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La Plantation (la + plantation)
Selected AbstractsNormes OEPP EPPO Standards Schemes for the production of healthy plants for planting Schémas pour la production de végétaux sains destinés à la plantationEPPO BULLETIN, Issue 1 2008Article first published online: 12 MAR 200 No abstract is available for this article. [source] Survival and vitality of Gremmeniella abietina on Pinus sylvestris slash in northern SwedenFOREST PATHOLOGY, Issue 6 2006J. Witzell Summary Survival and vitality of Gremmeniella abietina on Pinus sylvestris slash was studied in northern Sweden during 2003 and 2004. Once a month between September 2003 and April 2004, two to three trees were cut down and debranched. Shoots with pycnidia were sampled at the felling date and then at every consecutive month. The percentage of germinated conidia from each shoot was calculated after 24, 48 and 72 h incubation. The vitality of G. abietina pycnidia in the slash remained high the whole period. Intact pycnidia were found on slash several months after the time of conidial sporulation, which indicates that new pycnidia may be produced on dead pine branches. Sampling of shoots from slash on 13- to 18-month-old clear-cuts showed conidial germination capacity as high as in pycnidia collected in fresh slash. Due to survival of G. abietina in slash it is recommended to postpone planting of P. sylvestris seedlings in northern boreal areas to the third vegetation period after sanitary clear-cuts. Résumé La survie et la vitalité de Gremmeniella abietina dans des rémanents de Pinus sylvestris ont étéétudiées dans le nord de la Suède pendant les années 2003 et 2004. Une fois par mois entre septembre 2003 et avril 2004, 2 ou 3 arbres ont été abattus et ébranchés. Des pousses avec pycnides ont étééchantillonnées à la date d'abattage et les mois suivants. Le pourcentage de conidies germées a été calculé pour chaque pousse après 24, 48 et 72 heures d'incubation. La vitalité des pycnides de G. abietina dans les rémanents est restée élevée tout au long de la période. Des pycnides intactes ont été trouvées dans les rémanents plusieurs mois après la période de sporulation conidienne, ce qui suggère que de nouvelles pycnides peuvent être produites sur des branches mortes de pin. Des échantillonnages de pousses dans des rémanents de coupes rases réalisées 13,18 mois plus tôt ont montré une capacité de germination des conidies aussi élevée que dans les pycnides collectées dans des rémanents fraîchement coupés. Du fait de la survie de G. abietina dans les rémanents, il est conseillé de reporter la plantation des semis de P. sylvestris dans les zones septentrionales boréales à la troisième saison de végétation après les coupes sanitaires. Zusammenfassung Das Überleben und die Vitalität von Gremmeniella abietina auf Schlagabraum von Pinus sylvestris wurde in den Jahren 2003 und 2004 untersucht. Zwischen September 2003 und April 2004 wurden in jedem Monat einmal 2,3 Bäume gefällt und entastet. Zum Zeitpunkt des Fällens und in jedem folgenden Monat wurden Triebe mit Pyknidien gesammelt. Von jedem Trieb wurde die Keimrate der Konidien nach 24, 48 und 72 Stunden Inkubation bestimmt. Während der gesamten Beobachtungsdauer blieb die Vitalität der Pyknidien im Schlagabraum hoch. Mehrere Monate nach der Sporulation wurden intakte Pyknidien gefunden, ein Hinweis darauf, dass möglicherweise neue Pyknidien auf den toten Kiefernzweigen gebildet wurden. Auf dem Schlagabraum von 13,18 Monate alten Kahlschlägen war die Keimfähigkeit der Konidien ähnlich hoch wie bei Pyknidien von frischem Schlagabraum. Aufgrund des langen Überlebens von G. abietina in Schlagabraum wird für die nördlichen borealen Gebiete empfohlen, nach phytosanitären Kahlschlägen P. sylvestris -Sämlinge erst in der dritten Vegetationsperiode zu pflanzen. [source] Brackish water subirrigation for vegetables,IRRIGATION AND DRAINAGE, Issue 2 2003R. M. Patel eaux saumâtres; irrigation souterraine; poivron vert; pommes de terre Abstract As freshwater resources for irrigation are being depleted rapidly, recent emphasis has been on the development of nonconventional water sources: reuse of agricultural drainage water, use of industrial or municipal wastewater, and use of brackish water for irrigation. Experiments conducted in field lysimeters over three seasons sought to investigate the feasibility of using