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De Conservation (de + conservation)
Selected AbstractsCensusing the mountain gorillas in the Virunga Volcanoes: complete sweep method versus monitoringAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 3 2010Maryke Gray Abstract The mountain gorillas (Gorilla beringei beringei) of the Virunga Volcanoes Range of Rwanda, Uganda, and the Democratic Republic of Congo are one of the most endangered ape populations in the world. Following a dramatic decline during the 1960s, and relative stability in the 1970s, the population steadily increased during the 1980s. Due to political instability and war, a complete census had not been conducted since 1989. Here we compare the results of a complete census using the ,sweep method' conducted in 2003 with those from a monitoring program, to estimate the size and distribution of the gorilla population. A total of 360 gorillas were counted from census measurements and known habituated groups. Based on quantitative assessments of the census accuracy, we calculated that an additional 20 gorillas were not counted, leading to an estimated population of 380 individuals, and a 1.15% annual growth rate since 1989. The Ranger Based Monitoring programme yielded similar results. The encouraging results must be viewed with caution, however, because the growth was concentrated almost entirely in one section of the Virungas. Additionally, the distribution of gorilla groups was negatively correlated with the frequency of human disturbances, which highlights the need to continue strengthening conservation efforts. Résumé Les gorilles de montagne Gorilla gorilla beringei de l'aire de répartition des Volcans Virunga, au Rwanda, en Ouganda et en République Démocratique du Congo, sont une des populations de grands singes les plus menacées du monde. Après un déclin dramatique dans le courant des années 1960, et une stabilité relative dans les années 1970, la population s'est fermement reconstituée au cours des années 1980. Mais en raison de l'instabilité politique et de la guerre, il n'y avait plus eu de recensement total depuis 1989. Nous comparons ici les résultats d'un recensement complet effectué en 2003 par la méthode du balayage topologique (sweep method) avec ceux d'un programme de suivi, afin d'estimer la taille et la distribution de la population de gorilles. Nous avons dénombré un total de 360 gorilles en reprenant les chiffres du recensement et ceux des groupes habitués connus. En nous basant sur l'évaluation quantitative de la précision du recensement, nous avons calculé que 20 gorilles supplémentaires n'avaient pas été comptés, ce qui porte l'estimation à 380 individus et signifie un taux de croissance annuel de 1,15% depuis 1989. Le Programme de Suivi basé sur les gardes a obtenu des résultats comparables. Pourtant, ces résultats encourageants doivent être interprétés avec prudence étant donné que la croissance s'est presque entièrement concentrée sur une seule section des Virunga. De plus, la distribution des groupes de gorilles était négativement liée à la fréquence des perturbations humaines, ce qui souligne la nécessité de poursuivre le renforcement des mesures de conservation. [source] Disturbance indicators and population decline of logged species in Mt. Elgon Forest, KenyaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 3 2010Joseph Hitimana Abstract Mount (Mt) Elgon forest in western Kenya is important for biodiversity, environmental protection and socio-economic development. Characterizing forest conditions is essential for evaluation of sustainable management and conservation activities. This paper covers findings of a study which determined and analysed indicators useful in monitoring disturbance levels in the Mt Elgon Forest. A systematic survey was carried out and covered 305 plots of 0.02 ha and 250 smaller nested regeneration plots along 10 belt transects that were distributed in five blocks within the moist lower montane forest type. Collected and analysed data include types of disturbance, tree species composition, abundance and logged species. Correlation breakdown among disturbance types revealed that, paths were indicators of the number of tree harvesting sites (rs =1.00, P < 0.01) and of de-vegetated areas through grass harvesting (rs = 0.90, P = 0.04). Solanum mauritianum Scop. was an indicator of old-charcoal production sites. Logging targeted 13 tree species and harvested trees with diameter at breast height above 20 cm. The most exploited species were Olea capensis L. and Deinbolia kilimandscharica Taub. All exploited species had low regeneration but tree regeneration was not an effective indicator of logging. Résumé La forêt du Mont Elgon, dans l'ouest du Kenya, est importante pour sa biodiversité, pour la protection de l'environnement et pour le développement socioéconomique. Il est essentiel de bien définir les caractéristiques de ses conditions pour pouvoir évaluer les activités de gestion durable et de conservation. Cet article reprend les résultats d'une étude qui a déterminé et analysé des indicateurs intéressants