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Selected AbstractsEthnic skin types: are there differences in skin structure and function?,INTERNATIONAL JOURNAL OF COSMETIC SCIENCE, Issue 2 2006A. V. Rawlings Synopsis People of skin of colour comprise the majority of the world's population and Asian subjects comprise more than half of the total population of the earth. Even so, the literature on the characteristics of the subjects with skin of colour is limited. Several groups over the past decades have attempted to decipher the underlying differences in skin structure and function in different ethnic skin types. However, most of these studies have been of small scale and in some studies interindividual differences in skin quality overwhelm any racial differences. There has been a recent call for more studies to address genetic together with phenotypic differences among different racial groups and in this respect several large-scale studies have been conducted recently. The most obvious ethnic skin difference relates to skin colour which is dominated by the presence of melanin. The photoprotection derived from this polymer influences the rate of the skin aging changes between the different racial groups. However, all racial groups are eventually subjected to the photoaging process. Generally Caucasians have an earlier onset and greater skin wrinkling and sagging signs than other skin types and in general increased pigmentary problems are seen in skin of colour although one large study reported that East Asians living in the U.S.A. had the least pigment spots. Induction of a hyperpigmentary response is thought to be through signaling by the protease-activated receptor-2 which together with its activating protease is increased in the epidermis of subjects with skin of colour. Changes in skin biophysical properties with age demonstrate that the more darkly pigmented subjects retaining younger skin properties compared with the more lightly pigmented groups. However, despite having a more compact stratum corneum (SC) there are conflicting reports on barrier function in these subjects. Nevertheless, upon a chemical or mechanical challenge the SC barrier function is reported to be stronger in subjects with darker skin despite having the reported lowest ceramide levels. One has to remember that barrier function relates to the total architecture of the SC and not just its lipid levels. Asian skin is reported to possess a similar basal transepidermal water loss (TEWL) to Caucasian skin and similar ceramide levels but upon mechanical challenge it has the weakest barrier function. Differences in intercellular cohesion are obviously apparent. In contrast reduced SC natural moisturizing factor levels have been reported compared with Caucasian and African American skin. These differences will contribute to differences in desquamation but few data are available. One recent study has shown reduced epidermal Cathepsin L2 levels in darker skin types which if also occurs in the SC could contribute to the known skin ashing problems these subjects experience. In very general terms as the desquamatory enzymes are extruded with the lamellar granules subjects with lowered SC lipid levels are expected to have lowered desquamatory enzyme levels. Increased pores size, sebum secretion and skin surface microflora occur in Negroid subjects. Equally increased mast cell granule size occurs in these subjects. The frequency of skin sensitivity is quite similar across different racial groups but the stimuli for its induction shows subtle differences. Nevertheless, several studies indicate that Asian skin maybe more sensitive to exogenous chemicals probably due to a thinner SC and higher eccrine gland density. In conclusion, we know more of the biophysical and somatosensory characteristics of ethnic skin types but clearly, there is still more to learn and especially about the inherent underlying biological differences in ethnic skin types. Résumé, Les gens qui ont une peau de couleur représentent la majorité de la population mondiale et les sujets asiatiques en représentent plus de la moitié. Pourtant la littérature consacrée aux caractéristiques de ces sujets est limitée. Plusieurs groupes de travail ont essayé au cours des dernières années de comprendre les différences sous-jacentes de la structure et de la fonction de la peau de différentes ethnies. Maisla plupart de ces études ont