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La Distribution (la + distribution)
Kinds of La Distribution Selected AbstractsSharing natural resources: mountain gorillas and people in the Parc National des Volcans, RwandaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 3 2010Hein Van Gils Abstract The compatibility of natural resource use by people and mountain gorillas (Gorilla beringei beringei) within the Parc National des Volcans was studied. The distribution of gorillas was modelled using a Maximum Entropy algorithm. Biophysical predictor variables were trained with daily GPS locations of gorillas during 2006. Elevation, as a climate surrogate, was the best predictor (58%) of the occurrence of gorillas. The mid-altitudes (2500,3500 m a.s.l.) contained the bulk of the gorilla groups. Incoming solar radiation, as proxy for comfortable nesting sites, was the second best predictor (17%). Vegetation types, as foliage provider, (13%) and slope steepness for providing security (12%) were contributing predictors. The modelled and actual gorilla distributions were together overlaid with people's resource use in the park. Both people and gorillas were congregated in the areas identified as most suitable for gorillas. However, within these areas spatial segregation was found between human natural resource-users and gorillas. Therefore, the number of gorillas is likely to be limited by the human natural resource use within the park. A perimeter fence, the introduction of community-based natural resource management, and a buffer zone are discussed as short-, medium- and long-term mitigation measures. Résumé Nous avons étudié la compatibilité entre l'utilisation des ressources naturelles par les hommes et la présence des gorilles de montagnes (Gorilla beringei beringei) dans le Parc National des Volcans. La distribution des gorilles fut modélisée en utilisant un algorithme d'entropie maximum. En 2006, on a testé des variables de prédicteurs biophysiques, avec localisation quotidienne des gorilles par GPS. L'altitude, substitut du climat, était le meilleur prédicteur (58%) de la présence de gorilles. La plupart des groupes de gorilles se trouvaient à des altitudes moyennes (2 500,3 000 m). Le rayonnement solaire, condition de sites de nidification confortables, étaient le deuxième prédicteur (17%). Les types de végétation, fournisseurs de feuilles (13%) et l'importance des pentes, gage de sécurité (12%) étaient des prédicteurs contributeurs. Les distributions modélisées et réelles des gorilles furent superposées à l'utilisation des ressources du parc par les gens. Les hommes et les gorilles étaient rassemblés dans les zones identifiées comme les plus favorables pour les gorilles. Cependant, dans ces zones, on a trouvé une ségrégation spatiale entre les utilisateurs humains des ressources naturelles et les gorilles. Le nombre de gorilles risque donc d'être limité par l'utilisation humaine des ressources naturelles dans le parc. L'on discute de la pose d'une clôture en périphérie, de l'introduction d'une gestion communautaire des ressources naturelles et de la définition d'une zone tampon comme mesures de mitigation à court, moyen et long terme. [source] The parasite fauna of characids' (Osteichthyes: Characidae) Anambra River, NigeriaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 1 2010P. C. Echi Abstract Baseline information on the parasites of frequently caught species of the characids namely Hydrocynus vittatus, Alestes baremoze, Brycinus macrolepidotus and Brycinus leuciscus was investigated in Anambra River from August 2004 to July 2005. The parasites recovered were the Myxosporid, Myxobolus sp (Protozoa), Polyopistocotylids, Diplozoon ghanense and Neodipolzoon polycotyleus (Monogeneans), the Caryophyllid Caryophylleus sp (Cestoda) and Rhabdochona sp (Nematoda). The prevalence of Caryophylleus sp in B. macrolepidotus (14.2%) and A. baremoze (8.1%) as well as Rhabdochon sp and Myxobolus sp in H. vittatus (9.6% and 7.8% respectively) was relatively high (>7.0%); while the other parasite species Myxobolus sp in B. leuciscus (2%), D. ghanense in B. macrolepidotus (1.9%) and N. polycotyleus in A. baremoze (1.9%) had a much lower prevalence (2.7%). Distribution of parasites was clearly seasonal. Dissolved oxygen (8.0,14.0) mg l,1 and pH (5.5,7.0) influenced the occurrence of the parasites whereas temperature (20.1,27.5 DC) showed no much effect. Résumé Les informations de référence sur les parasites des espèces fréquemment capturées de Characidés Hydrocynus vittatus, Alestes baremoze, Brycinus macrolepidotus et Brycinus leuciscus ont étéétudiées dans la rivière Anambra entre août 2004 et juillet 2005. Les parasites retrouvés sont le Myxosporidé, Myxobolus sp. (Protozoaire), les Polyopistocotylidés, Diplozoon ghanense et Neodipolzoon polycotyleus (Monogènes), les Caryophyllidés Caryophylleus sp. (Cestodes) et Rhabdochona sp. (Nématodes). La prévalence de Caryophylleus sp. chez B. macrolepidotus (14,2%) et A. baremoze (8,1%) ainsi que de Rhabdochon sp. et Myxobolus sp. chez H. vittatus (9,6% et 7,8% respectivement) était relativement forte (>7,0%), alors que les autres espèces de parasites, Myxobolus sp. chez B. leuciscus (2%), Dipolzoon ghanense chez B. macrolepidotus (1,9%) et Neodiplozoon polycotyleus chez A. baremoze (1,9%) avaient une prévalence beaucoup plus faible (2,7%). La distribution des parasites était nettement saisonnière. L'oxygène dissous (8,0,14,0 mg/l) et le pH (5,5,7,0) influençaient l'occurrence des parasites alors que la température (20,1,27,5°C) n'avait pas beaucoup d'effets. [source] Changes in carabid beetle diversity within a fragmented agricultural landscapeAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 1 2003C. N. Magagula Abstract The distribution of carabid and cicindelid (Coleoptera: Carabidae) beetles in five distinct habitats (riparian, mature orchard, pine windbreak, young orchard, natural veld), within Tambuti Citrus Estate (Swaziland) was examined by pitfall trapping over 18 months. Habitats with high vegetation and litter cover had the highest species diversity and larger specimens, e.g. riparian border and pine windbreak, while the lowest diversity was observed in intensively managed mature citrus orchards. While species such as Tefflus delagorguei Guérin occurred in all the habitats sampled, certain species illustrated habitat specificity; e.g. Dromica ambitiosa Péringuey was observed only in the pine windbreaks while Haplotrachelus sp. Chaudoir occurred mainly in the vegetated riparian and natural veld habitats. Four unidentified carabid beetles were exclusive to the riparian border habitat. This habitat was the only one with a distinct assemblage of species in the agricultural mosaic studied. Multivariate analyses were used to assess the role of soil and environmental variables in relation to the ground beetle diversity within the agricultural mosaic studied. Résumé La distribution des carabes et des cicindèles (Coléoptères: Carabidae) dans cinq habitats distincts (riverain, verger mature, coupe-vent de pins, jeune verger, prairie naturelle) dans le Tambuti Citrus Estate (Swaziland) a été examinée pendant 18 mois au moyen de pièges. Les habitats qui avaient la végétation la plus haute et une litière présentaient la plus forte diversité en espèces et les plus grands spécimens, c'est-à-dire l'habitat riverain et les coupe-vent de pins, tandis qu'on observait la plus faible diversité dans les vergers de citronniers intensément gérés. Alors que des espèces comme Tefflus delagorguei Guérin se retrouvaient dans tous les habitats étudiés, certaines espèces illustraient une certaine spécificité, par exemple Dromica ambitiosa Péringuey, qui n'a été observée que dans les coupe-vent de pins tandis que Haplotrachelus sp. Chaudoir se trouvait surtout dans les habitats riverains et les prairies naturelles. Cinq coléoptères carabidés non identifiés se trouvaient exclusivement dans l'habitat riverain. Cet habitat était le seul à avoir un assemblage d'espèces distinct dans la mosaïque agricole étudiée. Des analyses multivariées ont été utilisées pour évaluer le rôle du sol et des variables environnementales par rapport à la diversité des coléoptères dans le sol de la mosaïque agricole étudiée. [source] Genetic differences of rock glaciers and the discontinuous mountain permafrost zone in Kanchanjunga Himal, Eastern NepalPERMAFROST AND PERIGLACIAL PROCESSES, Issue 3 2001Mamoru Ishikawa Abstract A number of rock glaciers, including glacier-derived and talus-derived rock glaciers, were identified in Kanchanjunga Himal, easternmost Nepal. DC resistivity imagings were applied to representative rock glaciers of both types. The distribution of resistivity values in the subsurface within these rock glaciers was significantly different. A massive glacial ice body was found within the glacier-derived rock glacier, suggesting this rock glacier originated from glacial dead ice (ice-cored rock glacier). The lower limits of discontinuous mountain permafrost zone in Kanchanjunga Himal were inferred from the distribution of talus-derived rock glaciers (ice-cemented rock glaciers) and the estimated mean annual air temperature. The lower limit of the discontinuous mountain permafrost zone is 4800 m ASL on the north-facing slopes, while 5300 m ASL on the south- to east-facing slopes. These altitudes were considerably higher than those of the western Himalaya, which are under dry continental climatic conditions. Copyright © 2001 John Wiley & Sons, Ltd. RÉSUMÉ Plusieurs glaciers rocheux comprenant à la fois des formes dérivéees de vrais glaciers et des formes provenant de la mise en mouvement de talus, ont été identifiés dans le Kanchanjunga Himal, dans le Népal le plus oriental. Des images par résistivité DC ont été obtenues pour des glaciers représentatifs des deux catégories. La distribution des valeurs de résistivité en profondeur dans ces glaciers rocheux a été significativement différente. Un corps de glace massif a été trouvé dans le glacier