pour pouvoir suivre le niveau de perturbation dans la forêt du Mont Elgon. Une étude systématique fut menée, qui a couvert 305 parcelles de 0,02 ha et 250 plus petites parcelles de régénération incluses le long de 10 transects de ceinture, distribuées en cinq blocs dans la forêt humide de basse montagne. Les données récoltées et analysées comprennent les types de perturbation, la composition des espèces d'arbres, leur abondance et celles qui sont exploitées. Une rupture de corrélation parmi les types de perturbation a révélé que les sentiers étaient des indicateurs du nombre de sites oùétaient récoltés les arbres (rs = 1.00; P < 0.01) et de zones sans végétation à cause de la récolte de l'herbe (rs = 0.90; P < 0.04). Solanum mauritianum Scop. était un indicateur d'anciens sites de production de charbon de bois. Les coupes d'arbres concernaient 13 espèces dont le diamètre à hauteur de poitrine dépassait 20 cm. Les espèces les plus exploitées étaient Olea capensis L. et Deinbolia kilimandscharica Taub. Toutes les espèces exploitées avaient une faible régénération, mais une régénération d'arbres n'était pas un indicateur fiable d'anciennes coupes d'arbres. [source] Medicinal plants of Erute county, Lira district, Uganda with particular reference to their conservationAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 2 2010Christine Oryema Abstract A medicinal plant study was carried out in eighteen parishes and 54 villages of Erute county, Lira district, Uganda. Parishes and villages were selected using stratified random sampling techniques. Questionnaires, interviews and discussions with the local people were used to obtain information on the names of the plants, their medicinal uses and conservation methods. The number of the medicinal plants species used was 180 belonging to 144 genera and 57 families of flowering plants. The major families recorded for medicinal purpose included Fabaceae (37 species), Asteraceae (26 species), Euphorbiaceae (eleven species), Vitaceae (eight species), Verbenaceae (seven species), Poaceae (six species), Solanaceae (five species), and Rubiaceae (four species). There is a need for putting in place measures to conserve these plants. Unfortunately, most of the healers or users were not interested in cultivation of the plants. The situation could worsen with the social changes and demand for land for agriculture in the district. Résumé Nous avons réalisé une étude des plantes médicinales dans 18 paroisses et 54 villages du Comté d'Erute, dans le district de Lira, en Ouganda. Paroisses et villages furent sélectionnés au moyen de techniques d'échantillonnage au hasard stratifié. On a eu recours à des questionnaires, des interviews et des discussions avec les populations locales pour obtenir des informations sur le nom des plantes, leur utilisation médicinale et les méthodes de conservation. Il y avait 180 plantes médicinales appartenant à 144 genres et à 57 familles de plantes à fleurs. Les principales familles rapportées dans le domaine médicinal comprenaient les Fabaceae (37 espèces), les Asteraceae (26 espèces), les Euphorbiaceae (11 espèces), les Vitaceae (8 espèces), les Verbenaceae (7 espèces), les Poaceae (6 espèces), les Solanaceae (5 espèces), et les Rubiaceae (4 espèces). Il faut instaurer des mesures pour conserver ces plantes. Malheureusement, la plupart des guérisseurs ou des utilisateurs n'étaient pas intéressés par la culture de ces plantes. La situation pourrait empirer en raison des changements sociaux et de la demande de terres pour l'agriculture dans ce district. [source] Does designation of protected areas ensure conservation of tree diversity in the Sudanian dry forest of Burkina Faso?AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 2 2010Souleymane Paré Abstract The importance of conservation status of the forest (protected versus unprotected) at two sites with differing human population density (high versus low) on the tree diversity of a Sudanian dry forest in Burkina Faso was studied. All woody species were recorded in 127 circular plots (area = 456.16 m2), and density, dominance, frequency, importance value indices and a variety of diversity measures were calculated to assess the species composition, structure and heterogeneity. A total of 69 species, representing 26 families and 52 genera, were found. Combretaceae, Leguminosae subfamily Caesalpinioideae and Rubiaceae were the dominant families. Neither human pressure nor forest conservation status significantly influenced the tree species richness. Stem density and basal area were significantly higher at the site with high population density than otherwise. Fisher's diversity index revealed the unprotected forest at the site with low population density as the most diverse. We identified species with high conservation importance that should be enriched to maintain a viable population size. In conclusion, the current designation of protected areas seems inefficient at ensuring the conservation of tree diversity in the forest reserve. Thus, participatory conservation programme should be initiated. Résumé À deux endroits