été réalisées à petite échelle et dans certains cas les différences observées entre les individus au niveau de la qualité de la peau ne font pas ressortir de différence entre races. Récemment, un besoin d'études reliant les diffèrences génétiques et phénotypiques entre différents groupes raciaux s'est fait sentir et de ce fait beaucoup d'études à grande èchelle ont été entreprises. La différence la plus évidente, entre les peaux ethniques, est leur couleur liée à la présence de la mélanine. La photoprotection induite par ce polymère influence le taux de vieillissement de la peau entre les différents groupes raciaux qui finalement sont tous sujets au processus de photovieillissement. Généralement, les caucasiens ont des signes plus précoces et plus importants de formation de rides et de relâchement de la peau; en général, les problèmes d'augmentation de la pigmentation sont observés sur les peaux de couleur, bien qu'une grande étude ait rapporté que des sujets originaires de l'Asie de l'Est vivant aux U.S.A. avaient le moins de taches pigmentaires. On pense que la réponse d'une induction hyperpigmentaire est due à un signal envoyé par le récepteur 2 activé par une protéase. Le récepteur 2 augmente en même temps que la protéase activatrice dans l'épiderme des sujets ayant une peau de couleur. Les changements dans les propriètés biophysiques de la peau en fonction de l'âge montrent que les sujets qui ont la pigmentation la plus sombre gardent une peau plus jeune par comparaison aux groupes qui possèdent une pigmentation moins forte. Toutefois, bien qu'ayant un stratum corneum plus compact, il existe des rapports divergents sur la fonction barrière de ces sujets. Dans le cas d'agression chimique ou mécanique, la fonction barrière du stratum corneum est considérée plus forte chez les sujets à peau plus foncée, malgré leurs taux plus faibles encéramide. On doit garder à l'esprit que la fonction barrière du stratum corneum dépend de toute son architecture et pas seulement de sa teneur en lipides. On considère que la peau asiatique à unePIE (TEWL) basale similaire à la peau caucasienne, ainsi que des taux en céramides comparables, mais on constate que dans le cas d'agression mécanique, elle possède un effet barrière le plus faible. Des différences dans la cohésion intercellulaire sont évidentes. A contrario, on a mis en évidence des taux d'hydratation (NMF) plus faibles dans son stratum corneum, comparativement à la peau caucasienne et afro-américaine. Ces différences expliquent les variations au niveau de la desquamation, mais on a très peu de données sur ce sujet. Une étude récente a mis en évidence des taux réduits de Cathepsin L2 dans l'épiderme des types de peau plus sombre, ce qui, si cela se produisait dans le stratum corneum, expliquerait les problèmes biens connus de cendrage de la peau que ces sujets connaissent. En terme très gènéral, étant donné que les enzymes liées à la desquamation sont libérées avec les granules lamellaires, on s'attend à ce que les sujets ayant des taux de lipides faibles dans le stratum corneum aient des taux d'enzymes liés à la desquamation faibles. On constate chez les sujets noirs une augmentation de la taille des pores, de la sécrétion du sébum et de la microflore cutanée. On observe également chez ces sujets une augmentation de la taille des granules mastocellulaires. Le phénomène de peau sensible se retrouve à une fréquence similaire dans les différents groupes raciaux, mais il existe des différences subtiles dans lesstimuli nécessaires pour l'induire. En tout cas, plusieurs études montrent que la peau asiatique est peut-être plus sensible aux produits chimiques exogènes, ce qui probablement est dûà un stratum corneum plus mince et à une densité de glandes eccrines plus élevées. En conclusion, c'est sur les caractéristiques biophysiques et somato-sensorielles des différents types de peaux ethniques que nous en savons plus, mais il est clair qu'il nous reste à comprendre encore beaucoup de choses principalement sur leurs différences biologiques. [source] Reduced barrier efficiency in axillary stratum corneumINTERNATIONAL JOURNAL OF COSMETIC SCIENCE, Issue 3 2002A. Watkinson Synopsis The skin of the axilla is cosmetically important with millions of consumers daily applying antiperspirant/deodorant products. Despite this, we know virtually nothing about axillary skin or how antiperspirant (AP) use impacts upon it. To