rocheux provenant d'un vrai glacier suggérant qu'il s'agissait de glace morte glaciaire (glacier rocheux à noyau de glace). Les limites inférieures de la zone du pergélisol discontinu dans le Kanchanjungga Himal ont été déduites de la distribution des glaciers rocheux provenant de talus (glaciers rocheux avec de la glace ciment) et d'une estimation de la température moyenne annuelle de l'air. La limite inférieure de la zone du pergélisol discontinu de montagne est de 4800 m d'altitude sur les pentes exposées au nord, tandis que la limite est de 5300 m sur les pentes exposées au sud. Ces altitudes sont considérablement plus élevées que celles de l'ouest de l'Himalaya exposé à des conditions climatiques continentales sèches. Copyright © 2001 John Wiley & Sons, Ltd. [source] Biomass, nutrient and pigment content of beech (Fagus sylvatica) saplings infected with Phytophthora citricola, P. cambivora, P. pseudosyringae and P. undulataFOREST PATHOLOGY, Issue 2 2004F. Fleischmann Summary Fagus sylvatica saplings were infected with Phytophthora citricola, Phytophthora cambivora, Phytophthora pseudosyringae and Phytophthora undulata to study the influence of these root pathogens on total belowground and aboveground biomass, on the nutrient distribution within plants, on the concentration of plastid pigments, including tocopherol and on components of the xanthophyll cycle. Phytophthora citricola and P. cambivora infection significantly reduced total biomass of beech when compared with control plants and finally most of these plants died at the end of the experiment. However, beech invaded by the other two Phytophthora spp. did not differ from control plants and none of them was killed. Fine root length as well as the number of root tips of all infected beeches were reduced between 30 and 50%. The excellent growth of beech infected with P. pseudosyringae and P. undulata when compared with control plants was correlated with a strong increase of important root efficiency parameters. Phytophthora citricola and P. cambivora caused a significant reduction in nitrogen concentration of leaves in comparison with control and other infected plants, whereas this nutrient was slightly increased in fine and coarse roots. Furthermore, the phosphorus and potassium concentrations in leaves were impaired after infection with P. citricola. However, foliar concentrations of Ca and Mg were not affected by the different Phytophthora spp., whereas fine and coarse roots were significantly enriched with Ca in beech infected with P. citricola or P. cambivora. The concentrations of , -tocopherol and xanthophyll cycle pigments were increased in plants infected by P. citricola and P. cambivora, indicating that several reactive oxygen species might be formed in leaves during infection. Résumé Des plants de Fagus sylvatica ont été infectés par Phytophthora citricola, Phytophthora cambivora, Phytophthora pseudosyringae et Phytophthora undulata pour étudier l'effet de ces pathogènes racinaires sur la biomasse totale aérienne et racinaire, la distribution des éléments minéraux dans les plantes et la concentration en pigments des plastes, tocophérol et composants du cycle des xanthophylles. L'infection par P. citricola et P. cambivora a entraîné une réduction significative de la biomasse totale par rapport aux plantes témoins et la plupart des plants infectés sont morts au cours de l'expérience. Par contre, les hêtres infectés par les deux autres espèces de Phytophthora ne différent pas des témoins et aucune mortalité n'a été observée. Chez tous les hêtres infectés, une réduction de 30 à 50% de la longueur de racines fines et du nombre d'extrémités racinaires a été observée. La très bonne croissance des plants infectés par P. pseudosyringae et P. undulata par rapport aux témoins est associée à une forte augmentation de paramètres importants d'efficience racinaire. P. citricola et P. cambivora ont causé une réduction significative de la concentration foliaire en azote par rapport aux plantes témoins et aux autres plantes infectées, alors que la concentration était légèrement augmentée dans les fines et grosses racines. De plus, la concentration foliaire en phosphore et potassium a été altérée après infection par P. citricola. Les concentrations foliaires en Ca et Mg n'ont pas été affectées par les différentes espèces de Phytophthora, les fines et grosses racines étant significativement enrichies en Ca chez les plants infectés par P. citricola ou P. cambivora. La concentration en , -tocophérol et pigments du cycle des xanthophylles a augmenté dans les plants infectés par P. citricola et P. cambivora, suggérant la formation de plusieurs espèces actives de l'oxygène dans les feuilles pendant l'infection. Zusammenfassung Buchensämlinge wurden mit Phytophthora citricola, Phytophthora cambivora, Phytophthora pseudosyringae und mit Phytophthora undulata infiziert, um den Einfluss dieser Wurzelpathogene auf die oberirdische und unterirdische Biomasse, auf die Nährstoffverteilung innerhalb verschiedener Pflanzenorgane, sowie auf die Gehalte unterschiedlicher Photosynthesepigmente und Komponenten des Xanthophyll- Zyklus studieren zu können. Die Infektion mit P. citricola und P. cambivora führte zu einer deutlich reduzierten Gesamtbiomasse und am Versuchsende waren die meisten Pflanzen abgestorben. Dagegen überlebten alle mit P. pseudosyringae oder P. undulata infizierten Buchen und sie zeigten keine Unterschiede in ihren Biomassen verglichen mit Kontrollpflanzen bzw. übertrafen diese sogar. Die Feinwurzellänge und die Anzahl ihrer Wurzelspitzen war bei allen Phytophthora infizierten Pflanzen zwischen 30 und 50% im Vergleich zu denen der Kontrollen reduziert. Das ausgezeichnete Wachstum der P. pseudosyringae und P. undulata infizierten Pflanzen ging mit stark gesteigerten Wurzeleffizienzparametern einher. Die P. citricola und P. cambivora Infektion führte zu reduzierten Stickstoffgehalten in den Blättern. Die Gehalte in den Wurzeln waren jedoch leicht erhöht. Zudem wurden reduzierte Gehalte an Phosphor und Kalium in den Blättern gemessen. Die Calcium und Magnesium- Konzentrationen der Blätter unterschieden sich nicht von denen der Kontrollen. Allerdings wurde eine Calcium-Anreicherung in den Fein- und Grobwurzeln infizierter Pflanzen gemessen. Weiterhin zeigten wir, dass die Konzentrationen von , -Tocopherol und Pigmenten des Xanthophyll-Zyklus in Blättern P. citricola und P. cambivora infizierter Pflanzen erhöht waren, was möglicherweise auf die Bildung reaktiver Sauerstoffspezies hindeutet. [source] The Prevalence of Lying in America: Three Studies of Self-Reported LiesHUMAN COMMUNICATION RESEARCH, Issue 1 2010Kim B. Serota This study addresses the frequency and the distribution of reported lying in the adult population. A national survey asked 1,000 U.S. adults to report the number of lies told in a 24-hour period. Sixty percent of subjects report telling no lies at all, and almost half of all lies are told by only 5% of subjects; thus, prevalence varies widely and most reported lies are told by a few prolific liars. The pattern is replicated in a reanalysis of previously published research and with a student sample. Substantial individual differences in lying behavior have implications for the generality of truth,lie base rates in deception detection experiments. Explanations concerning the nature of lying and methods for detecting lies need to account for this variation. L'importance du mensonge aux États-Unis : trois études de mensonges auto-déclarés Kim B. Serota, Timothy R. Levine, Franklin J. Boster Cette étude aborde la fréquence et la distribution des mensonges déclarés par la population adulte. Un sondage national a demandéà 1 000 adultes américains de déclarer le nombre de mensonges racontés dans une période de 24 heures. 60 % des sujets ont rapporté ne pas avoir dit de mensonge du tout et près de la moitié de ces mensonges sont racontés par 5 % des sujets. L'importance des mensonges varie donc largement et la plupart des mensonges déclarés sont formulés par un petit nombre de menteurs prolifiques. Cette tendance se retrouve également dans une nouvelle analyse de recherches déjà publiées et dans l'échantillon étudiant. Des différences individuelles importantes dans les comportements mensongers ont également des conséquences pour la généralité d'un taux de référence vérité,mensonge dans les expériences de détection de la tromperie. Les explications concernant la nature du mensonge et les méthodes de détection de mensonges doivent prendre en compte cette variation. Mots clés : tromperie, mensonge, différences individuelles The Prevalence of Lying in America: Three Studies of Self-Reported Lies Research Question: This study addresses the frequency and the distribution of reported lying in the adult population. Significance: In the deception literature, consensus is that most people lie on a daily basis. Yet this view is founded on very little empirical evidence. This research tests the question of lying prevalence. Method: Survey research techniques and descriptive analysis are used to establish base rates and frequency distributions for reported lying behavior. Data source: A national survey asked 1,000 U.S. adults to report the number of lies told in a 24 hour period. Cross-validation is provided by re-analysis of previously reported diary and experimental data and by replication using a sample of 225 students. Findings: The oft-repeated average (arithmetic mean) of one to two lies per day is replicated but the study finds the distribution is highly skewed. On a typical day, 60% of subjects report telling no lies at all, and almost half or all lies are told by only 5% of subjects; thus, prevalence varies widely and most reported lies are told by a few prolific liars. The pattern is replicated in the re-analysis of previously published research and with the student sample. Implications: The findings of a highly skewed distribution render the average number of lies per day misleading. Substantial individual