Home About us Contact | |||
Dix Ans (dix + ans)
Selected AbstractsCan Russia be Competitive in Agriculture?EUROCHOICES, Issue 3 2003William M. Liefert Summary Can Russia be competitive inAgriculture? Russian agriculture currently is not internationally cost competitive. Since the mid-1990s Russia has imported large volumes of meat, while the grain trade has fluctuated in most years between small net imports and exports. Russia has, however, exported large quantities of key agricultural inputs, including 80 per cent of fertilizer output, mainly to EU countries. Research indicates that Russia has a comparative advantage in producing grain compared to meat, but also a comparative advantage in producing agricultural inputs compared to agricultural outputs. The expected real appreciation of the Russian rouble vis-à-vis Western currencies should further damage Russia's cost competitiveness in meat and grain, but this should be offset by modest productivity growth. An expected rise in consumer income, deriving from relatively high annual GDP growth of about 4,5 per cent, should also stimulate demand for meat imports. In spring 2003, Russia imposed tariff rate quotas on its imports of beef and pork, and a pure quota on imports of poultry. For other agricultural commodities, Russia is pushing in its WTO accession negotiations for allowable agricultural import tariffs that are higher than current levels. Taking these changes together, it is likely that Russia will continue as a big meat importer for about the next ten years,with tariff rate quotas probably determining the level of meat imports,and will become a moderate grain exporter. L'agriculture russepourrait-elle être compétitive ? Actuellement, l'agriculture russe n'est pas compétitive. La Russie a importé de gros volumes de viande depuis le milieu des années 90, tandis que la balance des échanges de céréales oscillait entre les faibles excédents et les faibles déficits. Cependant, la Russie est grande exportatrice d'agro-fournitures dont, en particulier, 80% de sa production d'engrais, principalement vers l'Europe. On montre ici que l'avantage comparatif de la Russie se situe dans les céréales plutôt que dans la viande et, surtout, dans les agro-fournitures plutôt que dans les denrées agricoles. La remontée, à laquelle il faut s'attendre, du rouble vis à vis des devises occidentales, devrait encore diminuer la compétitivité de la Russie en matière de viandes et de céréales, ce qui devrait être compensé par des gains de productivité même faibles. La hausse attendue des revenus des consommateurs, engenderée par une croissance élevée du revenu national, de l'ordre de 4 à 5% par an, devrait aussi stimuler la demande de viande importée. Au printemps 2003, la Russie s'est dotée d'un système de droits sur ses importations hors quotas de viande de bæuf et de pore, ainsi que d'un quota d'importation pour les produits avicoles. En ce qui conceme les autres produits agricoles, dans le cadre des négociations relatives à son entrée dans l'OMC, la Russie s'efforce d'obtenir l'autorisation d'augmenter les taxes à l'importation par rapport à leur niveau actuel. Au total done, à un horizon de l'ordre de dix ans, il est probable que la Russie reste un gros importateur de viandes - le niveau des taxes sur le hors quotas déterminant les niveaux d'importation -, et un modeste exportateur de céréales. Kann Russland auf dem Agrarsektorwettbewerbsfähig sein? Die russische Landwirtschaft ist hinsichtlich der Kosten momentan nicht international wettbewerbsfähig. Seit Mitte der 1990er importiert Russland große Mengen an Fleisch, während der Getreidehandel in den meisten Jahren zwischen geringen Nettoimporten und -exporten schwankte. Russland hat jedoch große Mengen an wichtigen landwirtschaftlichen Vorieistungen, unter anderem 80% seiner Düngerproduktion, hauptsächlich in EU-Länder exportiert. Forschungsergebnisse weisen darauf hin, dass Russland in der Produktion von Getreide verglichen mit Fleisch einen komparativen Vorteil besitzt; dies trifft jedoch ebenfalls auf die Produktion von landwirtschaftlichen Vorieistungen verglichen mit landwirtschaftlichen Endprodukten