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Du Sud (du + sud)
Kinds of Du Sud Selected AbstractsFirst records of soilborne Phytophthora species in Swedish oak forestsFOREST PATHOLOGY, Issue 3 2003U. Jönsson Summary Thirty-two oak stands in southern Sweden, 27 with predominantly declining trees and five with a higher proportion of healthy trees were investigated regarding the presence of soilborne Phytophthora species. Phytophthora quercina, an oak-specific fine root pathogen, was isolated from rhizosphere soil samples in 10 of the 27 declining stands. Additionally, P. cactorum and P. cambivora were recovered from one stand each. No Phytophthora species were isolated from the healthy oak stands. The soil conditions at the sites from which Phytophthora spp. were recovered ranged from mesic sediments to moraines, with clayey to silty textures and with soil pH (BaCl2) between 3.5 and 5.0. The results show that P. quercina is geographically widespread in oak stands in southern Sweden and indicate that this pathogen may be one of the factors involved in oak decline in Northern Europe as has already been shown for western, Central and parts of southern Europe. Zusammenfassung In Südschweden wurden 27 erkrankte und 5 gesunde Eichenbestände auf das Vorkommen bodenbürtiger Phytophthora, Arten untersucht. Dabei wurde P. quercina, ein für Eichen spezifisches Feinwurzelpathogen, aus Rhizosphären , Proben von 10 der 27 erkrankten Bestände isoliert. Zusätzlich wurden P. cactorum und P. cambivora in jeweils einem erkrankten Bestand gefunden. Im Gegensatz dazu konnte in den gesunden Beständen keine Phytophthora, Art nachgewiesen werden. Die Bodenverhältnisse der Bestände, in denen Phytophthora spp. gefunden wurden, reichten von frischen bis feuchten Böden aus Sedimenten und Moränen mit schluffiger bis toniger Textur und pH , Werten (BaCl2) zwischen 3.5 und 5.0. Die weite Verbreitung von P. quercina in erkrankten Eichenbeständen in Südschweden spricht dafür, dass das Pathogen im Krankheitskomplex des Eichensterbens in Nordeuropa eine Rolle spielt, wie dies bereits für Mittel- und Westeuropa sowie Teile Südeuropas gezeigt worden ist. Résumé La présence d'espèces de Phytophthora telluriques a été recherchée dans trente-deux chênaies du sud de la Suède, 27 à dominance d'arbres dépérissants et 5 avec une plus forte proportion d'arbres sains. P. quercina, pathogène des racines fines et spécifique des chênes, a été isolé dans 10 des 27 échantillons de sol, prélevés dans la rhizosphère, des peuplements dépérissants. P. cactorum et P. cambivora ont également été isolés, chacun dans un de ces peuplements. Aucune espèce de Phytophthora n'a été isolée des peuplements sains. Les conditions édaphiques des sites d'où ont été isolés des Phytophthora spp. varient de sédiments mésiques à des moraines, avec des textures argileuses à limoneuses et un pH (BaCl2) compris entre 3.5 et 5.0. Ces résultats montrent que P. quercina présente une large répartition géographique dans les chênaies du sud de la Suède et indiquent que ce pathogène pourrait être l'un des facteurs impliqués dans les dépérissements de chênes du Nord de l'Europe, comme il a déjàété montré pour l'Europe Centrale, de l'Ouest et certaines zones de l'Europe du Sud. [source] Conflict, Collaboration and Climate Change: Participatory Democracy and Urban Environmental Struggles in Durban, South AfricaINTERNATIONAL JOURNAL OF URBAN AND REGIONAL RESEARCH, Issue 3 2010ALEX AYLETTArticle first published online: 28 JUN 2010 The South Durban Basin on the eastern coast of South Africa is home to both a large-scale petrochemical industry and a highly mobilized residential community. In a conflict cemented by apartheid-era planning, the community's campaigns to improve local air quality provide a test case for the value of conflict for participatory democratic structures. In the context of the work of the International Panel on Climate Change (IPCC), the South Durban Basin also provides an opportunity to push the boundaries of the established links between participation and the design and implementation of responses to a changing climate. Contributing to one of the main themes of the symposium, this article argues that the focus on collaboration and compromise within studies of governance and participation overlooks both the reality of conflict and its potentially positive effects. Addressing this requires particular attention to how power relationships influence processes of governance, and the role of civil society in balancing the influence of the private sector on the state. It also calls for a better understanding of conflict and collaboration as mutually re-enforcing elements of an ongoing and dynamic political process. Together, the elements of this critique help to build a more nuanced view of participatory urban governance: one that both better describes and may better facilitate the ability of urban populations to collectively, effectively and rapidly respond to the challenges of a changing climate. Résumé Le bassin Sud de Durban, situé sur la côte Est de l'Afrique du Sud, abrite à la fois un vaste secteur pétrochimique et une communauté résidentielle particulièrement mobilisée. Dans une lutte cimentée par un urbanisme datant de l'apartheid, les campagnes communautaires pour améliorer la qualité de l'air local testent la valeur de la lutte en faveur de structures démocratiques participatives. De plus, dans le cadre des travaux du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), le bassin Sud de Durban offre une occasion de repousser les limites des liens établis entre la participation, d'une part, et l'élaboration et la mise en ,uvre de réponses au changement climatique, d'autre part. Contribuant à l'un des principaux thèmes du symposium, cet article montre que, compte tenu de leur focalisation sur la collaboration et le compromis, les études sur la gouvernance et la participation négligent la réalité de la lutte autant que ses effets positifs potentiels. Pour ce faire, il examine comment les relations de pouvoir modulent les processus de gouvernance ainsi que le rôle de la société civile visant àéquilibrer l'influence du secteur privé sur l'État. Il convient également de mieux appréhender lutte et collaboration comme des composantes qui se nourrissent mutuellement dans un processus politique permanent et dynamique. Les éléments de cette analyse critique, une fois réunis, aident àélaborer une vision plus nuancée de la gouvernance urbaine participative. Cette vision offre une meilleure description et peut faciliter l'aptitude des populations urbaines à réagir de façon collective, efficace et rapide aux défis du changement climatique. [source] The Interface of Globalization and Peripheral Land in the Cities of the South: Implications for Urban Governance and Local Economic DevelopmentINTERNATIONAL JOURNAL OF URBAN AND REGIONAL RESEARCH, Issue 2 2007RAMIN KEIVANI Abstract This essay examines the impact of globalization on land peripheral to large cities of the south. It identifies such land as providing major arenas for contested claims between the requirements of international firms and those of local inhabitants and businesses, entailing both threats and opportunities in terms of local economic development. Much depends on the urban governance and institutional processes surrounding the use and allocation of land that are themselves directly influenced by the globalization process. In many cities national, state or provincial governments have set up special parastatal organizations with substantial funding and significant decision-making powers over infrastructure development and land use to facilitate the rebirth of their cities as havens for international investment. In the process local municipalities and the local population are often excluded from the decision-making process, while being left to cope with the aftermath and maintenance of the grand projects. The essay identifies weaknesses in elite governance models usually centred at the state or national levels, and asks if a better alternative may be a local government-led ,inclusive leadership' model capable of clear leadership, greater coordination of different governance layers and inclusion of local actors. Résumé Cet essai étudie l'impact de la mondialisation sur les terrains situés à la périphérie des grandes villes du Sud. Il identifie ces terrains comme des scènes majeures de contradiction entre les besoins des multinationales et les revendications des entreprises et habitants locaux, ce qui créent à la fois menaces et opportunités en termes d'expansion économique locale. Le résultat dépend largement des processus institutionnels et de gouvernance urbaine qui entourent l'utilisation et l'affectation des terrains, processus eux-mêmes directement influencés par la mondialisation. Dans de nombreuses villes, les organes de gouvernement nationaux, étatiques ou provinciaux ont créé des entités para-étatiques spécialisées, dotées de fonds et de pouvoirs décisionnels considérables en matière d'aménagement des infrastructures et d'occupation des sols, afin de réinstaurer leur ville en terre d'accueil de l'investissement international. Or, les municipalités et populations locales sont souvent exclues du processus de décision alors qu'on les laisse assumer les conséquences et la maintenance des grands projets. L'article repère les faiblesses des modèles de gouvernance par les élites, généralement centrés aux niveaux de l'Etat ou de la nation, et se demande si un modèle de ,leadership inclusif' sous la houlette du gouvernement ne serait pas une meilleure alternative, permettant un leadership clair, une meilleure coordination des différentes strates de gouvernance et l'intégration des acteurs locaux. [source] Vertical Social Differentiation in Athens: Alternative or Complement to Community Segregation?INTERNATIONAL JOURNAL OF URBAN AND REGIONAL RESEARCH, Issue 4 2001Thomas Maloutas Vertical social differentiation is presented in the recent literature as an important element of reduced segregation in South European cities, and the supporting evidence originates mainly from Athens. The authors of this article question the claim about the common form and function of vertical social differentiation across South Europe, as well as its opposition to community segregation, and try to reveal the specificity of the processes leading to its formation in Athens. Since the mid-1970s, the dominant process of urban growth in Athens has been middle-class suburbanization. This process has reinforced community segregation and, at the same time, has triggered a filtering-down process in wide areas around the CBD, formerly occupied by upper and mainly intermediate professional categories. Interclass vertical segregation has subsequently appeared in these areas, where intermediate professional categories and lower middle-class households are