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    The importance of post-fire regrowth for sable antelope in a Southern African savanna

    AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 2 2010
    Francesca Parrini
    Abstract Burning is commonly used in savannas to stimulate grass regrowth for grazing ungulates. We recorded the relative use of burns occurring at different stages in the seasonal cycle, as well as in different regions of the landscape by two herds of sable. We also recorded behavioural measures of foraging efficiency and faecal nutrient contents as an indication of nutrient gains. Sable consistently concentrated their grazing on burned areas provided there was sufficient green regrowth during the dry season. In these circumstances they grazed for longer per feeding station, showed a slower step rate while foraging, and shorter between-patch moves, and a higher probability of encountering acceptable food per step taken while foraging than on unburnt areas. In the year when only a burn with insufficient regrowth was available, sable continued to forage in the area that had been burned during the previous year. Faecal crude protein was substantially higher at the end of the dry season in the year when burned areas were utilized. Accordingly early dry season fires can be important in helping sable bridge the nutritional limitations posed by the dry season, provided sufficient soil moisture remains to promote adequate grass regrowth. Résumé Les feux sont fréquemment utilisés dans les savanes pour stimuler la repousse des herbes consommées par les ongulés herbivores. Nous avons enregistré l'utilisation relative des aires brûlées à différents stades du cycle saisonnier, et dans différentes régions du paysage, par deux hardes d'antilopes sable. Nous avons aussi enregistré des mesures comportementales de l'efficacité du nourrissage et le contenu en nutriments des matières fécales pour avoir une indication du gain en nutriments. Les antilopes sable concentraient leur pâturage de façon continue sur les aires brûlées pour autant que la repousse de verdure fût suffisante au cours de la saison sèche. Dans ce cas-là, elles paissaient plus longtemps par station de nourrissage, présentaient un nombre de pas plus faible en mangeant et se déplaçaient moins entre les arrêts, et la probabilité qu'elles rencontrent une nourriture acceptable par pas franchi en cherchant leur nourriture était plus grande que dans les zones non brûlées. L'année où ne fut disponible qu'une zone brûlée où la repousse était insuffisante, les antilopes ont continuéà brouter dans la zone qui avait été brûlée l'année précédente. Le taux de protéines brutes des matières fécales était substantiellement plus haut à la fin de la saison sèche l'année où les zones brûlées ont été utilisées. En fonction de cela, on peut dire que les feux du début de la saison sèche peuvent être importants pour aider les antilopes sable à passer le cap des limites nutritionnelles imposées par la saison sèche, à condition qu'il reste suffisamment d'humidité dans le sol pour favoriser une repousse d'herbes adéquate. [source]


    The impact of elephants, Loxodonta africana, on woody vegetation through selective debarking in Samburu and Buffalo Springs National Reserves, Kenya

    AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 1 2010
    Festus W. Ihwagi
    Abstract The impact of elephants on the woody plant community through debarking was investigated in Samburu and Buffalo Springs National Reserves, Kenya. Acacia elatior Brenan, the most abundant tree species in the riverine zone, accounted for 68% (n = 1375) of woody plants. A. tortilis (Forsskal) Hayne dominated plots away from the river. Debarking incidences were significantly higher for A. elatior than for other species indicating selective utilization. The riverine zone by virtue of having more trees of the preferred species, A. elatior, had the highest debarking incidences. Presence of very few saplings along the river is attributed to both elephant trampling and herbivory by other species. An estimated 38.5% and 22.5% of the riverine A. elatior and A. tortilis trees respectively, were bound to die within the next 4,5 years because of severe debarking, ,75% of bark circumference. Debarking was positively correlated with stem circumference; the medium-sized trees being the worst affected by the elephants' selective debarking behaviour. Intense debarking incidences were recorded during the dry season. Through the elephants' selective debarking, the riverine habitat is bound to open up gradually, leading to considerable habitat change in the near future. Elephant impact on vegetation is less away from the river and increases with their densities. Résumé L'impact des éléphants sur la communauté des plantes ligneuses, à cause de l'enlèvement des écorces, a étéétudié dans les Réserves Nationales de Samburu et de Buffalo Springs, au Kenya. L'Acacia elatior Brenan, le plus abondant de la zone riveraine, comptait pour 68% (n = 1375) des plantes ligneuses. A. tortilis (Forsskal) Haine dominait les parcelles plus éloignées de la rivière. Les cas d'écorçage étaient significativement plus nombreux pour A. elatior que pour les autres espèces, ce qui indique une utilisation sélective. La zone riveraine, du fait qu'elle compte plus d'arbres de l'espèce préférée, A. elatior, comptait aussi le plus grand nombre de cas d'écorçage. La présence de très peu de jeunes plants le long de la rivière est attribuée au piétinement par les éléphants et à la consommation par d'autres espèces herbivores. On estime que respectivement 38,5% et 22,5% des A. tortilis et A. elatior de la zone riveraine devraient mourir dans les 4,5 années à venir, en raison d'écorçages sévères qui peuvent être de ,75% de la circonférence de l'arbre. L'écorçage était positivement liéà la circonférence du tronc, les arbres de diamètre moyen étant les plus gravement affectés par le comportement sélectif des éléphants. Des cas d'écorçage intense ont été enregistrés au cours de la saison sèche. En raison de l'écorçage sélectif des éléphants, l'habitat riverain est condamnéà s'ouvrir progressivement, ce qui entraînera un changement considérable dans un proche avenir. L'impact des éléphants sur la végétation est moindre lorsqu'on s'éloigne de la rivière, et il augmente en fonction de leur densité. [source]


    Evaluation of the capacity of three halophytes to desalinize their rhizosphere as grown on saline soils under nonleaching conditions

    AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 4 2009
    Mokded Rabhi
    Abstract In the sabkha of Soliman (N-E Tunisia), soil samples of the upper 20 cm were taken during the driest period of the year (July,August) from inside and outside tufts of two perennial halophytes: Arthrocnemum indicum (Willd.) Moq. and Suaeda fruticosa Forssk., both from family Chenopodiaceae. Samples were analysed for electrical conductivity of the saturation paste extract (ECe) and soluble sodium (Na+) content. Then, tufts were divided into three size categories and their shoot biomass production and Na+ content were determined. Our results showed a considerable contribution of shoot Na+ accumulation to rhizosphere desalination. The capacity of the two native halophytes A. indicum. and S. fruticosa to desalinize saline soils was compared with that of an introduced halophyte, Sesuvium portulacastrum L. (Aizoaceae). Seedlings were grown under greenhouse conditions in pots containing 8 kg of saline soil each. Pots were irrigated with tap water during 170 days without leaching. Our results confirmed the contribution of shoot Na+ accumulation to soil desalination. They showed also that among the three studied species, Sesuvium portulacastrum L. seems to be the most convenient to be used for this purpose in arid and semi-arid regions where precipitation is too low to leach salts from rhizosphere. Résumé Dans la sebkha de Soliman (N-E de la Tunisie), des échantillons de sol ont été prélevés dans les 20 cm supérieurs pendant la période la plus sèche de l'année (juillet-août) à l'intérieur et à l'extérieur des touffes de deux halophytes pérennes, Arthrocnemum indicum (Willd) Moq. et Suaeda fructicosa Forsk., appartenant tous deux à la famille des Chenopodiaceae. L'analyse des échantillons s'est basée sur la conductivitéélectrique de la pâte saturée (ECe) et le contenu en sodium (Na+) soluble. Par ailleurs, les touffes d'halophytes ont été réparties en trois catégories selon leur taille, puis des touffes représentatives de chaque catégorie ont été récoltées pour la détermination de la biomasse et la charge en Na+ de leurs parties aériennes. Nos résultats ont montré que l'accumulation de ces ions au niveau des organes aériens contribue considérablement au dessalement de la rhizosphère. La capacité des deux halophytes locales A. indicum et S. fructicosa de dessaler des sols salins a été comparée à celle d'un halophyte introduite, Sesuvium portulacastrum L. (Aizoaceae). De jeunes plantules ont été cultivées sous serre dans des pots contenant chacun huit kilos de sol salin. Les pots ont été irrigués à l'eau de ville pendant 170 jours sans lessivage. Nos résultats ont confirmé la contribution de l'accumulation de Na+ par les organes photosynthétiques au dessalement du sol. Ils ont montré, également, que, parmi les trois espèces étudiées, S. portulacastrum semble être la plus prometteuse pour un tel programme dans les régions arides et semi-arides où les précipitations sont assez faibles pour lessiver les sels de la rhizosphère. [source]


    Impact of land use on the ecology of uncultivated plant species in the Rwenzori mountain range, mid western Uganda

    AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 4 2009
    Moses Muhumuza
    Abstract Rwenzori mountain range is important for its high diversity of unique species and as a water catchment area and yet very fragile to human interference. The study documented the impact of land use on ecology of uncultivated plant species in the Rwenzori mountain range using Bugoye sub-county as a reference site. The ecological aspects of the plants studied included distribution, abundance and diversity of the plant species in and around the various land uses as well as in degraded, disturbed and undisturbed areas. Land uses identified were; agriculture, built up area and land with other activities (conservation and abandoned fields). The study revealed that agriculture was the main land use category taking up 69.7% of land use area. Plants distributed in and around the land uses were mainly trees with species diversity of 34.5%. Generally, there was no relationship in the distribution of plant species in degraded, undisturbed and disturbed areas (a = 0.01). In disturbed areas, there was vegetation cover especially of plant species that occur as secondary re-growth, and in degraded areas, the ground was sparsely covered by primary succession species while in the undisturbed areas, plant species growing in a ,natural. habitat dominated and most of them were climax species. Résumé Le Massif de Ruwenzori est important pour sa grande diversité d'espèces uniques et comme zone de captage d'eau, et il est pourtant très sensible à toute interférence humaine. L'étude a documenté l'impact de l'utilisation du sol sur l'écologie d'espèces de plantes sauvages dans le massif du Ruwenzori, en employant le sous-comté de Bugoye comme site de référence. Les aspects écologiques des plantes étudiées incluaient la distribution, l'abondance et la diversité des espèces végétales dans et autour de sites avec diverses utilisations du sol ainsi que dans des zones dégradées, perturbées et non perturbées. Les utilisations de sol identifiées étaient : agriculture, zone construite et terrain avec autres activités (conservation et champs abandonnés). L'étude a révélé que l'agriculture était la principale catégorie d'utilisation de sol, avec 69,7% de la superficie utilisée. Les plantes réparties dans et autour des sols utilisés étaient principalement des arbres, avec une diversité d'espèces de 34.5%. Généralement, il n'y avait aucune relation dans la distribution des espèces végétales dans les zones dégradées, non perturbées et perturbées (a = 0.01). Dans les zones perturbées, il y avait une couverture végétale composée principalement d'espèces qui se rencontrent comme repousses secondaires, et dans les zones dégradées, le sol était recouvert, de façon éparse, par des espèces de succession primaire, alors que dans les zones non perturbées, les espèces végétales poussant dans un habitat naturel dominaient, la plupart d'entre elles étant des espèces climaciques. [source]


    The distribution of temperature, oxygen and nutrients in Lake Bukoni, Uganda

    AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 4 2009
    Clement Nyakoojo
    Abstract Temperature, oxygen and nutrients were determined in the permanently stratified Lake Bukoni from July 2004 to December 2005. Meromixis has resulted from the nature of the surrounding hilly topography and the almost vertical crater walls that exclude the effects of light winds. These circumstances and the tropical temperature regime ensure permanent stratification in the offshore part of the lake. From about 20 m to the bottom, the water was out of circulation and devoid of oxygen. Water samples from such depths had a strong smell of hydrogen sulphide gas. The inshore site, with greater turbulence and littoral area, had a uniformly oxygenated water column compared with the offshore site. According to information from members of the community around the lake, ,fish kills' have taken place but on irregular occasions. The nutrients (N, P and Si) were well distributed in the inshore site. In the offshore site, the concentrations were generally lower in the uppermost 20 m but more than double near the mud surface. Soluble reactive phosphorous was the least abundant nutrient while soluble reactive silicon was the most abundant nutrient. The high Si : P ratios have led to the dominance of species like Synedra ulna Ehr. Résumé De juillet 2004 à décembre 2005, la température, l'oxygène et les nutriments ont été déterminés dans le lac Bukoni, dont la stratification est permanente. La méromicticité résulte de la nature de la topographie montagneuse environnante et des murs presque verticaux du cratère qui excluent tout effet des vents légers. Ces conditions, ainsi que le régime de température tropicale, garantissent la stratification permanente de la partie du lac éloignée des berges. Entre 20 mètres environ et le fond, l'eau ne circule pas et est dépourvue d'oxygène. Les échantillons d'eau qui proviennent de ces profondeurs ont une forte odeur d'hydrogène sulfuré. En comparaison, le site côtier, plus agité avec sa partie littorale, présentait une colonne d'eau uniformément oxygénée. Selon les membres de la communauté qui vit autour du lac, des hécatombes de poissons ont déjà eu lieu mais de façon irrégulière. Les nutriments (N, P, et Si) étaient bien distribués sur le site côtier. Au large, les concentrations étaient généralement plus faibles dans les 20 mètres supérieurs, mais plus que doubles près de la surface de la vase. Le phosphore réactif soluble (PRS) était le nutriment le moins abondant alors que la silice réactive soluble (SiRS) était le plus abondant. Les rapports Si/P élevés ont entraîné la dominance d'espèces telles que Synedra ulna Ehr. [source]