zu. Es ist anzunehmen, dass die erwartete reale Aufwertung des russischen Rubel gegenüber den westlichen Währungen eine zusätzliche Verschlechterung der russischen Wettbewerbsfähigkeit hinsichtlich der Kosten im Bereich Fleisch und Getreide nach sich zieht; dies sollte sich jedoch durch ein moderates Produktivitätswachstum ausgleichen. Der erwartete Anstieg der Verbrauchereinkommen, der sich aus dem relativ hohen jährlichen Bruttoin-landsproduktzuwachs von ca. 4,5 Prozent ableitet, sollte sich ebenfalls stimulierend auf die Nachfrage nach Fleischimporten auswirken. Im Frühjahr 2003 führte Russland Zolltarifkontingente für seine Schweine- und Rindfleischimporte ein und belegte seine Geflügelfleischimporte mit einem Importkontingent. Im Hinblick auf weitere Agrarerzeugnisse drängt Russland in den WTO-Beitrittsverhandlungen darauf, höhere Einfuhrzölle als die gegenwärtig geltenden zuzulassen. In Anbetracht all dieser Veränderungen ist es wahrscheinlich, dass Russland auch für die kommenden zehn Jahre große Mengen an Fleisch importieren,wobei möglicherweise Zolltarifkontingente die Menge bestimmen werden,und sich zu einem mäßigen Getreideexporteur entwickeln wird. [source] Capital Culture Revisited: Sex, Testosterone and the CityINTERNATIONAL JOURNAL OF URBAN AND REGIONAL RESEARCH, Issue 3 2010LINDA McDOWELL Abstract In this essay I want to revisit and add to the arguments in my book Capital Culture: Gender at Work in the City, published a decade before the first signs of the current financial crisis. There I suggested that the City of London, the financial heart of the UK, is an arena riven by sexualized and gendered scripts: in other words capitalism is gendered. A decade or so later, these arguments seem just as relevant as the financial ,masters of the universe' are brought low, in part by their own behaviour. Here, I explore more explicitly the implications of testosterone-fuelled risk taking by both the traders and the chief executive officers of investment banks in the current world of casino capitalism. Résumé Ce travail reprend et complète le propos de Capital Culture: Gender at Work in the City, le livre que j'ai publié une décennie avant l'apparition des premiers signes de la crise financière actuelle. Cet ouvrage préconisait que la City de Londres, c,ur financier du Royaume-Uni, était une arène scindée selon des scénarios différenciés par sexe et genre, autrement dit le capitalisme était sexué. Près de dix ans plus tard, ces propos semblent tout aussi pertinents d'autant que les ,maîtres de l'univers' de la finance sont amoindris, en partie à cause de leur propre comportement. Sont examinées ici de plus près les implications des prises de risques nourries à la testostérone auxquelles se livrent à la fois les traders et les directeurs généraux des banques d'investissement dans un monde où règne un capitalisme de casino. [source] Early age reproduction in female savanna elephants (Loxodonta africana) after severe poachingAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 2 2009M. J. Owens Abstract A 10-year study revealed that after severe poaching (>93% killed) of elephants (Loxodonta africana) in Zambia's North Luangwa National Park (NLNP) during the 1970s and 1980s, the age of reproduction in females was greatly reduced. Fifty-eight per cent of births were delivered by females aged 8.5,14 years, an age at which elephants were reported to be sexually immature in nearby South Luangwa National Park (SLNP) before poaching. The mean age of females at first birth (AFB) (1993, 1994) was 11.3 years. Prior to poaching, the mean age AFB in SLNP was 16 years. The NLNP age structure and sex ratio were skewed, mean family unit size was reduced, and 37% of family units contained no females older than 15 years. Twenty-eight per cent of family units were comprised entirely of a single mother and her calf, and 8% of units consisted only of orphans who would have been considered sexually immature prior to poaching. Only 6% of survivors were older than 20 years, the age at which females in little-poached populations generally become most reproductively active. After a community-based