REE Concentrations (ree + concentration)

Distribution by Scientific Domains


Selected Abstracts


Accurate U-Pb Age and Trace Element Determinations of Zircon by Laser Ablation-Inductively Coupled Plasma-Mass Spectrometry

GEOSTANDARDS & GEOANALYTICAL RESEARCH, Issue 3 2004
Honglin Yuan
LA-ICP-MS; laser excimer; zircon; géochronologie; éléments en trace Various zircons of Proterozoic to Oligocene ages (1060-31 Ma) were analysed by laser ablation-inductively coupled plasma-mass spectrometry. Calibration was performed using Harvard reference zircon 91500 or Australian National University reference zircon TEMORA 1 as external calibrant. The results agree with those obtained by SIMS within 2s error. Twenty-four trace and rare earth elements (P, Ti, Cr, Y, Nb, fourteen REE, Hf, Ta, Pb, Th and U) were analysed on four fragments of zircon 91500. NIST SRM 610 was used as the reference material and 29Si was used as internal calibrant. Based on determinations of four fragments, this zircon shows significant intra-and inter-fragment variations in the range from 10% to 85% on a scale of 120 ,m, with the variation of REE concentrations up to 38.7%, although the chondrite-normalised REE distributions are very similar. In contrast, the determined age values for zircon 91500 agree with TIMS data and are homogeneous within 8.7 Ma (2s). A two-stage ablation strategy was developed for optimising U-Pb age determinations with satisfactory trace element and REE results. The first cycle of ablation was used to collect data for age determination only, which was followed by continuous ablation on the same spot to determine REE and trace element concentrations. Based on this procedure, it was possible to measure zircon ages as low as 30.37 0.39 Ma (MSWD = 1.4; 2s). Other examples for older zircons are also given. Différents zircons d'âges variant du Protérozoïque à l'Oligocène (1060-31 Ma) ont été analysés par spectrométrie avec source à plasma induit et ablation laser. La calibration a été faite en utilisant le zircon 91500 de référence de Harvard ou le zircon TEMORA 1 de référence de l'Université Nationale Australienne comme calibrant externe. Les résultats sont en accord avec ceux obtenus par SIMS aux erreurs analytiques près (2s). Vingt-quatre éléments en trace et Terres Rares (P, Ti, Cr, Y, Nb, quatorze ETR, Hf, Ta, Pb, Th et U) ont été analysés sur quatre fragments du zircon 91500. Le standard SRM 610 de NIST a été utilisé comme matériau de référence et 29Si comme calibrant interne. À partir des déterminations faites sur ces quatre fragments, ce zircon montre des variations intra et inter fragments de l'ordre de 10%à 85%à une échelle de 120 ,m, avec des variations des concentrations de Terres Rares allant jusquà 38.7%, bien que le spectre de Terres Rares normalisé aux chondrites reste très constant. Au contraire, les âges déterminés pour le zircon 91500 sont en accord avec les résultats de TIMS et sont homogènes à 8.7 Ma près (2s). Une stratégie d'ablation en deux étapes a été développée pour optimiser les déterminations d'âges U-Pb, et avoir des résultats de Terres Rares et d'éléments en trace satisfaisants. Le premier cycle d'ablation était utilisé pour collecter les données nécessaires à la détermination de l'âge seulement et était suivi d'un cycle d'ablation continue sur le même spot, pour déterminer les concentrations en Terres Rares et en éléments en trace. Grâce à cette procédure, il a été possible de mesurer des âges sur zircons aussi récents que 30.37 0.39 Ma (MSWD = 1.4; 2s). D'autres exemples sur des zircons plus vieux sont aussi donnés. [source]


Routine Analyses of Trace Elements in Geological Samples using Flow Injection and Low Pressure On-Line Liquid Chromatography Coupled to ICP-MS: A Study of Geochemical Reference Materials BR, DR-N, UB-N, AN-G and GH