brackish water for growing moderately sensitive crops. Brackish waters, with salinity levels of 1, 5 and 9 dS m,1, were used. In 1993 the effects of a factorial combination of three subirrigation water salinity levels, two water table depths and four NPK fertilizer combinations on salt buildup in an initially nonsaline soil and on green pepper (Capsicum annuum L.) performance were assessed. A gradual increase in soil solution salinity (ECsw) from the water table to the soil surface was evident; however, throughout the growing season, the ECsw did not reach a level that could seriously damage the crop. There was no significant difference in pepper yields due to either salinity of subirrigation water or water table depth. In 1994, two potato (Solanum tuberosum L.) cultivars were grown in the soil, which was salinized with 3.5 dS m,1 water before planting tubers. The salt buildup pattern was similar to that observed in 1993; however, the ECsw levels were higher in 1994 due to the higher initial soil salinity. Moreover, a decrease in ECsw was observed near the water table in lysimeters subirrigated with 1 dS m,1 water. For both cultivars, no significant difference in tuber yield was observed due to either water table depth or subirrigation water salinity. In 1995, three potato cultivars were grown in a nonsaline soil as well as a soil presalinized with 2 dS m,1 water. In the topsoil layer, higher rate of increase in ECsw was observed in the saline soil compared to the nonsaline soil. No significant difference in total tuber yield was observed due to either the initial soil salinity levels or subirrigation water salinity levels. Brackish water with salinity levels of up to 9 dS m,1, when applied through subirrigation, could be used to successfully produce green peppers and potatoes under semiarid to arid conditions. Copyright © 2002 John Wiley & Sons, Ltd. RÉSUMÉ Comme les ressources en eau douce utilisées poor l'irrigation s'épuisent rapidement, les récentes recherches tentent de mettre l'emphase sur le développement de sources d'eau non-conventionnelles: la réutilisation de l'eau de drainage agricole, l'utilisation des eaux usées municipales et des eaux saumâtres pour l'irrigation des cultures. Lors de pénuries d'eau douce les eaux saumâtres ont été utilisées pour l'irrigation souterraine de maïs, mais la salinité de la couche supérieur du sol a été réduite en raison de la pluie. Dans les régions arides et semi-arides cette méthode s'est limitée à quelques essais seulement. En raison des quantités limitées d'eau de bonne qualité, on ne peut irriguer de vastes étendues agricoles en régions arides. Or, si l'utilisation des eaux saumâtres s'avérait un succès il serait possible d'améliorer les rendements agricoles. Il est donc nécessaire d'évaluer l'utilisation des eaux saumâtres dans les systèmes d'irrigation souterrains en milieu aride. Des expériences en lysimètres au cours de trois saisons, dans le but d'étudier la faisabilité d'utiliser des eaux saumâtres pour l'irrigation souterraine de cultures moyennement sensibles, furent entreprises en 1993 et 1994. Des eaux saumâtres avec des niveaux de salinité de 1, 5 et 9 dS m,1, furent utilisés. En 1993, les effets d'une combinaison factorielle de trois niveaux de salinité, deux profondeurs de nappe phréatique et quatre combinaisons de fertilisation NPK ont servi à évaluer l'accumulation de sel dans un sol initialement non-salin où le poivron vert (Capsicum annuum L.) a été cultivé. Une augmentation graduelle de la salinité de la solution du sol, de la nappe d'eau souterraine jusqu'à la surface, fut évidente. Bien que durant la saison de croissance, la conductivité électrique de la solution du sol (ECsw) n'ait pas atteint un niveau qui aurait pu endommager sérieusement la culture. Ni les différents niveaux de salinité ni la profondeur de la nappe d'eau souterraine n'ont affecté de façon significative les rendements de poivrons. En 1994, deux cultivars de pommes de terre (Solanum tuberosum L.) furent cultivés dans un sol rendu salin, après avoir été irrigué avec une eau d'un niveau de salinité de 3.5 dS m,1, préalablement à la plantation des tubercules. L'accumulation de sel suivit une tendance semblable à celle observée en 1993. Cependant, les niveaux de ECsw enregistrés en 1994 furent plus élevés en raison du taux de salinité initial plus élevé. De plus, une baisse de ECsw fut observée près de la