characterize the axillary stratum corneum and determine whether this is a unique skin type, we have looked at stratum corneum composition and function, particularly its barrier properties, and compared it with other body sites. Transepidermal water loss (TEWL) and corneosurfametry (CSM) revealed a reduced barrier function in the axilla. HPTLC analysis of the stratum corneum lipids demonstrated statistically elevated levels of fatty acids, ceramides, and particularly cholesterol in the axilla. Both ceramide and cholesterol did not appear to change with depth, indicating that they were predominantly of stratum corneum origin. On the other hand, at least some of the fatty acid had a sebaceous origin. We hypothesized that the reduced barrier function might be owing to the changes in the crucial ceramide : cholesterol ratio. To address this, we used a combination of attenuated total reflectance,Fourier-transformed infrared spectroscopy (ATR,FTIR) with cyanoacrylate sampling. These results demonstrated more ordered lipid-lamellae phase behaviour in the axilla, suggesting that the elevated cholesterol might form crystal microdomains within the lipid lamellae, allowing an increase in water flux. Since an exaggerated application of antiperspirant had no effect upon the axilla barrier properties, it is concluded that this region of skin physiologically has a reduced barrier function. Résumé La peau des aisselles est importante du point de vue cosmétique, avec des millions de consommateurs appliquant quotidiennement des produits antitranspirants/déodorants. Malgré cela, nous ne connaissons pratiquement rien de la peau des aisselles ou de l'impact que l'utilization d'antitranspirants peut avoir sur celle-ci. Afin de caractériser la stratum corneum des aisselles et de déterminer si elle constitue un type de peau spécifique, nous avons examiné la composition et la fonction de la stratum corneum, en particulier ses propriétés de barrière, comparées à d'autres zones du corps. La perte d'eau trans -épidermique (trans -epidermal water loss TEWL) et la cornéosurfamétrie (CSM) ont révélé une fonction barrière réduite dans les aisselles. L'analyse HPTLC des lipides de la stratum corneum a démontré la présence de niveaux statistiquement plus élevés d'acides gras, de céramides et en particulier de cholestérol dans la peau axillaire. Ni les céramides ni le cholestérol n'ont semblé changer en fonction de la profondeur, indiquant qu'ils sont probablement originaires du stratum corneum. Cependant, au moins une partie des acides gras avaient une origine sébacée. Notre hypothèse est qu'une réduction de la fonction de barrière de la stratum corneum axillaire est peut-être due à des changements dans le rapport crucial céramides : cholestérol. Pour examiner cette hypothèse, nous avons utilisé la spectroscopie infrarouge par transformée de Fourier ATR[l'attenuated total reflectance Fourier-transformed infrared spectroscopy (ATR,FTIR)] combinée à l'échantillonnage au cyanoacrylate. Ces résultats ont dévoilé un comportement de phase de lamelles lipidiques plus ordonnée dans les aisselles, suggérant que le cholestérol puisse former des microdomaines cristallins à l'intérieur des lamelles lipidiques, ce qui permettrait ainsi une augmentation du flux d'eau. Puisque l'application exagérée d'anti-transpirant n'a pas eu d'effet sur les propriétés de barrière des aisselles, nous concluons que cette région de la peau a une fonction de barrière physiologique réduite. [source] The Latinization of the Central Shenandoah ValleyINTERNATIONAL MIGRATION, Issue 1 2008Laura Zarrugh Virginia is among a number of southern states in the United States, such as North Carolina, Arkansas and Georgia, which have experienced a sudden growth in Latino immigration during the past decade. Not only is the volume of growth unprecedented, but many of the destinations are new and located in rural areas. Places that have not hosted immigrant populations for generations are quickly becoming multicultural. The small city of Harrisonburg (population 43,500 according to the 2005 estimate), which is located in the rural Central Shenandoah Valley of Virginia, is perhaps the premier example of this new pattern of change. While local advertising once promoted Harrisonburg for its "99.2% American-born and 93.7% white" population, the area today holds the distinction of hosting the most diverse public school enrollment in the state (in 