Home About us Contact | |||
La Privatisation (la + privatisation)
Selected Abstracts,People Is All That Is Left to Privatize': Water Supply Privatization, Globalization and Social Justice in Belize City, BelizeINTERNATIONAL JOURNAL OF URBAN AND REGIONAL RESEARCH, Issue 3 2009DAANISH MUSTAFA Abstract This article presents the findings of an extensive survey on public and policy level perceptions of the failed water supply and sanitation system privatization in Belize City. Drawing upon the burgeoning critical geographical literature on the commodification and privatization of water, we formulate a conceptual framework for analyzing the ethnographic data on perceptions and experience of privatization by Belize City water users. The experience of water supply privatization was largely negative. Residents complained bitterly about an increase in water tariffs and excessive disconnection rates by the privatized Belize Water Supply Limited (BWSL). Many policy makers also accused BWSL of front-loading profits and not making strategic investments in infrastructure. But the symbolic significance of water privatization for the residents of a small Caribbean country like Belize exceeded its practical implications. We argue that the major themes to emerge from the ethnographic data collected for the study can be synthesized into three ,popular privatization narratives' (PPNs). The first was based on the perception that poor governance led to privatization; the second on a preference for national- over global-scale politics, so that objections to privatization were based on nationalism; the third on angst about losing control to the systemic compulsions of neoliberal globalization. Overall the privatization process not only had important (largely negative) material consequences for Belizeans but, given their historical and cultural geography, profound discursive and symbolic consequences for their sense of identity in a condition of neoliberal globalization. Résumé Cet article présente les résultats d'une vaste enquête sur les impressions, de la population et des acteurs des politiques publiques, concernant l'échec de la privatisation du réseau d'approvisionnement en eau et d'assainissement de Belize City. Utilisant les publications géographiques critiques qui se multiplient sur la marchandisation et la privatisation de l'eau, un cadre conceptuel est formulé pour analyser les données ethnographiques sur les impressions et l'expérience de la privatisation émanant des usagers de l'eau de Belize City. L'expérience de cette privatisation a été en grande partie négative. Les habitants se plaignent amèrement de l'augmentation des tarifs et de taux de coupures excessifs par la société privée Belize Water Supply Limited (BWSL). De nombreux décideurs politiques ont également accusé BWSL de prélever les bénéfices sans effectuer d'investissements stratégiques d'infrastructure. Toutefois, la place symbolique de la privatisation de l'eau pour les habitants d'un petit pays de la mer des Antilles comme Belize dépasse les incidences pratiques. Les principaux thèmes dessinés par les données ethnographiques collectées peuvent se résumer en trois ,récits populaires de la privatization'. Le premier repose sur l'impression que la faiblesse de la gouvernance a conduit à la privatisation; le deuxième sur une préférence pour une politique à l'échelon national plutôt que mondial, de sorte que les objections à la privatisation étaient liées au nationalisme; le troisième sur l'angoisse de perdre la maîtrise des pressions systémiques exercées par la mondialisation néolibérale. En général, le processus de privatisation a eu des conséquences matérielles importantes (en grande partie négatives) pour les Béliziens mais aussi, étant donnée la géographie historique et culturelle nationale, de profondes implications discursives et symboliques sur leur sens de l'identité dans un contexte de mondialisation néolibérale. [source] Privatization in Canada: Operating and Stock Price Performance with International ComparisonsCANADIAN JOURNAL OF ADMINISTRATIVE SCIENCES, Issue 2 2002Anthony E. Boardman This paper analyzes the operating and stock price performance of the major Canadian share-issue privatizations, including Air Canada, Canadian National Railway, Petro-Canada, and six provincial privatizations. First, using time-series accounting data, we examine changes in operating and financial performance before and after privatization. Second, we compare the Canadian performance experience to privatizations in other countries. Third, we examine the long-run effect of privatization on shareholder returns. The evidence indicates that privatization significantly improved the operating and financial performance of Canadian companies. Net