conservation programme and the UN-CITES ban on the ivory trade were introduced, no elephants were recorded killed. In spite of a high reproductive rate, 6 years after poaching decreased, the density of the NLNP population had not increased, supporting predictions that the removal of older matriarchs from family units will have serious consequences on the recovery of this species. Résumé Une étude qui a duré dix ans a révélé qu'après un braconnage très grave (>93% tués) des éléphants (Loxodonta africana) dans le Parc National de Luangwa Nord (NLNP), en Zambie au cours des années 1970 et 1980, l'âge de la reproduction chez les femelles a fort baissé. Cinquante-huit pour cent des naissances se sont passées chez des femelles qui avaient entre 8,5 et 14 ans, un âge auquel les éléphants étaient dits être encore sexuellement immatures dans le Parc National de Luangwa Sud (SLNP), tout proche, avant le braconnage. L'âge moyen des femelles à la première mise-bas (AFB ,at first birth) (1993, 1994) était de 11,3 ans. Avant le braconnage, l'âge moyen à la première mise-bas était de 16 ans au SLNP. Au NLNP, la structure d'âge et le sex-ratio ont été faussés, la taille moyenne de l'unité familiale a été réduite, et 37% des familles ne contiennent aucune femelle de plus de 15 ans. Vingt-huit pour cent des unités familiales n'étaient composées que d'une mère seule et de son jeune, et huit pour cent n'étaient composées que d'orphelins qui devaient être considérés comme sexuellement immatures avant le braconnage. Seuls six pour cent des survivants avaient plus de 20 ans, l'âge auquel les femelles de populations peu braconnées deviennent généralement les plus actives en matière de reproduction. Après l'introduction d'un programme de conservation communautaire et l'interdiction, par la CITES-UN, du commerce de l'ivoire, on n'a plus enregistré aucun massacre d'éléphant. Malgré un taux élevé de reproduction, la densité de population du NLNP n'a pas augmenté, ce qui conforte les prédictions que l'enlèvement des plus vieilles matriarches des unités familiales aura de sérieuses conséquences sur la restauration de cette espèce. [source] Canadian Approaches to E-Business ImplementationCANADIAN JOURNAL OF ADMINISTRATIVE SCIENCES, Issue 1 2003Rebecca Grant As Web-based business nears the decade mark, it is appropriate to take stock of its progress and the degree to which it has met or fallen short of predictions. This paper examines the extent to which companies have followed the advice of experts when it comes to designing an organizational structure for their e-business initiatives. It compares the prevalence of centralized versus business unit level decision-making in Canadian companies with e-business experience. It also explores who is given responsibility for application development, backend integration, and infrastructure maintenance. The data demonstrate that use of independent contractors has increased. However, outsourcing in general is less prevalent than predicted and implementation driven by business units, rare. Furthermore, the practices of companies with well-established initiatives differ significantly from those of the less experienced, offering important lessons for newcomers to e-business. Résumé Etant donné que le commerce basé sur la toile a presque dix ans, il est temps d'analyser son progrés et l'écart de résultat par rapport aux prédictions. La présente étude analyse quel a été le niveau de suivi des conseils d'expert par les entreprises en qui concerne la programmation des structures de mise en ,uvre de leurs projets de commerce électronique. Elle compare la position dominante des décisions prises au niveau centralisée sur celles prises au niveau de la division spécialisée chez les entreprises canadiennes ayant une expérience en commerce électronique. Elle fait apparaître également à qui a été confiée la responsabilité du développement des logiciels, de l'étape finale de l'intégration et de l'entretien de l'infrastructure. Les données démontrent que l'emploi des entrepreneurs indépendants a augmenté. Cependant, la sous-traitance n'est en général pas aussi forte que prévue et le développement assuré