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Dans Les Années (dan + le_annee)
Selected AbstractsThe Rise and Fall of Chinese Immigration to Canada: Newcomers from Hong Kong Special Administrative Region of China1 and Mainland China, 1980,20002INTERNATIONAL MIGRATION, Issue 3 2005Peter S. Li ABSTRACT An emerging perspective in the study of global diasporas stresses the effect of economic globalization and migration shifts in reshaping the population and identifying the formation of diaspora communities. This paper analyses the immigration patterns from Hong Kong and mainland China to Canada between the 1980s and 1990s, and shows that the migration shifts have been influenced by political and economic forces in Hong Kong and China, as well as changes in Canada's immigration policy. The imminent return of Hong Kong to China in 1997 and its uncertain political future in the 1990s were often cited as the main reasons for Hong Kong's large emigration in the late 1980s and early 1990s. In reality, the rising volume of Hong Kong emigration was prompted by the 1989 Tiananmen Square incident in China and its aftermath, and by the booming economy of Hong Kong in the early 1990s that created the means for many middle-class Chinese to emigrate. At the same time, Canada's expansion of the Business Immigration Program in the mid-1980s also benefited immigrant entrepreneurs from Hong Kong. In contrast, the Asian Financial Crisis of 1997 did not deter the economic growth of China. Immigration from China rose after 1989 when Canada allowed Chinese students studying in Canada to immigrate, but it was after the mid-1990s that immigration from China expanded due to Canada's greater emphasis on admitting economic immigrants and to China's growing middle class. The continuous arrival of well-educated and urban-based immigrants from China is likely to change the population composition and identity complexity of the Chinese community in Canada. LES HAUTS ET LES BAS DE L'IMMIGRATION CHINOISE AU CANADA : LES NOUVEAUX VENUS ORIGINAIRES DE LA RÉGION ADMINISTRATIVE SPÉCIALE DE HONG KONG1 ET DE LA CHINE CONTINENTALE, 1980,2000 Une perspective émergente dans l'étude des diasporas mondiales souligne l'effet de la mondialisation économique et des glissements migratoires dans le remodelage des populations et l'identification de la formation des communautés issues des diasporas. Cet ouvrage analyse les comportements migratoires en provenance de Hong Kong et de la Chine continentale en direction du Canada entre les années 80 et 90, et montre que les glissements migratoires ont été influencés par des forces politiques et économiques à l',uvre à Hong Kong et en Chine, ainsi que par des changements intervenus au niveau de la politique canadienne d'immigration. Le retour imminent de Hong Kong à la Chine en 1997 et son avenir politique incertain dans les années 90 ont souvent été cités comme les principales raisons pour l'importante émigration qui s'est produite au départ de Hong Kong à la fin des années 80 et au début des années 90. En réalité, l'ampleur croissante de l'émigration en provenance de Hong Kong a été suscitée par les événements de la place Tiananmen qui ont eu lieu en 1989 et par leurs retombées, ainsi que par l'essor économique de Hong Kong au début des années 90, ayant procuréà bon nombre de Chinois de la classe moyenne les moyens d'émigrer. Parallèlement, l'expansion du programme d'immigration commerciale mis en place par le Canada au milieu des années 80 a également profité aux entrepreneurs immigrants de Hong Kong. Par comparaison, la crise financière asiatique de 1997 n'a pas produit d'effet dissuasif sur la croissance économique de la Chine. L'immigration en provenance de Chine continentale a augmenté après 1989, lorsque le Canada a autorisé les étudiants chinois se trouvant sur son sol à immigrer légalement, mais ce n'est qu'après le milieu des années 90 que l'immigration en provenance de Chine s'est accélérée sous l'effet de la politique canadienne facilitant l'entrée au Canada des immigrants économiques et aussi de la progression de la classe moyenne en Chine. L'arrivée continue d'immigrants chinois instruits et originaires des villes est susceptible de modifier la composition de la population et la complexité identitaire de la communauté chinoise au Canada. EL AUMENTO Y CAÍDA DE LA INMIGRACIÓN CHINA AL CANADÁ: RECIÉN LLEGADOS DE LA REGIÓN ADMINISTRATIVA ESPECIAL DE HONG KONG1 Y DE CHINA, 1980,2000 En los estudios realizados sobre las diásporas en el mundo, se observa el efecto que tienen la globalización económica y los cambios migratorios en la reconfiguración de la población