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Hauteur Moyenne (hauteur + moyenne)
Selected AbstractsAnisogramma virgultorum on saplings of Betula pendula and Betula pubescens in a district of northern SwedenFOREST PATHOLOGY, Issue 4-5 2002J. WITZELL Summary During the autumn of 1999, the occurrence of the ascomycete Anisogramma virgultorum on saplings of Betula pubescens and Betula pendula was studied in two stands of B. pubescens, two stands of B. pendula and two mixed (B. pubescens and Pinus sylvestris) stands (age approximately 10 years, mean height 2,4 m, d.b.h. 10,20 mm) in a district in the vicinity of Umeå, northern Sweden. Stem and branch cankers associated with A. virgultorum were found on 54.8% of the investigated saplings, without significant difference between B. pendula and B. pubescens. Cankers were observed on 16.0% of stems and on branches of 54.2% of the saplings. Stem cankers appeared on the current year's shoot, as well as at the base of the trees. The mean diameter of the damaged saplings was significantly greater than the mean diameter of undamaged saplings. All samples of cankers with stromata examined in the laboratory showed perithecia with asci. Résumé Anisogramma virgultorum sur jeunes plants de Betula pendula et Betula pubescens dans un district du nord de la Suède Pendant l'été 1999, le développement de l'ascomycète Anisogramma virgultorum a étéétudié sur de jeunes plants de Betula pendula et Betula pubescens dans deux peuplements de B. pubescens, deux peuplements de B. pendula et deux peuplements mélangés (B. pubescens et Pinus sylvestris) (âge: environ 10 ans, hauteur moyenne: 2 à 4 m, dbh: 10 à 20 mm), dans un district près d'Umeå au nord de la Suède. Des chancres de tige et de branches associés àA. virgultorum ont été trouvés sur 54,8% des plants, sans différences significative entre B. pendula et B. pubescens. Les chancres de tige étaient présents sur 16% des plants, et les chancres de branches sur 54,2%. Les chancres de tige étaient situés sur les pousses de l'année en cours aussi bien qu'à la base des arbres. La diamètre moyen des plants attaqués était significativement plus grand que celui des arbres sains. Tous les chancres avec stromas examinés au laboratoire présentaient des périthèces avec des asques. Zusammenfassung Anisogramma virgultorum an Sämlingen von Betula pendula und Betula pubescens in einem Distrikt in Nordschweden Im Herbst 1999 wurde das Vorkommen des Ascomyceten Anisogramma virgultorum an Betula pubescens und Betula pendula in jeweils zwei Reinbeständen dieser Baumarten sowie in zwei Mischbeständen (B. pubescens und Pinus sylvestris) in einem Distrikt in der Nähe von Umeå, Nordschweden, untersucht (Alter ca. 10 Jahre, mittlere Baumhöhe 2,4 m, DBH 10,20 mm). Bei 54,8 % der untersuchten Bäumchen wurden an Stamm und Zweigen Krebse gefunden, die für A.virgultorum typisch sind. Zwischen B. pendula und B. pubescens gab es keine signifikanten Unterschiede. Bei 16 % der Pflanzen wurden Krebse an den Stämmen, bei 54,2 % an den Zweigen beobachtet. Die Stammkrebse traten sowohl am diesjährigen Gipfeltrieb auf als auch an der Stammbasis. Der mittlere Durchmesser geschädigter Pflanzen war signifikant grösser als derjenige von ungeschädigten Pflanzen. Alle Proben von Krebsen mit Stromata, die im Labor untersucht wurden, enthielten Perithecien mit Asci. [source] Structure of Anogeissus leiocarpa Guill., Perr. natural stands in relation to anthropogenic pressure within Wari-Maro Forest Reserve in BeninAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 3 2010Achille Ephrem Assogbadjo Abstract The present study focused on the analysis of the structure of the Anogeissus leiocarpa dominated natural stands in the Wari-Maro forest reserve which are under high and minimal anthropogenic pressures. These stands were considered for forest inventories after carrying out a random sampling scheme of 40 sample units of 30 m × 50 m. In each level pressure stand, the dbh and tree-height of identified tree-species were measured in each plot. Data analyses were based on the computation of structural parameters, establishment of diameter and height distributions and the floristic composition of the two types of stands. Results obtained showed higher values for the overall basal area (9.78 m2 ha,1), mean height (22.37 m) and mean diameter (36.92 cm) for A. leiocarpa in low-pressure stands. In high-pressure stands, some species like Afzelia africana had lower Importance Value Index and the frequency of A. leiocarpa trees in the successive diameter classes dropped rapidly and the value