now predominant. The fact that these areas do not represent a real choice for any of their resident groups shows that this vertical cohabitation has been the unintended consequence of changing segregation patterns, and hardly the outcome or the corollary of a growing process of sociospatial homogenization. Dans les textes récents, la différenciation sociale verticale est présentée comme un facteur important dans la réduction de la ségrégation urbaine en Europe du Sud, les éléments probants provenant essentiellement d'Athènes. Cet article conteste l'idée que la différenciation sociale verticale ait une forme ou une fonction commune en Europe méridionale, et qu'elle entrave la ségrégation horizontale; de plus, il tente d'exposer la spécificité des processus qui conduisent à sa formation à Athènes. Depuis le milieu des années 1970, l'expansion urbaine de la capitale grecque se caractérise par l'implantation en banlieue des classes supérieurs et moyennes. Ce processus a renforcé la ségrégation dans les quartiers et, parallèlement, a déclenché un processus de filtrage vers le bas dans de vastes zones entourant l'hypercentre, précédemment occupées par des catégories de professionnels libéraux supérieures et surtout moyennes. Une ségrégation verticale interclasse est ensuite apparue dans ces quartiers, des catégories de libéraux moyennes et des ménages de la petite bourgeoisie y prédominant désormais. Or, quel que soit le groupe de résidents, ces zones ne représentent pas un choix réel; cette cohabitation verticale est donc bien la conséquence imprévue de la modification des schémas de ségrégation, plutôt que le résultat ou le corollaire d'une homogénéisation socio-spatiale accentuée. [source] Using the Lee,Carter Method to Forecast Mortality for Populations with Limited Data,INTERNATIONAL STATISTICAL REVIEW, Issue 1 2004Nan Li Summary The Lee,Carter method for modeling and forecasting mortality has been shown to work quite well given long time series of data. Here we consider how it can be used when there are few observations at uneven intervals. Assuming that the underlying model is correct and that the mortality index follows a random walk with drift, we find the method can be used with sparse data. The central forecast depends mainly on the first and last observation, and so can be generated with just two observations, preferably not too close in time. With three data points, uncertainty can also be estimated, although such estimates of uncertainty are themselves highly uncertain and improve with additional observations. We apply the methods to China and South Korea, which have 3 and 20 data points, respectively, at uneven intervals. Résumé La méthode Lee,Carter de modélisation et de prévision de la mortalité a prouvé son bon fonctionnement avec des séries de données existant sur une longue période. Nous envisageons ici son utilisation lorsqu'on ne dispose que de quelques observations à intervalles irréguliers. En supposant que le modèle sous-jacent est correct et que l'indice de mortalité suit une marche aléatoire avec dérive, nous trouvons que cette méthode peut êetre utilisée avec des données éparses. La prévision centrale dépend alors principalement de la première et de la dernière observation. Elle peut donc êetre générée à partir de deux observations seulement, de préférence pas trop proches dans le temps. Avec trois points, on peut aussi estimer l'aléa, bienqu'un tel estimateur de l'aléa soit lui-mêeme très aléatoire. Il s'améliore cependant lorsqu'on dispose d'observations supplémentaires. Nous appliquons notre méthode àla Chine et à la Corée du Sud, pour lesquelles nous avons respectivement 3 et 20 points àintervalles irréguliers. [source] The effect of introducing pipelines into irrigation water distribution systems on the farm economy: a case study in the Southern Governorates Rural Development Project, Republic of Yemen,IRRIGATION AND DRAINAGE, Issue 1 2001Rozgar Baban le Yémen; eau souterraine; irrigation; tuyaux Abstract The Southern Governorates Rural Development Project (SGRDP) is a comprehensive participatory rural development project covering three of the five southern Governorates of the Republic of Yemen, namely Hadramaut, Abyan and Lahij. Its objective is to alleviate poverty in rural areas of these three Governorates. A major component of the project is to develop virgin lands for agriculture and allocate each 5 feddan (FD) plot to those farmers who do not own land (1 FD=4200 m2). As the annual rainfall in the project area is less than 100 mm and since landlords and other farmers already own lands suitable for agriculture in the major wadis, the only source of irrigation water in the newly developed land is the groundwater (GW). The SGRDP is aware of the scarcity of water resources in the country, particularly in the project area; it therefore makes every possible effort to optimize the use of GW for irrigation by practical means. One way of reducing GW used for irrigation is by replacing major canals in the farms by buried pipelines. This method has been tried in small-scale individual farms outside the project area and it proved that farmers could adapt to the system without difficulty. Sprinkler and drip irrigation systems have been tried in many previous agricultural development projects in the country but with no apparent success, as far as the farmers' adoption of the method is concerned. Thus, the project, as the first stage to reduce the use of GW for irrigation in the newly developed areas, planned to eliminate, initially, the conveyance losses by replacing the open canals by buried PVC pipes. In this paper, it is attempted to show that the use of buried pipes in small scale irrigation schemes is financially feasible, even if the indirect and non-tangible environmental benefits are not considered. This paper deals only with special GW schemes recommended for the project area; however, the outcome could be generalized and applied elsewhere in the country. Copyright © 2001 John Wiley & Sons Ltd. Le Projet de Développement Rural des Gouvernorats du Sud (SGRDP) est un ensemble de projet de développement rural participatif de trois des cinq Gouvernorats de la République de Yémen à savoir Hadramaut, Abyan et Lahij. Son objectif est d'atténuer la pauvreté dans les régions rurales de ces Gouvernorats. L'une des principales activités de ce projet concerne le développement des terres incultes pour l'agriculture. Ce développement passe par l'allocation de parcelles de 5 FD à chaque agriculteur sans terre. Comme la pluviosité annuelle dans cette région est inférieure à 100 mm et que les propriétaires et les autres fermiers disposent déjà des terres aptes à l'agriculture dans les WADIS importants, l'eau souterraine est la seule source d'eau pour l'irrigation des terres nouvellement développées. Compte tenu de la rareté des ressources en eau, particulièrement dans la région du projet, le SGRDP s'efforce d'optimiser l'utilisation de l'eau souterraine (ES) pour l'irrigation en adoptant des moyens pratiques. L'un des moyens de réduire l'ES utilisée en irrigation consiste à remplacer les principaux canaux des fleuves par des tuyaux enterrés. Cette méthode a été utilisée à titre d'essai dans des exploitations individuelles de petite taille en dehors de la région du projet, et il s'est avéré que les agriculteurs peuvent s'adapter à ce système sans difficultés. Les systèmes d'irrigation par aspersion et goutte à goutte ont été essayés dans de nombreux anciens projets de développement agricoles du pays, mais sans succès apparent quant à l'adoption de cette méthode par les fermiers. Ainsi, le projet, en tant que première stade de réduction de l'ES pour l'irrigation dans les régions nouvellement développées, a proposé d'éliminer au début les pertes par transport en remplaçant les canaux ouverts par des tuyaux PVC enterrés. Ce rapport essaie de montrer que l'utilisation des tuyaux enterrés dans les projets d'irrigation de petite taille, est faisable du point de vue économique même en faisant abstraction des avantages indirects et non tangibles provenant de l'environnement. Le rapport traite seulement des projets spéciaux de l'ES recommandés pour la région du projet. Cependant, les résultats peuvent être généralisés et appliqués aux autres régions du pays. Copyright © 2001 John Wiley & Sons Ltd. [source] Diversity and abundance of insect visitors to flowers of trees and shrubs in a South African savannahAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 3 2010Jonathan R. Mawdsley Abstract This study presents the results of a landscape-scale survey for insect floral visitors in the Skukuza Ranger District, Kruger National Park, South Africa. Floral visitors were sampled from flowering trees and shrubs along linear transects spanning the entire district. Six plant species were sampled in the late dry season (Acacia grandicornuta Gerstner, A. nigrescens Oliver, Cassia abbreviata Oliver, Combretum hereroense Schinz, Combretum zeyheri Sonder, Euclea divonorum Hiern), and eleven plant species were sampled during the rainy season (Acacia exuvialis Verdcourt, A. grandicornuta Gerstner, A. nilotica (L.) Willdenow, A. tortilis (Forsskal) Hayne, Dichrostachys cinerea Miquel, Flueggea virosa (Roxburgh) Baillon, Grewia bicolor Jussieu, G. flava De Candolle, G. flavescens Jussieu, G. monticola Sonder, and Peltophorum africanum Sonder). Coleoptera, Hymenoptera and Lepidoptera comprised the majority of floral visitors, while species of Blattodea, Diptera, Hemiptera and Neuroptera also occurred on flowers. Known or likely pollinators include bees (Hymenoptera: Apidae, Halictidae and Megachilidae) and scarab beetles (Coleoptera: Scarabaeidae). These plant species appear to have generalist pollination systems, with the exception of species of Grewia L., which appear to be pollinated primarily by bees. A provisional plant,pollinator food web is presented for the eleven species of trees and shrubs which flower during the rainy season. Résumé Cet article présente les résultats d'une étude, réalisée à l'échelle du paysage, des insectes qui visitent les fleurs dans le Skukuza Ranger District, dans le Parc National Kruger, en Afrique du Sud. Les insectes butineurs ont été prélevés dans des arbres et des arbustes en fleurs le long de transects linéaires qui traversent tout le district. On a échantillonné six espèces végétales en fin de saison sèche (Acacia grandicornuta Gerstner, A. nigrescens Oliver, Cassia abbreviata Oliver, Combretum hereroense Schinz, Combretum zeyheri Sonder et Euclea divonorum Hiern), et 11 pendant la saison des pluies (Acacia exuvialis Verdcourt, A. grandicornuta Gerstner, A. nilotica (L.) Willdenow, A. tortilis (Forsskal) Hayne, Dichrostachys cinerea Miquel, Flueggea virosa (Roxburgh) Baillon, Grewia bicolor Jussieu, G. flava De Candolle, G. flavescens Jussieu, G. monticola Sonder, et Peltophorum africanum