y en la conformación de comunidades de la diáspora. En este artículo se examinan los patrones de inmigración de Hong Kong y China al Canadá en los años ochenta y noventa, y se demuestra que los cambios en la migración resultan de fuerzas políticas y económicas en Hong Kong y China, así como de cambios en la política de inmigración del Canadá. La inminente devolución de Hong Kong a la China en 1997 y la incertidumbre sobre su futuro político, fueron consideradas como la principal razón de la numerosa inmigración de Hong Kong a finales de los años ochenta y principios de los noventa. En realidad, el creciente número de emigrantes de Hong Kong se debió al incidente en la Plaza de Tiananmen en China en 1989 y a sus consecuencias, y al auge económico de Hong Kong a principios de los años noventa, que permitió que la clase media china pudiera emigrar. Al mismo tiempo, la ampliación del Programa de Inmigración Empresarial instaurado por el Canadá a mediados de los años ochenta también atrajo a empresarios inmigrantes provenientes de Hong Kong. Por su parte, la crisis financiera asiática de 1997 no afectó el crecimiento económico en la China. La inmigración de China aumentó tras 1989, cuando el Canadá autorizó a la inmigración de los chinos que estudiaban en el Canadá, pero fue ulteriormente, a mediados de los años noventa, que la inmigración desde China se amplió debido a que el Canadá decidió aceptar a inmigrantes económicos y a la creciente clase media proveniente de China. La continua llegada de inmigrantes chinos instruidos y de zonas urbanas, probablemente afecte la composición y complejidad de la identidad de la población china en el Canadá. [source] Producing North and South: a political geography of hydro development in QuébecTHE CANADIAN GEOGRAPHER/LE GEOGRAPHE CANADIEN, Issue 2 2004Caroline Desbiens Since the 1970s, the tapping of James Bay's hydroelectric potential has been synonymous with the tapping of divergent national imaginaries for native and non-native people in Québec. Exploitation of natural resources in the region has activated different narratives of political identity for each community. I explore this evolving political context by examining how, for each group, water has emerged simultaneously as a physical entity possessing economic value and a social artefact supporting the consolidation of national boundaries. I do so by analysing three phases of changing relationships around resource management, namely: hydroelectric development on the La Grande river in the 1970s; the Cree opposition to Great Whale in the 1990s; and the recent agreement concerning a new relationship between the two parties. In each of these phases, nature has been both the symbolic and material tie that binds different national identities and materialises their boundaries. While these are not boundaries in the traditional geopolitical understanding of the term, the forging of an equitable framework of development in the region depends on the recognition of nature as a historical and political formation that answers to different sets of national preoccupations. Depuis les années 70, le développement hydroélectrique de la Baie James a favorisé l'expression de deux imaginaires nationaux dans la province, celui des autochtones en parallèle avec celui des non-autochtones. L'exploitation des ressources naturelles de la région a donné lieu à des récits identitaires propres à chaque communauté. J'explore les changements dynamiques de ce contexte politique en examinant comment, pour chacun de ces groupes, l'eau est à la fois une entité physique possédant une certaine valeur économique, ainsi qu'un objet social capable de consolider les frontières nationales de chaque peuple. L'analyse se fait à travers trois phases de gérance des ressources: la construction du Complexe La Grande dans les années 70; l'opposition des Cris au projet Grande Baleine dans les années 90; et la signature récente d'une nouvelle entente entre les deux parties. Dans chacune de ces phases, la nature a constitué un terrain à la fois symbolique et matériel consolidant des frontières nationales divergentes. Même s'il ne s'agit pas de frontières ,géopolitiques' au sens propre du terme, la création d'une structure de développement équitable dans la région exige que la nature soit perçue dans toute sa dimension historique et politique afin de dégager les différentes priorités nationales qui s'expriment en son nom. [source] Environment, race and nation reconsidered: reflections on Aboriginal land claims in CanadaTHE CANADIAN GEOGRAPHER/LE GEOGRAPHE CANADIEN, Issue 4 2003Peter J. Usher The course of development in Northern