of the logarithmic slope of the height,diameter relationship was lower (9.77) indicating a lanky shape. Results obtained suggest that effective conservation is needed for A. leiocarpa stands under high pressure by limiting human interference and developing appropriate strategy for restoration purposes. Résumé Cette étude s'est focalisée sur l'analyse de la structure de peuplements naturels à dominance de Anogeissus leiocarpa, dans la forêt classée de Wari-Maro, qui subissent à certains endroits, des pressions anthropiques fortes et à d'autres endroits des pressions anthropiques minimes. Ces peuplements ont été inventoriés en considérant un échantillonnage aléatoire de 40 placeaux de 30 m × 50 m. Pour chaque niveau de pression, on a mesuré dans chaque placeau le diamètre à 1,3 m et la hauteur totale des arbres d'espèces identifiées. L'analyse des données s'est basée sur le calcul des paramètres structuraux, sur l'établissement de la distribution en diamètre et en hauteur et sur la composition floristique des peuplements des deux types de formation. Les résultats obtenus indiquent les plus grandes valeurs pour la surface terrière globale (9,78 m² ha,1), la hauteur moyenne (22,37 m) et le diamètre moyen (36,92 cm) chez A. leiocarpa dans les peuplements soumis à une faible pression. Dans les peuplements subissant une forte pression, certaines espèces comme Afzelia africana avaient les plus faibles Indices d'importance, la fréquence de A. leiocarpa dans les classes de hauteurs successives diminuait rapidement et la valeur de la pente logarithmique de la relation hauteur/diamètre était plus faible (9,77), ce qui indique une forme élancée. Les résultats obtenus suggèrent que les peuplements de A. leiocarpa sous forte pressions anthropiques requièrent une conservation efficace, en limitant les pertubations humaines et en développant une stratégie appropriée en vue de leur restauration. [source] Variability in survival and mortality of Acacia drepanolobium Sjøstedt following prescribed burning at Olpejeta Conservancy, KenyaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 3 2010Geoffrey M. Wahungu Abstract Mortalities to Acacia drepanolobium, a main item in the diet of the eastern black rhino (Diceros bicornis Michaeli) in Olpejeta conservancy, Kenya, are caused by three main factors: drought, browsers and fire. The effect of controlled fires on A. drepanolobium was examined by monitoring survival and growth in experimental plots before and after fire episodes between 2003 and 2007. Density, survival and growth in A. drepanolobium trees were compared eighteen months before and after burning. Tall trees were more likely to die from fire compared to short trees (R2 = 0.575; df = 6; P = 0.048), while seedling densities increased after fire (,2 = 36.57; df = 1; P = 0.001). Even with increased seedling densities, burned areas attracted large numbers of seedling predators, lowering the possibility of seedling recruitment into adult, as mean seedling heights reduced significantly (ANOVA, F = 204.42; df = 1; P = 0.036). Fires also significantly lowered flowering (F = 346; df = 1; P < 0.05) in A. drepanolobium, thereby affecting fruit production. Although fires caused mortalities to adult A. drepanolobium, the most significant effect was tree reversals into seedling height class as trees resprouted. Although fire may increase browse biomass of A. drepanolobium available for black rhino, it is not an appropriate black rhino habitat management tool because burnt areas attract many seedling predators that lower seedling recruitment into adult trees. Résumé La mortalité d'Acacia drepanolobium dans l'aire de conservation d'Olpejeta, au Kenya, est causée par trois facteurs principaux, la sécheresse, les herbivores et les feux. On a examiné l'effet des feux contrôlés sur A. drepanolobium en suivant la survie et la croissance dans des parcelles expérimentales 18 mois avant et après les feux, entre 2003 et 2007. On a comparé la densité, la survie et la croissance d'A. drepanolobium 18 mois avant et après les feux. Les grands arbres étaient plus susceptibles de mourir à cause des feux que les petits (R² = 0,575; ddl = 6; P = 0,048) alors que la densité des jeunes plants augmentait après les feux (,² = 36,57; ddl = 1; P = 0,001). Même si la densité de jeunes plants était accrue, les zones brûlées attiraient de grands nombres de prédateurs de ces plants, diminuant ainsi la possibilité de recrutement vers l'âge adulte, parce que la hauteur moyenne des jeunes plants était significativement réduite (Anova, F = 204,42; ddl = 1; P =0,036). Les