Sonder). Coléoptères, hyménoptères et lépidoptères composaient la majorité des insectes qui visitaient les fleurs et l'on voyait aussi sur les fleurs des espèces de blattodées, de diptères, d'hémiptères et de neuroptères. Les pollinisateurs connus ou supposés incluent des abeilles (Hyménoptères : Apidés, Halictidés et Mégachilidés) et des scarabées (Coléoptères : Scarabéidés). Ces espèces végétales semblent avoir des systèmes de pollinisation généralistes, à l'exception d'espèces de Grewia L. qui semblent être fertilisés d'abord par les abeilles. Un réseau alimentaire provisoire plantes-pollinisateurs est présenté pour les 11 espèces d'arbres et d'arbustes qui fleurissent pendant la saison des pluies. [source] Preliminary investigations into a potential ant invader in Kruger National Park, South AfricaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 3 2010Hendrik Sithole Abstract The super-abundance of Lepisiota incisa (Forel) in settlement areas of Kruger National Park, South Africa has raised concerns that it might be exotic and could negatively impact on natural ecosystems. We documented the current distribution of this ant species around the main settlement in Kruger, assessed how ant diversity varies across habitats, and investigated potential mechanisms facilitating dominance by L. incisa. Around the main camp of Skukuza, pitfall traps were set in five habitats differing in anthropogenic influence. Baiting trails were conducted to determine whether L. incisa and native ants differed in numerical and behavioural dominance. Aggression assays were performed on L. incisa to provide information on colony structure. Although L. incisa was found in all habitats, it had a significantly higher abundance in gardens and appears confined to human-disturbed areas. It was numerically dominant recruiting more workers to food baits than all other ant species combined. Aggression levels were low between most nests of L. incisa indicating a potential supercolony structure. More information is urgently needed on the genetics, physiology and origins of L. incisa, and monitoring of its current distribution is recommended. This species warrants attention because there may be significant potential for overseas invasion. Résumé La surabondance de Lepisiota incisa (Forel) dans des zones d'installations du Parc National Kruger, en Afrique du Sud, a suscité des inquiétudes quant au fait que cette espèce pourrait être exotique et avoir un impact négatif sur des écosystèmes naturels. Nous avons documenté la distribution actuelle de cette espèce de fourmi autour de la principale installation dans le Kruger, évalué comment la diversité des fourmis varie selon les habitats et étudié les mécanismes éventuels qui pourraient faciliter la dominance de L. incisa. On a installé des pièges autour du camp principal de Skukuza, dans cinq habitats où l'influence anthropogénique diffère. On a réalisé des pistes appâts pour déterminer si L. incisa et les fourmis indigènes différaient en matière de dominance numérique et comportementale. Nous avons fait des essais d'agression sur L. incisa pour donner des informations sur la structure de la colonie. Bien que l'on ait trouvéL. incisa dans tous les habitats, elle était beaucoup plus abondante dans les jardins et elle semble se confiner aux endroits perturbés par les hommes. Elle était numériquement dominante, recrutant plus d'ouvrières pour les appâts que toutes les autres espèces mises ensemble. Le niveau d'agression entre la plupart des nids de L. incisaétait bas, ce qui indique peut-être une structure de super-colonie. Il faut obtenir d'urgence d'autres informations sur la génétique, la physiologie et les origines de L. incisa et l'on recommande de faire le suivi de sa distribution actuelle. Cette espèce mérite l'attention parce qu'elle peut certainement être une espèce invasive outre-mer. [source] Spider family composition and species richness patterns in two savannah habitats along the eastern coastal plain of AfricaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 2 2010Charles R. Haddad Abstract The spider faunas of two savannah reserves along the eastern coastal plain of Africa are compared. Species richness was higher in the tropical area, with 493 species (54 families) from Mkomazi Game Reserve, Tanzania. Species richness was also high in the subtropics, with a total of 431 species (46 families) recorded from Ndumo Game Reserve, South Africa. Spider community structure was remarkably similar in the two reserves, with Salticidae, Gnaphosidae, Thomisidae, Theridiidae and Araneidae the most species-rich families in both reserves. Eleven of the fourteen most species rich families were the same. A similar proportion of families were represented by singleton and doubleton species. A genus- and species-level comparison of ten spider families indicates that while there is considerable overlap in the generic composition of the reserves (Sorensen's Quotient of similarity: all >0.650 except Linyphiidae, 0.166; Corinnidae, 0.500) there is little overlap between the species occurring in the two sites (0.000,0.571), which was particularly evident in the more species-rich families. A comparison of diversity of 57 families in each reserve with the spider biodiversity in the two sub-regions suggests that local biodiversity is largely determined by regional biogeographical influences rather than local ecological factors. Résumé On compare ici les araignées de deux réserves de savane situées le long de la plaine côtière de l'est de l'Afrique. La richesse en espèces était plus grande dans la région tropicale, avec 493 espèces (54 familles) dénombrées dans la Mkomazi Game Reserve, en Tanzanie. La richesse en espèces était aussi élevée dans la région subtropicale, avec un total de 431 espèces (46 familles) rapportées dans la Ndumo Game Reserve, en Afrique du Sud. La structure de la communauté des araignées était remarquablement semblable dans les deux réserves, et les Salticidae, Gnaphosidae, Thomisidae, Theridiidae et les Araneidae étaient aux deux endroits les familles les plus riches en espèces. Onze des quatorze familles les plus riches en espèces étaient les mêmes. Une proportion semblable de familles n'étaient représentées que par des espèces singletons ou doubletons. Une comparaison de dix familles d'araignées au niveau du genre ou de l'espèce indique que, s'il existe un important chevauchement de la composition générique des deux réserves (quotient de similitude de Sorensen : tous > 0,650 à l'exception des Linyphiidae, 0,166, et des Corinnidae, 0,500), il y a peu de chevauchement entre les espèces qui vivent dans les deux sites (0,000,0,571), ce qui était particulièrement évident dans les familles les plus riches en espèces. Une comparaison de la diversité de 57 familles dans chaque réserve avec la biodiversité des araignées des deux sous-régions suggère que la biodiversité locale était largement déterminée par des influences biogéographiques régionales plutôt que par des facteurs écologiques locaux. [source] Seasonal variation in forages utilized by the African buffalo (Syncerus caffer) in the succulent thicket of South AfricaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 2 2010Thulani Tshabalala Abstract The succulent thicket of the Eastern Cape, South Africa, is characterized by densely wooded vegetation that is dominated by succulents with little understory of ephemeral and weakly perennial grasses and forbs. Studies have developed around the question: how do bulk grazers such as the African buffalo (Syncerus caffer) survive in the succulent thicket? In this study, the diet of the African buffalo at the Great Fish River Reserve (GFRR) was studied in two seasons (wet and dry). The diet profile was assessed from faecal matter, using the micro-histological analysis method. During the wet season, grass species contributed 72% to the diet while 28% was contributed by browse species. In the dry season there was a significant increase in the intake of browse by 5% (,2 = 19.94, df = 11, P < 0.05). There were species that were neglected in the wet season but became principal dietary items in the dry season, these included Setaria neglecta, Cymbopogon plurinodis, Capparis sepiaria and Portulacaria afra. Diet quality, as estimated from faecal samples, suggested that the buffalo were nutritionally stable; however, the presence of sarcoptic mange in the buffalo suggests nutritional stress. Résumé Le fourré de plantes succulentes de l'Eastern Cape, en Afrique du Sud, se caractérise par une végétation boisée dense dominée par des succulentes avec un peu de sous-bois d'herbes éphémères ou faiblement pérennes. Des études se sont développées au départ de cette question: comment des gros ruminants comme le buffle (Syncerus caffer) peuvent-ils survivre dans le fourré de succulentes ? Dans cette étude, nous avons étudié pendant deux saisons (des pluies et sèche) le régime alimentaire du buffle de la Great Fish River Reserve (GFRR). On a évalué le profil du régime à partir de la matière fécale, en utilisant la méthode de l'analyse micro-histologique. Pendant la saison des pluies, les monocotylédones composaient 72% du régime et les 28% restants étaient composés d'espèces de brout. En saison sèche, il y avait une augmentation significative (5%) des espèces de brout (X²= 19,94, d.f = 11, P < 0,05). Il y avait des espèces qui étaient négligées en saison des pluies mais qui devenaient des éléments principaux du régime en saison sèche. Parmi ceux-ci, citons Setaria neglecta, Cymbopogon plurinodis, Capparis sepiaria et Portulacaria afra. La qualité du régime alimentaire, estimée d'après les matières fécales, suggère que les buffles sont stables au point de vue nutritionnel; toutefois, la présence de gale sarcoptique chez les buffles suggère un stress alimentaire. [source] Spiders as potential indicators of elephant-induced habitat changes in endemic sand forest, Maputaland, South AfricaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 2 2010Charles R. Haddad Abstract Elephant impacts on spider assemblages, and the potential use of spiders as indicators of habitat changes was assessed in central Maputaland, South Africa. Three habitats, namely undisturbed sand forest, elephant disturbed sand forest and mixed woodland, were sampled. To ensure a thorough representation of all spider guilds, spiders were collected by tree beating, sweep netting, active searching, leaf litter sifting and pitfall traps. In total, 2808 individual spiders, representing 36 families, 144 determined genera and 251 species were collected. Spider abundance was highest in the undisturbed sand forest (n = 1129, S = 179), followed by elephant disturbed sand forest (n = 1006, S = 165) and mixed woodland (n = 673, S = 171). Assemblages of the two sand forests were more similar than to the mixed woodland assemblage. Active hunting species were