par les divisions spécialisées reste faible. En outre, la pratique des entreprises ayant des activités bien établies se distingue considérablement de celle qui ont moins d'expérience, offrant ainsi des leçons importantes pour les nouveaux venus du commerce électronique. [source] A systematic review of the survival and complication rates of fixed partial dentures (FPDs) after an observation period of at least 5 yearsCLINICAL ORAL IMPLANTS RESEARCH, Issue 6 2004II. Combined tooth, implant-supported FPDs Abstract Objectives: The objective of this systematic review was to assess the 5- and 10-year survival of combined tooth,implant-supported fixed partial dentures (FPDs) and the incidence of biological and technical complications. Methods: An electronic MEDLINE search supplemented by manual searching was conducted to identify prospective and retrospective cohort studies on FPDs with a mean follow-up time of at least 5 years. Patients had to have been examined clinically at the follow-up visit. Assessment of the identified studies and data abstraction was performed independently by two reviewers. Failure and complication rates were analyzed using random-effects Poisson regression models to obtain summary estimates of 5- and 10-year survival proportions. Results: From a total of 3844 titles and 560 abstracts, 176 articles were selected for full-text analysis, and 13 studies met the inclusion criteria. Meta-analysis of these studies indicated an estimated survival of implants in combined tooth,implant-supported FPDs of 90.1% (95 percent confidence interval (95% CI): 82.4,94.5%) after 5 and 82.1% (95% CI: 55.8,93.6%) after 10 years. The survival rate of FPDs was 94.1% (95% CI: 90.2,96.5%) after 5 and 77.8% (95% CI: 66.4,85.7%) after 10 years of function. There was no significant difference in survival of tooth and implant abutments in combined tooth,implant FPDs. After an observation period of 5 years, 3.2% (95% CI: 1.5,7.2%) of the abutment teeth and 3.4% (95% CI: 2.2,5.3%) of the functionally loaded implants were lost. After 10 years, the corresponding proportions were 10.6% (95% CI: 3.5,23.1%) for the abutment teeth and 15.6% (95% CI: 6.5,29.5%) for the implants. After a 5 year observation period, intrusion was detected in 5.2% (95% CI: 2,13.3%) of the abutment teeth. Intrusion of abutment teeth were almost exclusively detected among non-rigid connections. Conclusion: Survival rates of both implants and reconstructions in combined tooth,implant-supported FPDs were lower than those reported for solely implant-supported FPDs (Pjetursson et al. 2004). Hence, planning of prosthetic rehabilitation may preferentially include solely implant-supported FPDs. However, anatomical aspects, patient centered issues and risk assessments of the residual dentition may still justify combined tooth,implant-supported reconstructions. It was evident from the present search that tooth,implant-supported FPDs have not been studied to any great extent and hence, there is a definitive need for more longitudinal studies examining these reconstructions. Résumé L'objectif de cette revue systématique a été de vérifier la survie à cinq et dix années de prothèses partielles fixées portées sur implants et dents et l'incidence des complications techniques et biologiques. Une recherche Medline ainsi que manuelle ont identifié les études prospectives et rétrospectives avec un suivi d'au minimum cinq années. Les patients avaient dû subir un examen clinique lors de ce suivi. L'identification des études et l'analyse des données ont été effectuées indépendamment par deux personnes. Les taux d'échecs et de complications ont été analysés en utilisant les modèles de régression Poisson avec effets hasard pour obtenir des estimations à cinq et dix ans. De 3 844 titres et 560 résumés, 176 articles ont été sélectionnés pour l'analyse approfondie et treize études atteignaient les critères d'inclusion. La méta-analyse de ces études indiquaient une estimation de survie des implants en combinaison des prothèses fixées sur implants et dents de 90,1%(intervalle de confidence 95% : 82,4 à 94,5%) après cinq années et de 82,1% (55,8 à 93,6% après