où la densité de population humaine est différente (forte versus faible), nous avons étudié l'importance du statut de conservation de la forêt (protégée ou non) pour la diversité d'une forêt soudanienne sèche du Burkina Faso. On a enregistré toutes les espèces ligneuses sur 127 parcelles circulaires (superficie = 456,16 m²), et on a calculé la densité, la dominance, les indices de valeurs d'importance value et une variété de mesures de diversité pour évaluer la composition, la structure et l'hétérogénéité des espèces. On a découvert un total de 69 espèces, représentant 26 familles et 52 genres. Les familles dominantes étaient Combretaceae, Leguminosae de la sous-famille Caesalpinioideae, et Rubiaceae. Ni la pression humaine, ni le statut de conservation des forêts n'influençaient significativement la richesse en espèces d'arbres. La densité des troncs et la surface terrière à la base étaient significativement plus élevées sur le site à forte densité de population. L'indice de diversité de Fisher a permis de révéler que la forêt non protégée du site à faible densité de population était la plus diversifiée. Nous avons identifié des espèces de haute valeur de conservation qui devraient être enrichies pour préserver une taille de population viable. En conclusion, la désignation actuelle d'aires protégées semble inefficace pour assurer la conservation de la diversité des arbres dans la réserve forestière. Donc, il faudrait initier un programme de conservation participative. [source] Impacts of traditional land uses on biodiversity outside conservation areas: effects on dung beetle communities of Vaalbos National ParkAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 2 2010Thokozani S. Simelane Abstract Grazing is one of the key processes in terrestrial ecosystems and this can be provided by both indigenous and domestic ungulates. However, a question remains whether or not traditional forms of land use such as the grazing of domestic animals support the maintenance of biodiversity. If it does not, then the second question becomes to what extent does grazing of domestic animals alter the systems and processes that support biodiversity? This study demonstrates that in attempting to answer this question, small organisms like dung beetles are ideal indicators that can be used to express significant differences between conserved (indigenous) and non-conserved (domestic) land. As a general trend, studies that investigated these differences displayed differences through analysis of the diversity indices. This method has in most cases demonstrated a lack of contrast between conserved and non-conserved land. In the existence of such uncertainty this study has demonstrated that in such cases, where the analysis of biodiversity indices fail to demonstrate significant differences a closer examination of actual species such as guilds and functional groups could confirm significant differences between conserved and non-conserved land. These apparently conflicting findings reflect the need to consider the actual elements of biodiversity (e.g. species) when assessing conservation issues rather than just the statistical measures of biodiversity. Résumé Le pâturage est un des processus clés dans les écosystèmes terrestres, et il est le fait d'ongulés aussi bien indigènes que domestiques. Pourtant, la question subsiste de savoir si oui ou non des formes traditionnelles d'utilisation des terres telles que le pâturage des animaux domestiques favorisent le maintien de la biodiversité. Si la réponse est non, la seconde question consiste à se demander dans quelle mesure le pâturage des animaux domestiques modifie les systèmes et les processus qui sous-tendent la biodiversité. Cette étude montre que, pour essayer de répondre à cette question, de petits organismes comme les bousiers sont des indicateurs idéaux que l'on peut utiliser pour exprimer des différences significatives entre les terres protégées (animaux indigènes) et non protégées (animaux domestiques). Selon une tendance générale, les études qui ont recherché ces différences exprimaient des différences par l'analyse des indices de biodiversité. Dans la plupart des cas, cette méthode montrait un manque de contraste entre terres conservées et non conservées. Lorsqu'une telle incertitude subsiste, cette étude a pu montrer que, lorsque l'analyse des indices de biodiversité n'arrive pas à prouver de différences significatives, un examen plus approfondi d'espèces réelles, comme des guildes ou des groupes fonctionnels, peut confirmer des différences significatives entre les terres préservées et non préservées. Ces résultats apparemment contradictoires montrent bien qu'il est nécessaire de considérer les éléments réels de la biodiversité (ex. des espèces) lorsque l'on évalue des questions de conservation, au lieu de se contenter de mesures statistiques de la biodiversité. [source] Impact of the black rhinoceros (Diceros bicornis minor) on a local population of Euphorbia bothae in the Great Fish River Reserve, South AfricaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 4 2009Bodina L. Luske Abstract