    Genetic structure of two populations of the Namibian giraffe, Giraffa camelopardalis angolensis

    AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 4 2009
    Rick A. Brenneman
    Abstract Two geographically distinct populations of giraffe (Giraffa camelopardalis) were sampled for this study, the northern Namib Desert and Etosha National Park. Population genetic parameters and relationships within subpopulations were estimated to better understand the genetic architecture of this isolated subspecies. Gene flow between the geographically separated populations can be attributed to recent translocation of giraffe between the two populations. Inbreeding estimates in the six subpopulations studied were low though we found evidence that genetic drift may be affecting the genetic diversity of the isolated populations in northern Namibia. Population dynamics of the sampling locations was inferred with relationship coefficient analyses. Recent molecular systematics of the Namibian giraffe populations indicates that they are distinct from the subspecies Giraffa camelopardalis giraffa and classified as G. c. angolensis. Based on genetic analyses, these giraffe populations of northern Namibia, the desert-dwelling giraffe and those protected in Etosha National Park, are a distinct subspecies from that previously assumed; thus we add data on G. c. angolensis to our scientific knowledge of this giraffe of southern Africa. Résumé Deux populations de girafes (Giraffa camelopardalis) distinctes sur le plan géographique ont servi d'échantillons pour cette étude, celle du nord du Désert du Namib et celle du Parc National d'Etosha. Nous avons estimé les paramètres génétiques des populations et les relations au sein des sous-populations pour mieux comprendre l'architecture génétique de cette sous-espèce isolée. Les flux génétiques entre les populations séparées géographiquement peuvent être attribués à la récente translocation de girafes entre ces deux populations. L'inbreeding estimé dans les six sous-populations étudiées était faible, encore que nous ayons découvert des preuves que la dérive génétique pourrait bien affecter la diversité génétique des populations isolées dans le nord de la Namibie. La dynamique des populations des endroits où furent faits les échantillonnages fut déduite en fonction de l'analyse des coefficients. La nouvelle systématique moléculaire des populations de girafes de Namibie indique qu'elles sont distinctes de la sous-espèce Giraffa camelopardalis giraffa et classées comme G.c. angolensis. Selon les analyses génétiques, ces populations de girafes du nord de la Namibie, les girafes qui vivent dans le désert et celles qui sont protégées dans le Parc National d'Etosha sont une sous-espèce distincte de celle que l'on croyait auparavant, et nous ajoutons ainsi des données sur G.c. angolensisà la connaissance scientifique de cette girafe d'Afrique australe. [source]


    Elephants caught in the middle: impacts of war, fences and people on elephant distribution and abundance in the Caprivi Strip, Namibia

    AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 2 2009
    Michael J. Chase
    Abstract We conducted wet [26 March,4 April 2003 (Apr03)] and dry [1,8 November 2005 (Nov05)] season aerial surveys of African elephants (Loxodonta africana Blumenbach) in the Caprivi Strip, Namibia to provide an updated status report on elephant numbers and distribution and assist with a historical analysis of elephant distribution and abundance in the Caprivi Strip. During the wet season when water was available in seasonal pans, elephants were widely distributed throughout the survey area. In contrast, during the dry season, a majority of elephant herds occurred within 30 km of the perennial Kwando, Linyanti and Okavango rivers and few herds occurred within the West Caprivi Game Reserve where water in the seasonal pans was limited. We estimated 5318 elephants for the 7731-km2 survey area (0.71 elephants km,2) for the Apr03 wet season survey and 6474 elephants for the 8597-km2 survey area (0.75 elephants km,2) for the Nov05 dry season survey. Based on our aerial surveys and reports of elephant numbers and distribution from historical aerial surveys and telemetry studies, civil war, veterinary fences and human activities appear to have effected changes in African elephant abundance, distribution and movements in the Caprivi Strip, Namibia since 1988 when the first comprehensive aerial surveys were conducted. Résumé En saison des pluies (avril 2003) et en saison sèche (novembre 2005), nous avons réalisé des contrôles aériens des éléphants africains (Loxodonta africana Blumenbach) dans la Bande de Caprivi, en Namibie, pour pouvoir fournir un rapport actualisé sur le statut du nombre et de la distribution des éléphants, et aider une analyse de longue durée de la distribution et de l'abondance des éléphants dans la Bande de Caprivi. Pendant la saison des pluies, lorsque l'eau était disponible dans les « pans » saisonniers, les éléphants étaient largement distribués dans toute la zone étudiée. Par contre, en saison sèche, la grande majorité des troupeaux d'éléphants se trouvaient dans les 30 km des rivières permanentes Kwando, Linyanti et Okavango, et peu de troupeaux se trouvaient dans la West Caprivi Game Reserve, où l'eau était limitée dans les pans saisonniers. Nous avons estimé le nombre d'éléphants à 5 318 dans les 7 731 km² de la zone étudiée (0,71 éléphant km,²) pour l'étude faite en saison des pluies d'avril 2003, et à 6 474 éléphants dans les 8 597 km²étudiés (0,75 éléphant km,²) pendant la saison sèche de novembre 2005. En se basant sur nos contrôles aériens et sur des rapports concernant le nombre et la distribution des éléphants provenant de contrôles aériens et d'études télémétriques anciens, il s'avère que la guerre civile, les barrières vétérinaires et les activités humaines ont provoqué des changements de l'abondance, de la distribution et des déplacements des éléphants dans la Bande de Caprivi depuis 1988, date où les premiers contrôles aériens complets ont été effectués. [source]


    Structure and composition of Acacia xanthophloea woodland in Lake Nakuru National Park, Kenya

    AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 4 2006
    N. Dharani
    Abstract The woody vegetation of Lake Nakuru National Park occurs along rivers, lakeshores and flood plains. Four different sites within the Acacia xanthophloea woodlands were selected for the study. Vegetation structure was not significantly different in the four woodlands used for the study, but these sites differed in the relative density of Acacia trees. Regeneration of A. xanthophloea differed in each site, with the highest regeneration rates found in the nonfenced plots where browsing took place. Résumé La végétation ligneuse du Parc National de Nakuru se trouve le long des cours d'eau, sur les berges du lac et dans les plaines inondables. Nous avons sélectionné quatre sites dans les zones arborées àAcacia xanthophloea. La structure da la végétation n'était pas significativement différente dans les quatre forêts sélectionnées pour l'étude, mais ces sites différaient quant à la densité relative d'acacias. La régénération des Acacia xanthophloea différait sur chaque site, et le taux de régénération était le plus élevé dans les plots non clôturés fréquentés par les herbivores. [source]


    Effects of exploitation on reproductive capacity of blackspot snapper, Lutjanus fulviflamma (Pisces: Lutjanidae) in Mafia Island, Tanzania

    AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 4 2004
    A. T. Kamukuru
    Abstract There is paucity of information on the effects of exploitation on reproductive characteristics of blackspot snapper, Lutjanus fulviflamma (Forsskål 1775) in Tanzanian coastal waters. We compared size at first sexual maturity (LM50), sex ratio, fecundity, and breeding season of L. fulviflamma in least fished Mafia Island Marine Park (MIMP) and intensively fished areas (IFA) between May 1999 and April 2001. Fish in MIMP matured at significantly smaller size (female: LM50 = 206.3 mm; male: LM50 = 195.5 mm) than in IFA (female: LM50 = 216.7 mm; male: LM50 =212.1 mm) total body length. Sex ratio was balanced at 1.03 : 1 (female : male) in MIMP, but it was skewed 0.9 : 1 (female : male) in IFA. Size-related differences in sex ratio were observed with males predominating in the smaller sizes and females in the larger sizes. Total fecundity of fish in MIMP was determined at 45,200,430,200 oocytes in females of between 207 and 293 mm total length. Lutjanus fulviflamma in MIMP has a prolonged spawning season lasting from September to March peaking in December. None of the fish from IFA were in breeding state, suggesting recruitment overfishing is an added matter of concern for the long-term sustainability of the fishery at the current exploitation level. Résumé Il existe très peu d'informations sur les effets de l'exploitation sur les caractéristiques de la reproduction de Lutjanus fulviflamma (Forsskål 1775) dans les eaux côtières de Tanzanie. Nous avons comparé la taille au début de la maturité sexuelle (LM50), le sex-ratio, la fécondité et la saison de reproduction de L. fulviflamma dans le Parc Marin de l'Ile de Mafia (MIMP) où la pêche est moins intense et dans des eaux intensément exploitées (IFA) entre mai 1999 et avril 2001. Les poissons du MIMP deviennent mâtures tout en ayant une longueur totale significativement plus petite (femelles: LM50 = 206,3 mm; mâles: LM50 = 195,5 mm) que dans les IFA (femelles: LM50 = 216,7 mm; mâles: LM50 = 212,1 mm). Le sex-ratio est équilibréà 1,03/1 (femelles/mâles) dans le MIMP, mais il est de 0,9/1 (femelles/mâles) dans les IFA. On a observé des différences du sex-ratio liées à la taille, avec les mâles qui prédominent dans les plus petites tailles et les femelles dans les plus grandes. On a déterminé la fécondité totale dans le MIMP, entre 45.200,430.000 ovocytes à l'intérieur des femelles comprises entre 207 et 293 mm de longueur totale. Dans le MIMP, Lutjanus fulviflamma a une saison de frai prolongée, allant de septembre à mars avec un pic en décembre. Aucun des poissons des IFA n'était en période de reproduction, ce qui signifie une sur-pêche du potentiel reproducteur, ce qui est un motif d'inquiétude pour la durabilitéà long terme de la pêche à son niveau actuel. [source]


    Mutans streptococci in subgingival plaque of treated and untreated patients with periodontitis

    JOURNAL OF CLINICAL PERIODONTOLOGY, Issue 7 2001
    W. A. Van Der Reijden
    Abstract Background: The etiology of root caries is thought to be identical to coronal caries, though root caries seem to be more complicated because of the higher susceptibility of exposed roots (dentin) by periodontal therapy to demineralization than intact enamel. This implies that mutans streptococci are the most likely pathogens in the development of root caries. Although it is known that both the numbers of mutans streptococci and the frequency of isolation in root caries lesions are negatively correlated with the distance from the gingival margin, the subgingival sulcus has not been considered a possible habitat for mutans streptococci. However, subgingival occurence of mutans streptococci in both untreated and treated periodontal patients has not been documented well in the literature. Objective: To investigate the presence and levels of mutans streptococci in the subgingival plaque of patients (n=154) in different stages of periodontal therapy. The subgingival sulcus may be a possible habitat for mutans streptococci. This localisation of mutans streptococci may be of importance in the development of root caries after periodontal surgery. Materials and methods: In this cross-sectional study, subgingival plaque samples from 154 consecutive adult periodontitis patients were tested for presence and levels of mutans streptococci and putative periodontal pathogens by anaerobic cultures. These patients were divided into 4 groups based on their stage of periodontal treatment: (1) untreated patients; (2) patients after initial periodontal therapy only; (3) patients in the maintenance phase who not underwent periodontal surgery; (4) patients after periodontal surgery. Results: The prevalence of mutans streptococci in the 4 study groups varied from 82% in untreated patients to 94% in maintenance patients. The mean proportion of mutans streptococci was 6.65% in maintenance patients versus 