differences in lying behavior also have implications for the generality of truth-lie base-rates in deception detection experiments. Explanations concerning the nature of lying and methods for detecting lies need to account for this variation. Keywords: deception, lies, lying, communication, individual differences Die Prävalenz von Lügen in Amerika. Drei Studien zu selbstberichteten Lügen Forschungsfrage: Diese Studie untersucht die Häufigkeit und Verteilung von Lügen in der erwachsenen Bevölkerung. Zentralität: In der Literatur zu Täuschung besteht Konsens darüber, dass Menschen täglich Lügen. Allerdings basiert diese Feststellung auf wenigen empirischen Daten. Diese Untersuchung testet die Frage nach der Prävalenz von Lügen. Methode: Umfrage und beschreibende Analyse wurden angewandt, um eine Basisrate und Häufigkeitsdistribution für selbstberichtetes Lügenverhalten zu gewinnen. Datenquelle: In einer nationalen Umfrage wurden 1.000 US-amerikanische Erwachsene zur Zahl der Lügen befragt, die sie in 24 Stunden erzählten. Validiert wurden diese Aussagen durch eine erneute Analyse von bereits dokumentierten Tagebuchdaten und Experimentaldaten und durch die Replikation mit einer Stichprobe von 225 Studierenden. Ergebnisse: Der oft wiederholte Durchschnitt (arithmetische Mittel) von ein bis zwei Lügen pro Tag wurde in der Studie repliziert, allerdings zeigte sich auch, dass diese Verteilung schief ist. 60% der Befragten gaben an, an einem typischen Tag keine Lügen zu erzählen, fast die Hälfte aller Lügen wird von nur 5% der Befragten erzählt; die Prävalenz variiert stark und die meisten der berichteten Lügen werden durch wenige produktive Lügner erzählt. Dieses Muster wurde bei einer erneuten Analyse von vorher publizierten Daten und in der Studentenstichprobe repliziert. Implikationen: Die Ergebnisse dieser stark schiefen Verteilung zeigen, dass die durchschnittliche Zahl von Lügen pro Tag irreführend ist. Substantielle individuelle Unterschiede im Lügenverhalten haben Implikationen für die Verallgemeinerbarkeit von Wahrheit-Lüge-Basisraten in Täuschungserfassungs-Experimenten. Erklärungen zur Natur von Lügen und Methoden zur Erfassung von Lügen müssen diese Variation bedenken. Schlüsselworte: Täuschung, Lüge, Lügen, Kommunikation, individuelle Unterschiede La Prevalencia de la Mentira en América: Tres Estudios de Auto-reportes de Mentiras Kim B. Serota, Timothy R. Levine, Franklin J. Boster Michigan State University The authors thank Deborah Kashy Resumen Este estudio trata sobre la frecuencia y la distribución de los reportes de las mentiras de la población adulta. Una encuesta nacional preguntó a 1,000 adultos Estadounidenses que reporten el número de mentiras contadas en un período de 24-horas. 60% de los sujetos reportaron que no dicen mentiras para nada, y casi la mitad son contadas por solo un 5% de los sujetos; así, la prevalencia varía enormemente y muchos reportaron que las mentiras son contadas por pocos mentirosos prolíficos. La pauta es replicada en el re-análisis de investigación previamente publicada y con una muestra de estudiantes. Las diferencias individuales sustanciales en el comportamiento mentiroso tienen implicaciones también para la generalidad del índice basado en la verdad-mentira en los experimentos de detección de decepción. Las explicaciones concernientes a la naturaleza de la mentira y los métodos de detección de mentiras necesitan responder a esta variación. Palabras Claves: decepción, mentiras, mentir, comunicación, diferencias individuales [source] Building drought management capacity in the Mekong River basin,IRRIGATION AND DRAINAGE, Issue 3 2008Wilfried Hundertmark gestion de la sécheresse; développement des capacités; organisation de bassin; Mékong Abstract Over the past decades the Mekong River basin has experienced several droughts, the most recent of which occurred in the hydrological year 2004/2005. Impacts extended across agriculture, forestry, water resources, supply, industry, transport and the environment. In early 2006, the Mekong River Commission Secretariat initiated close consultations with the MRC member states Cambodia, Lao PDR, Thailand and Vietnam, aiming at the formulation of a common Drought Management Programme, which would enhance the existing drought management capacity and ensure effective support. This paper draws attention to the programme formulation process. It shows how national capacity needs were assessed and synthesized into a basin-wide capacity development programme. The paper concludes that in the context of international waters enhancing cooperation and capacity in drought management requires a strategic framework as an overall guideline for programme formulation and implementation. It defines a common terminology, mechanisms and linkages to integrated water resources management plans. The programme's long-term success depends on the ability to sustain the interest of the national partner institutions. Ultimately, enhanced capacity in drought management must demonstrate its impact on the level of vulnerability of the population living under drought-prone conditions. Copyright © 2008 John Wiley & Sons, Ltd. Au cours des dernières décennies, le bassin du Mékong a connu plusieurs sécheresses, la plus récente ayant eu lieu dans l'année hydrologique 2004/2005. L'impact a concerné l'agriculture, la forêt, les ressources en eau, la distribution, l'industrie, les transports et l'environnement. Au début de 2006, le Secrétariat de la Commission du Mékong a entamé des consultations étroites avec les états membres, le Cambodge, la RDP du Laos, la Thaïlande et le Vietnam, visant à l'élaboration d'un programme commun de gestion de la sécheresse, qui permettrait de renforcer les capacités existantes de gestion de la sécheresse et d'assurer un soutien efficace. Cet article attire l'attention sur le processus de formulation des programmes. Il montre comment les besoins nationaux de formation ont été évalués et synthétisés dans un programme de développement des capacités pour l'ensemble du bassin. L'article conclut que, dans le contexte des eaux internationales, le renforcement de la coopération et des capacités dans la gestion de la sécheresse a besoin d'un cadre stratégique d'ensemble et d'un guide global pour la formulation des programmes et leur mise en ,uvre. Il définit une terminologie commune, les mécanismes et les liens avec les plans de gestion intégrée des ressources en eau. Le succès à long terme du programme dépend de la capacité à maintenir l'intérêt des institutions nationales partenaires. En fin de compte, le renforcement des capacités dans la gestion de la sécheresse doit démontrer son impact sur le niveau de vulnérabilité de la population vivant dans les régions soumises à la sécheresse. Copyright © 2008 John Wiley & Sons, Ltd. [source] Water management tasks in the summer polders of the Nemunas lowland,IRRIGATION AND DRAINAGE, Issue 2 2006Antanas Lukianas plaine d'inondation; polders d'été; gestion des eaux Abstract Surplus water during floods as well as the low level of the soil surface determine the complicated ecological, economic and demographic conditions in the Nemunas delta. Subsequently, it leads to different types and intensity of use of farmland as well as different methods of water regime regulation: summer or winter type polders. The building of 17 summer polders in the 32,500,ha floodplain area was a compromise, seeking to improve farming conditions and maintain the stability of the flood regime and ecology in the delta. Field measurements and mathematical modelling were carried out. As study results have shown, grass yield losses due to flooding depend on the distribution of water levels and flood duration in the summer polders. Relative damage to agriculture is insignificant and makes up only 10,15% of the total amount of flood damage in the Nemunas lowland. The field measurements and hydraulic and mathematical modelling of flow and sediment regime as well as study of flooding and changed farming conditions also show that it is possible to reduce the height of floods and economic and ecological damage. Rearrangement of the system of protective dikes, regulation of the main river canal and water/sedimentation regime with the help of pumping stations, decrease of pollutant migration into the Curonian Lagoon and Baltic Sea, and recreation of natural meadows are important in that case. Copyright © 2006 John Wiley & Sons, Ltd. Des eaux excédentaires en période de crues et un faible niveau du sol déterminent les conditions écologiques, économiques et démographiques complexes du delta du fleuve Nemunas. En particulier, des types et intensités différentes dans l'utilisation des terres arables, ainsi que des méthodes différentes de régulation du régime des eaux: polders d'été ou d'hiver. La construction de 17 polders d'été sur 32 500,ha de plaine d'inondation a été une solution de compromis pour améliorer l'agriculture et maintenir la stabilité du régime des crues et de l'écologie du delta. Des mesures de terrain et des modèles mathématique ont été réalisés. D'après les résultats des études, les pertes de récolte d'herbe dûes aux crues dépendent de la distribution des niveaux d'eau et de la durée de la crue dans les polders d'été. L'impact négatif sur l'agriculture est négligeable et ne représente que 10 à 15% des dommages totaux dus aux crues dans le delta du fleuve Nemunas. Les mesures de terrain et la modélisation hydraulique et mathématique de l'écoulement et de la sédimentation, ainsi que l'analyse des crues et des modifications de production agricole, prouvent également qu'il est possible de réduire la hauteur des crues et de diminuer ainsi les dommages économiques et écologiques. Dans ce cas, il convient de réorganiser le système des digues de protection, de réguler le chenal principal du fleuve et le régime de sédimentation des eaux à l'aide de stations de pompage, de réduire les déversements polluants dans la lagune Curonian et la mer Baltique, et de régénérer des pâturages