In the Great Fish River Reserve, South Africa, black rhinoceros (Diceros bicornis minor) feed extensively on a local population of Euphorbia bothae. Maintaining the endangered black rhinoceros and the protected E. bothae population are both conservation priorities of the reserve. Therefore, the sustainability of this plant,animal interaction was investigated by comparing population characteristics, browsing incidence and intensity within the reserve and in an adjacent exclosure without access to rhino. Fixed-point photographs showed that over a 2-month period 36.6% of 213 monitored plants were browsed, with an average biomass loss of 13%, and 1% were destroyed. Of 26 plants re-photographed after approximately 3 years, 70% showed a decrease in biomass, averaging 37.8% over this period. In this time span, 19% of the monitored plants died. Small plants (<45 cm) were over-represented in the rhino-browsed area, whereas the fraction of reproductively active plants and overall plant density were found to be lower than in the adjacent exclosure. No evidence of short-term compensatory growth in response to browsing was found for E. bothae. This study indicates that, with the current population size, rhinos are overexploiting the E. bothae population and special measures should be taken to prevent local extinction. Résumé Dans la Great Fish River Reserve, en Afrique du Sud, le rhinocéros noir (Diceros bicornis minor) se nourrit en très grande partie d'une population locale d'Euphorbia bothae. Le maintien du rhino noir en danger et de la population protégée d'E. bothae sont deux priorités de la réserve en matière de conservation. C'est pourquoi on a investigué la durabilité de cette interaction plante-animal en comparant les caractéristiques des populations, l'incidence et l'intensité de la consommation du rhino dans la réserve et dans un enclos adjacent d'où les rhinos sont exclus. Des photographies prises d'un point fixe ont montré que, sur une période de deux mois, 36.6% des 213 plantes suivies avaient été broutées, avec une perte moyenne de biomasse de 13%, et un pour cent avait été détruit. Des 26 plantes qui avaient été rephotographiées après environ trois ans, 70% montraient une diminution de la biomasse, qui était de 37.8% en moyenne pour cette période. Pendant ce laps de temps, 19% des plantes suivies sont mortes. Les petites plantes (<45 cm) étaient surreprésentées dans la zone broutée par les rhinos, alors que la fraction des plantes actives au point de vue reproduction et la densité générale des plantes se sont avérées plus faibles que dans l'enclos adjacent. On n'a pu mettre en évidence aucune croissance compensatoire d'E. bothaeà court terme en réponse au broutage des rhinos. Cette étude indique que, vu la taille actuelle de leur population, les rhinos surexploitent la population d'E. bothae et qu'il faut prendre des mesures spéciales pour empêcher l'extinction locale de cette dernière. [source] Hunting, disturbance and roost persistence of bats in caves at Ankarana, northern MadagascarAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 4 2009Scott G. Cardiff Abstract Surveys and monitoring of 37 caves in and around the Ankarana Special Reserve, northern Madagascar, yielded evidence of hunting of bats and potential disturbance of bats by miners and tourists, and colony counts for several bat species of potential conservation concern. Colony size decreased by 95% and 14% for a colony of Hipposideros commersoni and a colony of Eidolon dupreanum, respectively, when recent evidence of hunting occurred at those colonies and those declines are probably attributable to hunting. Evidence of hunting occurred commonly at the roosts of those species and most commonly at the roosts of Rousettus madagascariensis. Hunting of pteropodids was associated with high vulnerability of roosts to hunters, little forest buffer between the cave and open savannah and the absence of tombs in the cave. Roost sites of the hunted species persisted for at least several years and this regularity may facilitate hunting. This work supports the ranking of E. dupreanum, R. madagascariensis and H. commersoni as species of conservation concern. Managers should consider the impact of tourist visits on bats and of increasing access to caves for tourism. Conservation efforts for the hunted species should also seek to protect vulnerable and unprotected cave roosts. Résumé Des études et un suivi continu de 37 grottes dans la Réserve Spéciale d'Ankarana et dans les environs, dans le nord de Madagascar, ont permis de récolter des preuves de la chasse aux chauves-souris et de l'éventuel dérangement des chauves-souris par des mineurs et des touristes; et des comptes de colonies pour plusieurs espèces dont le statut de conservation pourrait être inquiétant. La taille des colonies avait baissé de 95% et de 14% respectivement pour Hipposideros commersoni et pour Eidolon dupreanum, lorsque des preuves récentes de chasse sont apparues dans ces colonies; ces déclins sont probablement dus à la chasse. Des preuves de chasse étaient réguliérement présentes aux dortoirs de