indicators of the more open vegetation of elephant disturbed sand forest (six active hunters, no web-builders) and mixed woodland (ten active hunters, one web-builder), whereas web-builders are indicators of the dense, complex vegetation structure of undisturbed sand forest (six web-builders, three active hunters). Elephant-induced changes to the vegetation structure in this high diversity, high endemism region result in changes in the composition of spider assemblages, and may need to be mitigated by management intervention. Résumé L'impact des éléphants sur les assemblages d'araignées, et l'utilisation éventuelle des araignées comme indicateurs de changements des habitats, ont étéévalués dans le centre du Maputaland, en Afrique du Sud. Trois habitats ont étééchantillonnés, à savoir la forêt sableuse intacte, la forêt sableuse perturbée par des éléphants et la forêt mixte. Pour garantir une représentation complète de toutes les guildes d'araignées, on a récolté des araignées en frappant sur les arbres, en agitant des filets, en pratiquant une recherche active, en tamisant la litière de feuilles, et avec des pièges. Au total, on a récolté 2 808 araignées; représentant 36 familles, 144 genres déterminés et 251 espèces. L'abondance d'araignées était la plus grande dans la forêt sableuse non perturbée (n = 1129, S = 179), suivie par la forêt sableuse perturbée par les éléphants (n = 1006, S = 165), puis par la forêt mixte (n = 673, S = 171). Les assemblages des deux forêts sableuses étaient plus semblables entre eux qu'avec celui de la forêt mixte. Les espèces d'araignées qui chassent activement étaient des indicateurs de la végétation plus ouverte de la forêt perturbée par les éléphants (six chasseurs actifs, aucun constructeur de toile) et de la forêt mixte (dix chasseurs actifs, un constructeur de toile), alors que les constructeurs de toile étaient des indicateurs de la structure dense et complexe de la végétation de la forêt sableuse intacte (six constructeurs de toile, trois chasseurs actifs). Les éléphants induisaient des changements dans la structure de la végétation de cette région à la diversitéélevée et d'un fort endémisme, ce qui entraînait des modifications de la composition des assemblages d'araignées. Cela pourrait devoir être atténué par une intervention de la gestion. [source] Exploitation of Encephalartos transvenosus outside and inside Mphaphuli Cycads Nature Reserve, Limpopo Province, South AfricaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 1 2010A. M. Ravele Abstract This study has investigated the use and threats of Encephalartos transvenosus outside and inside Mphaphuli Cycads Nature Reserve, Limpopo Province, South Africa. Data were collected from 2005 to 2006 through social and ecological surveys. Semi-structured interviews were conducted with a total of 40 people per household, sampled from four selected villages around the reserve. E. transvenosus is used for medicinal purposes, decorations, cultural activities and as food. Youth and adult persons harvest E. transvenosus for income generation, while children and aged people mainly use it for subsistence purposes. The survival of E. transvenosus in the wild is uncertain due to various threats, such as illegal collection, habitat destruction, fire and grazing. Some conservation measures are also discussed. Résumé Cet article rapporte les recherches sur l'utilisation et les menaces sur E. transvenosus en dehors et à l'intérieur de la Mphaphuli Cycads Nature Reserve, dans la Province du Limpopo, en Afrique du Sud. Des données ont été récoltées de 2005 à 2006 via des enquêtes sociales et écologiques. Des interviews semi structurées ont été menées chez un total de 40 personnes, par ménage, pris au hasard dans quatre villages choisis autour de la réserve. E. transvenosus est utiliséà des fins médicinales, pour la décoration, des activités culturelles et l'alimentation. Jeunes et adultes récoltent E. transvenosus pour en tirer des revenus, tandis que les enfants et les vieilles personnes les utilisent beaucoup pour leur subsistance. La survie d'E. transvenosus dans la nature est incertaine en raison de diverses menaces telles que la récolte illégale, la destruction de l'habitat, les feux et le pâturage. Certaines mesures de conservation furent aussi discutées. [source] Contemporary and historical impacts of megaherbivores on the population structure of tree euphorbias in South African subtropical thicketAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 1 2010Richard M. Cowling Abstract African elephant and black rhinoceros , both megaherbivores , impact negatively on the abundance of succulent plants, including tree succulents, in South Africa's subtropical thicket. We sampled 35 sites in subtropical thicket to assess historical and contemporary impacts of African elephant and black rhinoceros on the population structure of three species of succulent tree euphorbia. Population age structures were highly variable and showed no species-specific effects. Almost half the sites had growing populations dominated by young individuals. Sites having contemporary impacts had significantly fewer individuals in the 30,75 years age range, but this effect declined with increasing terrain slope. Eighty-one percent of sites assumed to have been impacted by megaherbivores historically had individuals that predated rhino and elephant extirpation in the region. This and other population age structure data indicate that megaherbivores and tree euphorbias coexisted historically on terrain of low relief. However, in areas not subject to contemporary impacts, euphorbia populations are likely to be much higher now than historically, owing to population relaxation after the extirpation of megaherbivores in the mid 1800s. Given the sensitivity of tree euphorbias to megaherbivore impacts, managers should consider monitoring the population structure of these species in order to identify thresholds of potential concern regarding megaherbivore impacts. Résumé L'éléphant et le rhinocéros africains , deux méga-herbivores , ont un impact négatif sur l'abondance de plantes succulentes, y compris des arbres succulents, dans les fourrés subtropicaux d'Afrique du Sud. Nous avons prélevé des échantillons dans 35 fourrés subtropicaux afin d'évaluer les impacts anciens et actuels des éléphants et des rhinos noirs africains sur la structure de la population de trois espèces d'euphorbes arborescentes succulentes. Les structures d'âges des populations étaient très variables et ne présentaient aucun effet spécifique des espèces. Près de la moitié des sites contenaient des populations en croissance dominées par de jeunes individus. Les sites qui présentaient des impacts actuels comptaient significativement moins d'individus de la classe d'âge comprise entre 30 et 75 ans, mais cet effet diminuait lorsque la pente du terrain s'accentuait. Quatre-vingt-un pour cent des sites supposés avoir subi jadis l'impact des méga-herbivores contenaient des individus qui dataient d'avant l'élimination des rhinos et des éléphants. Ceci, tout comme d'autres données sur la structure d'âge des populations, indique que les méga-herbivores et les euphorbes arborescentes ont longtemps coexisté sur les terrains de faible relief. Cependant, dans les zones qui ne subissent aucun impact actuel, les populations d'euphorbes sont susceptibles d'être beaucoup plus hautes aujourd'hui que jadis, en raison de la libération induite par l'élimination des méga-herbivores au milieu des années 1800. Etant donné la sensibilité des euphorbes arborescentes face aux impacts des méga-herbivores, les gestionnaires devraient envisager le suivi continu de la structure de la population de ces espèces afin de déterminer les seuils d'alerte potentiels en ce qui concerne les impacts des méga-herbivores. [source] Effects of secondary tuber harvest on populations of devil's claw (Harpagophytum procumbens) in the Kalahari savannas of South AfricaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 1 2010Kristine M. Stewart Abstract Devil's claw (Harpagophytum procumbens) is an internationally traded species that is harvested for its secondary tubers. Root extracts are used to treat arthritis and other inflammatory diseases. This study examined population structure, density, growth, mortality, and seed and fruit production in harvested and unharvested populations in the Kalahari savannas of South Africa over 4 years. Plant density and population structure differed significantly between overgrazed and grass-dominated areas, suggesting that the differences may be due to competition for water and nutrients. Experimental removal of secondary tubers (harvest) was not a significant factor for mortality in any of the harvested size classes. Harvest also did not affect growth, although plants in the 3,4 cm size class grew more in both the harvested and unharvested populations. Fruit production was variable; fruits matured only after sufficient rains. Under the conditions of this study, the species appears to be resilient to harvest, with both harvested and unharvested plants surviving. After harvest, both groups recovered and grew (on average) at the same rate. Because of the spatially variable habitat and the plasticity of the plants themselves, a large number of plants over a wide area are required to better understand the species' life history. Résumé La griffe du diable Harpagophytum procumbens est une espèce qui est commercialisée à l'échelle internationale; on en récolte les tubercules poussant sur les racines secondaires. Les extraits de racines sont utilisés pour traiter l'arthrite et d'autres maladies inflammatoires. Cette étude examine la structure de sa population, sa densité, sa croissance, sa mortalité et sa production de semences et de fruits chez les populations récoltées ou non des savanes du Kalahari en Afrique du Sud, pendant quatre ans. La densité des plantes et la structure des populations différaient significativement entre les zones surpâturées et celles où les herbes dominaient, ce qui suggère que les différences pourraient être dues à la compétition pour l'eau et les nutriments. Le prélèvement expérimental des tubercules secondaires (récolte) n'était un facteur significatif de mortalité dans aucune des classes de taille récoltées. La récolte n'affectait pas non plus la croissance, même si les plants de la classe de taille des 3,4 cm croissaient plus chez les populations aussi bien récoltées que non récoltées. La production de fruits était variable; les fruits n'arrivaient à maturité qu'après des pluies suffisantes. Dans les conditions où fut réalisée cette étude, les espèces ont semblé résilientes à la récolte, les plants récoltés survivant aussi bien que ceux qui ne l'avaient pas été. Après la récolte, les deux groupes se rétablissaient et croissaient (en moyenne) au même rythme. Étant donné que l'habitat est très