nappe d'eau souterraine dans les lysimètres irrigués avec une eau d'un niveau de salinité de 1 dS m,1. Ni les différents niveaux de salinité ni la profondeur de la nappe d'eau souterraine n'ont affecté de façon significative le rendement de pommes de terre de chacun des cultivars. En 1995, trois cultivars de pommes de terre ont été cultivés dans un soil non salin ainsi que dans un sol rendu salin au moyen d'une eau avec une conductivité électrique de 2 dS m,1. Dans la couche supérieure du sol, un plus important taux d'augmentation de conductivité électrique a été observé dans le sol salin que dans le sol non salin. Il n'y a pas eu de différence significative observée en raison des taux initiaux de salinité ou encore en raison des taux de salinité de l'eau dans le système d'irrigation souterrain. Cette étude suggère que les eaux saumâtres d'un niveau de salinité jusqu'à 9 dS m,1 pourraient être utilisées dans les systèmes d'irrigation souterrains pour la culture du poivron vert et de la pomme de terre en régions semi-arides et arides. Copyright © 2002 John Wiley & Sons, Ltd. [source] The use of teak (Tectona grandis) plantations by large mammals in the Kilombero Valley, southern TanzaniaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 2 2009C. Bonnington Abstract The establishment of plantations is impacting the large mammal populations of the Kilombero Valley, Tanzania. Animal spoors were used as a proxy for activity to determine the influence of teak stand age on mammals. Habitat variables were compared between different aged stands to investigate the relationship between mammal activity and vegetation characteristics. Vegetation surveys found plantation composition to differ with age; with young stands characterized by slender teak trees, limited leaf litter, abundant grass layer and substantial bare ground. Older plantations contained a high leaf litter layer and dead wood, low grass abundance and minimal bare ground. Spoor transects revealed that mammal species number decreased as the teak matured. Of those vegetation variables tested, grass and bare ground abundance explained significantly the variation in species number and in individual species' habitat use between differently aged stands; therefore this habitat use was influenced by the foraging value of the plantation. This study showed that several species (some of which warrant conservation attention, such as elephant) use plantations <6 years old to a greater extent than plantations >6 years. Thus, there is a need for conservation measures, such as wildlife corridors and staggered teak planting to be continued, allowing large mammal movements in the valley. Résumé L'installation de plantations a un impact sur les populations de grands mammifères de la Vallée de Kilombero, en Tanzanie. Les traces des animaux ont été utilisées comme signes d'activité pour déterminer l'influence de l'âge des bosquets de teck sur les mammifères. On a comparé les variables de l'habitat entre des bosquets d'âge différent pour étudier la relation entre l'activité des mammifères et les caractéristiques de la végétation. Des études de la végétation ont montré que la composition des plantations varie avec leur âge : les jeunes plantations sont caractérisées par des troncs de teck plus minces, une litière de feuilles plus restreinte, une couche herbeuse abondante et une partie non négligeable de sol nu. Les plantations plus anciennes présentent une litière de feuilles plus épaisse et du bois mort, peu d'herbes et très peu de sol nu. Les traces ont révélé que le nombre d'espèces de mammifères diminuait quand la plantation vieillissait. Parmi les variables de la végétation testées, l'abondance de l'herbe et la quantité de sol nu expliquaient de manière significative la variation du nombre d'espèces et celle de l'utilisation de l'habitat par chaque espèce en fonction de l'âge des plantations. L'utilisation de cet habitat était donc influencée par la valeur alimentaire de la plantation. Cette étude a montré que plusieurs espèces (dont certaines, comme l'éléphant, garantissent l'attention de la conservation) fréquentent les plantations de moins de six ans plus souvent que celles de plus de six ans. Il faut donc poursuivre les mesures de conservation, comme des corridors pour la faune sauvage et des plantations de teck décalées, qui permettent les déplacements des grands mammifères dans la vallée. [source] |