were found to be lower than in the adjacent exclosure. No evidence of short-term compensatory growth in response to browsing was found for E. bothae. This study indicates that, with the current population size, rhinos are overexploiting the E. bothae population and special measures should be taken to prevent local extinction. Résumé Dans la Great Fish River Reserve, en Afrique du Sud, le rhinocéros noir (Diceros bicornis minor) se nourrit en très grande partie d'une population locale d'Euphorbia bothae. Le maintien du rhino noir en danger et de la population protégée d'E. bothae sont deux priorités de la réserve en matière de conservation. C'est pourquoi on a investigué la durabilité de cette interaction plante-animal en comparant les caractéristiques des populations, l'incidence et l'intensité de la consommation du rhino dans la réserve et dans un enclos adjacent d'où les rhinos sont exclus. Des photographies prises d'un point fixe ont montré que, sur une période de deux mois, 36.6% des 213 plantes suivies avaient été broutées, avec une perte moyenne de biomasse de 13%, et un pour cent avait été détruit. Des 26 plantes qui avaient été rephotographiées après environ trois ans, 70% montraient une diminution de la biomasse, qui était de 37.8% en moyenne pour cette période. Pendant ce laps de temps, 19% des plantes suivies sont mortes. Les petites plantes (<45 cm) étaient surreprésentées dans la zone broutée par les rhinos, alors que la fraction des plantes actives au point de vue reproduction et la densité générale des plantes se sont avérées plus faibles que dans l'enclos adjacent. On n'a pu mettre en évidence aucune croissance compensatoire d'E. bothaeà court terme en réponse au broutage des rhinos. Cette étude indique que, vu la taille actuelle de leur population, les rhinos surexploitent la population d'E. bothae et qu'il faut prendre des mesures spéciales pour empêcher l'extinction locale de cette dernière. [source]


Rodent assemblage in a habitat mosaic within the Valley Thicket vegetation of the Eastern Cape Province, South Africa

AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 1 2008
Boris Kry, tufek
Abstract We sampled small mammal assemblage in a mosaic of Valley Thicket vegetation in the Great Fish River Reserve during the summers of 2001 and 2002. Assemblage was dominated by seven rodent species with a single nonrodent species (Elephantulus edwardii) in the 357 trapped specimens. Rhabdomys dilectus was the most abundant in both years, followed by Mus minutoides (ranking 2nd in 2001) and Mastomys coucha (2nd in 2002). These three species, which are widespread generalists, made up 85.0% of the total rodent catch in 2001 and 74.3% in 2002. Individual species were captured on 2,14 sites of a total of 17 and M. minutoides was the most widespread. The majority of samples consisted of two (ten sites in a pooled sample for 2 years) or three species (ten sites). Significant morphological structuring was found only in two-species samples. Species turnover was high both among sites and between the 2 years. We found no evidence of significant nested structure which would suggest hierarchical sets of ecological relationships among the species. Vegetation structure explained better than species interactions, the population variables in the rodent assemblage. Résumé Nous avons échantillonné l'assemblage de petits mammifères dans une mosaïque végétale de Valley Thicket dans la Great Fish River Reserve au cours des étés de 2001 et 2002. L'assemblage des 357 spécimens attrapés était dominé par sept espèces de rongeurs et une autre espèce (Elephantulus edwardii). Rhabdomys dilectusétait l'espèce la plus abondante les deux années, suivie par Mus minutoides (classé 2ème en 2001) et par Mastomys coucha (2ème en 2002). Ces trois espèces, qui sont des espèces généralistes très répandues, représentaient 85,0% des prises totales de rongeurs en 2001 et 74,3% en 2002. Les espèces individuelles furent capturées sur deux à 14 sites sur un total de 17, et Mus minutoidesétait la plus répandue. La majorité des échantillons se composaient de deux (10 sites sur un échantillonnage groupé de deux ans) ou trois espèces (dix sites). On n'a découvert de structure morphologique significative que dans des échantillons de deux espèces. Le turnover des espèces était élevé entre les différents sites et entre les années. Nous n'avons trouvé aucune preuve d'une structure significative qui puisse suggérer l'existence de relations hiérarchiques écologiques entre les espèces. La structure de la végétation expliquait mieux que les interactions interspécifiques les variables des populations de l'assemblage des rongeurs. [source]


Management options for river conservation planning: condition and conservation re-visited

FRESHWATER BIOLOGY, Issue 5 2007
SIMON LINKE
Summary 1. Systematic conservation planning is a process widely used in terrestrial and marine environments. A principal goal is to establish a network of protected areas representing the full variety of species or ecosystems. We suggest considering three key attributes of a catchment when planning for aquatic conservation: irreplaceability, condition and vulnerability. 2. Based on observed and modelled distributions of 367 invertebrates in the Australian state of Victoria, conservation value was measured by calculating an irreplaceability coefficient for 1854 subcatchments. Irreplaceability indicates the likelihood of any subcatchment being needed to achieve conservation targets. We estimated it with a bootstrapped heuristic reserve design algorithm, which included upstream,downstream connectivity rules. The selection metric within the algorithm was total summed rarity, corrected for protected area. 3. Condition was estimated using a stressor gradient approach in which two classes of geographical information system Layers were summarised using principal components analysis. The first class was disturbance measures such as nutrient and sediment budgets, salinisation and weed cover. The second class was land use layers, including classes of forestry, agricultural and urban use. The main gradient, explaining 56% of the variation, could be characterised as agricultural disturbance. Seventy-five per cent of the study area was classified as disturbed. 4. Our definition of vulnerability was the likelihood of a catchment being exposed to a land use that degrades its condition. This was estimated by comparing land capability and current land use. If land was capable of supporting a land use that would have a more degrading effect on a river than its current tenure, it was classified vulnerable (66% of the study area). 79% of catchments contained more then 50% vulnerable land. 5. When integrating the three measures, two major groups of catchments requiring urgent conservation measures were identified. Seven per cent of catchments were highly irreplaceable, highly vulnerable but in degraded condition. These catchments were flagged for restoration. While most highly irreplaceable catchments in good condition were already protected, 2.5% of catchments in this category are on vulnerable land. These are priority areas for assigning river reserves. [source]