variable selon les endroits et vu la plasticité des plantes elles-mêmes, il faut étudier un grand nombre de plantes sur une grande superficie pour mieux comprendre l'histoire complète de cette espèce. [source] Performance of seedlings of the invasive alien tree Schinus molle L. under indigenous and alien host trees in semi-arid savannaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 1 2010Donald M. Iponga Abstract We assessed the importance of host trees in influencing invasion patterns of the alien tree Schinus molle L. (Anacardiaceae) in semi-arid savanna in South Africa. Recruitment of S. molle is dependent on trees in its invaded habitat, particularly Acacia tortilis Hayne. Another leguminous tree, the invasive alien mesquite (Prosopis sp.), has become common in the area recently, but S. molle rarely recruits under canopies of this species. Understanding of the association between these species is needed to predict invasion dynamics in the region. We conducted experiments to test whether: (i) seedling survival of S. molle is better beneath A. tortilis than beneath mesquite canopies; (ii) growth rates of S. molle seedlings are higher beneath A. tortilis than beneath mesquite. Results showed that growth and survival of S. molle did not differ significantly beneath the native A. tortilis and the alien Prosopis species. This suggests that microsites provided by canopies of mesquite are as good for S. molle establishment as those provided by the native acacia. Other factors, such as the failure of propagules to arrive beneath mesquite trees, must be sought to explain the lack of recruitment beneath mesquite. Résumé Nous avons évalué l'importance des arbres hôtes dans les facteurs qui influencent les schémas d'envahissement de l'arbre exotique Scinus molle L. (Anacardiaceae) dans une savane semi aride d'Afrique du Sud. Le recrutement de S. molle dépend des arbres de l'habitat qu'il envahit, et particulièrement de l'Acacia tortilis Hayne. Un autre arbre de la famille des légumineuses, l'envahissant « mesquite » (Prosopis sp.), est devenu commun dernièrement dans la région, mais S. molle recrute rarement sous la canopée de cette espèce. Il est nécessaire de bien comprendre l'association entre ces espèces pour prévoir la dynamique des envahissements dans la région. Nous avons réalisé des expériences pour tester si : i) la survie des jeunes plants de S. molle est meilleure sous une canopée d'Acacia tortilis que de « mesquite »; ii) le taux de croissance des jeunes plants de S. molle est supérieur sous les A. tortilis que sous les « mesquite ». Les résultats montrent que la croissance et la survie de S. molle ne sont pas significativement différentes sous les espèces natives Acacia tortilis natifs et sous les espèces exotiques de Prosopis. Ceci suggère que les microsites constitués par les canopées de « mesquite » sont aussi bons pour l'établissement de S. molle que ceux qu'offrent les acacias natifs. D'autres facteurs, tels que le fait que les propagules ne parviennent pas à arriver jusque sous les « mesquite », pourraient être invoqués pour expliquer le manque de recrutement sous ces arbres. [source] Patterns of elephant impact on woody plants in the Hluhluwe-Imfolozi park, Kwazulu-Natal, South AfricaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 1 2010Roger Patrick Boundja Abstract This study identifies patterns of elephant Loxodonta africana africana impacts upon tree species and woody plant communities in Hluhluwe-Imfolozi Park, a South African savannahs/woodlands area. Elephants were reintroduced there from 1981, following more than 80 years of absence. Data were collected in 2003 on elephant impact on woodland in the Park. Different vegetation types were susceptible to different types and levels of damage by elephants, suggesting that elephants will not homogenize the vegetation. Elephants targeted larger stems for all types of damage, with a strong preference for some of the less abundant species such as Albizia versicolor (breaking and toppling) and Cordia caffra and Schotia brachypetala (debarking). Elephant impacts tended to be distributed evenly across the park landscape, irrespective of stem density or proximity to permanent water. Overall, elephants have little impact on slowing or reversing the spread of undesirable woody species, but are having a marked impact on certain less common tree species and larger tree size-classes in the Hluhluwe-Imfolozi Park. Résumé Cette étude identifie le schéma des impacts des éléphants Loxodonta africana africana sur des espèces d'arbres et sur des communautés végétales du Parc de Hluhluwe-Imfolozi, une zone de forêts et de savanes d'Afrique du Sud. Des éléphants y furent réintroduits à partir de 1981, après une absence de plus de 80 ans. En 2003, on a récolté des données sur l'impact des éléphants sur les forêts du parc. ON a vu que les différents types de végétation étaient sensibles à des types et à des niveaux différents de dommages causés par les éléphants, ce qui laisse entendre que les éléphants ne vont pas uniformiser la végétation. Les éléphants visaient les plus gros troncs pour tous les types de dommages, avec une préférence marquée pour certaines des espèces les moins abondantes, comme Albizia versicolor (cassés et renversés) et Cordia caffra and Schotia brachypetala (écorcés). Les impacts des éléphants avaient tendance àêtre répartis également dans tout le paysage du parc, quelles que soient la densité des troncs ou la proximité de points d'eau permanents. En général, les éléphants avaient peu d'impact sur le ralentissement ou l'inversion de la dispersion des espèces ligneuses indésirables, mais ils ont un impact réel sur certaines espèces d'arbres moins fréquentes et sur les arbres de classes de taille plus grandes dans le Parc de Hluhluwe-Imfolozi. [source] Differences in woody vegetation are unrelated to use by African elephants (Loxodonta africana) in Mkhuze Game Reserve, South AfricaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 1 2010Angela M. White Abstract The reintroduction of African elephants into fenced game reserves throughout South Africa has presented managers with several challenges. Although elephants are a natural part of southern African ecosystems, their confinement to fenced protected areas in South Africa has exacerbated their potential to impact their habitats negatively. However, many studies investigating the impact of elephants have failed to control for the effects of other browsers on the vegetative community. In this study, we used location data on an elephant herd to delineate high-use and low-use areas. This paired design allowed us to minimize confounding factors that could explain differences in the structure, diversity and utilization of woody species. We found little evidence to suggest elephant-mediated change in, or selection for, the structure or diversity of woody species; however, our results suggest that elephants may be altering the composition of species by preferentially using areas with higher canopy diversity and by enhancing sapling recruitment. Although stripping of bark was higher in high-use areas, there was no evidence of differential mortality of tree species. Therefore, in our study area, and over the current time scale, elephants are having a negligible impact on the vegetative community. Résumé La réintroduction d'éléphants africains dans des réserves de faune clôturées dans toute l'Afrique du Sud représente plusieurs défis pour les gestionnaires. Bien que les éléphants fassent naturellement partie des écosystèmes d'Afrique australe, leur confinement dans des aires protégées clôturées en Afrique du Sud a exacerbé leur capacité d'avoir des impacts négatifs sur leurs habitats. Pourtant, les nombreuses études qui ont recherché l'impact des éléphants ont omis de contrôler l'effet des autres herbivores sur la communauté végétale. Dans cette étude, nous avons utilisé des données sur la localisation des hardes d'éléphants pour délimiter les zones plus ou moins fréquentées. Cette étude couplée nous a permis de minimiser les facteurs prêtant à confusion qui pouvaient expliquer des différences de structure, de diversité et d'utilisation des espèces ligneuses. Nous avons trouvé peu de preuves qui auraient indiqué que les éléphants changeaient ou sélectionnaient la structure ou la diversité des espèces ligneuses; cependant, nos résultats suggèrent que les éléphants pourraient modifier la composition des espèces en choisissant de préférence les zones où la diversité de la canopée est plus élevée et en stimulant le recrutement de jeunes plants. Même si les arrachages d'écorces étaient plus nombreux dans les zones très fréquentées, il n'y avait aucune preuve d'une mortalité différentielle selon les espèces d'arbres. C'est pourquoi, dans l'aire où nous avons travaillé, et pour le moment, on peut dire que les éléphants n'ont qu'un impact négligeable sur la communauté végétale. [source] Impact of the black rhinoceros (Diceros bicornis minor) on a local population of Euphorbia bothae in the Great Fish River Reserve, South AfricaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 4 2009Bodina L. Luske Abstract In the Great Fish River Reserve, South Africa, black rhinoceros (Diceros bicornis minor) feed extensively on a local population of Euphorbia bothae. Maintaining the endangered black rhinoceros and the protected E. bothae population are both conservation priorities of the reserve. Therefore, the sustainability of this plant,animal interaction was investigated by comparing population characteristics, browsing incidence and intensity within the reserve and in an adjacent exclosure without access to rhino. Fixed-point photographs showed that over a 2-month period 36.6% of 213 monitored plants were browsed, with an average biomass loss of 13%, and 1% were destroyed. Of 26 plants re-photographed after approximately 3 years, 70% showed a decrease in biomass, averaging 37.8% over this period. In this time span, 19% of the monitored plants died. Small plants (<45 cm) were over-represented in the rhino-browsed area, whereas the fraction of reproductively active plants and overall plant density were found to be lower than in the adjacent exclosure. No evidence of short-term compensatory growth in response to browsing was found for E. bothae. This study indicates that, with the current population size, rhinos are overexploiting the E. bothae population and special measures should be taken to prevent local extinction. Résumé Dans la Great Fish River Reserve, en Afrique du Sud, le rhinocéros noir (Diceros bicornis minor) se nourrit en très grande partie d'une population locale d'Euphorbia bothae. Le maintien du rhino noir en danger et de la population protégée d'E. bothae sont deux priorités de la réserve en matière de conservation. C'est pourquoi on a investigué la durabilité de cette interaction plante-animal