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La Province (la + province)
Selected AbstractsProducing North and South: a political geography of hydro development in QuébecTHE CANADIAN GEOGRAPHER/LE GEOGRAPHE CANADIEN, Issue 2 2004Caroline Desbiens Since the 1970s, the tapping of James Bay's hydroelectric potential has been synonymous with the tapping of divergent national imaginaries for native and non-native people in Québec. Exploitation of natural resources in the region has activated different narratives of political identity for each community. I explore this evolving political context by examining how, for each group, water has emerged simultaneously as a physical entity possessing economic value and a social artefact supporting the consolidation of national boundaries. I do so by analysing three phases of changing relationships around resource management, namely: hydroelectric development on the La Grande river in the 1970s; the Cree opposition to Great Whale in the 1990s; and the recent agreement concerning a new relationship between the two parties. In each of these phases, nature has been both the symbolic and material tie that binds different national identities and materialises their boundaries. While these are not boundaries in the traditional geopolitical understanding of the term, the forging of an equitable framework of development in the region depends on the recognition of nature as a historical and political formation that answers to different sets of national preoccupations. Depuis les années 70, le développement hydroélectrique de la Baie James a favorisé l'expression de deux imaginaires nationaux dans la province, celui des autochtones en parallèle avec celui des non-autochtones. L'exploitation des ressources naturelles de la région a donné lieu à des récits identitaires propres à chaque communauté. J'explore les changements dynamiques de ce contexte politique en examinant comment, pour chacun de ces groupes, l'eau est à la fois une entité physique possédant une certaine valeur économique, ainsi qu'un objet social capable de consolider les frontières nationales de chaque peuple. L'analyse se fait à travers trois phases de gérance des ressources: la construction du Complexe La Grande dans les années 70; l'opposition des Cris au projet Grande Baleine dans les années 90; et la signature récente d'une nouvelle entente entre les deux parties. Dans chacune de ces phases, la nature a constitué un terrain à la fois symbolique et matériel consolidant des frontières nationales divergentes. Même s'il ne s'agit pas de frontières ,géopolitiques' au sens propre du terme, la création d'une structure de développement équitable dans la région exige que la nature soit perçue dans toute sa dimension historique et politique afin de dégager les différentes priorités nationales qui s'expriment en son nom. [source] Trust in development: some implications of knowing in indigenous knowledgeTHE JOURNAL OF THE ROYAL ANTHROPOLOGICAL INSTITUTE, Issue 1 2010Paul Sillitoe The indigenous knowledge (IK) initiative in development has met with limited success. The cultural relativity of knowledge , i.e. what qualifies as justified belief , may partly explain why. Drawing on New Guinea Highlands' ethnography, I explore the implications for dominant capitalist development discourse of constituting and verifying knowledge differently. Trust emerges as a central issue. Highlanders' approach to knowing attends to the subjective nature of understanding and potential for disagreement. The grammar of language , such as that spoken by the Wola of the Southern Highlands Province , reflects these concerns, notably attention to the source/reliability of any professed knowledge. This evidential interest relates to oral traditions, enskilled knowing, and individual knowledge variability, in addition to the trust to be put on any expressed knowledge. It relates also to how stateless political contexts preclude the imposition of views, such as what comprises economic development; albeit what shape an alternative ,acephalous development' might take is currently unclear. Résumé L'initiative sur les savoirs autochtones (indigenous knowledge (IK)) dans le développement n'a connu qu'un succès mitigé. Ce résultat médiocre peut s'expliquer par la relativité culturelle des savoirs, autrement dit de ce qui peut être considéré comme une croyance justifiée. À partir de l'ethnographie des Hautes Terres de Nouvelle-Guinée, l'auteur explore les implications pour le discours capitaliste dominant en matière de développement d'une nouvelle manière de constituer et de valider les connaissances. La confiance s'avère une question centrale dans cette optique. L'approche du savoir par les habitants des Hautes Terres tient compte de la nature subjective de la compréhension et de la possibilité de désaccords. La grammaire de la langue, par exemple de celle des Wolas de la province des Hautes Terres du Sud, reflète ces préoccupations, et notamment l'attention