Manière Dont (manière + dont)

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  • Selected Abstracts


    The co-optation of squatters in Amsterdam and the emergence of a movement meritocracy: a critical reply to Pruijt

    INTERNATIONAL JOURNAL OF URBAN AND REGIONAL RESEARCH, Issue 3 2004
    Justus Uitermark
    This article explains how and why the relationship between the Amsterdam squatter movement and the local government has changed over the last decade. Besides reassessing Pruijt's analysis of the Amsterdam squatter movement in a recent issue of this journal, the article also engages with the post-Fordist literature on social movements. This literature is largely based on the assumption that a subversive identity is incompatible with co-optation. However, as such ,soft factors' as culture gain more importance in urban growth strategies, it is likely that some segments of urban movements may become co-opted while retaining their subversive identity. It is hypothesized that we are witnessing the emergence of a movement meritocracy: with the rise of soft neoliberal urban policies, the way in which the local polity delivers incentives follows an increasingly discriminatory pattern, giving a place to those segments that contribute to the cultural vibrancy of the city whilst ignoring segments that struggle for basic provisions. These processes are probably not peculiar to Amsterdam and there is an urgent need for post-Fordist and other social movement theory to investigate what are the consequences of these shifts for government-movement interactions. Comment et pourquoi la relation entre le mouvement des squatters d'Amsterdam et le gouvernement local a-t-elle changé au cours de la dernière décennie? Outre l'examen de l'analyse qu'a faite Pruijt du mouvement des squatters d'Amsterdam dans un récent numéro de cette revue, l'article s'appuie sur la littérature post-fordiste des mouvements sociaux. Celle-ci se fonde surtout sur l'hypothèse qu'une identité subversive est incompatible avec une cooptation. Or, comme les ,facteurs intangibles' tels que la culture prennent de l'importance dans les stratégies d'expansion urbaine, il est probable que certains segments des mouvements urbains pourront être cooptés tout en gardant leur nature subversive. On suppose l'apparition d'une méritocratie des mouvements: avec l'essor des politiques urbaines néolibérales de compromis, la manière dont le gouvernement local propose des mesures d'incitation suit un modèle de plus en plus discriminatoire, donnant une place aux segments qui contribuent à la vibration culturelle de la ville, tout en ignorant ceux qui luttent pour des services de base. Les processus n'étant sans doute pas propres à Amsterdam, il est urgent que les théories des mouvements sociaux, post-fordistes ou autres, étudient les conséquences de ces changements dans les interactions entre gouvernement et mouvements. [source]


    Indicators of community economic development through mural-based tourism

    THE CANADIAN GEOGRAPHER/LE GEOGRAPHE CANADIEN, Issue 1 2005
    Rhonda Koster
    Community Economic Development (CED) has become a recognised form of economic development, despite contention regarding its definition and applications. It is acknowledged that development planning benefits from a more holistic approach with a focus on community participation. The objective of this paper was to explore the process and selected indicators of CED success through an examination of five Saskatchewan communities that have made the conscious decision to develop tourism through the use of wall murals on the exteriors of buildings. Extensive in-person interviews were conducted with stakeholders in each of these communities. Generally, this research has found that both the CED process undertaken and the measurement of success are dependent upon the desired outcomes of mural development. For example, in communities that created murals-as-community-beautification, the process was less formalised and success was measured more qualitatively, for example in increased community pride and the development of social relationships. For those communities where murals were developed as part of an explicit economic development strategy, the process was more formalised and the outcomes measured more quantitatively, including the numbers of visitors, employment and businesses created. This research also indicates that particular attributes of rural places play a critical role in how CED is understood, defined and carried out, and how successes, both tangible and intangible, are measured. Le Développement économique communautaire (DEC)est désormais une forme de développement économique reconnue, malgré le débat qui entoure sa définition et ses applications. On admet qu'une approche plus globale, axée sur la participation de la collectivité, favorise la planification du développement. L'objectif de cette étude est d'examiner la démarche du DEC ainsi que des indicateurs spécifiques de succès dans cinq collectivités de la Saskatchewan qui ont pris la décision délibérée de développer le tourisme grâce à la réalisation de murales sur les murs extérieurs d'édifices. Nous avons mené des entrevues en profondeur, en personne, avec des intervenants dans chacune de ces collectivités. D'une manière générale, cette recherche a mis en évidence le fait quele processus du DEC ainsi que la mesure de son succès dépendent des résultats que l'on attend de la réalisation des murales. Ainsi, là où les murales ont été réalisées dans le but d'embellir la collectivité, le processus était moins formel et le succès se mesurait surtout par des critères qualitatifs tels que le développement de relations sociales ou un sentiment de fierté accru de la part des résidents. Par contre, là où la réalisation des murales résultait d'une stratégie de développement économique explicite, le processus était plus formel et les résultats se mesuraient en termes quantitatifs comprenant le nombre de visiteurs, ainsi que le nombre d'emplois et de commerces créés. Cette recherche démontre également que certains attributs de lieux ruraux jouent un rôle crucial dans la façon dont on comprend, définit et met en ,uvre le DEC, ainsi que sur la manière dont on mesure les succès, tangibles autant qu'intangibles. [source]