en comparant les caractéristiques des populations, l'incidence et l'intensité de la consommation du rhino dans la réserve et dans un enclos adjacent d'où les rhinos sont exclus. Des photographies prises d'un point fixe ont montré que, sur une période de deux mois, 36.6% des 213 plantes suivies avaient été broutées, avec une perte moyenne de biomasse de 13%, et un pour cent avait été détruit. Des 26 plantes qui avaient été rephotographiées après environ trois ans, 70% montraient une diminution de la biomasse, qui était de 37.8% en moyenne pour cette période. Pendant ce laps de temps, 19% des plantes suivies sont mortes. Les petites plantes (<45 cm) étaient surreprésentées dans la zone broutée par les rhinos, alors que la fraction des plantes actives au point de vue reproduction et la densité générale des plantes se sont avérées plus faibles que dans l'enclos adjacent. On n'a pu mettre en évidence aucune croissance compensatoire d'E. bothaeà court terme en réponse au broutage des rhinos. Cette étude indique que, vu la taille actuelle de leur population, les rhinos surexploitent la population d'E. bothae et qu'il faut prendre des mesures spéciales pour empêcher l'extinction locale de cette dernière. [source] Effects of moisture, nitrogen, grass competition and simulated browsing on the survival and growth of Acacia karroo seedlingsAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 4 2009Keletso Mopipi Abstract The effects of irrigation, nitrogen fertilization, grass competition and clipping were investigated for one growing season at the research farm of the University of Fort Hare in the Eastern Cape Province of South Africa. The aim of the experiment was to assess the short-term performance of Acacia karroo seedlings under different environmental conditions and the implications of such factors on the long-term recruitment of plant species in savanna rangelands. There were no significant treatment effects on the survival of A. karroo seedlings. Using stem length and basal diameter as growth parameters, it was observed that irrigation enhanced both variables, while nitrogen fertilization did not have any significant effects. Clipping, grass competition and their interaction greatly suppressed the growth of the seedlings. Clipping increased the mean stem length when they were irrigated and fertilized. Control and fertilized plants had the highest stem length in the absence of grass competition, while grass competition combined with clipping resulted in the lowest stem length in both irrigated and nonirrigated plants. It was concluded that in the presence of grass competition, controlled browsing could be a viable solution to the problem of bush encroachment in savanna rangelands. Résumé Les effets de l'irrigation, d'une fertilisation à l'azote, de la compétition avec l'herbe et de la taille ont étéétudiés pendant une saison de croissance dans la ferme expérimentale de l'Université de Fort Hare, dans la Province du Cap oriental, en Afrique du Sud. Le but de l'expérience était d'évaluer les performances à court terme de jeunes plants d'Acacia karroo dans différentes conditions expérimentales, et les implications de ces facteurs sur le recrutement à long terme d'espèces végétales dans des pâturages de savane. Il n'y a pas eu d'effet significatif des traitements sur la survie des plants d'A. karroo. En utilisant la longueur des troncs et le diamètre de la base comme indicateurs de croissance, on a observé que l'irrigation augmentait les deux variables, alors que la fertilisation à l'azote n'avait aucun effet significatif. La taille, la compétition avec l'herbe et leur interaction supprimait fortement la croissance des jeunes plants. La taille augmentait la longueur moyenne des troncs lorsqu'ils étaient irrigués et fertilisés. Les plants témoins et les plants fertilisés avaient les troncs les plus longs en absence de toute compétition avec des herbes, alors que cette dernière, combinée avec la taille, aboutissait à la longueur la plus petite des troncs, chez les plants irrigués ou non. On en a conclu qu'en cas de compétition avec des herbes, un pâturage contrôlé pourrait être une solution viable au problème de l'envahissement des broussailles dans les pâturages de savane. [source] Modelling the effectiveness of contraception for controlling introduced populations of elephant in South AfricaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 4 2009Robin L. Mackey Abstract Re-introduced African elephant (Loxodonta africana Blumenbach) populations are growing at very high rates in many of southern Africa's reserves, have attained densities higher than previously thought possible and may be exhibiting irruptive growth. Active management of such populations is necessary to prevent the potentially negative effects on habitat and biodiversity that are associated with elephant overpopulation. One potentially feasible method of elephant management is immunocontraception, but very little is known about the long-term effectiveness of this method. Using demographic data from three South African elephant populations, we made model projections of the effects of contraception on population growth rates to determine whether contraception may be a feasible management tool for elephant. In comparison with noncontracepted populations, realistic reductions in population growth rate after 20 years of contraception were projected to be up to c. 64%, with 50% being a very feasible target. Through its ability to reduce population growth rates, immunocontraception should be an effective tool for preventing or minimizing irruption in elephants and, perhaps, other introduced ungulate species. Résumé Le taux de croissance des populations réintroduites d'éléphants d'Afrique (Loxodonta africana Blumenbach) est très élevé dans les réserves d'Afrique australe; elles ont atteint des densités plus élevées qu'on ne l'avait cru possible et elles pourraient présenter une croissance irruptive. La gestion active de telles populations est nécessaire pour empêcher les effets potentiellement négatifs liés à une surpopulation d'éléphants. Une méthode éventuellement possible pour la gestion des éléphants est l'immuno-contraception, mais on sait très peu de choses sur l'efficacitéà long terme de cette méthode. En utilisant les données démographiques portant sur trois populations d'éléphants d'Afrique du Sud, nous avons modélisé des projections des effets de la contraception sur le taux de croissance des populations pour déterminer si la contraception peut constituer un outil de gestion envisageable pour les éléphants. En comparaison avec les populations sans contraception, des projections réalistes de la réduction du taux de croissance de populations après 20 ans de contraception se chiffraient à environ 64%,50% représentant un objectif tout à fait réaliste. Par sa capacité de réduire le taux de croissance de la population, l'immuno-contraception devrait être un outil efficace pour empêcher ou pour réduire au minimum l'irruption des éléphants et, peut-être, celle d'autres espèces ongulés introduits. [source] Assessing the ecological integrity of a grassland ecosystem: the applicability and rapidity of the SAGraSS methodAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 3 2009W. Kaiser Abstract The Grassland Biome is currently one of the most threatened biomes in South Africa and is in dire need of a biomonitoring protocol. The components of ecological integrity in these ecosystems are, however, too diverse and time-consuming to measure scrupulously. It is therefore necessary to develop a set of grassland indicators that are efficient and rapid in their assessment of grassland ecosystem integrity. The South African Grassland Scoring System (SAGraSS), based on the grassland insect community, is such a suggested indicator. The present study is the first to investigate the applicability and rapidity of this proposed method. Although SAGraSS scores correlated significantly with Ecological Index values (the most commonly used index by which veld condition is evaluated in central South Africa), the method proved to be tedious and the identification of insects taxing. We offer a number of changes to make the SAGraSS method a more rapid method of assessment. Résumé Le Biome « Prairies » est aujourd'hui un des plus menacés d'Afrique du Sud et a sérieusement besoin d'un protocole de biomonitoring. Les composantes de l'intégritéécologique de ces écosystèmes sont cependant trop diverses, et il faudrait trop de temps pour les mesurer scrupuleusement. Il est donc nécessaire de mettre au point un ensemble d'indicateurs pour les prairies qui soient efficaces et permettent d'évaluer rapidement l'intégrité de ces écosystèmes. Le système sud-africain South African Grassland Scoring System (SAGraSS), basé sur la communauté des insectes des prairies, est un des indicateurs qui fut proposé. Cette étude est la première qui analyse l'applicabilité et la rapidité de cette méthode. Bien que les résultats du SAGraSS soient significativement reliés aux valeurs de l'Indice Ecologique (EI , l'indice le plus utilisé pour évaluer les conditions écologiques du Veld au centre de l'Afrique du Sud), la méthode s'est avérée fastidieuse, et l'identification des insectes assez longue. Nous proposons un certain nombre de changements à apporter pour faire de la méthode SAGraSS une méthode d'évaluation plus rapide. [source] Turnover in flightless invertebrate species composition over different spatial scales in Afrotemperate forest in the Drakensberg, South AfricaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 3 2009Charmaine Uys Abstract An understanding of species turnover at different spatial scales and the influence of environmental variables including distance are important for conservation planning and management. Ground dwelling, flightless invertebrates have poor dispersal abilities and other taxa may not be effective as surrogates. This is an important consideration for biodiversity conservation in Afrotemperate forests of the Drakensberg Mountains, South Africa, where flightless invertebrates are geographically isolated by the naturally fragmented state of forests. Seventeen Afrotemperate forests in four reserves across the Drakensberg were sampled using soil and leaf litter sampling, pitfall traps, active search quadrats and tree beats. Seventy-two species were recorded, comprising 31 mollusc, nine earthworm, one onychophoran, six centipede, twelve millipede and thirteen ant species. Canonical correspondence analysis indicated that latitude (distance); fire history (disturbance) and mean annual precipitation were the most important factors governing invertebrate assemblage composition. ,sim measurements detected change in species at all spatial scales investigated, but no clear trends were evident. Distance or spatial scale alone does not explain species turnover and community