dix années. Le taux de survie de ces prothèses étaient de 94,1% (90,2 à 96,5%) après cinq ans et de 77,8% (66,4 à 85,7%) après dix années. Il n'y avait aucune différence significative dans la survie des piliers dentaires et implantaires dans ces prothèses sur implants et dents. Après une observation de cinq années, 3,2% (1,5 à 7,2%) des piliers dentaires et 3,4% (2,2 à 5,3%) des implants ont été perdus. Après dix années, les proportions correspondantes étaient de 10,6 % (3,5 à 23,1%) pour les dents et de 15,6%(6,5%à 29,5%) pour les implants. Après une observation de cinq années, l'intrusion a été détectée dans 5,2% (2,0 à 13,3%) des dents piliers. L'intrusion des dents piliers étaient presque exclusivement détectée le long des connexions non-rigides. Le taux de survie de ces prothèses sur pilier dents et implants étaient inférieur à celui rapporté pour le même type de prothèse seulement placé sur implants (Pjetursson et al. 2004). Le plan de prothèse pourrait donc avoir une préférence pour ne placer des prothèses que sur des implants. Cependant les aspects anatomiques, le respect du patient et les risques pour la dentition résiduelle peuvent justifier les reconstructions sur implants et dents. Il était évident que lors de la recherche présente les bridges sur implants et dents n'avaien pas été beaucoup étudiés; il s'avère donc nécessaire de débuter davantage d'études longitudinales. Zusammenfassung Ziel: Ziel dieser systematischen Übersicht war einerseits die Bestimmung der Überlebenszeit von kombiniert zahn-implantat-getragenem festsitzendem Zahnersatz (FPDs) nach 5 und 10 Jahren und andererseits die Häufigkeit von biologischen und technischen Komplikationen zu beschreiben. Methoden: Man führte eine manuell ergänzte elektronische Medline-Suche durch, um prospektive und retrospektive Kohortenstudien über FPDs mit einer durchschnittlichen Beobachtungszeit von mindestens 5 Jahren zu identifizieren. Die Patienten mussten bei den Nachkontrollen auch klinisch untersucht worden sein. Die Aufnahme der ausgewählten Studien und die Abstraktion der Daten wurde von zwei Personen unabhängig voneinander durchgeführt. Mit Hilfe eines Poission Regressionsmodells analysierte man die Misserfolgs- und Komplikationsraten und erhielt so zusammenfassende schätzwerte für die über lebenswahrscheindichkeit nach 5 und 10 Jahren. Resultate: Die Suche lieferte 3844 Titel und 560 Abstracts. Die Analyse des gesamten Textes erfolgte bei 176 Artikeln, von denen aus 13 Studien, die Einschlusskriterien erfüllten. Die Meta-Analyse dieser Studien ergab eine geschätzte Überlebensrate der Implantate in gemischt zahn-implantat-getragenen FPDs von 90.1% (95% CI: 82.4,94.5%) nach 5 Jahren und 82.1% (95% CI: 55.8,93.6%) nach 10 Jahren. Die Überlebensrate der FPDs betrug 94.1% (95% CI: 90.2,96.5%) nach 5 Jahren und 77.8% (95% CI: 66.4,85.7%) nach 10 Jahren in Funktion. Man fand bei den kombiniert zahn-implantat-getragenen FPDs keine signifikanten Unterschiede bei der Überlebensrate von Zahn- und Implantatpfeilern. Nach einer Beobachtungszeit von 5 Jahren waren 3.2% (95% CI: 1.5,7.2%) der Pfeilerzähne und 3.4% (95% CI: 2.2,5.3%) der funktionell belasteten Implantate verloren gegangen. Nach 10 Jahren betrugen die entsprechenden Werte 10.6% (95% CI: 3.5,23.1%) für die Pfeilerzähne und 15.6% (95% CI: 6.5,29.5%) für die Implantate. Nach einer Beobachtungszeit von 5 Jahren konnte man bei 5.2% (95% CI: 2,13.3%) der Pfeilerzähne eine Intrusion feststellen. Eine Intrusion war fast ausschliesslich bei nicht-starren Verbindungen festzustellen. Zusammenfassung: Die Überlebensraten für Implantate und Rekonstruktionen in kombiniert zahn-implantat-getragenen FPDs waren tiefer als die, welche in der Partnerstudie (Pjetursson et al. 2004) für allein implantat-getragene FPDs festgestellt worden sind. Daher müsste die Planung von prothetischen Rehabilitationen eigentlich vorzüglich mit rein implantat-getragenen FPDs durchgeführt werde. Anatomische Aspekte, patientenspezifische Gründe und die Risikoanalysen der Restbezahnung können aber weiterhin kombiniert zahn-implantat-getragene Rekonstruktionen rechtfertigen. Bei dieser Untersuchung wurde