naturels. Copyright © 2006 John Wiley & Sons, Ltd. [source] A new land-cover map of Africa for the year 2000JOURNAL OF BIOGEOGRAPHY, Issue 6 2004Philippe Mayaux Abstract Aim, In the framework of the Global Land Cover 2000 (GLC 2000), a land-cover map of Africa has been produced at a spatial resolution of 1 km using data from four sensors on-board four different Earth observing satellites. Location, The map documents the location and distribution of major vegetation types and non-vegetated land surface formations for the entire African continent plus Madagascar and the other surrounding islands. Methods, The bulk of these data were acquired on a daily basis throughout the year 2000 by the VEGETATION sensor on-board the SPOT-4 satellite. The map of vegetation cover has been produced based upon the spectral response and the temporal profile of the vegetation cover. Digital image processing and geographical information systems techniques were employed, together with local knowledge, high resolution imagery and expert consultation, to compile a cartographic map product. Radar data and thermal sensors were also used for specific land-cover classes. Results, A total of 27 land cover categories are documented, which has more thematic classes than previously published land cover maps of Africa contain. Systematic comparison with existing land cover data and 30-m resolution imagery from Landsat are presented, and the map is also compared with other pan-continental land cover maps. The map and digital data base are freely available for non-commercial uses from http://www.gvm.jrc.it/tem/africa/products.htm Main conclusions, The map improves our state of knowledge of the land-cover of Africa and presents the most spatially detailed view yet published at this scale. This first version of the map should provide an important input for regional stratification and planning purposes for natural resources, biodiversity and climate studies. Résumé Objet, Dans le cadre du projet Global Land Cover 2000 (GLC 2000), une carte d'Afrique d'occupation du sol a été produite à la résolution spatiale de 1 km à partir de données satellitales de 4 capteurs différents. Localisation, La carte représente la distribution des principaux types de végétation et des surfaces non-végétales du continent africain plus Madagascar et les autres îles voisines du continent. Méthodes, La plupart des données fut acquise durant l'année 2000 par le capteur VEGETATION, embarquéà bord du satellite SPOT-4. La réponse spectrale et le profil temporel des formations végétales ont permis la production de la carte d'occupation du sol. Des techniques de traitement d'image et de systèmes d'information géographique ont été combinées à la consultation d'experts locaux et à l'utilisation de cartes nationales et de données à haute résolution spatiale. Des images radar et thermiques ont servi à cartographier des classes spécifiques. Résultats, Un total de 27 classes est cartographié, ce qui est plus que les précédentes cartes basées sur l'imagerie satellitale. Une comparaison systématique avec les cartes publiées et des images Landsat à 30 m est présentée. Les données sont libres d'accès pour un usage non-commercial à l'adresse http://www.gvm.jrc.it/tem/africa/products.htm Conclusion, Cette carte accroît notre connaissance de l'occupation du sol de l'Afrique et présente la vue la plus détaillée jamais publiée à cette échelle. La première version de la carte devrait fournir une base importante pour une stratification régionale et pour la planification d'études sur les ressources naturelles, la biodiversité et le climat. [source] The ostrich in Egypt: past and presentJOURNAL OF BIOGEOGRAPHY, Issue 8 2001Nicolas Manlius Aim This article tracks the evolution of the distribution of ostrich populations, Struthio camelus L., 1758, in Egypt from the Late Pleistocene up to present times with a view to establishing a series of distribution maps for the historical period. An attempt is then made to describe and interpret these maps. Location The country considered is Egypt. Methods We compiled all the information about the presence of the ostrich in Egypt collected from the study of fossil remains, archaeological materials and from the narrative of travellers since the fourteenth century. From the accounts of these travellers, three maps showing the location of this birds in this country are established: from the end of the fourteenth century to the end of the seventeenth century; from the beginning of the eighteenth to the end of the nineteenth century; and lastly, for the twentieth century. Results The ostrich was abundant and broadly distributed in Egypt in the past. However, it has been constantly in decline. It disappeared from the north of the country and lived only in the southeast up to the end of the nineteenth century. The birds reappeared in the latter region at the beginning of the 1960s up to 1991 before disappearing from the country. Main conclusions The principal reasons for the decline of the ostrich in Egypt are the aridification caused by climatic changes and intensive hunting by humans. It is possible that this bird was not sighted in the country between the beginning of the twentieth century and the 1960s, not because it had disappeared, but most probably because it was sufficiently discrete to be noticed. But Retracer l'évolution de la distribution des populations d'autruches, Struthio camelus L., 1758, en Egypte depuis le Pléistocène final jusqu'à nos jours en vue d'établir une série de cartes de distribution pour l'époque historique. Décrire et interpréter ensuite ces cartes. Localisation Le pays considéré est l'Egypte. Méthodes Nous avons compilé toutes les informations portant sur la présence de l'autruche en Egypte, recueillies à partir de l'étude de fossiles des matériaux archéologiques, ou encore des écrits des voyageurs depuis le XIVe siècle. A partir des témoignages de ces voyageurs, trois cartes montrant la localisation de cet animal en Egypte seront établies: depuis la fin du XIVe siècle jusqu'à la fin du XVIIe siècle; depuis le début du XVIIIeà la fin du XIXe siècle; et enfin pour le XXe siècle. Résultats Dans le passé, les populations d'autruches étaient abondantes et largement répandues en Egypte. Cependant, elles n'ont pas cessé de régresser. Elles ont d'abord disparues du nord du pays pour ne plus survivre que dans le sud-est, et ce jusqu'à la fin du XIXe siècle. L'animal est reparut dans cette dernière région au début des années 1960 jusqu'en 1991, avant de disparaître du pays. Conclusions principales Les principales raisons pour lesquelles la population d'autruches a régressé en Egypte tiennent d'une aridification due à des changements climatiques ainsi qu'à une chasse outrancière par l'homme. Il est possible que cet oiseau n'aie pour ainsi dire plus été signalé dans le pays entre le début du XXe siècle et les années 1960, non parce qu'il en aurait disparu mais plutôt parce qu'il aurait su se faire suffisamment discret pour ne pas être repéré. [source] Censusing the mountain gorillas in the Virunga Volcanoes: complete sweep method versus monitoringAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 3 2010Maryke Gray Abstract The mountain gorillas (Gorilla beringei beringei) of the Virunga Volcanoes Range of Rwanda, Uganda, and the Democratic Republic of Congo are one of the most endangered ape populations in the world. Following a dramatic decline during the 1960s, and relative stability in the 1970s, the population steadily increased during the 1980s. Due to political instability and war, a complete census had not been conducted since 1989. Here we compare the results of a complete census using the ,sweep method' conducted in 2003 with those from a monitoring program, to estimate the size and distribution of the gorilla population. A total of 360 gorillas were counted from census measurements and known habituated groups. Based on quantitative assessments of the census accuracy, we calculated that an additional 20 gorillas were not counted, leading to an estimated population of 380 individuals, and a 1.15% annual growth rate since 1989. The Ranger Based Monitoring programme yielded similar results. The encouraging results must be viewed with caution, however, because the growth was concentrated almost entirely in one section of the Virungas. Additionally, the distribution of gorilla groups was negatively correlated with the frequency of human disturbances, which highlights the need to continue strengthening conservation efforts. Résumé Les gorilles de montagne Gorilla gorilla beringei de l'aire de répartition des Volcans Virunga, au Rwanda, en Ouganda et en République Démocratique du Congo, sont une des populations de grands singes les plus menacées du monde. Après un déclin dramatique dans le courant des années 1960, et une stabilité relative dans les années 1970, la population s'est fermement reconstituée au cours des années 1980. Mais en raison de l'instabilité politique et de la guerre, il n'y avait plus eu de recensement total depuis 1989. Nous comparons ici les résultats d'un recensement complet effectué en 2003 par la méthode du balayage topologique (sweep method) avec ceux d'un programme de suivi, afin d'estimer la taille et la distribution de la population de gorilles. Nous avons dénombré un total de 360 gorilles en reprenant les chiffres du recensement et ceux des groupes habitués connus. En nous basant sur l'évaluation quantitative de la précision du recensement, nous avons calculé que 20 gorilles supplémentaires n'avaient pas été comptés, ce qui porte l'estimation à 380 individus et signifie un taux de croissance annuel de 1,15% depuis 1989. Le Programme de Suivi basé sur les gardes a obtenu des résultats comparables. Pourtant, ces résultats encourageants doivent être interprétés avec prudence étant donné que la croissance s'est presque entièrement concentrée sur une seule section des Virunga. De plus, la distribution des groupes de gorilles était négativement liée à la fréquence des perturbations