composition. Effective selection of target areas, therefore, requires species level information to identify species of special concern. Résumé Une bonne compréhension de la rotation des espèces à différentes échelles spatiales et de l'influence des variables environnementales, y compris de la distance, est importante pour la planification et la gestion de la conservation. Les invertébrés qui vivent dans le sol, ceux qui ne volent pas, n'ont que de faibles capacités de se disperser, et d'autres taxons peuvent ne pas être des substituts efficaces. Ceci pourrait être une réflexion importante pour la conservation de la biodiversité dans les forêts afro-tempérées des monts Drakensberg, en Afrique du Sud, où des invertébrés qui ne volent pas sont isolés géographiquement par l'état naturellement fragmenté des forêts. On a prélevé des échantillons dans 17 forêts afro-tempérées, dans quatre réserves du Drakensberg, en utilisant des échantillons de sols et de litière de feuilles, des pièges, la recherche active dans des quadrats et le battage d'arbres. On a enregistré 72 espèces comprenant 31 mollusques, neuf vers de terre, un onychophore, six centipèdes, 12 mille-pattes et 13 fourmis. L'analyse canonique des correspondances a indiqué que la latitude (distance), l'historique des feux (perturbations) et les précipitations annuelles moyennes étaient les facteurs les plus importants pour la composition des assemblages d'invertébrés. Des mesures de ,sim ont détecté des changements d'espèces dans toutes les échelles spatiales étudiées, mais aucune tendance nette n'était visible. L'échelle de distance ou d'espace n'explique pas seule la rotation des espèces et la composition de la communauté. La sélection effective de zones cibles requiert donc des informations au niveau des espèces pour pouvoir identifier les espèces dont le statut est particulièrement inquiétant. [source] Is use of translocation for the conservation of subpopulations of oribi Ourebia ourebi (Zimmermann) effective?AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 3 2009A case study Abstract In South Africa, the oribi, Ourebia ourebi is an endangered small antelope that requires conservation management and intervention to prevent their extinction. Use of translocation for the conservation of subpopulations facing local extinction in the wild has been proposed. In this study, fifteen oribi from threatened populations were captured and released (November 2004) on a private game reserve in KwaZulu-Natal, South Africa. Radio telemetry was used to monitor the dispersal and survival of translocated oribi. Only one death occurred during that period. All other released oribi survived, and most remained in close proximity of the release site for more than a year postrelease. Reproduction also occurred. This suggests that, translocation could be a viable option for conserving wild populations of oribi, assuming that other factors, such as availability of suitable grassland habitat and that poaching has been curtailed, are met. Résumé En Afrique du Sud, l'oribi Ourebia ourebi est une petite antilope en danger qui requiert une gestion de la conservation et une intervention pour empêcher son extinction. On a proposé le recours à la translocation pour conserver les sous-populations confrontées à une extinction locale dans la nature. Dans le cadre de cette étude, 15 oribis de populations menacées ont été capturés pour être relâchés, en novembre 2004, dans une réserve de faune privée au KwaZulu-Natal, en Afrique du Sud. La radio-télémétrie a été utilisée pour suivre la dispersion et la survie des oribis déplacés. Il n'y eut qu'un mort pendant cette période. Tous les autres oribis relâchés ont survécu, et la plupart sont restés à proximité du site de lâcher pendant plus d'un an. Il y eut aussi des reproductions. Ceci suggère que la translocation peut être une option viable pour la préservation de populations sauvages d'oribis, pour autant que d'autres facteurs soient présents, comme la disponibilité d'habitats de prairies favorables, et que le braconnage soit sous contrôle. [source] Home range size, spatial distribution and habitat use of elephants in two enclosed game reserves in the Eastern Cape Province, South AfricaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 2 2009C. Roux Abstract We studied space use and habitat selection by elephants in two enclosed reserves in the Eastern Cape Province (South Africa) that conserve components of the regionally important and poorly conserved Thicket Biome. Home ranges of bulls and herds occupied most of the reserves, and core areas were significantly smaller and centred on permanent water. There was no significant difference in home range size of bulls and herds and both were significantly smaller in winter than summer. Components of the Thicket Biome occurred in the home ranges and core areas of all elephants where it was either used according to its abundance or avoided. However, this should not be interpreted as indicating that elephants will not affect plants of the Thicket Biome since change will be cumulative and monitoring should be ongoing to ensure the conservation of this regionally important Biome. Résumé Nous avons étudié l'utilisation de l'espace et la sélection de l'habitat par les éléphants dans deux réserves clôturées de la Province du Cap Oriental, en Afrique du Sud, qui préservent les composantes d'un Biome important dans la région et cependant mal conservé, le biome de savane broussailleuse. Les domaines vitaux des mâles et des troupeaux occupaient la plus grande part des réserves, et leurs zones centrales étaient significativement plus petites et centrées sur les points d'eau permanents. Il n'y avait pas de différence significative de la taille des domaines vitaux des mâles et des troupeaux, domaines qui étaient significativement plus petits en hiver qu'en été. Des composantes du biome broussailleux étaient présentes dans le domaine vital et dans l'aire centrale de tous les éléphants, où elles étaient soit utilisées selon leur abondance, soit évitées. Cependant, il ne faudrait pas en déduire que cela indique que les éléphants n'affectent pas les plants du Biome à broussailles puisque les changements seront cumulatifs; il faut au contraire poursuivre le monitoring pour assurer la conservation de ce biome important au niveau régional. [source] Reproductive evaluation of elephants culled in Kruger National Park, South Africa between 1975 and 1995AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 2 2009Elizabeth W. Freeman Abstract To reduce elephant densities and preserve biological diversity, 14,629 elephants were culled from Kruger National Park, South Africa (1967,1999). Data were catalogued between 1975 and 1996 on 2737 male and female elephants, including pregnancy and lactational status for 1620 females (,5 years of age) and, uterine and/or ovarian characteristics for 1279. This study used these data to investigate the effects of age and precipitation on reproduction. The youngest age of conception was 8 years (n = 6) and by 12 years of age all females were sexually mature. From the age of 14 years, the percentage of reproductively active females (pregnant and/or lactating) was >90%; however, this percentage declined when females reached 50 years of age. Overall, one-tenth of females were nonreproductive (not pregnant or lactating) at any given time, mostly in the youngest (<15 years) and oldest (>50 years) age classes. Eighteen (3.3%) of the nonpregnant females had reproductive tract pathologies, including endometrial, uterine or ovarian cysts. There was a seasonal distribution of mating activity that correlated with the rainy season. As has been demonstrated in other populations of free-ranging African elephants, most of the females in Kruger National Park were reproductively active; however, age and climate affected reproductive activity. Résumé Pour réduire la densité des éléphants et préserver la diversité biologique, 14.629 éléphants ont été abattus dans le Parc National Kruger, en Afrique du Sud, entre 1967 et 1999. Des données ont été recueillies entre 1975 et 1999, sur 2 737 éléphants mâles et femelles, y compris le statut de gestation ou de lactation de 1 620 femelles (,5 ans) et les caractéristiques utérines et/ou ovariennes de 1 279 d'entre elles. Cette étude a utilisé ces données pour rechercher les effets de l'âge et des précipitations sur la reproduction. L'âge de conception le plus précoce était de huit ans (n = 6), et à l'âge de 12 ans, toutes les femelles étaient sexuellement mâtures. À partir de l'âge de 14 ans, le pourcentage de femelles en reproduction active (pleines ou allaitantes) était >90%; cependant, ce pourcentage diminuait lorsque les femelles atteignaient l'âge de 50 ans. Globalement, à tout moment, un dixième des femelles n'avaient pas de reproduction active (ni pleines, ni allaitantes) surtout parmi les plus jeunes (<15 ans) et les plus vieilles (>50 ans). Dix-huit (3,3%) des femelles non pleines souffraient de pathologies du système reproducteur, y compris de kystes de l'endomètre, de l'utérus ou des ovaires. Il y avait une distribution saisonnière des accouplements, en corrélation avec la saison des pluies. Comme cela a déjàété montré dans d'autres populations d'éléphants africains vivant en liberté, la plupart des femelles du Parc National Kruger avaient une reproduction active; cependant, l'âge et le climat affectent l'activité reproductrice. [source] Levels of aloe mortality with and without elephants in the Thicket Biome of South AfricaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 2 2009D. M. Parker Abstract Studies concerning the influence of African elephants (Loxodonta africana) on vegetation have produced contradictory results; some show minimal or no effect while others report significant elephant-induced effects. Elephants are generalist megaherbivores but will selectively feed from preferred plant species. We investigated the mortality of aloe plants (highly preferred food items for elephants) at five sites with elephants (treatment) and five paired sites without elephants (control) in the Eastern Cape Province of South Africa. A significantly higher proportion of aloes were dead at treatment sites and significantly more aloes that had lost their crown (headless) were found at treatment sites compared with controls. We conclude that although the proportions of dead aloes at treatment sites were significantly higher, it remains unclear whether there is a need to be concerned with the potential small-scale extinction of aloes from parts of the Eastern Cape Province. The observed mortality may merely be an artefact of the loss of large herbivores through disease (e.g. rinderpest) and hunting in the past. Résumé Des études de l'influence des éléphants africains (Loxodonta africana) sur la végétation ont produit des résultats contradictoires: certaines