1.86% in untreated patients (p=0.005) and 2.51% in patients after scaling and root planing (p=0.041). Conclusions: The subgingival area is a microbial habitat for mutans streptococci that may be of importance in the development of root caries in periodontitis patients. Zusammenfassung Hintergrund: Es wird angenommen, dass die Ätiologie der Wurzelkaries und der Kronenkaries übereinstimmen, obwohl die Entstehung von Wurzelkaries komplizierter zu sein scheint wegen der erhöhten Empfindlichkeit entblößter Wurzeln (Dentin) für Demineralisation im Vergleich zu gesundem Schmelz. Das bedeutet, dass MS die wahrscheinlichsten Pathogene für die Entstehung der Wurzelkaries sind. Obwohl bekannt ist, dass die Zahl der MS und die Häufigkeit ihres Nachweises aus Wurzelkariesläsionen negativ mit dem Abstand vom Gingivarand korrelieren, wurde die subgingivale Region bisher nicht als möglicher Lebensraum für MS erwogen. Das subgingivale Vorkommen von MS bei behandelten und unbehandelten Parodontitispatienten ist in der Literatur nicht gut dokumentiert. Die subgingivale Region könnte ein möglicher Lebensraum für MS und diese Lokalisation bedeutsam für die Entstehung von Wurzelkaries nach parodontaler Therapie sein. Zielsetzung: Untersuchung des Vorkommens und der Menge von MS in der subgingivalen Plaque von Patienten zu unterschiedlichen Zeitpunkten parodontaler Therapie. Material und Methoden: In einer Querschnittsstudie wurden subgingivale Plaqueproben von 154 Patienten mit Erwachsenenparodontitis auf das Vorkommen und den Anteil von MS und putativer Parodontalpathogene in anaerober Kultur untersucht. Die Patienten wurden nach dem Stadium der parodontalen Therapie in 4 Gruppen unterteilt: (1) unbehandelte Patienten (n=51), (2) Patienten nach abgeschlossener Initialtherapie (Mundhygieneunterweisungen sowie Scaling und Wurzelglättung [SRP]) (n=41), (3) Patienten in der unterstützenden Parodontitistherapie (UPT), die nicht parodontalchirurgisch behandelt worden waren (n=48), und (4) Patienten nach Parodontalchirurgie (n=14). Ergebnisse: Die Prävalenz der MS variierte in den 4 Untersuchungsgruppen von 82% bei unbehandelten bis 94% bei UPT-Patienten. Der mittlere Anteil der MS an subgingivaler Plaque lag bei 6.65% (UPT) im Vergleich zu 1.86% (unbehandelte Parodontitis) (p=0.005) bzw. zu 2.51% (SRP) (p=0.041) und 2.18% nach Parodontalchirurgie (n.s.) Schlußfolgerungen: Die subgingivale Region ist ein Lebensraum für MS, die eine Bedeutung für die Pathogenese der Wurzelkaries bei Patienten mit Parodontitis haben könnte. Résumé L'étiologie des caries radiculaires semble étre identique à celle des caries coronaires bien que les caires radiculaires paraîssent plus compliquées vu la susceptibilité plus importante des racines exposées (dentine) par le traitement parodontal à la même déminéralisation que ne l'est l'émail intact. Ceci a comme conséquence que les Streptocoques mutans sont vraisemblabement les pathogènes les plus problables dans le dévelopment des caries radicularies. Bien qu'il soit connu que les nombres de Streptocoques mutans autant que la fréquence de l'isolation des lésions carieuses radiculaires soient en corrélation négative avec la distance depuis la gencive marginale, le sulcus gingival n'a pas été considéré comme habitat possible pour les Streptocoques mutans. Cependant, l'occurence sous-gingivale des Streptocoques mutans chez les patients avec parodontite traitée ou non n'a pas été suffisamment documentée dans la littérature. Le but de cette étude a été d'analyser la présence et les niveaux de Streptocoques mutans dans la plaque sous-gingivale de 154 patients à différentes étapes de leur traitement parodontale. Le sillon sous-gingival pourrait dont être un habitat possible pour les Streptocoques mutans. Cette localisation peut être importante dans le dévelopment des caries radiculaires après le traitement parodontal. Dans cette étude croisée des échantillons de plaque sous-gingivale ont été prélevés chez 154 patients adultes avec parodontite pour vérifier la présence et les niveaux de Streptocoques mutans et d'autres pathogènes parodontaux putatifs par culture anaérobie. Les patients étaient divisés en 4 groupes suivant le stade de leur traitement parodontal: non-traité, traitement initial seulement, phase de maintien mais sans chirurgie, et patient après chirurgie parodontale. La fréquence globale des Streptocoques mutans dans les 4 goupes variaient de 82% chez les patients non-traités à 94% chez ceux au stade de maintenance. La proportion moyenne de Streptocoques mutansétaient de 6.65% chez les patients en maintenance versus 1.86% chez les patients non-traités (p=0.005) et de 2.51% chez les patients après détartrage et surfaçage radiculaire (p=0.041). L'aire sous-gingivale est donc un habitat microbien pour les Streptocoques mutans qui pourraient être assez importants dans le développement des caries radiculaires chez les patients souffrant de parodontite. [source]