feux réduisaient aussi significativement la floraison (F = 346; ddl = 1; P < 0,05) chez A. drepanolobium, affectant dès lors la production de fruits. Même si les feux causaient une certaine mortalité chez les A. drepanolobium adultes, l'effet le plus significatif était le retour des arbres dans des classes de hauteur des jeunes plants lorsque les arbres rejetaient. Même si les feux peuvent augmenter la biomasse de brout d'A. drepanolobium disponible pour les rhinos noirs, ils ne sont pas un outil de gestion approprié pour l'habitat des rhinos parce que les zones brûlées peuvent attirer des nombreux prédateurs des jeunes plants qui réduisent le recrutement de ceux-ci vers l'âge adulte. [source] Growth response of woody species to elephant foraging in Mwea National Reserve, KenyaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 4 2009Robert M. Chira Abstract The African elephant (Loxodonta africana) is known to greatly affect the structure and dynamics of vegetation. In Mwea National Reserve, elephants foraged mainly on Acacia ataxacantha and Grewia bicolor out of the five most preferred woody species. However, out of the five preferred woody species, only Grewia virosa and G. bicolor showed a positive association between their fresh use and past elephant use. All the five selected woody species showed high coppicing response after foraging, with the highest coppice growth rates recorded for Acacia brevispica and lowest for Grewia tembensis. The mean heights of woody species utilized by elephants were highest for A. brevispica and lowest for G. bicolor. The mean heights of coppices emerging after utilization by elephants were not significantly different for A. ataxacantha but were significantly shorter in the rest of the foraged species. Elephants avoided the coppices of many other woody species notably C. africana, A. tortilis, A. mellifera, Combretum aculeatum among others in the reserve. The objective of this study was to understand the capacity of woody species to recover after utilization by elephants and feeding response of elephants to new woody species re-growth; a cycle that would define the dynamics of food resources and elephant population within the reserve. Résumé On sait que l'éléphant africain Loxodonta africana affecte beaucoup la structure et la dynamique de la végétation. Dans la Réserve Nationale de Mwea, les éléphants consommaient principalement de l'Acacia ataxacantha et du Grewia bicolor parmi les cinq espèces ligneuses préférées. Cependant, parmi ces cinq espèces, seuls Grewia virosa et .G. bicolor présentaient une association positive entre leur utilisation récente et ancienne par les éléphants. Les cinq espèces ligneuses sélectionnées manifestaient une forte repousse en réponse à la consommation des éléphants, et le taux de repousse était le plus élevé a été enregistré chez Acacia brevispica et le plus faible chez Grewia tembensis. La hauteur moyenne des espèces ligneuses consommées par les éléphants était plus grande chez A. brevispica et plus petite chez G. bicolor. La hauteur moyenne des tiges qui avaient repoussé après consommation des éléphants n'était pas significativement différente chez A. ataxacantha, mais elle était significativement plus courte pour les autres espèces consommées. Les éléphants évitaient les taillis de nombreuses autres espèces ligneuses telles que, particulièrement, C. africana, A. tortilis, A. mellifera, Combretum aculeatum, entre autres, dans la réserve. L'objectif de cette étude était de comprendre la capacité des espèces ligneuses de se régénérer après le passage des éléphants, et la réponse alimentaire des éléphants à la nouvelle repousse de différentes espèces ligneuses et d'esquisser ainsi un cycle qui définirait la dynamique des ressources alimentaires et de la population des éléphants de la réserve. [source] Effects of large herbivores and fire on the regeneration of Acacia erioloba woodlands in Chobe National Park, BotswanaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 4 2001Myra E. Barnes Abstract Acacia erioloba woodlands provide important forage and shade for wildlife in northern Botswana. Mortality of mature trees caused by browsing elephants has been well documented but the lack of regeneration of new trees has received little attention. Annual growth of new shoots and changes in height were measured to determine the influence of elephants and small ungulate browsers, rainfall and fire on the growth and survival of established A. erioloba seedlings from 1995 to 1997 in the Savuti area of Chobe National Park. All above-ground vegetation was