2006-2007), with students from 64 countries who speak 44 languages. Among them are Spanish speakers from at least 14 different countries. Drawing on social network theory, the paper examines how social networks among Latino immigrants become activated in new settlement areas. It presents a case history of the historic process of "Latinization" involving the settlement of a number of diverse Latino populations (from Mexico, Guatemala, El Salvador, Honduras, Cuba and Uruguay) in Harrisonburg and the surrounding Central Shenandoah Valley. The study demonstrates how a number of key institutions, including local agricultural industries (apples and poultry), a refugee resettlement office and churches recruited "pioneers" from these immigrant groups to the area and how "pioneers" subsequently engaged in further social network recruitment, thus creating multiple transnational "daughter communities" in the Harrisonburg area. The policy implications of this historical process are explored. Au même titre que la Caroline du Nord, l'Arkansas et la Georgie, la Virginie est l'un de ces Etats du sud des Etats-Unis qui ont été témoins d'une poussée soudaine de l'immigration latino-américaine au cours de la dernière décennie. Non seulement il s'agit d'un rythme de croissance sans précédent, mais bon nombre de destinations choisies sont nouvelles et situées en zone rurale. Des lieux qui n'avaient pas accueilli de population immigrée depuis des générations prennent brusquement un caractère multiculturel. La petite ville de Harrisonburg (43 500 habitants selon un décompte approximatif de 2005), qui est située dans la vallée centrale de Shenandoah, en Virginie, est peut-être le principal exemple de cette nouvelle évolution. Alors qu'elle se vantait autrefois d'être composée d'Américains de souche à hauteur de 99,2% et d'être blanche à 93,7%, cette ville se distingue aujourd'hui par la plus grande diversité d'origine des enfants scolarisés à l'échelle de l'Etat (pour la période 2006-2007), puisqu'on y dénombre 64 nationalités parlant 44 langues. On y trouve notamment des hispanophones originaires d'au moins 14 pays différents. A partir de la théorie des réseaux sociaux, l'auteur examine comment ces réseaux se sont activés chez les immigrants latino-américains dans les nouvelles zones d'installation. Il présente un historique du processus de "latinisation", en citant notamment l'installation de populations latino-américaines diverses (originaires du Mexique, du Guatemala, d'El Salvador, du Honduras, de Cuba et d'Uruguay) à Harrisonburg et dans la vallée centrale Shenandoah entourant cette ville. L'auteur montre comment un certain nombre d'institutions clés, et notamment les industries agricoles locales (pommeraies et élevages de poulets), un bureau de réinstallation de réfugiés et des églises ont recruté des "pionniers" au sein de ces groupes d'immigrants, et comment ces "pionniers" ont par la suite poursuivi cette action de recrutement à l'aide de réseaux sociaux, créant ainsi de multiples "communautés affiliées" transnationales dans la région de Harrisonburg. L'étude examine aussi les implications politiques de ce processus historique. Virginia es uno de los estados sureños de los Estados Unidos, al igual que Carolina del Norte, Arkansas y Georgia, que ha experimentado un incremento repentino de la inmigración latina durante el último decenio. No sólo se trata de un incremento sin precedentes, si no que además los destinos son nuevos y localizados en zonas rurales. Estos lugares que no han albergado a poblaciones inmigrantes durante generaciones se están convirtiendo rápidamente en entornos multiculturales. La pequeña ciudad de Harrisonburg (con 43.500 habitantes según el censo de 2005), está localizada en el valle rural central de Shenadoah en Virginia, y es quizás el primer ejemplo de este nuevo patrón de cambio. Si bien la publicidad local promocionaba a Harrisonburg porque sus habitantes eran "99,2 por ciento nacidos en América y 93,7 por ciento blancos" hoy en día se destaca por albergar la población más diversa inscrita en los colegios públicos del Estado (entre 2006 y 2007), con estudiantes provenientes de 64 países que hablan 44 idiomas. Entre ellos están estudiantes de habla hispana provenientes de por lo menos 14 países distintos. Sobre la base de la teoría de redes sociales, este artículo examina redes sociales entre los inmigrantes latinos que se activan en nuevas