ces espèces, et plus communes encore aux dortoirs de Rousettus madagascariensis. La chasse des ptéropodidés était associée à une grande vulnérabilité des dortoirs face aux chasseurs, à une petite zone forestière tampon entre la grotte et la savane ouverte, et à l'absence de tombes dans la grotte. Les sites de repos des espèces chassées existaient depuis plusieurs années au moins, et cette persistance pourrait faciliter la chasse. Ce travail soutient le classement de E. dupreanum, R. madagascariensis et H. commersoni parmi les espèces dont le statut de conservation est inquiétant. Les gestionnaires devraient considérer l'impact des visites de touristes sur les chauves-souris et de l'augmentation de l'accès aux grottes pour le tourisme. Les efforts de conservation des espèces chassées devraient aussi viser à protéger les dortoirs dans des grottes vulnérables et non protégées. [source] Using the extended quarter degree grid cell system to unify mapping and sharing of biodiversity dataAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 3 2009R. Larsen Abstract Information on the distribution of animal populations is essential for conservation planning and management. Unfortunately, shared coordinate-level data may have the potential to compromise sensitive species and generalized data are often shared instead to facilitate knowledge discovery and communication regarding species distributions. Sharing of generalized data is, unfortunately, often ad hoc and lacks scalable conventions that permit consistent sharing at larger scales and varying resolutions. One common convention in African applications is the Quarter Degree Grid Cells (QDGC) system. However, the current standard does not support unique references across the Equator and Prime Meridian. We present a method for extending QDGC nomenclature to support unique references at a continental scale for Africa. The extended QDGC provides an instrument for sharing generalized biodiversity data where laws, regulations or other formal considerations prevent or prohibit distribution of coordinate-level information. We recommend how the extended QDGC may be used as a standard, scalable solution for exchange of biodiversity information through development of tools for the conversion and presentation of multi-scale data at a variety of resolutions. In doing so, the extended QDGC represents an important alternative to existing approaches for generalized mapping and can help planners and researchers address conservation issues more efficiently. Résumé L'information sur la distribution des populations animales est essentielle pour la planification de la conservation et la gestion. Malheureusement, les données partagées au niveau des coordonnées risquent de compromettre les espèces sensibles, et les données généralisées sont souvent partagées pour faciliter la découverte et la communication des connaissances concernant la distribution des espèces. Le partage de données généralisées est, malheureusement, souvent opportuniste et manque de conventions mesurables qui permettraient le partage cohérent sur une plus grande échelle et à des résolutions variées. Une convention commune pour des applications africaines est le système de Quarter Degree Grid Cells (QDGC). Cependant, la norme actuelle ne supporte pas l'emploi des références uniques à travers l'Equateur et le premier méridien. Nous présentons une méthode pour étendre la nomenclature QDGC pour soutenir l'adoption de références uniques à l'échelle du continent, en Afrique. Le QDGC étendu fournit un instrument pour partager les données généralisées sur la biodiversité là où les lois, les réglementations et les autres considérations formelles empêchent ou interdisent la distribution de l'information au niveau coordonné. Nous disons dans quelle mesure le QDGC étendu peut être utilisé comme norme, une solution mesurable pour l'échange d'informations sur la biodiversité grâce au développement d'instruments pour la conversion et la présentation de données àéchelle multiple à des résolutions diverses. Ce faisant, le QDGC étendu représente une alternative importante aux approches existantes pour la cartographie généralisée et il peut aider les planificateurs et les chercheurs à traiter les problèmes de conservation plus efficacement. [source] The use of teak (Tectona grandis) plantations by large mammals in the Kilombero Valley, southern TanzaniaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 2 2009C. Bonnington Abstract The establishment of plantations is impacting the large mammal populations of the Kilombero Valley, Tanzania. Animal spoors were used as a proxy for activity to determine the influence of teak stand age on mammals. Habitat variables were compared between different aged stands to investigate the relationship between mammal activity and vegetation characteristics. Vegetation surveys found plantation composition to differ with age; with young stands characterized by slender teak trees, limited leaf litter, abundant grass layer and substantial bare ground. Older plantations contained a high leaf litter layer and dead wood, low grass