    Trust in development: some implications of knowing in indigenous knowledge

    THE JOURNAL OF THE ROYAL ANTHROPOLOGICAL INSTITUTE, Issue 1 2010
    Paul Sillitoe
    The indigenous knowledge (IK) initiative in development has met with limited success. The cultural relativity of knowledge , i.e. what qualifies as justified belief , may partly explain why. Drawing on New Guinea Highlands' ethnography, I explore the implications for dominant capitalist development discourse of constituting and verifying knowledge differently. Trust emerges as a central issue. Highlanders' approach to knowing attends to the subjective nature of understanding and potential for disagreement. The grammar of language , such as that spoken by the Wola of the Southern Highlands Province , reflects these concerns, notably attention to the source/reliability of any professed knowledge. This evidential interest relates to oral traditions, enskilled knowing, and individual knowledge variability, in addition to the trust to be put on any expressed knowledge. It relates also to how stateless political contexts preclude the imposition of views, such as what comprises economic development; albeit what shape an alternative ,acephalous development' might take is currently unclear. Résumé L'initiative sur les savoirs autochtones (indigenous knowledge (IK)) dans le développement n'a connu qu'un succès mitigé. Ce résultat médiocre peut s'expliquer par la relativité culturelle des savoirs, autrement dit de ce qui peut être considéré comme une croyance justifiée. À partir de l'ethnographie des Hautes Terres de Nouvelle-Guinée, l'auteur explore les implications pour le discours capitaliste dominant en matière de développement d'une nouvelle manière de constituer et de valider les connaissances. La confiance s'avère une question centrale dans cette optique. L'approche du savoir par les habitants des Hautes Terres tient compte de la nature subjective de la compréhension et de la possibilité de désaccords. La grammaire de la langue, par exemple de celle des Wolas de la province des Hautes Terres du Sud, reflète ces préoccupations, et notamment l'attention portée à la source et à la fiabilité des connaissances déclarées. Outre la confiance que l'on peut accorder à tout savoir exprimé, cet intérêt pour les preuves est liéà la tradition orale, aux connaissances acquises et à la variabilité des connaissances individuelles. Il est donc aussi corréléà la manière dont des contextes politiques non étatiques empêchent l'imposition d'opinions, telles que celles qui ont trait à ce en quoi consiste le développement économique. Pour autant, la forme que pourrait prendre un mode différent de « développement acéphale » n'est pas nette pour l'instant. [source]


    Debating a whistle-blower protection act for employees of the Government of Canada

    CANADIAN PUBLIC ADMINISTRATION/ADMINISTRATION PUBLIQUE DU CANADA, Issue 2 2005
    Paul G. Thomas
    Written at the time when Bill C-11 (the Public Servants Disclosure Protection Act) was still before Parliament, the article argues that the existing administrative policy on internal disclosure was judged prematurely to have failed. The complications of measuring the success of any whistle-blowing regime are noted. The comparative experience of four countries where whistle-blower protection laws exist demonstrates that the benefits of such laws in terms of promoting "right-doing" and correcting wrongdoing have been oversold. The article challenges the predominant view that a new parliamentary agency is necessary to deal with whistle-blowing. Ultimately, the success of any law will depend less on its detailed provisions and far more on a political and administrative culture in government that supports ethical awareness and responsible behavior. Sommaire: Fondé sur la prémisse selon laquelle la dénonciation est considérée à juste titre comme me activité moralement ambiguë, le présent article examine la manière dont le gouvernement libéral de Paul Martin en est arrivé a adopter un project de loi visant à encourager et à protéger les functionaries qui dénoncent les fautes sérieuses. Rédigé alors que le project de loi C-11 (Project de loi sur la protection des fonctionnaires dénonciateurs) était encore divan le Parlement, l'article prétend que la politique administrative existante sur la dénonciation interne a été prématurément accusée d'avoir échoué. Les complications consistant à mesurer le succès de tout régime de dénonciation sont notées. L'expérience comparative de quatre pays où il existe des lois sur la protection des dénonciateurs démontre que les avantages de telles lois en ce qui concerne la promotion des bienfaits et la correction des méfaits ont été exagérés. L'article contest l'opinion prédominante selon laquelle il est nécessaire d'avoir un nouvel organisme parlementaire pour traiter de la dénonciation. En fin de compete, le succès de toute loi dépendra moins de ses dispositions détaillées et beaucoup plus d'une culture politique et administrative au sein du gouvernement qui favorise la prise de conscience éthique et les comportements responsables. [source]


    Measuring the impact of value-for-money audits: a model for surveying audited managers