portée à la source et à la fiabilité des connaissances déclarées. Outre la confiance que l'on peut accorder à tout savoir exprimé, cet intérêt pour les preuves est liéà la tradition orale, aux connaissances acquises et à la variabilité des connaissances individuelles. Il est donc aussi corréléà la manière dont des contextes politiques non étatiques empêchent l'imposition d'opinions, telles que celles qui ont trait à ce en quoi consiste le développement économique. Pour autant, la forme que pourrait prendre un mode différent de « développement acéphale » n'est pas nette pour l'instant. [source] Does the Lender Matter?CANADIAN JOURNAL OF ADMINISTRATIVE SCIENCES, Issue 4 2002Home Office Location, Lender Type, Real Estate Development Lending Inter-regional expansion and merger and acquisition activity triggered by regulatory reforms are changing the structure of North America's financial industry. Increases in concentration and the belief that large and small financial institutions specialize in distinct segments of the lending market have raised concerns among some that these industry changes will have real effects on the availability and access to credit for distinct classes of borrowers, especially smaller firms. This paper examines this issue by looking at differences across lenders in the financing of residential construction by lender type and home office location (local versus out-of-province). The analysis has two components. The first is a descriptive data analysis for evidence that smaller, local lenders provide capital to more marginal and infra-marginal borrowers. The second is a test of whether lenders active in multiple jurisdictions allocate loan capital for real estate efficiently. To evaluate these issues, the paper uses data on over 1,300 senior and junior construction loans in the Vancouver, BC, metropolitan area. We find that local lenders do seem to behave differently, charging lower spreads and extending credit to more marginal or less well capitalized developers. However, contrary to the claims of many Vancouver developers, lenders in Central Canada did not limit credit to British Columbia when their home real estate markets turned down in the late 1980s and early 1990s. Instead, the lending volume and market share in the Vancouver market of lenders based outside of BC rose when the relative condition of their home real estate markets worsened. Résumé La fusion et l'expansion inter-régionales, l'acquisition des activités déclenchée par les reformes régulatrices modifient la structure des industries financières nord-américaines. Les accroissements de la concentration et la croyance en la spécialisation des petites et des grandes institutions financières dans différents secteurs du marché de prêt ont amené les uns à s'inquiéter du fait que certains de ces changements industriels peuvent avoir des effets certains sur la disponibilité et l'accès au crédit à des classes distinctes d'emprunteurs et en particulier aux petites firmes. Le présent article examine cette question en analysant les différences entre les prêteurs dans le financement des constructions résidentielles suivant le type de prêteur et le lieu d'implantation de son établissement principal (dans la province par opposition à hors de la province). L'analyse a deux composantes: la première est l'analyse descriptive des données dans le but de montrer que les petits prêteurs locaux fournissent des capitaux à plus d'emprunteurs marginaux et infra-marginaux. La seconde composante est un test qui vise à savoir si les prêteurs actifs dans plusieurs juridictions allouent efficacement des capitaux d'emprunts aux compagnies immobilières. Pour évaluer ces questions, l'article utilise des données de plus de 1300 prêts de constructions primaires et secondaires dans la zone métropolitaine de Vancouver, en Colombie Brittanique. Notre travail permet de constater que les prêteurs locaux semblent se comporter différemment, demandant des marges plus basses et accordant des crédits à des promoteurs immobiliers plus marginaux ou nettement moins capitalisés. Cependant, contrairement aux déclarations de plusieurs promoteurs immobiliers de Vancouver, les prêteurs du Canada Centre ne s'étaient pas limités à la Colombie Britannique dans l'octroi des crédits quand leurs marchés des propriétés immobilières avaient fléchi à la fin des années 1980 au début des années 1990. Bien au contraire, le volume de prêt et la part de marché dans le marché de Vancouver des prêteurs installés hors de la Colombie Britannique s'est accru quand la condition relative de leurs marchés immobiliers a empiré. [source] Public safety in private hands: A Study of Ontario's Technical Standards and Safety AuthorityCANADIAN PUBLIC ADMINISTRATION/ADMINISTRATION PUBLIQUE DU CANADA, Issue 1 2002Mark S. Winfield The authors place the tssa in the larger context of the restructuring of government functions and responsibilities and the transferring of these activities to non-governmental actors, as part of