removed from 40% of established seedlings in 1995 and 28% in 1997 by browsing elephants, and the mean height of remaining seedlings decreased from >550 mm to <300 mm. When seedlings browsed by kudu, impala and steenbok but not elephants are considered, mean seedling height increased <50 mm per year, even though mean new shoot growth remaining at the end of the dry season was 100,200 mm. Fires burned portions of the study area in 1993 and 1997, killing above-ground vegetation, but most established A. erioloba seedlings survived, producing coppice growth from roots. While elephants and fire caused the greatest reduction in established seedling height and number, small browsers suppressed growth, keeping seedlings vulnerable to fire and delaying growth to reproductive maturity. Résumé Les forêts d'Acacia erioloba procurent une nourriture et des abris importants pour la faune au nord du Botswana. On connaît bien la mortalité des grands arbres due aux éléphants mais on n'a accordé que peu d',attention au manque de régénération de nouveaux arbres. On a mesuré la croissance annuelle des jeunes pousses et le changement de hauteur pour déterminer l'influence des éléphants et des petits ongulés, des chutes de pluies et des feux sur la croissance et la survie des semis connus d',A. erioloba, de 1995 à 1997 dans la zone de Savuti au Parc National de Chobe. Toute la végétation au-dessus du sol a été supprimée sur 40% des semis connus en 1995, et 28% en 1997 par le broutage des éléphants, et la hauteur moyenne des plants restants a baissé de > 550 mm à < 300 mm. Lorsqu'on considère les pousses broutées par les koudous, les impalas et les steenbocks, mais pas par les éléphants, la hauteur moyenne des jeunes pousses augmentait de moins de 50 mm par an même si la croissance moyenne des nouvelles pousses subsistant à la fin de la saison sèche était de 100 à 200 mm. Les feux ont brûlé des portions de la zone étudiée en 1993 et en 1997, tuant toute la végétation au-dessus du sol, mais les pousses d',A. erioloba les mieux situées ont survécu, produisant de nouveaux taillis au départ des racines. Alors que les éléphants et les feux causaient les plus fortes réductions de la hauteur et du nombre des pousses établies, les petits ruminants en supprimaient la croissance, ce qui les laissait vulnérables aux feux et retardait la croissance jusqu'à la maturité. [source] Frost heave and thaw consolidation of ploughing boulders in a mid-alpine environment, Finse, Southern NorwayPERMAFROST AND PERIGLACIAL PROCESSES, Issue 2 2001Ivar Berthling Abstract The frost heave and thaw consolidation of five large ploughing boulders were studied at Finse (UTM32VMN185198), southern Norway, by optical levelling from a bedrock benchmark. The boulders heave 3,7 cm, mainly during the early winter. Thaw consolidation starts while the boulders are still completely snow-covered in spring, but accelerates considerably when a trench in the snow is melted down to the ground surface around the boulders. During four years of measurements, the vertical position of the boulders lowered by a total mean of 5 mm. Boulder heave was well correlated to the square root of the freezing index, although differences in snow cover between subsequent years had marked effects on the heave of some of the boulders. The overburden pressure of the boulders also influenced total heave. An equation was obtained, relating boulder heave to the square root of the freezing index and the average height of the boulder. Copyright © 2001 John Wiley & Sons, Ltd. RÉSUMÉ Le soulèvement par le gel et la retombée au dégel de 5 grands blocs labourant ont été observés à Finse (UTM MN185198), au sud de la Norvège, par nivellement optique à partir d'un repère fixé sur la roche en place. Le soulèvement est de 3-7 cm et se réalise principalement pendant le début de l'hiver. L'affaissement au dégel débute au printemps alors que les blocs sont encore complètement couverts de neige, mais s'accélère beaucoup quand la neige a fondu autour des blocs. Pendant les quatre années de mesures, les blocs se sont affaissés au dégel d'une moyenne totale de 5 mm. Le soulèvement des blocs est bien corrélé avec la racine carrée de l'index de gel, quoique des différences dans la couverture de neige suivant les années ont des effets marqués sur le soulèvement de quelques blocs. La pression des blocs influence aussi le soulèvement total. Une équation a été obtenue mettant en relation le soulèvement des blocs avec la racine carrée de l'index de gel et la hauteur moyenne des blocs. Copyright © 2001 John Wiley & Sons, Ltd. [source] |