zonas de asentamiento. Se presenta un estudio por caso de un proceso histórico de "latinización" que implica el asentamiento de toda una variedad de poblaciones latinas de "México, Guatemala, El Salvador, Honduras, Cuba y Uruguay" en Harrisonburg y el valle central aledaño de Shenandoah. El estudio demuestra cómo una serie de instituciones clave,- incluidas las industrias agrícolas locales (manzanos y avicultura), una oficina de reasentamiento de refugiados y las iglesias - reclutaron a los "pioneros" de estos grupos de inmigrantes en la región y cómo esos "pioneros" entablaron ulteriormente el reclutamiento a nivel de su red social, creando "comunidades hermanas" transnacionales y múltiples en la región de Harrisonburg. También se examinan las repercusiones políticas de este proceso histórico. [source] Indications of higher diversity and abundance of small rodents in human-influenced Sudanian savannah than in the Niokolo Koba National Park (Senegal)AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 3 2010Adam Kone Abstract Expansion of human activities in the Sudanian savannah is changing natural habitats together with their animal communities. The abundance and diversity of small mammal communities were investigated in human-influenced savannahs in close proximity to Niokolo Koba National Park (NKNP) in south-eastern Senegal and compared with those from NKNP. Two localities were sampled in natural and two in human-influenced areas during two dry and two rainy seasons. Total sampling effort was 5400 trap-nights. Ninety-eight individuals of eleven species were captured outside NKNP, while only 28 individuals of five rodent species were caught inside the park (all of which were found also outside NKNP). The most abundant species outside NKNP was Mastomys erythroleucus, while inside NKNP it was Praomys daltoni. Both relative abundance and diversity were significantly higher in human-influenced landscape than in natural savannahs of NKNP. The difference in species richness may be linked with lower population densities of certain species in NKNP and the effect of traditional agriculture, which may support the presence of species typical for deforested landscape. Furthermore, food availability, and predator abundances are discussed as possible reasons for the higher rodent abundances outside NKNP. Résumé L'expansion des activités humaines dans la savane soudanienne est en train de modifier des habitats naturels et, avec eux, les communautés animales. L'abondance et la diversité de communautés de petits mammifères ont étéétudiées dans des savanes soumises à l'influence humaine à proximité immédiate du Parc national de Niokolo Koba (PNNK), au sud-est du Sénégal, et elles ont été comparées à celles du PNNK. On a prélevé des échantillons dans deux endroits situés dans des zones naturelles et dans deux autres influencés par les hommes, pendant deux saisons sèches et deux saisons des pluies. L'effort total d'échantillonnage représentait 5400 nuits de piégeage. On a capturé 98 individus appartenant à eleven espèces en dehors du PNNK alors que, dans le parc, on n'a capturé que 28 individus appartenant à cinq espèces de rongeurs (et dont toutes se retrouvent aussi à l'extérieur du PNNK). L'espèce la plus abondante en dehors du parc était Mastomys erythroleucus alors que, dans le PNNK, c'était Praomys daltoni. L'abondance relative et la diversitéétaient significativement plus grandes dans le paysage sous influence humaine que dans les savanes naturelles du PNNK. La différence de la richesse en espèces est peut-être liée à la plus faible densité de population de certaines espèces dans le PNNK et à l'effet de l'agriculture traditionnelle qui peut favoriser la présence d'espèces typiques de paysages où la forêt a été coupée. De plus, on discute de la disponibilité en nourriture et de l'abondance de prédateurs qui pourraient être des raisons de la plus grande abondance de rongeurs en dehors du PNNK. [source] A test for geographers: the geography of educational achievement in Toronto and Hamilton, 1997THE CANADIAN GEOGRAPHER/LE GEOGRAPHE CANADIEN, Issue 3 2000RICHARD HARRIS The recent introduction of standardised achievement tests in several provinces has created an opportunity for Canadian geographers to contribute to public and theoretical debates. Geographers are well-equipped to comprehend and analyse the effects that neighbourhoods have upon pupil achievement. Independent