income, profitability, efficiency, and dividend payments were significantly higher following privatization than before privatization. Employment and debt were significantly lower following privatization. Relative to privatizations in other industrialized countries, Canadian corporations did not grow as fast and had more layoffs. However, they experienced greater increases in profit and profitability, and larger reductions in debt. The increases in productivity, capital expenditures, and dividend payments were similar to firms in other countries. In the five years following privatization, shareholders of Canadian companies enjoyed significant, positive, market-adjusted buy-and-hold returns. This suggests that the operating performance improvements were larger than was expected at the time of privatization. Résumé Cette étude analyse les performances économiques et financières des sociétés d'État canadiennes qui ont été privatisées. En utilisant des données temporelles avant et après la privatisation, nous analysons trois entreprises privatisées par le gouvernement fédéral canadien (Air Canada, Pétro-Canada, et le Canadien National) ainsi que six autres entreprises privatisées par les gouvernements provinciaux. Nous comparons l'expérience canadienne aux autres privatisations majeures qui ont eu lieu à travers le monde. Finalement, nous étudions les rendements que ces entreprises ont procurés à leurs actionnaires. Les résultats tendent à démontrer qu'au Canada, la privatisation a eu un effet positif sur la performance. La rentabilité, la productivité, et les paiements de dividendes des entreprises canadiennes privatisées ont augmenté significativement suite à la privatisation. Le nombre d'employés et les niveaux d'endettement ont diminué de façon marquée. Comparativement aux privatisations mondiales, les privatisations canadiennes n'ont pas obtenu une croissance aussi grande et ont procédé à plus de mises à pied. Toutefois, on note une plus grande amélioration de la rentabilité et une plus grande réduction de l'endettement. Durant les cinq années qui ont suivi la privatisation, les actionnaires d'entreprises canadiennes privatisées ont bénéficié de rendements boursiers supérieurs à ceux procurés par l'ensemble du marché canadien de même que supérieurs à ceux procurés par les entreprises privatisées à travers le monde. Ce résultat tend à démontrer que l'amélioration de la performance des entreprises canadiennes privatisées a dépassé les attentes des investisseurs. [source] Les enjeux de la privatisation des établissements de détentionCANADIAN PUBLIC ADMINISTRATION/ADMINISTRATION PUBLIQUE DU CANADA, Issue 2 2005Daniel Pelletier Sommaire: Le mouvement de privatisation des prisons et des pénitenciers a connu un développement fdgurant dans les pays anglo-saxons de 1990 à 2000. Depuis, plu-sieurs administrations publiques, en particulier aux États-Unis, ont réalisé que les avantages escomptés et annoncés par les grandes corporations du secteur privé n'étaient pas vraiment au rendez-vous, au point ou on parle actuellement de l'éclate-ment de la bulle de la privatisation. Le débat est aujourd'hui dominé par les positions extrêmes de l'entreprise privée - qui continue à vanter ses établissements - et des associations de défense de droits civiques et des syndicats, qui adoptent la position opposée. L'examen des recherches empiriques ayant été faites à ce sujet révèle que la majorité des études comparatives présentent des failles méthodologiques importantes qui ne permitting pas d'asseoir la prise de décision sur des bases solides. Il importe donc d'agir avec prudence dans ce secteur fortement influencé par des enjeux politiques, sociaux et communicationnels dont l'ampleur reste encore insoupconnée. Abstract: From 1990 to 2000, the trend towards the privatization of jails and penitentiaries in Anglo-Saxon countries grew very rapidly. Since then, several public administrations, particularly in the United States, have come to realize that the benefits anticipated by the big corporations in the sector never actually materialized; in fact, we now talk of the bursting of the privatization bubble. Today, the debate is dominated by the extreme positions taken by private enterprise, which continues to boast about its institutions, and by human and trade-union rights advocacy associations, which are adopting the opposite position. The review of empirical research on this topic indicates that most comparative studies have significant methodological flaws that undermine the foundations of the decision-making process. It is therefore important to act with caution in this sector, which is highly influenced by political, social and communicational issues, the magnitude of which is yet unknown. [source] |