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Erythemal Response (erythemal + response)
Selected AbstractsRelationship between UVA protection and skin response to UV light: proposal for labelling UVA protectionINTERNATIONAL JOURNAL OF COSMETIC SCIENCE, Issue 4 2004M. Jean-Louis Refrégier Synopsis Definition and validation of a most relevant method to assess ultravoilet A (UVA) protection is a major concern for industry, authorities and consumers. However, due to the lack of knowledge about all the biological phenomena involved, the level of UVA protection needed, the ways to assess and label it, remain controversial. In order to overcome this situation, the paper deals with the outcomes of a mathematical model to calculate the distribution between ultravoilet B (UVB) and UVA components of skin responses to UV light. Mathematical calculations of UVB and UVA erythemal components of skin response to sunlight are developed from the well-known determination procedure to calculate the sunburn protection factor (SPF) of sunscreens. The model establishes the relationship between the UVA component of skin erythemal response to overall UV radiation received from sunlight and the ratio SPF/PFAe (erythemal protection factor) where SPF is the product and PFAe is related to the UVA part of the sunlight. Depending on the efficacy profile of sunscreens, the skin erythemal response may be mainly promoted by UVB rays as it normally occurs in unprotected skin or on contrary by UVA rays. Therefore, the efficacy profile of sunscreens defines the deepness where biological events induced by sunlight take place. This new relationship pinpoints the tremendous importance of the protection afforded by sunscreen products in the UVA range when erythema is taken as biological response. By extrapolation of the model to any other biological skin response it becomes possible to predict how to improve the efficiency of sunscreen products in the future. UVA protection afforded by sunscreens should be improved until reaching the same level as the SPF protection factor so that all UV-induced biological responses could be prevented or lowered at the same extend. To enforce this improvement, a proposal to classify sunscreen products in relation with their UVA protection is made. Résumé Bien que les méfaits du rayonnement UVA soient à présent reconnus et l'importance de s'en protéger au même titre que ceux du rayonnement UVB totalement admise, l'obtention d'un consensus au niveau international, sur les méthodes pour mesurer l'efficacité des produits solaires vis-à-vis des UVA et sur les niveaux d'efficacité souhaitables, semble impossible à atteindre. Afin de tenter de surmonter les obstacles actuels, nous présentons un modèle mathématique qui permet d'établir la relation qui dèfinit le poids relatif des rayonnements UVB et UVA dans l'initiation des phénomènes biologiques engendrés par le rayonnement solaire, en fonction des caractéristiques du produit solaire utilisé et en particulier de son efficacité protectrice vis-à-vis des UVA. Dans le cas de l'érythème nous établissons ainsi que la proportion des effets engendrés par le rayonnement UVA est définie par le rapport SPF/PFAe: le SPF étant le facteur de protection contre l'érythème vis-à-vis de l,ensemble du rayonnement UV, c'est l'indice de protection affiché sur les produits; et, PFAe étant le facteur de protection du produit vis-à-vis du seul rayonnement UVA. L'extrapolation possible de ce modèle à l'ensemble des phénomènes biologiques met en évidence que le facteur de proportionnalité entre la protection globale et celle apportée vis-à-vis des UVA (SPF/PFAe) permet d'établir une classification de la qualité des systèmes filtrants en fonction de leur aptitude à prèvenir l'ensemble des méfaits du rayonnement solaire. Ce modèle démontre l'importance d'évaluer l,efficacité protectrice des produits solaires vis-à-vis du rayonnement UVA et son enseignement plus pertinent que celle de seulement évaluer l'allure des spectres d'absorption. Nous jugeons que l'application directe de ce modèle, au même titre que les méthodes d'évaluation de l,allure des spectres d'absorption, n'est aujourd'hui pas souhaitable en raison des connaissances et donc de la validation insuffisantes des méthodes in vitro en particulier pour évaluer les produits non parfaitement photostables. En conséquence, nous proposons de mettre en place une qualification qui repose sur l'évaluation de la protection UVA par les mèthodes in vivo dûment étudiées et validées telles que les méthodes PPD ou PFA. La mise en place du système proposé de qualification des produits solaires, permettrait d'apporter rapidement aux consommateurs une meilleure information sur la qualité des produits et permettrait de créer une dynamique d'amélioration de la qualité de l'ensemble des produits commercialisés. [source] Xeroderma pigmentosum: the role of phototestingBRITISH JOURNAL OF DERMATOLOGY, Issue 3 2000N. Stone We report three patients newly diagnosed as having xeroderma pigmentosum (XP). Previous photobiological studies have implicated ultraviolet (UV) B as the activating waveband in XP, causing a delayed and prolonged erythemal response. This characteristic reaction pattern has been used as a quick screening test in patients suspected of having XP, while awaiting confirmatory DNA repair studies. Two of our patients showed no abnormal erythemal responses, and one showed severe photosensitivity from 330 to 400 nm but normal UVB responses, with a peak erythema at 24 h. We conclude that the erythemal responses in XP are highly variable and cannot be considered as a reliable screening test in the diagnosis of XP. [source] |