    CANADIAN PUBLIC ADMINISTRATION/ADMINISTRATION PUBLIQUE DU CANADA, Issue 2 2004
    Danielle Morin
    To what extent have auditors general achieved this objective in the past twenty-five years since the inception of the value-for-money audit (VFMA)? The literature on VFMA has been silent on its actual impact on public administrations. This article examines the impact VFMAS have had on the management of organizations in the government of Quebec based on a new survey model of inquiry. Of the variables measured were the value VFMAS bring to the organizations audited; the relevance of the recommendations formulated by the auditors; the deterrent of potential audits on public-sector managers; the changes that occurred in the audited organization's management practices and in its relations with its stakeholders; the ways in which the auditors' report has been useful to the auditees; the concrete actions taken following VFMAS; and, finally, the organizational and personal consequences of the audits. Sommaire: La vérification législative de l'optimisation des ressources (VOR) est une pratique qui a été conçue pour améliorer la gestion des programmes publics en la rendant plus économique, plus efficace et plus efficiente. Dans quelle mesure les Vérificateurs généraux ont-ils atteint cet objectif au cours des vingt-cinq années qui ont suivi l'avènement de cette pratique? La recherche sur la VOR a passé sous silence l'impact réel de cette pratique sur les administrations publiques. Le présent article examine l'impact des VOR sur le managerisme des organismes du gouvernement du Québec d'après un nouveau modèle d'enquête. Les variables mesurées étaient les suivantes:la valeur que les VOR apportent aux organismes vérifiés; la pertinence des recommandations formulées par les vérificateurs; l'effet dissuasif de vérifications potentielles sur les gestionnaires du secteur public; les changements intervenus dans les pratiques de gestion de l'organisme vérifié et dans ses relations avec ses parties prenantes; la manière dont le rapport des vérificateurs a été utile aux entités vérifiécs; les mesures concrètes prises à la suite des VOK; et enfin, Ics conséquences organisationnelles et personnelles des vérifications. [source]


    The Andersen-Comsoc affair: Partnerships and the public interest

    CANADIAN PUBLIC ADMINISTRATION/ADMINISTRATION PUBLIQUE DU CANADA, Issue 3 2001
    David Whorley
    Thc business transformation project was intended to support the Ontario Works program and Ontario Disability Support program. The provincial auditor subsequently reviewed the project and identified a number of problems. This particular case illustrates some of the key issues associated with public-private partnerships in Ontario, and perhaps more generally. The article examines the government's managerialist agenda and the twin goals of downsizing the Ontario Public Service while increasing the involvement of business in program delivery. Analysis focuses on how the Ontario government conceives of partnership arrangements; the issue of differences in organizational power between public and private actors; the question of whether shared interests need necessarily exist between the parties; and the problem of securing accountability in partnership arrangements. It finds that collaborative partncrships and democratic accountability are in tension; public-sector organizations risk entering public-private partnerships in subordinate roles; and that divergent public and private purposes hampered the project. Moreover, the article suggests that the ministry's eventual corrective actions embraced traditional public administrative concerns. This development indicates that while recent managerialist reforms havc posed some challenge to public administration, it shows continued relevance in protecting the public interest. Sommaire: En janvier 1997, le ministère des Services sociaux et communautaires de l'Ontario a conch avec Andersen Consulting un partenariat entre secteurs public et privé. Le projet visait à appuyer le programme Ontario au travail et le Programme ontarien de soutien aux personnes handicapées. Le vérificateur provincial a, par la suite, passé en revue le projet et a identifié un certain nombre de problèmes. Ce cas particulier illustre certaines des questions clés associées aux partenariats entre le secteur public et le secteur privé en Ontario, et peut-être dans un champ plus vaste. L'artio cle examine le programme de nouveau management public du gouvernement let les deux objectifs jumeaux consistant à réduire la taille de la Fonction publique de l'Ontario tout en augmentant le rôe du secteur privé dans la prestation des programmes. L'analyse se centre sur la manière dont le gouvernement de l'Ontario conçoit les contrats de partenariat; la question des différences en matière de pouvoir organisationnel entre les intervenants des secteurs public et privé; la question de savoir si les parties doivent nécessairement partager des intérêts communs; et le problème de la garantie de l'imputabilité dans les contrats de partenariat. L'article montre qu'il existe des tensions dans les partenariats de collaboration par rapport à la responsabilité démocratique, que les organismes du secteur public risquent de conclure avec le secteur privé des partenariats où ils joueront des rôles subordonnés et que les objectifs divergents des secteurs public et privé ont été une entrave au projet. Par ailleurs, l'article laisse entendre que les mesures correctives prises finalement par le ministère ont tenu compte des préoccupations traditionnelles de l'administration publique. Cela indique que même si les récentes réformes de gestion ont posé certains défis à l'administration publique, elles visent toujours la protection de l'intérêt public. [source]