    Relationship of cigarette smoking to the subgingival microbiota

    JOURNAL OF CLINICAL PERIODONTOLOGY, Issue 5 2001
    A. D. Haffajee
    Abstract Background: The relationship of cigarette smoking to the composition of the subgingival microbiota is not clear. Some studies indicated higher levels of certain species in smokers, while other studies failed to detect differences in the microbiota between subjects with different smoking histories. Thus, the purpose of the present investigation was to examine the prevalence, proportions and levels of the subgingival species in adult subjects who were current, past or never smokers. Method: 272 adult subjects ranging in age from 20,86 years with at least 20 teeth were recruited for study. Smoking history was obtained using a questionnaire. Clinical measures were taken at 6 sites per tooth at all teeth excluding third molars at a baseline visit. Subgingival plaque samples were taken from the mesial surface of all teeth excluding third molars in each subject at baseline and assayed individually for counts of 29 subgingival species using checkerboard DNA-DNA hybridization. Subjects were subset according to smoking history into never (n=124), past (n=98) and current smokers (n=50). Uni-variate and multi-variate analyses were used to seek associations between smoking category and the counts, proportions and prevalence of subgingival species. Results: Greater differences were observed for the prevalence (% of sites colonized) of the test species in the 3 smoking groups than were observed for counts or proportions of total counts. Members of the orange and red complexes including E. nodatum, F. nucleatum ss vincentii, P. intermedia, P. micros, P. nigrescens, B. forsythus, P. gingivalis and T. denticola were significantly more prevalent in current smokers than in the other 2 groups. The difference in prevalence between smokers and non-smokers was due to greater colonization at sites with pocket depth <4 mm. Stepwise multiple linear regression analysis indicated that combinations of the prevalence of 5 microbial species and pack years accounted for 44% of the variance for mean pocket depth (p<0.000001), while the prevalence of 3 microbial taxa along with age, pack years, current smoking and gender accounted for 31% of the variance in mean attachment level (p<0.000001). The difference in prevalence between current and never smokers of all members of the red complex and 8 of 12 members of the orange complex was significantly greater in the maxilla than in the mandible. Conclusions: The major difference between the subgingival microbiota in subjects with different smoking history was in the prevalence of species rather than counts or proportions. The greater extent of colonization in smokers appeared to be due to greater colonization at pocket depths <4 mm. Differences in colonization patterns between current and never smokers were greater in the maxilla than in the mandible. Zusammenfassung Grundlagen: Die Beziehung zwischen dem Zigarettenrauchen und der Zusammensetzung der subgingivalen Mikroflora ist nicht klar. Einige Studien verweisen auf höhere Titer von bestimmten Spezies bei Rauchern, während andere Studien keine Unterschiede in der Mikroflora zwischen Personen mit unterschiedlichem Raucher- oder Nichtraucherverhalten nachweisen konnten. Daher war der Zweck der vorliegenden Studie die Untersuchung von Prävalenz, Anteil und Titer der subgingivalen Spezies bei erwachsenen Patienten, die zur Zeit, früher oder niemals Raucher waren. Methode: Für die Studie wurden 272 erwachsene Patienten im Alter zwischen 20 und 86 Jahren und wenigstens 20 Zähnen rekrutiert. Die Anamnese des Rauchverhaltens wurde under Verwendung eines Fragebogens durchgeführt. Bei einer Eingangsuntersuchung erfolgten die klinischen Messungen an 6 Stellen pro Zahn bei allen Zähnen außer den dritten Molaren. Bei der Eingangsuntersuchung wurden, bei allen Zähnen außer den dritten Molaren, von den Mesialflächen subgingivale Plaqueproben entnommen. Für die einzelnen Flächen wurde die Anzahl von 29 subgingivalen Spezies mittels Schachbrett-DNA-DNA-Hybridisierung bestimmt. Die Patienten wurden entsprechend der Rauchervorgeschichte in folgende Gruppen eingeteilt: niemals (n=124), früher (n=98) und zur Zeit (n=50). Um Assoziationen zwischen den Rauchkategorien und der Anzahl, dem Anteil und der Prävalenz der subgingivalen Spezies herauszufinden wurden eine uni-variate und multi-variate Analyse verwendet. Ergebnisse: Es wurden größere Unterschiede zwischen den 3 Gruppen hinsichtlich der Prävalenz der Testspezies (% der Taschen die kolonisiert waren) beobachtet als bei der Anzahl oder dem Anteil an der Gesamtzahl der Keime beobachtet wurde. Die Prävalenz der Keime des orangen und roten Komplexes einschließlich. E. nodatum, F. nucleatum ss vincentii, P. intermedia, P. micros, P. nigrescens, B. forsythus, P. gingivalis und T. denticola war bei den aktuellen Rauchern stärker prävalent als in den anderen beiden Gruppen. Die Differenz in der Prävalenz zwischen Rauchern und Nichrauchern wurde verursacht durch eine stärkere Kolonisation in Taschen mit einer Taschentiefe <4 mm. Die schrittweise multiple lineare Regressionsanalyse zeigte, dass Kombinationen der Prävalenz von 5 mikrobiellen Spezies und der Packungsjahre für 44% der Varianz der mittleren Taschentiefe verantwortlich waren (p<0.000001), während die Prävalenz von 3 mikrobiellen Taxa zusammen mit Alter, Packungsjahre, Raucherstatus und Geschlecht für 31% der Varizna im mittleren Attachmentniveau verantwortlich waren (p<0.000001). Die Differenz in der Prävalenz zwischen den aktuellen Rauchern und den die niemals rauchten war für alle Keime der roten Komplexes und 8 von 12 Keimen des orangen Komplexes im Oberkiefer signifikant größer als im Unterkiefer. Schlussfolgerung: Der Hauptunterschied zwischen der subgingivalen Mikroflora bei Patienten mit unterschiedlicher Rauchervorgeschichte lag mehr bei der Prävalenz der Spezies als bei der Anzahl der Keime oder den Anteilen an der Gesamtflora. Das größere Maß an Kolonisation bei den Rauchern schien durch eine stärkere Kolonisation in Taschen <4 mm verursacht zu sein. Differenzen im Kolonisationsmuster zwischen aktuellen Rauchern und Nichtrauchern die niemals rauchten waren im Oberkiefer größer als im Unterkiefer. Résumé Origine, but: La relation entre l'usage de la cigarette et la composition de la microflore sous gingivale n'est pas claire. Certaines études indiquent d'importants niveaux de certaines espèces chez les fumeurs, alors que d'autres études n'arrivent pas à détecter de différences dans la micrflore entre des sujets ayant des histoires tabagiques différentes. Aussi, le propos de cette recherche est d'examiner la prévalence, les proportions et le niveau des espèces sous gingivales chez des sujets adultes fumeurs, anciens fumeurs ou non-fumeurs. Méthodes: 272 sujets adultes, âgès de 20 à 86 ans, ayant au moins 20 dents furent recrutés pour l'étude. L'histoire tabagique fut obtenue à l'aide d'un questionnaire. Des mesures cliniques furent prises sur 6 sites par dents, sur toutes les dents à l'exception des troisièmes molaires lors de la première visite. Des échantillons de plaque sous gingivale étaient prélevés sur la face mésiale de chaque dent à l'exception des troisièmes molaires chez chaque sujet lors de la première visite et individuellement testés pour le comptage de 29 espèces sousgingivales par hybridisation en damier ADN-ADN. Les sujets étaient groupés en sous ensembles en fonction de leur histoire tabagique en non-fumeurs (n=124), ancien fumeurs (n=98), et fumeurs (n=50). Des analyses monovariées et multivariées furent utilisées pour rechercher des associations entre les catégories de fumerus et les comptages, proportions et prévalences des espèces bactériennes. Résultats: De plus grandes différences étaient observées pour la prévalence (% de sites colonisés) des expèces testées dans les 3 groupes, que pour le comptage ou la proportion des comptages totaux. Les membres des complexes orange et rouge dont E. nodatum, F. nucléatum ss vicentii, P. intermedia, P. micros, P. nigrescens, B. forsythus, P. gingivalis, et T. denticolaétait significativement plus prévalent chez les fumeurs que dans les 2 autres groupes. La différence de prévalence entre les fumeurs et les non-fumeurs était due à une plus grande colonisation des sites dont la profondeur de poche était <4 mm. L'analyse par régression linéaire multiple stepwise indiquait que les combinaisons de la prévalence de 5 espèces microbiennes et les paquets-années comptaient pour 44% de la variance pour la moyenne de profondeur de poche (p<0.000001), alors que la prévalence de 3 taxons microbiens avec l'âge, les paquets-années, le tabagisme présent et le sexe comptaient pour 31% de la variance pour le niveau d'attache moyen (p<0.000001). La différence de prévalence entre les fumerus en activité et les non-fumeurs (jamais fumé) de tous les membres du complexe rouge et de 8 des 12 membres du complexe orange était significativement plus élevée au maxillaire qu'à la mandibule. Conclusions: La différence majeure entre les microflores sous gingivales chez les sujets ayant des histoires tabagiques différentes se trouvaient dans la prévalence des expèces plutôt que dans leurs quantité ou leurs proportions. La plus grande importance de colonisation chez les fumerus apparaît être dûe à une colonisation plus grande dans les poches <4 mm. Des différences des caractéristiques de colonisation entre les fumerus actifs et les personnes n'ayant jamais fuméétaient plus importantes au maxillaire qu'à la mandibule. [source]


    Maintaining diversity through intermediate disturbances: evidence from rodents colonizing rehabilitating coastal dunes

    AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 4 2000
    S. M. Ferreira
    Abstract Rodents inhabit the coastal dune forests of KwaZulu-Natal, South Africa. Here habitat rehabilitation following mining of dunes has resulted in coastal dune forest succession similar to that recorded in nonmined forests. We investigated the colonization of rehabilitating stands and evaluate the role of disturbance in maintaining rodent diversity. A trapping programme was established between July 1993 and February 1995 during which rodent colonization, local extinction and species richness were recorded for rehabilitating stands of different ages. Trends in these variables were closely associated with one of three possible outcomes for a disturbed patch over time, with no intervening disturbances following the initial disturbance. Colonization was initially high which led to an increase in species richness. Extinction was lower than colonization, but became higher when the habitat was 3 years old, which led to a decline in richness. We extrapolate this result assuming negligibly small disturbances after the initiation of rehabilitation and suggest that intermediate levels of disturbance maintain rodent species richness in coastal dune forests. Furthermore, our results illustrated species turnover, a prediction of the recorded outcome, with young stands dominated by Mastomys natalensis and older stands by Saccostomus campestris or Aethomys chrysophilus. Résumé Il y a des rongeurs dans les forêts des dunes côtières du KwaZulu-Natal, en Afrique du Sud. Là, la réhabilitation de l'habitat après l'exploitation minière des dunes a abouti à une succession de forêts côtières des dunes semblable à celle qui est observée dans les forêts non exploitées. Nous avons étudié la colonisation des endroits en voie de réhabilitation et évalué le rôle des perturbations dans le maintien de la diversité des rongeurs. On a mis au point un programme de piégeage entre juillet 1993 et février 1995, pendant lequel on a noté la colonisation par les rongeurs, l'extinction locale et la richesse en espèces pour les endroits à différents stades de réhabilitation. Les tendances pour ces variables étaient étroitement associées à l'un des trois résultats possibles que peut conna,^tre avec le temps un endroit qui a été perturbé, lorsque aucune autre perturbation ne suit la première. La colonisation a d'abord été forte, ce qui a causé un enrichissement des espèces. Les extinctions étaient moins fréquentes que les colonisations, mais elles ont augmenté lorsque le nouvel habitat a atteint l'âge de trois ans, ce qui a entra,^né une perte de richesse en espèces. Nous extrapolons ce résultant en supposant que ce sont de petites perturbations négligeables après le démarrage de la réhabilitation et nous suggérons que des taux moyens de perturbation maintiennent la richesse spécifique des rongeurs dans les forêts des dunes côtières. De plus, nos résultats illustrent une rotation des espèces, une prédiction des résultats rapportés, avec les endroits les plus jeunes dominés par Mastomys natalensis et les plus anciens par Saccostomus campestris et Aethomys chrysophilus. [source]


    The geographies of crisis: exploring accessibility to health care in Canada

    THE CANADIAN GEOGRAPHER/LE GEOGRAPHE CANADIEN, Issue 3 2002
    KATHLEEN WILSON
    There is increasing concern in Canada that the health care system is in a state of crisis. It is argued that reductions in federal government transfers to the provinces have resulted in a health care system characterized by under-funding in key areas and policy decisions based more on provincial fiscal concerns than the health needs of their constituents. Provincial governments have responded to reduced levels in federal funding by undertaking aggressive restructuring tactics such as the closure of hospitals and the deinsuring of medical services from provincial health plans. The end result of this restructuring, as argued by the media, consumer groups and indeed some health researchers, is a state of crisis' (i.e., lower levels of accessibility, long waiting lists, overcrowding in hospitals and increasing costs of medication). One crisis theme often mentioned is that fiscal decisions of various kinds are reducing economic and geographic accessibility, one of the five principles of the Canada Health Act (CHA) that defines the very essence of the Canadian health care system. Using data from the 1998-99 National Population Health Survey (NPHS), this paper explores the extent to which an accessibility crisis exists within the Canadian health care system by examining access to health care services and the barriers encountered in trying to access services in each of the ten provinces. The results show that approximately 6.0 percent of Canadians report access problems, with values ranging from 4.5 percent in Newfoundland to 8.3 percent in Manitoba. Regional variations in barriers to accessing care were also observed. In particular, geographic accessibility appears to be a main barrier to care in Atlantic Canada while economic accessibility emerges as a main barrier to care in Western Canada. We discuss these findings in the context of the current debates on the Canadian health care system ,crisis'. De plus en plus de Canadiens s'inquiétent que leur systéme de soins de santé soit en état de crise. On défend l'idée selon laquelle la réduction des paiements de transfert aux provinces par le gouvernement fédéral serait responsable de l'état d'un systeme de santé caractérisé par un sous-financement dans les domaines-clés et des décisions politiques de santé basées, non pas sur les besoins des membres de la société canadienne, mais sur la fiscalité provinciale. Les gouvernements provinciaux ont réagi à la réduction du financement fédéral par une tactique de restructuration agressive (fermeture d'hôpitaux et retrait de services médicaux des programmes d'assurance de santé provinciaux). Selon les médias, les groupes de consommateurs et même les chercheurs en soins de santé, cette restructuration a eu pour effet un système en état de ,crise' (diminution de l'aecès aux services, longues fetes d'attente, hôpitaux surchargés, augmentation des coûts des médicaments etc). Un des thèmes récurrent est celui des décisions flscales de toutes sortes qui entraînent une baisse de l'accessibilité financière et géographique. Cette accessibilité est pourtant un des cinq principes de la Loi canadienne sur la santé définissant l'essence même du système de santé au Canada. Utilisant les données tirèes de l'Enquête nationale sur la santé de la population, 1998-99 et examinant l'accès aux services de santé et les obstacles rencontrés dans les 10 provinces canadiennes, cet article évalue dans quelle mesure une crise d'accessibilité existe au sein du système de santé canadien. Les résultats démontrent qu'environ 6.0 pour cent des Canadiens ont rencontré des problèmes d'accessibilité, avec des variantes allant de 4.5 pour cent à Terre-Neuve jusqu'à 8.3 pour cent au Manitoba. On observe aussi des variantes régionales dans les obstacles rencontrés. L'accessibilité géographique en particulier semble un obstacle mqjeur dans les régions de l'Atlantique, alors que l'accessibilite financière semble être un obstacle majeur dans l'Ouest du Canada. Ces résultats sont présentés dans le contexte des débats actuels sur l'existence dune, ,crise' dans le système de santé au Canada. [source]


    Enhanced mixing of Newtonian fluids in a stirred vessel using impeller speed modulation