abundance and minimal bare ground. Spoor transects revealed that mammal species number decreased as the teak matured. Of those vegetation variables tested, grass and bare ground abundance explained significantly the variation in species number and in individual species' habitat use between differently aged stands; therefore this habitat use was influenced by the foraging value of the plantation. This study showed that several species (some of which warrant conservation attention, such as elephant) use plantations <6 years old to a greater extent than plantations >6 years. Thus, there is a need for conservation measures, such as wildlife corridors and staggered teak planting to be continued, allowing large mammal movements in the valley. Résumé L'installation de plantations a un impact sur les populations de grands mammifères de la Vallée de Kilombero, en Tanzanie. Les traces des animaux ont été utilisées comme signes d'activité pour déterminer l'influence de l'âge des bosquets de teck sur les mammifères. On a comparé les variables de l'habitat entre des bosquets d'âge différent pour étudier la relation entre l'activité des mammifères et les caractéristiques de la végétation. Des études de la végétation ont montré que la composition des plantations varie avec leur âge : les jeunes plantations sont caractérisées par des troncs de teck plus minces, une litière de feuilles plus restreinte, une couche herbeuse abondante et une partie non négligeable de sol nu. Les plantations plus anciennes présentent une litière de feuilles plus épaisse et du bois mort, peu d'herbes et très peu de sol nu. Les traces ont révélé que le nombre d'espèces de mammifères diminuait quand la plantation vieillissait. Parmi les variables de la végétation testées, l'abondance de l'herbe et la quantité de sol nu expliquaient de manière significative la variation du nombre d'espèces et celle de l'utilisation de l'habitat par chaque espèce en fonction de l'âge des plantations. L'utilisation de cet habitat était donc influencée par la valeur alimentaire de la plantation. Cette étude a montré que plusieurs espèces (dont certaines, comme l'éléphant, garantissent l'attention de la conservation) fréquentent les plantations de moins de six ans plus souvent que celles de plus de six ans. Il faut donc poursuivre les mesures de conservation, comme des corridors pour la faune sauvage et des plantations de teck décalées, qui permettent les déplacements des grands mammifères dans la vallée. [source] A conservation assessment of the freshwater crabs of southern Africa (Brachyura: Potamonautidae)AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 1 2008Neil Cumberlidge Abstract Recent taxonomic revisions of the freshwater crabs of southern Africa (Angola, Botswana, Lesotho, Mozambique, Namibia, South Africa, Swaziland, Zambia and Zimbabwe) allow accurate depictions of their diversity, distribution patterns and conservation status. The southern African region is home to nineteen species of freshwater crabs all belonging to the genus Potamonautes (family Potamonautidae). These crabs show high levels of species endemism (84%) to the southern African region and to the country of South Africa (74%). The conservation status of each species is assessed using the IUCN (2003) Red List criteria, based on detailed compilations of the majority of known specimens. The results indicate that one species should be considered vulnerable, fifteen species least concern and three species data deficient. The results have been utilized by the IUCN for Red Lists, and may prove useful when developing a conservation strategy for southern Africa's endemic freshwater crab fauna. Résumé De récentes révisions de la taxonomie des crabes d'eau douce d'Afrique australe (Afrique du Sud, Angola, Botswana, Lesotho, Mozambique, Namibie, Swaziland, Zambie et Zimbabwe) permettent des descriptions précises de leur diversité, de leur schéma de distribution et de leur statut de conservation. L'Afrique australe accueille 19 espèces de crabes d'eau douce qui appartiennent toutes au genre Potamonautes (famille des Potamonautidae). Ces crabes présentent un degréélevé d'endémisme spécifique (84%) pour la région de l'Afrique australe et pour l'Afrique du Sud elle-même (74%). Le statut de conservation de chaque espèce est évalué selon les critères de la Liste rouge de l'UICN (2003), en se basant sur des compilations détaillées de la majorité des spécimens connus. Les résultats montrent qu'une des espèces devrait être considérée comme «vulnérable», 15 autres comme «préoccupation mineure» et trois n'ont que des «données insuffisantes». Les résultats ont été utilisés par l'UICN pour la Liste rouge et peuvent s'avérer utiles pour le développement d'une stratégie de conservation pour la faune des crabes d'eau douce endémiques d'Afrique australe. [source] Plant harvest impacts and sustainability in Bwindi Impenetrable National Park, S.W. UgandaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 1 2006Robert Bitariho Abstract Sustainable utilization of forest resources has been widely adopted as a conservation strategy, but