humaines, ce qui souligne la nécessité de poursuivre le renforcement des mesures de conservation. [source] Floristic inventory and diversity assessment of a lowland African Montane Rainforest at Korup, Cameroon and implications for conservationAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 3 2010Innocent Ndoh Mbue Abstract Twenty modified-Whittaker plots were stratified at different sampling locations from February to May of 2008 in the central zone of Korup National Park, Cameroon. Our interest was to assess floristic diversity and investigate their relationship with environmental variables. Diversity profiles and rank abundance,curves were used for diversity analysis while canonical correspondence analysis and species,response curves were used to investigate the relationships between the response and explanatory variables. Of the 66 families identified, the Rubiaceae (999 species) were the most abundant. The Sterculiaceae (basal area = 10.482 m2 ha,1) were the dominant family, while the co-dominant families included the Ebenaceae (basal area = 9.092 m2 ha,1) and the Euphorbiaceae (basal area = 8.168 m2 ha,1). Soil variables explained 54.3% of total variation in family distribution. Canonical axes were related to different environmental gradients: axis1 was related to increasing canopy cover (r = 0.6951); axis 2, increasing Magnesium (r = 0.8465) and effective cation exchange capacity (r = 0.5899); axis 3, increasing effective cation exchange capacity (r = 0.5536); while axis 4, increasing Phosphorus concentration (r = 0.5232). Our results demonstrate the advantage which diversity profiles have over single or combination of indices, and the importance of using a combination of methodologies in diversity analysis. Résumé De février à mai 2008, vingt parcelles de Whittaker modifié ont été stratifiées à différents sites d'échantillonnage dans la zone centrale du Parc National de Korup, au Cameroun. Nous voulions évaluer la diversité floristique et étudier son lien avec diverses variables environnementales. Nous avons employé des profils de diversité et des courbes de rangs d'abondance pour l'analyse de la diversité, tandis que nous utilisions une analyse canonique des correspondances et des courbes de réponse des espèces pour étudier les relations entre les réponses et les variables explicatives. Sur les 66 familles identifiées, les Rubiacées (999 espèces) étaient les plus abondantes. Les Sterculiacées (surface basale = 10,482 m2 ha,1) étaient la famille dominante et, parmi les familles co-dominantes, il y avait les Ebénacées (surface basale = 9,092 m2 ha,1) et les Euphorbiacées (surface basale = 8,168 m2 ha,1). Des variables du sol expliquaient 54,3% de la variation totale de la distribution des familles. Les axes canoniques ont été liés aux différents gradients environnementaux; l'axe 1 était liéà une couverture croissante de la canopée (r = 0,6951); l'axe 2 à une augmentation du magnésium (r = 0,8465) et à la capacité réelle d'échange de cations (r = 0,5899); l'axe 3 à une capacité réelle croissante d'échanges de cations (r = 0,5536); et l'axe 4 à une concentration croissante en phosphore (r = 0,5532). Nos résultats montrent l'avantage que les profils de diversité ont sur des indices uniques ou combinés et l'importance d'utiliser une combinaison de méthodologies dans une analyse de diversité. [source] Diversity and composition of trees and shrubs in Kasagala forest: a semiarid savannah woodland in central UgandaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 1 2010Samson Gwali Abstract The diversity and composition of trees and shrubs of ,5 cm diameter at breast height (DBH) were investigated in Kasagala woodland in central Uganda using 1 ha permanent sample plots. A total of 2745 trees and shrubs with a mean stem density of 686 ha,1 were recorded. These included 69 tree species belonging to 28 families and 47 genera. There was a larger number of small stems compared with that of larger stems. There was significant variation in stem size class distribution between the plots (F = 3.14, P = 0.027). The variation in stem densities (counts) across different size classes was significant (F = 8.31, P < 0.001). Species diversity was higher in the low lands compared with that in the elevated sites in the woodland. The species encountered were unevenly distributed across the plots. Species abundance was not significantly different across the sample plots (F = 2.63, P = 0.053). We suggest that the structure of the forest is typical of any regenerating forest, but other human influences may have played a part in the dominance of size classes <10 cm DBH. The causes of the present status and composition of the woodland require further investigation. Résumé La diversité et la composition des arbres et arbustes de plus de 5 cm dbh ont étéétudiées dans la forêt de Kasagala, au centre de l'Ouganda, en utilisant des parcelles échantillons permanentes d'un hectare. On a relevé la présence de 2745 arbres et arbustes, avec une densité moyenne de 686 troncs ha,1. Ceux-ci comprenaient 69 espèces d'arbres appartenant à 28 familles et à 47 genres. Il y avait un plus grand nombre de petits troncs que de gros. Il y avait une variation significative de la distribution des classes de taille entre les parcelles (F = 3.14, P = 0.027). La variation de la densité des troncs (comptages) entre les différentes classes de taille était significative (F = 8.31, P < 0.001). La diversité des espèces était plus grande dans les terres basses que dans les sites plus élevés dans la forêt. Les espèces rencontrées étaient distribuées de façon inégale entre les parcelles. L'abondance des espèces n'était pas significativement différente selon les parcelles échantillons (F = 2.63, P = 0.053). Nous suggérons que la structure de la forêt est typique de toute forêt en voie de régénération, mais que d'autres influences humaines peuvent avoir joué un rôle dans la dominance des classes de taille <10 cm dbh. Les raisons du statut et de la composition actuels de la forêt requièrent de nouvelles investigations. [source] Species conservation on human-dominated landscapes: the case of crowned crane breeding and distribution outside protected areas in UgandaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 1 2010William Olupot Abstract Species primarily dependent on habitats outside protected areas have to cope with the direct pressure of human utilization or harassment, and the indirect pressure of habitat modification. In Uganda, wetlands mainly used by cranes occur mostly outside protected areas. The country's wetlands are however under heavy modification, and this and other pressures are thought to have reduced crane populations to 10,30% of the number in the early 1970s. From January 2005 to January 2006, we assessed the status of crane breeding and distribution in the country. Breeding and foraging sites were assessed through a nationwide newspaper survey, and visits to wetlands. We established occurrence of 21 nests during the study period, and crane use of 27 out of 30 districts surveyed. Crane harassment and trapping were common during breeding, as was crop damage by cranes. This is the first attempt to show the distribution of crane breeding outside protected areas throughout the country. In addition to maintaining suitable breeding habitat, survival of cranes in Uganda lies in part in community engagement and punishing crimes related to hunting and destruction of nests. Résumé Les espèces qui dépendent principalement d'habitats situés en dehors des aires protégées doivent supporter la pression directe de l'utilisation ou du harassement humains, et la pression indirecte de la modification de l'habitat. En Ouganda, les zones humides que les grues fréquentent le plus souvent se trouvent en dehors des aires protégées. Les zones humides du pays subissent pourtant de lourdes modifications, et ceci, entre autres pressions, est censéêtre ce qui a causé la réduction des populations de grues à 10,30% de ce qu'elles étaient au début des années 1970. De janvier 2005 à janvier 2006, nous avons évalué le statut de la reproduction et de la distribution des grues dans le pays. Les sites de reproduction et de nourrissage ont étéévalués grâce à une étude dans tout le pays via les journaux, et à des visites des zones humides. Nous avons pu établir la présence de 21 nids au cours de l'étude, et la fréquentation par les grues de 27 des 30 districts étudiés. Le harassement et le piégeage des crues ont été fréquents pendant la reproduction, comme l'étaient les dommages causés aux cultures par les grues. Ceci est la première tentative pour montrer la distribution de la reproduction des grues dans le pays en dehors des aires protégées. En plus du maintien d'habitats favorables à la reproduction, la survie des grues en Ouganda repose en partie sur l'implication communautaire dans la conservation des grues et sur le renforcement des mesures de sanctions contre les crimes liés à la chasse et à la destruction des nids. [source] Factors affecting the distribution patterns of zebra and wildebeest in a resource-stressed environmentAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 1 2010Rosemary Groom Abstract Understanding the spatial dynamics of landscape use by free-ranging herbivores is integral for successful ecosystem management. We used binary logistic regression analyses to determine the relative importance of biotic, abiotic and human factors in influencing the distribution (presence/absence) of wild grazers on two Maasai ranches in Kenya's Amboseli-Tsavo ecosystem. Both ranches had low grass biomass and suffered from regular droughts. We found that grazers consistently located themselves where grass biomass was highest, usually irrespective of grass quality, suggesting that forage quantity may be the limiting factor where grass biomass is generally low. The availability of surface water had no significant effect on the likelihood of grazers being present, even in the dry season. Résumé La bonne compréhension