klar, dass die zahn-implantat-getragenen FPD's noch nicht in grösserem Ausmass studiert worden sind, was einen dringenden Bedarf an weiteren Lanzeitstudien, die diese Rekonstruktionen erforschen, zeigt. Resumen Objetivos: El objetivo de esta revisión sistemática fue valorar la supervivencia de dentaduras parciales fijas soportadas por implantes (FPDs) y describir la incidencia de complicaciones biológicas y técnicas. Métodos: Se llevó a cabo una búsqueda electrónica por Medline complementada con una búsqueda manual para identificar estudios cohorte prospectivos y retrospectivos acerca de FPDs con un tiempo de seguimiento medio de al menos 5 años. Los pacientes tenían que haber sido examinados clínicamente en la visita de seguimiento. La valoración de los estudios encontrados y de la abstracción de datos se llevó a cabo independientemente por dos revisores. Los índices de fracaso y complicación se analizaron usando modelos de regresión de efectos aleatorios de Poisson para obtener estimaciones de los sumarios de las proporciones de supervivencia a los 5 y 10 años. Resultados: De un total de 3844 títulos y 560 resúmenes, se seleccionaron 176 artículos para análisis, y 13 estudios coincidieron con los criterios de inclusión. Un meta análisis de estos estudios indicaron una supervivencia estimada de los implantes en FPDs soportados por dientes e implantes combinados del 90.1% (95% CI: 82.4,94.5%) tras 5 años, y 82.1% (95% CI: 55.8,93.6%) tras 10 años. El índice de supervivencia de los FPDs fue del 94.1% (95% CI: 90.2,96.5%) tras 5 años, y 77.8% (95% CI: 66.4,85.7%) tras 10 años en función. No hubo diferencias significativas en la supervivencia de los pilares de implantes o dientes en FPDs de dientes e implantes combinados. Tras un periodo de observación de 5 años, el 3.2% (95% CI: 1.5,7.2%) de los dientes pilares y 3.4% (95% CI: 2.2,5.3%) de los implantes en carga funcional se perdieron. Tras 10 años, las proporciones correspondientes fueron del 10.6% (95% CI: 3.5,23.1%) para los dientes pilares y 15.6% (95% CI: 6.5,29.5%) para los implantes. Tras un periodo de observación de 5 años, se detectó intrusión en 5.2% (95% CI: 2,13.3%) de los dientes pilares. La intrusión de los dientes pilares se casi exclusivamente detectada entre las conexiones no rígidas. Conclusión: Los índices de supervivencia de los implantes y las reconstrucciones en FPDs soportadas por dientes e implantes combinados fueron menores que los reportados para FPDs soportados por implantes únicamente (Pjetursson et al. 2004). Por lo tanto, la planificación de la rehabilitación prostética puede incluir preferentemente FPDs soportados solo por implantes. De todos modos, los aspectos anatómicos, las necesidades exactas del paciente y las valoraciones de riesgo de la dentición residual pueden todavía justificar las reconstrucciones soportadas por dientes e implantes combinados. Fue evidente de la presente búsqueda que los FPDs soportados por dientes e implantes no han sido estudiados extensamente y por lo tanto, existe definitivamente una necesidad para mas estudios longitudinales que examinen estas reconstrucciones. [source] Effect of implant design on survival and success rates of titanium oral implants: a 10-year prospective cohort study of the ITI® Dental Implant SystemCLINICAL ORAL IMPLANTS RESEARCH, Issue 1 2004Ioannis K. Karoussis Abstract Aim: The aim of this 10-year study (observation time 8,12 years, mean: 10 years) was to compare the survival rates, success rates and incidences of biological complications using three different implant designs of the ITI® Dental Implant System. Material and methods: In 89 dental patients treated comprehensively, a total of 112 hollow screw (HS), 49 hollow cylinder (HC) and 18 angulated hollow cylinder (AHC) implants were installed depending on the available bone volume and according to prosthetic needs. One and 10 years after surgical placement, clinical and radiographic parameters were assessed. The incidences of peri-implantitis according to various thresholds were registered over 10 years of maintenance. Results: Success criteria at 10 years were set at: pocket probing depth (PPD)5 