that sustainability has rarely been empirically tested. Plant resource extraction from Bwindi Impenetrable National Park (BINP) by local communities has been legalized and controlled in areas called multiple use zones (MUZs). Through a series of systematic transects and plots, we determined harvest impacts of two mostly harvested medicinal plants of Rytigynia kigeziensis VERDC.l and Ocotea usambarensis Engl in BINP. The plots were placed in MUZs and non-MUZs. Data on biomass production and population dynamics were collected from the plots. We also analysed forest society records for the past 3 years to determine annual plant resource offtakes from BINP. Bark production of the two plants in MUZs and non-MUZs are not significantly different, suggesting an insignificant change in bark production because of bark harvest. Annual bark harvests of the two plants are between 0.26,1.64% of available bark stock. These are too low to cause any noticeable negative impacts and are sustainable. Annual bark harvest of R. kigeziensis and O. usambarensis should be increased from the original 1% to about 3% of available bark stock to allow more involvement of the marginalized poor people like Batwa in BINP. Résumé L'usage viable des ressources forestières a été largement adopté comme stratégie de conservation, mais cette viabilité n'a que rarement été enquêté empiriquement. L'extraction de ressources végétales du Parc National Impénétrable de Bwindi (BINP) par les communautés locales a été légalisée et contrôlée dans des zones appelées ,les zones d'usage multiple' (les MUZ). A travers une série de transectes et placettes systématiques, nous avons déterminé l'impact de la récolte de deux plantes médicinale Rytigynia kigeziensis VERDC.l et Ocotea usambarensis Engl dans le BINP. Les placettes furent situées dans des MUZ ainsi que dans les nons-MUZ. Les données sur la production de biomasse et les dynamiques de la population furent ramassées des placettes. Nous avons analyséaussi les archives de la Société Forestière sur les trois dernières années afin de déterminer le niveau d'enlèvement des ressources végétales dans le BINP. La production d'écorce des deux plantes ne variait pas significativement dans des zones MUZ par rapport aux non-MUZ, ce qui suggère que la rècolte de l'écorce n,agit pratiquement pas sur la production de l'écorce. La rècolte annuelle des plantes représente de 0.26 à 1.64% des réserves d'écorce disponibles. Ces chiffres sont trop petits pour provoquer des dègâts perceptibles et sont viables. La récolte annuelle de R. kigeziensis et O. usambarensis devrait être augmentée à 3% des réserves d'écorce (de 1% actuellement) afin de permettre aux gens marginalisès et pauvres dans le BINP, tel Batwa, d'avoir une plus grande participation. [source] Conserving What and for Whom?BIOTROPICA, Issue 5 2007Why Conservation Should Help Meet Basic Human Needs in the Tropics ABSTRACT For hundreds of millions of people, biodiversity is about eating, staying healthy, and finding shelter. Meeting these people's basic needs should receive greater priority in the conservation agenda. Wild and semi-wild plants and animals contribute significantly to nutrition, health care, income, and culture in developing countries, and the poorest and most vulnerable people often rely on those resources most. Depleting those resources or making them inaccessible can impoverish these people even further. ,Pro-poor conservation',that is, conservation that aims to support poor people,explicitly seeks to address basic human needs. Such an emphasis has many potential synergies with more conventional conservation goals. Nonetheless, pro-poor conservation requires a distinct attitude to gauging conservation outcomes and a different approach to conservation science. Biologists can make a vital contribution. RESUMEN Para cientos de millones de personas biodiversidad significa comer, cuidar su salud y alojarse. Satisfacer las necesidades básicas de esa agenda debería de recibir mayor prioridad en la agenda de conservación. Plantas y animales silvestres y semi-domesticadas contribuyen de forma significativa a la alimentación, salud, ingresos y cultura en los países en desarrollo, y suele ser la gente más pobre y vulnerable quienes dependen más de esos recursos. La degradación de esos recursos o la pérdida de acceso a los mismos pueden empobrecer a esta gente aún más. La "conservación pro-pobre," o sea la conservación que tiene como fin apoyar a la gente pobre, buscar de forma explícita satisfacer a las necesidades humanas básicas. Este enfoque tiene mucho potencial para generar sinergias con las metas más convencionales de conservación. Sin embargo, la conservación pro-pobre requiere de formas distintas de medir los resultados de la conservación y de un acercamiento distinto a lo que es la ciencia de la conservación. Los biológicos pueden hacer una contribución fundamental en ese sentido. RÉSUMÉ Pour des millions de pauvres, la biodiversité est avant tout une affaire d'alimentation, de santé et de sécurité. Satisfaire les besoins primordiaux de ces populations devrait devenir la