de la dynamique spatiale de l'utilisation du paysage par les herbivores qui paissent en liberté fait partie intégrante de la gestion réussie d'un écosystème. Nous avons employé des analyses de régression logistique binaire pour déterminer l'importance relative des facteurs biotiques, abiotiques et humains dans l'influence sur la distribution (présence/absence) d'herbivores sauvages sur deux ranches masaï de l'écosystème Amboseli-Tsavo, au Kenya. Les deux ranches avaient une faible biomasse herbeuse et souffraient de sécheresses régulières. Nous avons découvert que les herbivores brouteurs se trouvaient de façon constante là où la biomasse herbeuse était la plus grande, sans tenir compte, d'habitude, de la qualité de l'herbe; ceci suggère que la quantité de fourrage pourrait être le facteur imitant là où la biomasse herbeuse est généralement faible. La disponibilité de l'eau de surface n'avait pas d'effet significatif sur la probabilité de la présence des herbivores, même en saison sèche. [source] Natural regeneration and population dynamics of the tree Afzelia quanzensis in woodlands in Southern AfricaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 4 2009Karin Gerhardt Abstract The logging of tree species of high commercial value is increasing throughout the African continent, yet the ecology of these species is generally poorly known. We studied the regeneration pattern and size class distribution of Afzelia quanzensis populations in northern South Africa over a 5-year period. Recruitment was low as the annual seedling mortality was >65%. Seedlings were located under the canopy and were affected by drought and browsing. The adults were scattered or were in a clump-dispersed pattern, which would result in higher recruitment of offspring near parents. Individuals of 0,10 cm diameter at breast height (DBH) were few, while there were 32 trees ha,1 at >10 cm DBH with an annual mortality of 0.8%. Annual diameter increments varied between 0.06 and 0.28 cm. It appears that the transition from the sapling into the juvenile stage could be a bottleneck in the regeneration of the species. A longer study, including more rainfall cycles, may reveal other patterns as dry and wet years have different impacts on dynamics. Résumé La coupe d'espèces d'arbres de grande valeur commerciale augmente dans tout le continent africain, pourtant l'écologie de ces espèces est généralement mal connue. Nous avons étudié le schéma de régénération et la distribution des classes d'âge des populations d'Afzelia quanzensis dans le nord de l'Afrique du Sud pendant cinq ans. Le recrutement était faible car la mortalité annuelle des jeunes plants était de plus de 65%. Les jeunes plans se trouvaient sous la canopée et étaient affectés par la sécheresse et par le broutage des animaux. Les adultes étaient dispersés ou se trouvaient en un schéma en bosquet, qui résulte en un plus fort recrutement de la progéniture près des parents. Les individus de 0,10 cm DBH étaient rares, alors qu'il y avait32 arbres ha,1à >10 cm DBH, avec une mortalité annuelle de 0,8%. L'incrément annuel du diamètre variait entre 0,06 et 0,28 cm. Il semble que la transition entre le stade de jeune arbre et celui de juvénile pourrait bien constituer un étranglement dans la régénération de l'espèce. Une étude plus longue, comprenant plus de cycles de pluies, pourrait révéler un autre schéma étant donné que les années sèches et humides ont des impacts différents sur cette dynamique. [source] Impact of land use on the ecology of uncultivated plant species in the Rwenzori mountain range, mid western UgandaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 4 2009Moses Muhumuza Abstract Rwenzori mountain range is important for its high diversity of unique species and as a water catchment area and yet very fragile to human interference. The study documented the impact of land use on ecology of uncultivated plant species in the Rwenzori mountain range using Bugoye sub-county as a reference site. The ecological aspects of the plants studied included distribution, abundance and diversity of the plant species in and around the various land uses as well as in degraded, disturbed and undisturbed areas. Land uses identified were; agriculture, built up area and land with other activities (conservation and abandoned fields). The study revealed that agriculture was the main land use category taking up 69.7% of land use area. Plants distributed in and around the land uses were mainly trees with species diversity of 34.5%. Generally, there was no relationship in the distribution of plant species in degraded, undisturbed and disturbed areas (a = 0.01). In disturbed areas, there was vegetation cover especially of plant species that occur as secondary re-growth, and in degraded areas, the ground was sparsely covered by primary succession species while in the undisturbed areas, plant species growing in a ,natural. habitat dominated and most of them were climax species. Résumé Le Massif de Ruwenzori est important pour sa grande diversité d'espèces uniques et comme zone de captage d'eau, et il est pourtant très sensible à toute interférence humaine. L'étude a documenté l'impact de l'utilisation du sol sur l'écologie d'espèces de plantes sauvages dans le massif du Ruwenzori, en employant le sous-comté de Bugoye comme site de référence. Les aspects écologiques des plantes étudiées incluaient la distribution, l'abondance et la diversité des espèces végétales dans et autour de sites avec diverses utilisations du sol ainsi que dans des zones dégradées, perturbées et non perturbées. Les utilisations de sol identifiées étaient : agriculture, zone construite et terrain avec autres activités (conservation et champs abandonnés). L'étude a révélé que l'agriculture était la principale catégorie d'utilisation de sol, avec 69,7% de la superficie utilisée. Les plantes réparties dans et autour des sols utilisés étaient principalement des arbres, avec une diversité d'espèces de 34.5%. Généralement, il n'y avait aucune relation dans la distribution des espèces végétales dans les zones dégradées, non perturbées et perturbées (a = 0.01). Dans les zones perturbées, il y avait une couverture végétale composée principalement d'espèces qui se rencontrent comme repousses secondaires, et dans les zones dégradées, le sol était recouvert, de façon éparse, par des espèces de succession primaire, alors que dans les zones non perturbées, les espèces végétales poussant dans un habitat naturel dominaient, la plupart d'entre elles étant des espèces climaciques. [source] Using the extended quarter degree grid cell system to unify mapping and sharing of biodiversity dataAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 3 2009R. Larsen Abstract Information on the distribution of animal populations is essential for conservation planning and management. Unfortunately, shared coordinate-level data may have the potential to compromise sensitive species and generalized data are often shared instead to facilitate knowledge discovery and communication regarding species distributions. Sharing of generalized data is, unfortunately, often ad hoc and lacks scalable conventions that permit consistent sharing at larger scales and varying resolutions. One common convention in African applications is the Quarter Degree Grid Cells (QDGC) system. However, the current standard does not support unique references across the Equator and Prime Meridian. We present a method for extending QDGC nomenclature to support unique references at a continental scale for Africa. The extended QDGC provides an instrument for sharing generalized biodiversity data where laws, regulations or other formal considerations prevent or prohibit distribution of coordinate-level information. We recommend how the extended QDGC may be used as a standard, scalable solution for exchange of biodiversity information through development of tools for the conversion and presentation of multi-scale data at a variety of resolutions. In doing so, the extended QDGC represents an important alternative to existing approaches for generalized mapping and can help planners and researchers address conservation issues more efficiently. Résumé L'information sur la distribution des populations animales est essentielle pour la planification de la conservation et la gestion. Malheureusement, les données partagées au niveau des coordonnées risquent de compromettre les espèces sensibles, et les données généralisées sont souvent partagées pour faciliter la découverte et la communication des connaissances concernant la distribution des espèces. Le partage de données généralisées est, malheureusement, souvent opportuniste et manque de conventions mesurables qui permettraient le partage cohérent sur une plus grande échelle et à des résolutions variées. Une convention commune pour des applications africaines est le système de Quarter Degree Grid Cells (QDGC). Cependant, la norme actuelle ne supporte pas l'emploi des références uniques à travers l'Equateur et le premier méridien. Nous présentons une méthode pour étendre la nomenclature QDGC pour soutenir l'adoption de références uniques à l'échelle du continent, en Afrique. Le QDGC étendu fournit un instrument pour partager les données généralisées sur la biodiversité là où les lois, les réglementations et les autres considérations formelles empêchent ou interdisent la distribution de l'information au niveau coordonné. Nous disons dans quelle mesure le QDGC étendu peut être utilisé comme norme, une solution mesurable pour l'échange d'informations sur la biodiversité grâce au développement d'instruments pour la conversion et la présentation de données àéchelle multiple à des résolutions diverses. Ce faisant, le QDGC étendu représente une alternative importante aux approches existantes pour la cartographie généralisée et il peut aider les planificateurs et les chercheurs à traiter les problèmes de conservation plus efficacement. [source] Counting elephants in Montane forests: some sources of errorAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 2 2009Hilde Vanleeuwe Abstract The dung count method is widely used to estimate elephant numbers in forests. It was developed in the lowland forests of Central Africa but it is also used in Montane forests in eastern Africa. Using data collected on Mount Kenya and computer simulations, this paper explores the following issues associated with dung surveys in Montane forests: ,,High rainfall at 3000 m altitude on Mount Kenya was expected to accelerate dung pile decay but no significant difference was found between 3000 and 2500 m where less rain falls, possibly because high rainfall at 3000 m is counteracted by lower temperatures; ,,Physical obstacles make it difficult to walk long, straight transects in Montane forests. Deviating from a straight line pushes the distribution of distance measurements from dung piles to the transect centre line (pdist) towards a negative exponential (NE), which complicates data analysis and may give inaccurate estimates. Using short transects largely alleviate this problem; ,,Analysis of dung count simulations shows that the expected sightability curve of pdist pushes towards a NE with increasing numbers of obstacles blocking the view, even along perfectly straight transects; ,,Extrapolating measured dung density to map area on Mount Kenya resulted in an underestimate of c. 13%. An unstratified correction of map area to ground area for Montane areas would be biased because of the strong tendency for elephants to avoid steeply sloping areas. Résumé La méthode par comptage des crottes est largement utilisée pour estimer le nombre des éléphants en forêt. Elle a été mise au point dans les forêts de basse altitude d'Afrique centrale, mais elle est aussi employée dans les forêts de montagne d'Afrique de l'Est. Utilisant les données collectées sur le Mont Kenya et des simulations informatiques, cet article explore les questions suivantes liées au comptage des crottes dans les forêts de montagne: ,,Les fortes chutes de pluies à 3 000 mètres d'altitude sur le Mont Kenya étaient censées accélérer la décomposition des tas de crottes, mais on n'a pas trouvé de différence significative entre 3 000 et 2 500 mètres où il tombe moins de pluie, peut-être parce que les fortes pluies à 3 000 mètres sont compensées par de plus basses températures; ,,Les obstacles physiques rendent plus difficiles de marcher le long de transects rectilignes dans les forêts de montagne. Le fait de dévier de la ligne droite pousse la distribution des mesures des distances entre les tas de crottes et la ligne droite du transect (pdist) vers un modèle exponentiel négatif (EN) qui complique l'analyse des données et peut donner des estimations inexactes. Le fait de recourir à des transects courts réduit considérablement ce problème; ,,L'analyse des simulations de comptages de crottes montre que la courbe de visibilité attendue de pdist pousse vers un EN lorsque le nombre d'obstacles bloquant la vue augmente, même le long de transects parfaitement rectilignes; ,,L'extrapolation de la densité mesurée des crottes sur une carte du Mont Kenya a abouti à une sous-estimation d'environ 13%. Une correction non stratifiée de la surface cartographiée des zones montagneuses vers une surface plane serait biaisée étant donné que les éléphants ont fortement tendance àéviter les zones escarpées et glissantes. [source] Elephants caught in the middle: impacts of war, fences and people on elephant distribution and abundance in the Caprivi Strip, NamibiaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 2 2009Michael J. Chase Abstract We conducted wet [26 March,4 April 2003 (Apr03)] and dry [1,8 November 2005 (Nov05)] season aerial surveys of African elephants (Loxodonta africana Blumenbach) in the Caprivi Strip, Namibia to provide an updated status report on elephant numbers and distribution and assist with a historical analysis of elephant distribution and abundance in the Caprivi Strip. During the wet season when water was available in seasonal pans, elephants were widely distributed throughout the survey area. In contrast, during the dry season, a majority of elephant herds occurred within 30 km of the perennial Kwando, Linyanti and Okavango rivers and few herds occurred within the West Caprivi Game Reserve where water in the seasonal pans was limited. We estimated 5318 elephants for the 7731-km2 survey area (0.71 elephants km,2) for the Apr03 wet season survey and 6474 elephants for the 8597-km2 survey area (0.75 elephants km,2) for the Nov05 dry season survey. Based on our aerial surveys and reports of elephant numbers and distribution from historical aerial surveys and telemetry studies, civil war, veterinary fences and human activities appear to have effected changes in African elephant abundance, distribution and movements in the Caprivi Strip, Namibia since 1988 when the first comprehensive aerial surveys were conducted. Résumé En saison des pluies (avril 2003) et en saison sèche (novembre 2005), nous avons réalisé des contrôles aériens des éléphants africains (Loxodonta africana Blumenbach) dans la Bande de Caprivi, en Namibie, pour pouvoir fournir un rapport actualisé sur le statut du nombre et de la distribution des éléphants, et aider une analyse de longue durée de la distribution et de l'abondance des éléphants dans la Bande de Caprivi. Pendant la saison des pluies, lorsque l'eau était disponible dans les « pans » saisonniers, les éléphants étaient largement distribués dans toute la zone étudiée. Par contre, en saison sèche, la grande majorité des troupeaux d'éléphants se trouvaient dans les 30 km des rivières permanentes Kwando, Linyanti et Okavango, et peu de troupeaux se trouvaient dans la West Caprivi Game Reserve, où l'eau était limitée dans les pans saisonniers. Nous avons estimé le nombre d'éléphants à 5 318 dans les 7 731 km² de la zone étudiée (0,71 éléphant km,²) pour l'étude faite en saison des pluies d'avril 2003, et à 6 474 éléphants dans les 8 597 km²étudiés (0,75 éléphant km,²) pendant la saison sèche de novembre 2005. En se basant sur nos contrôles aériens et sur des rapports concernant le nombre et la distribution des éléphants provenant de contrôles aériens et d'études télémétriques anciens, il s'avère que la guerre civile, les barrières vétérinaires et les activités humaines ont provoqué des changements de l'abondance, de la distribution et des déplacements des éléphants dans la Bande de Caprivi depuis 1988, date où les premiers contrôles aériens complets ont été effectués. [source] Elephant distribution around a volcanic shield dominated by a mosaic of forest and savanna (Marsabit, Kenya)AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 2 2009Shadrack M. Ngene Abstract We investigated the factors that influenced the distribution of the African elephant around a volcanic shield dominated by a mosaic of forest and savanna in northern Kenya. Data on elephant distribution were acquired from four female and five bull elephants, collared with satellite-linked geographical positioning system collars. Based on the eigenvalues (variances) of the correlation matrix, the six factors that contributed significantly to high total variances were distance from drinking water (24%), elevation (15%), shrubland (10%), forest (9%), distance from settlements (8%) and distance from minor roads (7%), contributing to 73% in the observed variation of the elephant distribution. The elephants were found at high forested elevations during the dry season but they moved to the lowlands characterized by shrubland during the wet season. Elevation acts as a proxy for the vegetation structure. The presence of elephants near permanent water points (13%) and seasonal rivers (11%) during the dry and wet seasons, respectively, demonstrates that water is the most important determinant of their distribution throughout the year. We conclude that the distribution of elephants in Marsabit Protected Area and its adjacent areas is influenced mainly by drinking water and vegetation structure. Résumé Nous avons étudié les facteurs qui influencent la distribution de l'éléphant africain autour d'un bouclier volcanique dominé par une mosaïque de forêt et de savane dans le nord du Kenya. Les données sur la distribution des éléphants furent acquises grâce à quatre femelles et cinq mâles équipés de colliers radio avec GPS par satellite. En se basant sur les valeurs propres (variances) de la matrice de corrélation, les six facteurs qui ont contribué significativement à de fortes variances totales étaient la distance par rapport à l'eau (24%), l'élévation (15%), la savane arbustive (10%), la forêt (9%), la distance par rapport à des installations (8%) et celle par rapport à des routes peu importantes (7%), qui contribuent donc ensemble à 73% de la variation observée dans la distribution de l'éléphant. Des éléphants se trouvaient sur de hautes élévations forestières pendant la saison sèche, mais ils se déplaçaient vers les terrains de basse altitude caractérisés par des broussailles pendant la saison des pluies. L'élévation sert de proxy à la structure de la végétation. La présence d'éléphants près des points d'eau permanents (13%) et des rivières saisonnières (11%) pendant la saison sèche et la saison des pluies respectivement montre que l'eau est le déterminant le plus important de leur distribution tout au long de l'année. Nous concluons que la distribution des éléphants dans la Marsabit Protected Area et dans les zones adjacentes est influencée principalement par la disponibilité de l'eau et la structure de la végétation. [source] Mammal community structure in relation to disturbance and resource gradients in southern AfricaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 1 2009Märtha Wallgren Abstract The arrangements of mammals differ along environmental gradients, such as of disturbance and resources. We examined how mammal community composition in the Kalahari, Botswana, varied in relation to disturbance and resource gradients. We predicted that