Canada has been transformed in the last 30 years by the comprehensive land claims process. For much of the twentieth century, the settlement and development of northern Canada was experienced by Aboriginal people as a continuing process of encroachment on (and sometimes transformation of) their traditional territories, and of restriction of their customary livelihood. Examples of this process included the alteration of river systems by impoundment and diversion, the pollution and contamination of river systems, government restrictions on hunting and fishing and population relocation and sedentarization. Aboriginal political and legal action led, in the 1970s, to the establishment of a formal process for resolving Aboriginal land claims, and to revised judicial interpretation of Aboriginal and treaty rights. The paper describes how geographers have contributed to documenting those claims, and how land claims settlements have altered the land and resource regimes in northern Canada, and concludes with some observations on the effectiveness of those remedies, and on the changes in Canadian perspectives on Aboriginal northerners, the northern environment and northern development. Le cours du développement du Nord du Canada a été influencé durant les trente dernières années par la négotiation des revendications territoriales globales. Pendant une grande partie du 20ème siècle, la colonisation et le développement du Nord canadien ont été vécus par les autochtones comme un processus d'empiètement (et quelquefois de transformation) de leurs territoires traditionnels et de restriction de leur mode de vie. L'assèchement, le détournement, la pollution et la contamination des systèmes fluviaux, les restrictions gouvernementales concernant la chasse et la pêche ainsi que le déplacement et la sédentarisation de ces populations en sont quelques exemples. L'action politique et judiciaire des autochtones, dans les années 70, a conduit à l'établissement d'un processus officiel pour la résolution de leurs revendications territoriales et à la révision des interprétations judiciaires de leurs droits authochtones et des traités. Cet article décrit comment des géographes ont contribuéà rendre compte de ces revendications et comment celles-ci ont transformé les régimes d'exploitation du territoire et des ressources du Nord du Canada. En conclusion, quelques observations montrent l'efficacité de ces remèdes et les changements apportés aux perspectives canadiennes au sujet des autochtones de cette région, de l'environnement nordique et du développement du Nord canadien. [source] The Microfoundations of Corporatist Intervention: Dairying's Collective Action Problems in Canada and England during the 1930s Depression,CANADIAN REVIEW OF SOCIOLOGY/REVUE CANADIENNE DE SOCIOLOGIE, Issue 4 2000Roy C. Barnes Dans cet article, nous démontrons l'utilité d'une approche microfondamentale dans la compréhension de phénomènes sociaux de plus grande ampleur. Grâce à l'analyse des questions de recours collectifs, qui se sont posées aux différents acteurs, au Canada et en Angleterre, nous établissons un lien informel entre la macrovariable de « structure de l'industrie » et les formes divergentes de réglementation corporatiste instaurées dans les années 1930. Après avoir expliqué les caracteéristiques centrales de l'approche microfondamentale et souligné les aspects importants de la théorie des jeux et du concept de choix rationnel, nous examinons les témoignages élaborés, présentés dans le cadre de commissions et de comités du gouvernement. Ces données comparatives et historiques fournissent les bases qui permettent de comprendre la manière dont les différentes structures de l'industrie ont causé des problèmes de réglementation uniques pour les gouvernements canadien et britannique. This paper argues for the utility of a microfoundational approach to understanding larger social phenomena. Through an analysis of the collective action problems experienced by the various actors in both Canada and England, I wish to establish a causal link between the macro-level variable "industry structure" and the divergent forms of corporatist regulation instituted in the 1930s. After clarifying the central features of my microfoundational approach and highlighting important aspects of game theory and rational choice explanations, I review the extensive sets of testimonies given before governmental commissions and committees. These comparative and historical data provide the foundations for understanding how distinct industry structures produced unique sets of regulatory problems for the Canadian and British governments. [source] |