    THE CANADIAN JOURNAL OF CHEMICAL ENGINEERING, Issue 6 2009
    Wei M. Yek
    Abstract This paper reports on an experimental study of mixing intensification using speed modulation of a six-blade Rushton turbine in a stirred vessel. Mixing times were measured using a non-intrusive technique based on direct visualisation of an acid-base reaction in a Newtonian fluid. The impeller speed modulation was achieved by using two waveforms: a square wave and a sine wave. The amplitude was fixed between a maximum Reynolds number of Remax,=,60 and minimum Reynolds numbers of Remin,=,40 or 30. The wave periods were varied (10, 20, or 40,s) in order to compare the effects of unsteady stirring on mixing performance. It was observed that a square wave protocol with the shortest wave period and the larger amplitude resulted in the shortest time to destroy the observed isolated mixing regions (IMRs), which are known to exist in stirred vessels operating at low Reynolds number. However, the sine wave protocol led to a slow diffusive mechanism in which IMR structures reached an asymptotic volume and remained visible even after several hours. The results are presented and discussed using digital photographs taken at different time intervals during experimentation. Ce papier présente une étude experimentale concernant l'intensification du mélange en modulant la vitesse d'une turbine de type Rushton a six palettes dans une cuve agitée. Les temps de mélanges sont mesurés avec une technique non-intrusive basée sur la visualisation directe d'une réaction acide-base au sein d'un fluide Newtonien. La modulation de la vitesse de la turbine a été realisée en utilisant deux formes d'ondes: une onde carrée et une onde sinusoidale. L'amplitude de chaque onde a été fixée entre un nombre de Reynolds maximal de Remax,=,60 et un nombre de Reynolds minimal de Remin,=,40 ou 30. Les périodes des ondes étaient variées (10, 20 ou 40,s) dans le but de comparer les effets du mélange non-stationnaire sur les performances du systeme. Il a été observé que le protocole suivant l'onde carrée avec la periode la plus courte et l'amplitude la plus large produisait le temps le plus court necessaire pour la destruction des zones de mélanges isolées (IMRs), dont l'éxistense est connue dans les cuves a mélange opérant aux nombres de Reynolds bas. Toutefois, le protocol suivant une onde sinusoidale a conduit a un mechanisme de diffusion lent dans lequel les IMRs atteignies un volume symptotique et sont restées visibles après plusieurs heures. Les résultats sont présentés and discutés en utilisant des photographes digitales prises à des intervales de temps differents durant les éxperiences. [source]


    Initial Deposition of Colloidal Particles on a Rough Nanofiltration Membrane

    THE CANADIAN JOURNAL OF CHEMICAL ENGINEERING, Issue 5 2007
    Tania Rizwan
    Abstract The initial rate of colloid deposition onto semi-permeable membranes is largely controlled by the coupled influence of permeation drag and particle-membrane colloidal interactions. Recent studies show that the particle-membrane interactions are subject to immense local variations due to the inherent morphological heterogeneity (roughness) of reverse osmosis (RO) and nanofiltration (NF) membranes. This experimental investigation reports the effect of membrane roughness on the initial deposition of polystyrene latex particles on a rough NF membrane during cross flow membrane filtration under different operating pressures and solution chemistries. Atomic force microscopy was used to characterize the roughness of the membrane and observe the structure of particle deposits. At the initial stages of fouling, the AFM images show that more particles preferentially accumulate near the "peaks" than in the "valleys" of the rough NF membrane surface. Le taux initial de la déposition colloïdale sur des membranes semi-perméables est largement contrôlé par l'influence couplée entre la traînée de perméation et les interactions colloïdales membrane-particules. Des études récentes montrent que les interactions membranes-particules sont sujettes à d'immenses variations locales en raison de l'hétérogénéité morphologique inhérente (rugosité) des membranes d'osmose inverse (RO) et de nanofiltration (NF). Cette étude expérimentale décrit l'effet de la rugosité des membranes sur la déposition initiale de particules de latex de polystyrène sur une membrane NF rugueuse lors de la filtration des membranes en écoulement transversal pour différentes conditions opératoires et compositions chimiques des solutions. On a eu recours à la microscopie à force atomique pour caractériser la rugosité de la membrane et observer la structure des dépôts de particules. Aux stades initiaux du refoulement, les images AFM montrent que les particules s'accumulent préférentiellement près des «pics» plutôt que dans les «vallées» de la surface de membrane NF rugueuse. [source]


    From Canadian Corporate Elite to Transnational Capitalist Class: Transitions in the Organization of Corporate Power,

    CANADIAN REVIEW OF SOCIOLOGY/REVUE CANADIENNE DE SOCIOLOGIE, Issue 3 2007
    William K. Carroll
    Cet article se penche sur un programme de recherche qui a consigné les transitions qui ont été effectuées dans l'élite de l'entreprise canadienne et qui a enquêté dernièrement sur la formation d'une classe capitaliste transnationale. Le programme s'est concentré sur l'organisation sociale du pouvoir des grandes sociétés sous ses aspects à la fois cumulatifs et hégémoniques, telle qu'elle a été retrouvée par le réeseau des conseils d'administration interdépendants dans les plus grandes entreprises. Des événements récents au Canada illustrent les transitions qui semblent indispensables a la forme financière de l'accumulation et aux « politiques axées sur le marché» caractérisant le capitalisme néolibéral Dans l'ensemble, l'analyse du réseau démontre que la classe capitaliste transnationale ne se trouve qu'à l'état naissant malgré l'organisation sociale fournie par les réseaux internationaux et les groupes de planification de politiques mondiaux. This article reflects on a research program that has mapped transitions in the Canadian corporate elite and has more recently investigated the formation of a transnational capitalist class. The program has focussed on the social organization of corporate power in both its accumulative and hegemonic aspects, as traced by the network of interlwkmg directorates among the largest fms. Recent developments in Canada exempw transitions that seem integral to the fmancialized form of accumulation and the "market-driven politics" that characterize neo-liberal capitalism. Globally, network analysis shows the transnational capitalist class to be only nascent, despite the social organization provided by transnational interlocks and global policy-planning groups. [source]


    Postmaterialism in Unresponsive Political Systems: The Canadian Case,

    CANADIAN REVIEW OF SOCIOLOGY/REVUE CANADIENNE DE SOCIOLOGIE, Issue 3 2004
    ROBERT J. BRYM
    Nous examinons la thèse de Ronald Inglehart selon laquelle le postmatérialisme est un phénomène politique universel qui concerne toute société industrialisée avancée. Après avoir introduit une distinction entre systèmes politiques réactifs et non réactifs, nous proposons que, dans les systèmes réactifs, le clivage matérialiste s'est enracinéà un tel point qu'il triomphait encore du postmatérialisme. Par contre, le postmatérialisme a réussi à se démarquer dans les systèmes non réactifs, ceux où le clivage matérialiste avait toujours été plus faible. Nous soutenons que les données tirées des sondages nationaux tenus lors des élections canadiennes de 1984 et 1997 confirment notre hypothèse sur les effets des systèmes non réactifs. Bien que le Canada soit l'objet principal de notre analyse, dans la conclusion nous nous penchons sur des facteurs qui pourraient expliquer les différences dans le postmatérialisme aux niveaux provincial et international. This article disputes Inglehart's claim that postmaterialism is a uniform political phenomenon that transcends differences between advanced industrial societies. We distinguish responsive from unresponsive political systems and argue that, in responsive systems, the materialist cleavage became so deeply entrenched that postmaterialism could not vie for dominance. In contrast, postmaterialism has become more salient than materialism in unresponsive systems, where the materialist cleavage was weaker to begin with. We argue that data from the Canadian National Election Surveys of 1984 and 1997 are consistent with our prediction about the effect of unresponsiveness. Differences within the Canadian electorate became weaker for materialist issues but more pronounced for postmate-rialist issues between 1984 and 1997. Although our empirical analysis focusses on Canada, we conclude by speculating about the causes of cross-provincial and cross-national variations in postmaterialism. [source]