of family background and school funding, such effects may be stronger in education than in other fields, such as voting behaviour and health research, but they have been ignored in recent public debates. They should be considered if informed judgements are to be made about whether specific teachers, schools, and boards are doing an adequate job. Analysis of the Ontario Grade 3 test results for 1997 in public schools in the City of Toronto and in Hamilton-Wentworth indicate that social class had a greater effect on pupil achievement than language background. Differences in the determinants of achievement between these two urban centres may be attributable to local variations in occupational structure and residential patterns. L'introduction récente en éducation des tests de compêtences standardisés, dans plusieurs provinces, offre aux géographes canadiens l'occasion de contribuer aux débats publics et théoriques. Les géographes sont bien placés pour comprendre et analyser les effets de quartier sur le rendement scolaire des élèves. Indépendamment du milieu socioculturel et du financement scolaire, ces effets ont peut être plus d'impact en éducation que dans les domaines tels que le comportement électoral et la recherche dans le milieu de la santé, cependant, ils demeurent à l'écart des débats publics. Ces éléments doivent être considérés si l'on prétend juger en connaissance de cause l'efficacité et le rendement des écoles, le corps enseignant et les conseils scolaires. L'analyse des résultats d'examens de l'Ontario en 1997, pour les élèves des écoles publiques de la troisième année des villes de Toronto et Hamilton-Wentworth, démontre que la réussite scolaire est plus liée au niveau socio-économique qu'à l'origine linguistique. La divergence des facteurs de réussites des deux centres urbains est peut-être attribuable aux variations des structures d'occupation locales et résidentielles. [source] Building a house society: the reorganization of Maori communities around meeting housesTHE JOURNAL OF THE ROYAL ANTHROPOLOGICAL INSTITUTE, Issue 2 2010Jeffrey Sissons In this article I seek to re-conceptualize New Zealand Maori society as a house society and describe the way in which meeting houses participated in the transformation of this society during the period 1880-1950. After noting some central confusions in the anthropological literature on Maori descent groups, I consider the value of Lévi-Strauss's notion of the ,house' for understanding Maori social organization. Then, drawing upon the results of my fieldwork in one Maori community and published surveys of meeting house construction more generally, I describe a process through which Maori society became progressively more house-based. I conclude by noting that the centrality of the house as an ideological form in Maori society assumes an association between hosting and social worth, an association that may well be fundamental to house societies in general. Résumé L'auteur cherche ici à reconceptualiser la société maorie de Nouvelle-Zélande comme une sociétéà maisons et à décrire la manière dont les maisons de réunion ont participéà la transformation de cette société dans la période comprise entre 1880 et 1950. Après avoir relevé quelques confusions importantes sur les groupes de descendance maoris dans la littérature anthropologique, il examine la valeur de la notion de « maison » selon Lévi-Strauss pour la compréhension de l'organisation sociale des Maoris. Il décrit ensuite, à partir des résultats d'un travail de terrain dans une communauté maorie et d'études publiées sur la construction de maisons de réunion en général, un processus au fil duquel la société maorie s'est progressivement attachée davantage à ces maisons. Pour finir, il note que le rôle central de la maison comme forme idéologique dans la société maorie suppose une association entre hébergement et valeur sociale, association qui est peut-être fondamentale dans les sociétés à maisons en général. [source] Active conscience or administrative vanguard?: The Commissioner of Official Languages as an agent of changeCANADIAN PUBLIC ADMINISTRATION/ADMINISTRATION PUBLIQUE DU CANADA, Issue 2 2006C. Michael MacMillan Its ombudsman component is enhanced by extensive powers of independent action, which make it an important instrument for holding governmental institutions accountable. Developments in federal language policy since 1980 have