what has become known around the world as the "new public management." The history, rationale, mandate, structure and functions of the tssa are described. In addition, an assessment of the tssa as a model for the delivery of public services against criteria related to governance, political and legal accountability and performance relative to its predecessor is provided. The article concludes that significant gaps remain in the Ministry of Consumer and Business Services' capacity to adequately oversee the tssa and in the accountability framework for the tssa relative to that applicable to a conventionally structured government agency. Improvements in public safety outcomes in Ontario over the past decade are noted, although many of these trends pre-date the creation of the tssa and may be attributable to factors other than the mccr/tssa transition. Sommaire: Le présent article passe en revue I'expérience de la Technical Standards and Safety Authority (tssa) de I'Ontario, organisme à but non lucratif auquel furent transférées en 1997 les fonctions relatives à la réglementation de la sécurité publique du ministère de la Consommation et du Commerce de la province (devenu le ministère des Services aux consommateurs et aux entreprises). Les auteurs placent la Esa dans le contexte plus vaste de la restructuration des fonctions et responsabilités gouvernementales et du transfert de ces activités à des organismes non gouvemementaux, dans le cadre de ce qui est maintenant connu mondialement sous le nom de « nouvelle gestion publique ». 11s décrivent l'historique, la justification, le mandat, la structure et les fonctions de la tssa. Ils foumissent en outre me évaluation de la Esa en tant que modèle de prestation de services publics selon des critères de gouvemance, d'imputabilité politique et légale et de rendement par rapport à son prédécesseur. L'article conclut qu'il existe encore d'importantes lacunes en ce qui concerne la capacité du ministère des Services aux consommateurs et aux entreprises à superviser adéquatement la tssa et en ce qui concerne le cadre de responsabilité de la tssa par rapport à ce qui s'applique à un organisme gouvernemental de structure conventionnelle. L'article mentionne les améliorations concernant la sécurité publique survenues en Ontario au cours de la dernière décennie, quoique nombre de ces tendances datent d'avant la création de la tssa et pourraient tre attribuables à des facteurs autres que la transition du mcc à la tssa. [source] Equity and purpose in financing universities: the case of Nova ScotiaCANADIAN PUBLIC ADMINISTRATION/ADMINISTRATION PUBLIQUE DU CANADA, Issue 3 2000David M. Cameron This is because some of its rather large number of universities and colleges are in very different situations as compared with others. How is an equitable distribution to be achieved under such circumstances? The longstanding solution has been to combine fixed grants based on a historically determined base allocation, with a variable component based on enrolment. But this grew increasingly problematic as the original institutional patterns evolved and, especially, when the province adopted a formula of fixed shares combined with actual reductions in funding. A new formula was required and this article tells the story of its development by the Nova Scotia Council on Higher Education. This article explores both the issues that had to be addressed and resolved and the institutional dynamics and personalities that shaped their resolution. In the end, it became apparent that an equitable redistribution of grants to Nova Scotia's universities could be achieved through this process only if additional resources were forthcoming. Sommaire: La Nouvelle-Écosse se débat avec le problème du financement de ses uni-versités depuis l'adoption des subventions provinciales en 1963, éant donné la situation très particuliére de plusieurs de ses nombreux colléges et universités. Comment réaliser une répartition équitable dans de telles circonstances? Pendant longtemps, la solution fut de combiner des subventions fixes s'appuyant sur une allocation de base établie de longue date, avec une composante variable fondée sur le nombre d'inscrip-tions. Mais, cette méthode est devenue de plus en plus problématique face à l'évolu-tion des modèles institutionnels et, en particulier, lorsque la province a adopté une formule de parts fixes combinée à des coupures de financement. II a fallu alors trou-ver une nouvelle formule, et cet article présente l'historique de son élaboration par le Conseil de l'enseignement supkérieur de la Nouvelle-Écosse. II explore à la fois les questions qu'il fallait régler et la dynamique institutionnelle ainsi que les personna-lités qui ont influé sur leur résolution. En dernière analyse, il devint évident qu'une redistribution équitable des subventions aux universités de la Nouvelle-Écosse ne pouvait se réaliser par l'entremise de ce processus qu'avec l'allocation de ressources supplémentaires. [source] |