priorité des programmes de conservation. Les plantes et animaux sauvages -ou semi domestiqués- contribuent de manière déterminante à l'alimentation, à la santé, aux revenus et à la culture dans les pays en développement. Les populations les plus pauvres et vulnérables sont également celles qui dépendent le plus de ces ressources. En réduire la disponibilité ou l'accès ne peut que les appauvrir davantage. Une conservation favorable aux pauvres se doit de répondre aux besoins humains fondamentaux. Une telle conception de la conservation présente de multiples synergies avec ses objectifs plus conventionnels. Mais avant tout, une conservation favorable aux pauvres réclame un état d'esprit particulier pour en mesurer les résultats, et suppose une approche scientifique spécifique. En cela, les biologistes ont un rôle déterminant à jouer. ABSTRAK, Bagi ratusan dari jutaan manusia, keanekaragaman hayati merupakan sumber makanan, kesehatan dan tempat berlindung. Pemenuhan kebutuhan dasar mereka ini seharusnya mendapatkan prioritas lebih besar dalam agenda konservasi. Di negara-negara yang sedang berkembang, hewan dan tumbuhan liar memiliki kontribusi nyata terhadap nutrisi, kesehatan, penghasilan serta kebudayaan masyarakatnya. Masyarakat miskin dan lemah seringkali sangat menggantungkan hidupnya pada sumber daya tersebut sehingga degradasi atau hambatan akses terhadap sumber daya tersebut akan memperburuk keadaan mereka. Konservasi "pro-miskin" - yakni konservasi yang bertujuan mendukung masyarakat miskin - secara eksplisit berupaya memusatkan perhatian pada kebutuhan manusia yang paling mendasar. Penekanan semacam itu mempunyai banyak keselarasan dengan tujuan-tujuan konservasi yang lebih konvensional. Namun demikian, konservasi pro-miskin memerlukan sikap yang berbeda dalam mengukur hasil-hasil konservasi, dan pendekatan yang berbeda terhadap pengetahuan konservasi. Dalam hal ini, para ahli biologi dapat memberikan kontribusi yang sangat penting. [source] Climate Change and the Economics of Farm Management in the Face of Land Degradation: Dryland Salinity in Western AustraliaCANADIAN JOURNAL OF AGRICULTURAL ECONOMICS, Issue 4 2005Michele John Projected changes in climate would affect not only the profitability of agriculture, but also the way it is managed, including the way issues of land conservation are managed. This study provides a detailed analysis of these effects for an extensive dryland farming system in south-west Australia. Using a whole-farm linear programming model, with discrete stochastic programming to represent climate risk, we explore the consequences of several climate scenarios. Climate change may reduce farm profitability in the study region by 50% or more compared to historical climate. Results suggest a decline in the area of crop on farms, due to greater probability of poor seasons and lower probability of very good seasons. The reduced profitability of farms would likely affect the capacity of farmers to adopt some practices that have been recommended to farmers to prevent land degradation through dryland salinization. In particular, establishment of perennial pastures (lucerne or alfalfa, Medicago sativa), woody perennials ("oil mallees", Eucalyptus spp.), and salt-tolerant shrubs for grazing ("saltland pastures", Atriplex spp.) may become slightly more attractive in the long run (i.e., relative to other enterprises) but harder to adopt due to their high establishment costs in the context of lower disposable income. Les changements climatiques prévus influeraient non seulement sur la rentabilité de l'agriculture, mais aussi sur la gestion, y compris la façon de gérer les questions de conservation des terres. La présente étude offre une analyse détaillée de ces effets sur un système d'aridoculture extensive dans le sud-ouest de l'Australie. À l'aide d'un modèle de programmation linéaire d'une exploitation, comprenant une programmation stochastique discrète pour représenter le risque lié aux changements climatiques, nous avons examiné les conséquences de plusieurs scénarios climatiques. Dans la région à l'étude, un changement climatique pourrait diminuer la rentabilité d'une exploitation de 50 p. 100 ou plus par rapport au climat historique. Les résultats ont laissé supposer un déclin dans le domaine des cultures, en raison de la probabilité accrue de connaître des saisons médiocres et de la probabilité diminuée de connaître saisons exceptionnelles. Une diminution de la rentabilité des exploitations freinerait probablement la capacité des producteurs à adopter certaines pratiques recommandées pour prévenir la dégradation des sols par la salinisation des terres arides. Certaines pratiques, telles que l'établissement de pâturages de plantes fourragères vivaces (luzerne ou Medicago sativa), de plantes ligneuses vivaces (Eucalyptus) et d'arbustes tolérants au sel (Atriplex), peuvent devenir un peu plus attrayantes à long terme (c'est-à-dire, comparativement à d'autres pratiques), mais également plus difficiles à adopter en raison des coûts d'établissement élevés dans un contexte de faible revenu disponible. [source] |