mm, bleeding on probing (BoP),, bone loss < 0.2 mm annually. The survival rate for HS was 95.4%, for HC 85.7% and for AHC 91.7%. Ninety percent of all the HS, 71% of the HC and 88% of the AHC did not present with an incidence of peri-implantitis over the 10 years, HC having significantly higher incidence of peri-implantitis than HS (P< 0.004). With the success criteria set above, a success rate for HS of 74%, for HC of 63% and for AHC of 61% was identified at 10 years. However, including a definition of PPD6 mm, BoP , and bone loss < 0.2 mm annually for success, the rates for HS were 78%, for HC 65% and for AHC 67%, respectively. Basing success criteria purely on clinical parameters (without radiographic analysis), such as: PPD5 mm and BoP,, the success rates increased to 90%, 76% and 89%, respectively. With PPD6 mm and BoP , as success criteria chosen, the respective rates were 94%, 82% and 94% for HS, HC and AHC implants, respectively. Conclusions: A significantly higher survival rate as well as a significantly lower incidence of peri-implantitis was identified for hollow screw design ITI® Dental Implants after 10 years of service when compared to hollow cylinder design ITI® Dental Implants (95.4% vs. 85.7%; 10% vs. 29%). Depending on the setting of the threshold criteria for success, success rates are highly variable and hence, reporting of success rates with elaboration on the criteria set appears crucial for comparison of different studies. Résumé Le but de ce suivi d'une décennie a été de comparer les taux de survie, les taux de succès et les incidences des complications biologiques de l'utilisation de trois modèles implantaires différents du système ITI® Dental Implant. Chez 89 patients, 112 vis creuses (HS), 49 cylindres creux (HC) et 18 cylindres creux angulés (AHC) ont été placés suivant le volume osseux disponible et les nécessités prothétiques. Une et dix années après leur placement, des paramètres cliniques et radiographiques ont été définis. Les incidences de paroïmplantite relatives aux différents seuils ont été enregistrées durant ces dix années de maintenance. Les succès des critères à dix ans étaient placés à : PPD5 mm, BoP-, perte osseuse <0,2 mm/an. Le taux de survie pour HS était de 95,4%, pour HC de 86% et pour AHC de 92%. Nonante pour cent de tous les HS, 71% des HC et 88% des AHC ne présentaient pas d'incidences de paroïmplantite durant ces dix années, HC ayant une plus importante incidence de paroïmplantite que HS (p<0,004). Grace aux critères de succès indiqués, un taux de succès de 74% pour HS, de 63% pour HC et de 61% pour AHC a été identifié après dix ans. Cependant, en définissant le succès avec PPD6mm, BoP- et perte osseuse <0,2mm/an, les taux étaient de 78% pour HS, de 65% pour HC et de 67% pour AHC. En basant les taux de succès uniquement sur les paramètres cliniques (sans l'analyse radiographique) tels que PPD5 mm et BoP-, les taux de succès augmentaient respectivement à 90, 76 et 89%. Avec PPD6mm et BoP- comme critères de succès, les taux s'élevaient respectivement à 94, 82 et 94%. Un taux de survie significativement plus important ainsi qu'une incidence significativement plus faible de paroïmplantite étaient constatés au niveau des implants vis creuses après dix ans de mise en fonction comparés aux cylindres creux. Suivant l'établissement du seuil pour les critères du succès, les taux de ce succès sont extrêmement variables et rapporter les taux de succès suivant l'élaboration des critères est donc crucial pour comparer différentes études. Zusammenfassung Ziel: Das Ziel dieser 10-Jahresstudie (Beobachtungszeit 8,12 Jahre, Mittelwert: 10 Jahre) war es, bei ITI® -Implantaten mit drei verschiedenen Designs, die Erfolgs- und Überlebensrate zu vergleichen, und das Auftreten von biologischen Zwischenfällen zu untersuchen. Material und Methode: Bei 89 synoptisch behandelten Patienten implantierte man in Abhängigkeit des vorhandenen Knochenvolumens und der prothetischen Anforderungen insgesamt 112 Hohlschraubenimplantate (HS), 49 Hohlzylinderimplantate (HC) und 18 abgewinkelte Hohlzylinderimplantate (AHC). Ein und zehn Jahre nach der Implantation nahm man die klinischen und radiologischen Parameter auf. Eine Periimplantitis registrierte während der 10-jährigen Erhaltungsphase anhand verschiedener Grenzwerte. Resultate: Die Kriterien für einen Erfolg nach 10 Jahren legte man bei den folgenden Werten fest: PPD <5mm, BOP-, jährlicher Knochenverlust <0.2mm. Die Überlebensrate für ein HS lag bei 95.4%, für ein HC bei 85.7% und für ein AHC bei 91.7%. 