given far greater importance to its policy advocacy role, which has been vigorously exercised in legal interventions. Its role as linguistic auditor general is perhaps overstated and may more accurately be described as an enhancement of the ombudsman role. Its significant policy advocacy role poses issues regarding the significance of federalism in regard to language matters. Increasingly the commission conducts its activities at the intersection point of constitutional jurisdictions and must navigate around them. In addressing this ongoing challenge, the Commissioner of Official Languages operates in the vanguard of public officials on the national unity front. Sommaire: Le poste de Commissaire aux langues officielles en tant que haut fonctionnaire du Parlement est une institution unique qui intègre de multiples rôles. Son rôle de médiateur comporte de vastes pouvoirs d'action indépendante, qui en font un instrument important en ce qui concerne l'imputabilité des institutions gouverne-mentales. Les nouveautés dans la politique linguistique fédérate depuis 1980 ont accordé une importance beaucoup plus grande à son rôle de défenseur de politiques vigoureusement exercé dans certaines interventions judiciaires. Son rôle de Vérificateur général linguistique est peut-être exagéré et pourrait être plus correctement décrit comme un rôle amélioré de protecteur du citoyen. Son rôle considerable de défenseur de politiques pose des problèmes concernant l'importance du fédéralisme face aux questions linguistiques. La Commission exerce de plus en plus ses activités au point d'intersection de juridictions constitutionnelles et doit en tenir compte. Face à ces défis permanents, le Commissaire aux langues officielles agit à l'avant-garde des agents publics sur le front de l'unité nationale. [source] Recruitment, selection and promotion of visible-minority and aboriginal police officers in selected Canadian police servicesCANADIAN PUBLIC ADMINISTRATION/ADMINISTRATION PUBLIQUE DU CANADA, Issue 1 2000Harish C. Jain As many commissions and inquiries on race relations issues in policing have reported, this lack of representation may be a factor that is hindering the effectiveness of police work in major urban centres across Canada. Hence, many commentators have called for increased representation of visible minorities and aboriginal people in the police services through effective recruitment, selection and promotion strategies. In this article, through the use of both quantitative and qualitative research methodologies, the authors identify and assess the various staffing and promotional policies and practices of thirteen police services across Canada. Results suggest that there has been some progress in the representation of visible minorities and aboriginal people in policing over the fifteen-year period of this study. However there is still room for considerable improvement in the policies, practices and culture of police services if they are to become more representative of the diversity of the communities they serve. Sommaire: La composition démographique des corps de police canadiens dans les grandes villes ne reflète généralement pas la diversité des communautés desservies, particulièrement en ce qui concerne la représentation des minorités visibles et des Autochtones. Tel que signalé par de nombreuses commissions et enquêtes sur les questions de relations inter-raciales se rapportant à la police, ce manque de représentation est peut-être un facteur qui nuit à l'efficacité du travail de la police dans les grands centres urbains du Canada. De nombreux observateurs ont donc préconisé une plus forte représentation des minorités visibles et des Autochtones au sein des corps de police grâce à de bonnes stratégies de recrutement, de sélection et de promotion. En suivant une méthodologie de recherche à la fois quantitative et qualitative, nous identifions et évaluons dans cet article les diverses politiques et pratiques de dotation et de promotion de treize corps policiers à travers le Canada. D'après les résultats, la représentation des minorités visibles et des Autochtones dans les corps de police aurait connu un certain progrès au cows des quinze années étudiées. Cependant, il reste encore du chemin à faire en ce qui concerne les politiques, les pratiques et la culture des corps de police pour mieux représenter la diversité des communautés qu'ils desservent. [source] |