GEOSTANDARDS & GEOANALYTICAL RESEARCH, Issue 2-3 2001
Jean Carignan
géostandards; éléments traces; flow injection; chromatographie liquide; ICP-MS We describe analytical procedures for trace element determinations developed at the CNRS Service d'Analyse des Roches et des Minéraux (SARM) and report results obtained for five geochemical reference materials: basalt BR, diorite DR-N, serpentinite UB-N, anorthosite AN-G and granite GH. Results for rare earth elements, U and Th are also reported for other reference materials including dunite DTS-1, peridotite PCC-1 and basalt BIR-1. All rocks were decomposed using alkali fusion. Analyses were done by flow injection ICP-MS and by on-line low pressure liquid chromatography (LC)-ICP-MS for samples containing very low REE, U and Th concentrations. This latter method yielded limits of determination much lower than data by direct introduction and eliminated possible isobaric interference on these elements. Although results agree with most of the working values, when available, results for some elements differed slightly from the recommended concentrations. In these cases, we propose new values for Co, Y and Zn in basalt BR, Zr in diorite DR-N, Sr and U in granite GH, and Ga and Y in anorthosite AN-G. Furthermore, although the Sb concentration measured in AN-G was very close to our limit of determination, our value (0.3 ± 0.1 ,g g,1) is much lower than the reported working value of 1.4 ± 0.2 ,g g,1. These new values would need to be confirmed by a new inter-laboratory programme to further characterise these reference materials. Results obtained for REE, Th and U concentrations using the on-line low pressure LC-ICP-MS yielded good limits of determination (ng g,1to sub-ng g,1for rocks and ng l,1to sub-ng l,1for natural waters) and accurate results. The efficiency of the matrix separation allowed accurate measurements of Eu without the need to correct the BaO isobaric interference for samples having Ba/Eu ratios as high as 27700. For REE concentrations in PCC-1 and DTS-1, differences with values reported in the literature are interpreted as resulting from possible heterogeneity of the reference materials. Thorium and U values are proposed for these two samples, as well as for AN-G and UB-N. Nous rapportons les procédures d'analyse pour les éléments traces développées au Service d'Analyse des Roches et des Minéraux (SARM) du CNRS et les résultats obtenus pour 5 géostandards: le basalte BR, la diorite DR-N, la serpentinite UB-N, l'anorthosite AN-G et le granite GH. Des résultats obtenus pour les Terres Rares (REE), l'uranium et le thorium sont aussi rapportés pour d'autres matériaux de référence tels que la dunite DTS-1, la péridotite PCC-1 et le basalte BIR-1. Les roches ont été décomposées par fusion alcaline. Les analyses ont été faites par Flow Injection ICP-MS et par chromatographie liquide basse pression en ligne sur un ICP-MS pour les très faibles teneurs en REE, U et Th. Cette dernière méthode permet d'avoir une meilleure limite de détermination que celle par introduction directe et d'éliminer certaines interférences isobariques sur ces éléments. Bien que, dans la majorité des cas, nous ayons mesuré les valeurs de référence telles que rapportées dans la littérature, certaines concentrations mesurées diffèrent légèrement des valeurs recommandées. Ainsi, nous proposons de nouvelles valeurs de Co, Y et Zn pour le basalte BR, de Zr pour la diorite DR-N, de Sr et U pour le granite GH et de Ga et Y pour l'anorthosite AN-G. De plus, bien que la concentration en Sb mesurée pour AN-G soit très proche de notre limite de détermination, notre valeur (0.3 ± 0.1 ,g g,1) est bien inférieure à celle rapportée dans la littérature (1.4 ± 0.2 ,g g,1). Ces nouvelles valeurs devraient être confirmées par une nouvelle campagne de caractérisation inter laboratoire pour ces géostandards. Les résultats obtenus pour les REE, U et Th par chromatographie liquide basse pression en ligne sur un ICP-MS sont justes et livrent des limites de détermination faibles au niveau du ng g,1à sub-ng g,1pour les roches et ng l,1à sub-ng l,1pour les eaux naturelles. La séparation de la matrice est efficace et permet une mesure juste de Eu sans correction d'interférence générée par l'oxyde de Ba, et ce même pour des échantillons possédant des rapports Ba/Eu très élevés, de l'ordre de 27700. Les concentrations en REE mesurées pour les échantillons PCC-1 et DTS-1 peuvent être significativement différentes de celle rapportées dans la littérature, probablement à cause d'une hétérogénéité de ces échantillons. Des valeurs de concentrations en U et Th sont proposées pour ces deux échantillons ainsi que pour AN-G et UB-N. [source]


Trace-element distributions in silicates during prograde metamorphic reactions: implications for monazite formation

JOURNAL OF METAMORPHIC GEOLOGY, Issue 4 2008
S. L. CORRIE
Abstract To assess the petrogenetic relationship between monazite and major silicates during prograde metamorphism, REE were measured across coexisting zoned silicates in garnet through kyanite-grade pelitic schists from the Great Smoky Mountains, western Blue Ridge terrane, southern Appalachians, to establish REE concentrations and distributions before and after the monazite-in isograd, and to identify the role major silicates play in the formation of monazite. Results indicate significant scavenging of light rare-earth elements (LREE) from silicates during the monazite-in isograd reaction; however, the absolute concentration of LREE hosted in the silicates was insufficient to produce monazite in the quantity observed in these schists. Monazite must have formed mainly from either the dissolution of allanite or some other source of concentrated LREE (possibly adsorbed onto grain boundaries), even though direct evidence for allanite is lacking in a majority of the samples. Laser-ablation ICP-MS analyses and theoretical thermodynamic calculations show that monazite may have formed as a result of contributions from both allanite and major silicates. Allanite breakdown initially formed monazite, and monazite production drew LREE liberated from allanite, major silicates and possibly from crystal boundaries. In many rocks the reaction was further promoted by the staurolite-in reaction, allowing for rapid, isogradic monazite growth. [source]


The geochemical diversity of neogene clay deposits in Crete and its implications for provenance studies of Minoan pottery,

ARCHAEOMETRY, Issue 3 2004
A. Hein
The determination of provenance probably forms the primary role of geochemical analyses in archaeological ceramic studies. In what has comprised a successful field of study, the ultimate basis for such research has been the comparison of pottery compositions with the geochemical diversity displayed by clay deposits within a given study area. Although such studies are now common, the understanding of chemical and mineralogical variability in ceramic raw materials has been somewhat neglected, with the dominance of assumptions rather than the actual analysis of clays. In this paper, a study is presented of Neogene clays in Crete (Greece), a clay type commonly used in ancient and modern pottery production. Sixty-one samples were taken from 28 locations in the central and eastern parts of the island, to reveal both intra- and inter-deposit variability. In one deposit chosen for multiple sampling, the 14 samples display great variability in the alkali elements, Fe and Co, and to a lesser extent in the REEs. Many of the geographically separate deposits differ from each other in chemical composition, with Eastern Cretan deposits showing higher REE concentrations and higher Th/Sc ratios, whereas Central Cretan deposits of younger geological stages are characterized by a lower Th/U ratio. Mineralogical analysis by XRD is used to explain aspects of the geochemical variability of the clays. [source]