90% aller HS, 71% aller HC und 88% aller AHC zeigte während den 10 Jahren nie Anzeichen einer Periimplantitis, wobei die HC signifikant häufiger Periimplantitis hatten, als die HS (p<0.004). Mit den oben festgelegten Erfolgskriterien ergab sich nach 10 Jahren für die HS eine Erfolgsrate von 74%, für die HC eine von 63% und für die AHC eine von 61%. Veränderte man die Definition auf "PPD<6mm, BOP -, jährlicher Kochenverlust <0.2mm", so betrugen die Erfolgsraten für die HS 78%, für die HC 65% und für die AHC 67%. Basierten die Erfolgskriterien rein auf klinischen Parametern (PPD <5mm, BOP-, keine röntgenologische Anlyse), so stiegen die Erfolgsraten auf 90%, 76% und 89% an. Wählte man die Erfolgskriterien "PPD <6mm und BOP -", so betrugen die Erfolgsraten für die HS 94%, für die HC 82% und für die AHC 94%. Zusammenfassung: Verglich man nach 10-jähriger Funktion die Hohlschrauben des ITI® -Implantat-Systems mit den Hohlzylindern desselben Systems, so ergab sich für die HS sowohl eine signifikant höher Überlebensrate, wie auch ein selteneres Auftreten von Periimplantitis (95.4% vs. 85.7%; 10% vs. 29%). Die Erfolgsraten variieren in Abhängigkeit der in der Definition eines Erfolges festgelegten Grenzwerten enorm stark. Dies erweist sich im Vergleich von verschiedenen Studien als hinderlich, weil die Definition der Erfolgsraten meist auf verschiedenen Kriterien beruhen. Resumen Intención: La intención de este estudio de 10 años (tiempo de observación 8,12, media: 10 años) fue comparar los índices de supervivencia, índices de éxito e índices de complicaciones biológicas usando tres diferentes diseños de implantes del Sistema de Implantes Dentales ITI®. Material y Métodos: Se instalaron en 89 pacientes dentales tratados completamente un total de 112 tornillos huecos (HS), 49 cilindros huecos (HC) y 18 cilindros huecos angulados (AHC) dependiendo de la disponibilidad de volumen óseo y de acuerdo con las necesidades protésicas. Se valoraron parámetros clínicos y radiográficos uno y diez años tras la colocación quirúrgica. Se registraron las incidencias de periimplantitis de acuerdo con varios umbrales a lo largo de 10 años de mantenimiento. Resultados: Los criterios de éxito a los 10 años se situaron en PPD5mm, BoP-, pérdida ósea < 0.2mm por año. El índice de supervivencia para los HS fue del 95.4%, para los HC del 85.7% y para los AHC del 91.7%. El 90% de los HS, el 71% de los HC y el 88% de los AHC no presentaron ninguna incidencia de periimplantitis a lo largo de los 10 años, HC tuvo una significativamente mayor incidencia de periimplantitis que HS (p< 0.004). Con los criterios de éxito antes mencionados, se identificó un índice de éxito para HS del 74%, para HC del 63% y para AHC del 61% a los 10 años. De todos modos, incluyendo una definición de PPD6mm, BoP, y pérdida ósea <0.2mm al año para tener éxito, los índices para HS fueron del 78%, para HC 65% y para AHC 67%, respectivamente. Basando los criterios de éxito puramente en parámetros clínicos (sin análisis radiográficos), tales como: PPD5mm y BoP-, los índices de éxito subieron hasta el 90%, 76% y 89%, respectivamente. Con el PPD6mm y BoP , como criterios de éxito elegidos, los índices respectivos fueron del 94%,82% y 94% para implantes HS, HC y AHC, respectivamente. Conclusiones: Se identificó un significativamente mayor índice de supervivencia al igual que una menor incidencia de periimplantitis para el diseño de tornillo hueco Implante Dental ITI®. (95.4% vs. 85.7; 10% vs. 29%). Dependiendo de la definición del criterio del umbral de éxito, los índices de éxito son altamente variables y por tanto, los informes de los índices de éxito con elaboración de la definición de criterios parece ser crucial para la comparación de los diferentes estudios. [source] |