montrent un effet minimal, voire nul, alors que d'autres signalent des effets significatifs. Les éléphants sont des grands herbivores généralistes, mais ils se nourrissent sélectivement de certaines parties des plantes. Nous avons étudié la mortalité de plants d'aloès (nourriture fortement privilégiée par les éléphants) à cinq sites avec éléphants (traitement) et à cinq autres sites sans éléphant (témoins), dans la Province du Cap oriental, en Afrique du Sud. Il y avait une proportion significativement plus grande d'aloès morts dans les sites du traitement, et ils étaient significativement plus nombreux à avoir perdu leur couronne (étêtés) que dans les sites témoins. Nous concluons que, bien que la proportion d'aloès morts soit significativement plus grande dans les sites du traitement, il n'est pas évident de savoir s'il faut s'inquiéter de cette possible extinction à petite échelle des aloès dans certaines parties de la Province du Cap oriental. La mortalité observée peut bien être simplement un artefact de la perte des grands herbivores en raison de maladies (ex. la peste bovine) et de la chasse dans le passé. [source] Foraging efficiency and vigilance behaviour of impala: the influence of herd size and neighbour densityAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 1 2009Sonja M. Smith Abstract Group foraging can be beneficial for ungulates by decreasing the time required for vigilance, but it can also prove costly because of competition. To determine responses to gregarious behaviour, we studied foraging activity and vigilance of impala (Aepyceros melampus) near Kruger National Park, South Africa. We measured time spent foraging, vigilant, moving, grooming, engaging in social interactions and determined herd size and group distribution (i.e. density). We calculated accepted food abundance (AFA), food ingestion rate, steps per minute and percent vigilance for female, bachelor male and herd male impala. There was no relationship between herd size and vigilance, but vigilance decreased with increasing density (t1,311 = 4.91, P <0.0001). Additionally, AFA decreased (t1,61 = 5.96, P <0.0001) and steps per minute increased (t1,311 = 14.38, P < 0.0001) as more individuals fed in close proximity to each other. Impala could be altering their behaviour to accommodate a perceived change in resources because of intraspecific competition and these adjustments might be related more to the distribution of herd members than to herd size. Further studies should examine the behaviour of gregarious animals in relation to the distribution of herd members in addition to group size. Résumé Le fait de se nourrir en groupe peut être avantageux pour les ongulés parce qu'il réduit le temps nécessaire à la surveillance, mais il peut aussi se révéler coûteux en termes de compétition. Pour déterminer les réponses à un comportement grégaire, nous avons étudié l'action de se nourrir et la vigilance chez l'impala (Aepyceros melampus) près du Parc National Kruger, en Afrique du Sud. Nous avons mesuré le temps passéà se nourrir, à surveiller, à se déplacer, au toilettage, à l'engagement dans des interactions sociales, et nous avons déterminé la taille de la harde et la distribution du groupe (c.-à-d. sa densité). Nous avons calculé l'abondance de nourriture acceptée (AFA), le taux d'ingestion de nourriture (FIR), les pas par minute et le pourcentage de vigilance chez les femelles, les mâles célibataires et les impalas mâles en hardes. Il n'y avait pas de relation entre la taille de la harde et la vigilance, mais la vigilance diminuait lorsque la densité augmentait (t1,311 = 4,91, P < 0,0001). De plus, l'AFA diminuait (t1,61 = 5,96, P < 0,0001), et le nombre de pas par minute augmentait (t1,311 = 14,38, P < 0,0001) lorsque des individus plus nombreux se nourrissaient très près les uns des autres. Les impalas pouvaient modifier leur comportement pour s'adapter à la perception d'un changement des ressources dûà la compétition intraspécifique, et ces ajustements pourraient bien être liés plus à la distribution des membres de la harde qu'à sa taille. De nouvelles études devraient examiner le comportement des animaux grégaires en fonction de la distribution des membres de la harde, en plus de la taille du groupe. [source] New perspectives on the origin and diversification of Africa's forest avifaunaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 3 2008Jon Fjeldså Abstract The use of DNA sequence data in systematic studies has brought about a revolution in our understanding of avian relationships and when combined with digitized distributional data, has facilitated new interpretations about the origins of diverse clades of the African avifauna including its diversification up through the Tertiary until the present. Here we review recent studies with special reference to Africa's forest avifauna and specifically comment on the putative origins of ,hotspots' of endemism in the Eastern Arc Mountains of Tanzania and in the Cape Region of South Africa. Intriguingly, both these areas appear to have retained populations of relict taxa since the mid-tertiary thermal optimum and at the same time have been centres of recent species differentiation. Résumé L'utilisation des données portant sur la séquence ADN dans les études systématiques représente une révolution dans notre façon de comprendre les relations entre les oiseaux et, combinée avec les données numérisées sur la distribution, elle facilite de nouvelles interprétations concernant les origines de différents clades de l'avifaune africaine, y compris sa diversification tout au long du Tertiaire et jusqu'à nos jours. Nous passons ici en revue des études récentes qui se réfèrent particulièrement à l'avifaune forestière africaine, avec un commentaire spécial sur les origines putatives des hauts lieux d'endémisme dans les montagnes de l'Eastern Arc tanzanien et dans la région du Cap, en Afrique du Sud. Curieusement, ces deux endroits semblent avoir conservé des populations de taxons résiduels depuis l'optimum thermique du milieu du Tertiaire, tout en étant aussi au centre de récentes différenciations entre espèces. [source] Baobabs and elephants in Kruger National Park: nowhere to hideAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 2 2008M. T. Edkins Abstract Baobab size class distributions were surveyed in the Limpopo National Park (LNP), Mozambique, and the Kruger National Park (KNP), South Africa. There are very few elephants in the LNP and the baobab population there had a reverse J-shaped size class distribution with many small baobabs. In contrast, the elephant-impacted baobab population of KNP displayed a mono-modal size-class distribution, with a lack in recruitment. Within KNP, elephant impact (percentage bark stripped up to the height of 3 m) decreased with increasing rockiness and slope steepness. We interpret this to suggest that steep rocky slopes are inaccessible to elephants and therefore these sites may act as a refuge for baobabs. In such inaccessible areas, the baobab population has a similar size-class distribution to that of the populations in the LNP. However, these baobab refugia are restricted in the northern KNP landscape and are therefore probably not large enough to sustain a viable baobab population. Résumé On a étudié la distribution des classes de taille des baobabs dans le Parc National de Limpopo (LNP), au Mozambique et au Parc National Kruger (KNP), en Afrique du Sud. Il y a très peu d'éléphants dans le LNP, et la population de baobabs y connaît une distribution de classes de taille en J inversé, avec de nombreux petits baobabs. Par contre, la population de baobabs du KNP est influencée par les éléphants et présente une distribution monomodale, avec un manque de recrutement. Au sein du KNP, l'impact des éléphants (le pourcentage d'écorces arrachées jusqu'à une hauteur de 3 mètres) diminuait quand augmentait le caractère rocailleux et abrupt des pentes. Nous interprétons cela et suggérons que les pentes abruptes et rocailleuses sont inaccessibles aux éléphants et que ces endroits peuvent donc servir de refuges pour les baobabs. Dans ces endroits inaccessibles, la population de baobabs a une distribution de classes semblable à celles des populations du LNP. Cependant, ces refuges pour baobabs se limitent au paysage nord du KNP et ne sont donc probablement pas suffisants pour accueillir une population de baobabs viable. [source] Dry season ecology of riverine tiger beetles in Kruger National Park, South AfricaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 2 2008Jonathan R. Mawdsley Abstract The life cycles of many African species of tiger beetles (Insecta: Coleoptera: Cicindelidae) exhibit pronounced seasonality, with adult emergence and reproductive activity closely associated with seasonal rains. Anecdotal reports have suggested that adults of certain riverine tiger beetle species may be active during the dry season near perennial water sources. To test this hypothesis, fifteen sites along three perennial rivers in Kruger National Park, South Africa, were surveyed for tiger beetles in early September, 2006. Thirteen sites yielded adult beetles, with six species represented [Chaetodera regalis (Dejean), Cylindera disjuncta (Dejean), Habrodera nilotica (Dejean), Lophyra neglecta intermediola (Horn), Lophyridia fimbriata imperatrix (Srnka), and Myriochile melancholica (Fabricius)]. Microhabitat associations of adults of all six species and ovipositional/larval substrates of five of the six species are reported, along with observations on predatory and reproductive behaviours and the possible presence of an anti-predator chemical defence in C. regalis and L. fimbriata imperatrix. Résumé Le cycle vital de nombreuses espèces de Cicindèles (colépotères) africains présente une saisonnalité prononcée, l'émergence des adultes et l'activité reproductrice étant étroitement liées aux pluies saisonnières. Quelques rapports ont suggéré que les adultes de certaines espèces riveraines de cicindèles pourraient être actives en saison sèche à proximité de sources d'eau permanentes. Pour tester cette hypothèse, on a surveillé 15 sites le long de trois rivières permanentes dans le Parc National Kruger, en Afrique du Sud, au cours du mois de septembre 2006. Treize sites abritaient des cicindèles adultes, avec six espèces représentées, (Chaetodera regalis (Dejean), Cylindera disjuncta (Dejean), Habrodera nilotica (Dejean), Lophyra neglecta intermediola (Horn), Lophyridia fimbriata imperatrix (Srnka), and Myriochile melancholica (Fabricius). On a rapporté les associations d'adultes des six espèces et les substrats oviposition/larves pour cinq des six espèces dans les microhabitats, de même que des observations sur les comportements prédateur et reproducteur et sur la présence possible d'une défense chimique anti-prédateur chez C. regalis et L. fimbriata imperatrix. [source] |