livestock-keeping villages are disturbances and pans are resources for wildlife, that the responses of mammals to disturbance and resources depend on their functional types and that increased disturbance over time has reduced the numbers and distributions of wildlife. The methods involved road-side counts of mammals >0.2 kg and trapping of small mammals, <0.2 kg. The disturbance gradient was more important than the resource gradient for explaining the distribution of mammals >0.2 kg. Communities in low disturbance-high resource areas were most diverse regarding species and functional types. Small mammal species richness and abundances were unaffected by villages, but increased with distance from pans. Villages were particularly deterring to large wild herbivores, functionally similar to livestock. Most large wild herbivores had decreased since 1975,1983. We conclude that large and medium-sized mammals are highly affected by large-scale disturbance gradients, while small mammals are most dependent on small-scale variation in resources, probably shelter and food. Increased disturbance over time leads to decreasing ranges and numbers of the large wild herbivores. Résumé Les associations de mammifères diffèrent selon des gradients environnementaux tels que ceux des perturbations et des ressources. Nous avons examiné comment la composition de la communauté de mammifères variait dans le Kalahari, au Botswana, en fonction des gradients de perturbations et de ressources. Nous avions prédit que les villages qui gardent du bétail sont des perturbations, et les pans des ressources pour la faune sauvage, que les réponses des mammifères à ces deux facteurs dépendaient de leur type de fonctionnement, et que les perturbations croissant avec le temps avaient réduit l'abondance et la distribution de la faune sauvage. Les méthodes employées comprenaient les comptages le long de la route de tous les mammifères de plus de 0,2 kg et le piégeage des petits mammifères de moins de 0,2 kg. Le gradient de perturbation était plus important que celui des ressources pour expliquer la distribution des mammifères >0,2 kg. Les communautés vivant dans les zones de faibles perturbations et d'abondantes ressources étaient plus diverses au point de vue du nombre d'espèces et de types fonctionnels. La richesse en espèces de petits mammifères et leur abondance n'étaient pas affectées par les villages mais augmentaient avec la distance par rapport au pan. Les villages étaient particulièrement dissuasifs pour les grands herbivores sauvages qui étaient, fonctionnellement, semblables au bétail. La plupart des grands herbivores sauvages ont diminué depuis 1975,1983. Nous concluons que les herbivores grands et moyens sont fort affectés par les gradients de perturbations à grande échelle alors que les petits mammifères sont surtout dépendants des variations à petite échelle des ressources, probablement les abris et la nourriture. Les perturbations croissant avec le temps entraînent une réduction des domaines vitaux et du nombre des grands herbivores sauvages. [source] Foraging efficiency and vigilance behaviour of impala: the influence of herd size and neighbour densityAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 1 2009Sonja M. Smith Abstract Group foraging can be beneficial for ungulates by decreasing the time required for vigilance, but it can also prove costly because of competition. To determine responses to gregarious behaviour, we studied foraging activity and vigilance of impala (Aepyceros melampus) near Kruger National Park, South Africa. We measured time spent foraging, vigilant, moving, grooming, engaging in social interactions and determined herd size and group distribution (i.e. density). We calculated accepted food abundance (AFA), food ingestion rate, steps per minute and percent vigilance for female, bachelor male and herd male impala. There was no relationship between herd size and vigilance, but vigilance decreased with increasing density (t1,311 = 4.91, P <0.0001). Additionally, AFA decreased (t1,61 = 5.96, P <0.0001) and steps per minute increased (t1,311 = 14.38, P < 0.0001) as more individuals fed in close proximity to each other. Impala could be altering their behaviour to accommodate a perceived change in resources because of intraspecific competition and these adjustments might be related more to the distribution of herd members than to herd size. Further studies should examine the behaviour of gregarious animals in relation to the distribution of herd members in addition to group size. Résumé Le fait de se nourrir en groupe peut être avantageux pour les ongulés parce qu'il réduit le temps nécessaire à la surveillance, mais il peut aussi se révéler coûteux en termes de compétition. Pour déterminer les réponses à un comportement grégaire, nous avons étudié l'action de se nourrir et la vigilance chez l'impala (Aepyceros melampus) près du Parc National Kruger, en Afrique du Sud. Nous avons mesuré le temps passéà se nourrir, à surveiller, à se déplacer, au toilettage, à l'engagement dans des interactions sociales, et nous avons déterminé la taille de la harde et la distribution du groupe (c.-à-d. sa densité). Nous avons calculé l'abondance de nourriture acceptée (AFA), le taux d'ingestion de nourriture (FIR), les pas par minute et le pourcentage de vigilance chez les femelles, les mâles célibataires et les impalas mâles en hardes. Il n'y avait pas de relation entre la taille de la harde et la vigilance, mais la vigilance diminuait lorsque la densité augmentait (t1,311 = 4,91, P < 0,0001). De plus, l'AFA diminuait (t1,61 = 5,96, P < 0,0001), et le nombre de pas par minute augmentait (t1,311 = 14,38, P < 0,0001) lorsque des individus plus nombreux se nourrissaient très près les uns des autres. Les impalas pouvaient modifier leur comportement pour s'adapter à la perception d'un changement des ressources dûà la compétition intraspécifique, et ces ajustements pourraient bien être liés plus à la distribution des membres de la harde qu'à sa taille. De nouvelles études devraient examiner le comportement des animaux grégaires en fonction de la distribution des membres de la harde, en plus de la taille du groupe. [source] New perspectives on the origin and diversification of Africa's forest avifaunaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 3 2008Jon Fjeldså Abstract The use of DNA sequence data in systematic studies has brought about a revolution in our understanding of avian relationships and when combined with digitized distributional data, has facilitated new interpretations about the origins of diverse clades of the African avifauna including its diversification up through the Tertiary until the present. Here we review recent studies with special reference to Africa's forest avifauna and specifically comment on the putative origins of ,hotspots' of endemism in the Eastern Arc Mountains of Tanzania and in the Cape Region of South Africa. Intriguingly, both these areas appear to have retained populations of relict taxa since the mid-tertiary thermal optimum and at the same time have been centres of recent species differentiation. Résumé L'utilisation des données portant sur la séquence ADN dans les études systématiques représente une révolution dans notre façon de comprendre les relations entre les oiseaux et, combinée avec les données numérisées sur la distribution, elle facilite de nouvelles interprétations concernant les origines de différents clades de l'avifaune africaine, y compris sa diversification tout au long du Tertiaire et jusqu'à nos jours. Nous passons ici en revue des études récentes qui se réfèrent particulièrement à l'avifaune forestière africaine, avec un commentaire spécial sur les origines putatives des hauts lieux d'endémisme dans les montagnes de l'Eastern Arc tanzanien et dans la région du Cap, en Afrique du Sud. Curieusement, ces deux endroits semblent avoir conservé des populations de taxons résiduels depuis l'optimum thermique du milieu du Tertiaire, tout en étant aussi au centre de récentes différenciations entre espèces. [source] Baobabs and elephants in Kruger National Park: nowhere to hideAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 2 2008M. T. Edkins Abstract Baobab size class distributions were surveyed in the Limpopo National Park (LNP), Mozambique, and the Kruger National Park (KNP), South Africa. There are very few elephants in the LNP and the baobab population there had a reverse J-shaped size class distribution with many small baobabs. In contrast, the elephant-impacted baobab population of KNP displayed a mono-modal size-class distribution, with a lack in recruitment. Within KNP, elephant impact (percentage bark stripped up to the height of 3 m) decreased with increasing rockiness and slope steepness. We interpret this to suggest that steep rocky slopes are inaccessible to elephants and therefore these sites may act as a refuge for baobabs. In such inaccessible areas, the baobab population has a similar size-class distribution to that of the populations in the LNP. However, these baobab refugia are restricted in the northern KNP landscape and are therefore probably not large enough to sustain a viable baobab population. Résumé On a étudié la distribution des classes de taille des baobabs dans le Parc National de Limpopo (LNP), au Mozambique et au Parc National Kruger (KNP), en Afrique du Sud. Il y a très peu d'éléphants dans le LNP, et la population de baobabs y connaît une distribution de classes de taille en J inversé, avec de nombreux petits baobabs. Par contre, la population de baobabs du KNP est influencée par les éléphants et présente une distribution monomodale, avec un manque de recrutement. Au sein du KNP, l'impact des éléphants (le pourcentage d'écorces arrachées jusqu'à une hauteur de 3 mètres) diminuait quand augmentait le caractère rocailleux et abrupt des pentes. Nous interprétons cela et suggérons que les pentes abruptes et rocailleuses sont inaccessibles aux éléphants et que ces endroits peuvent donc servir de refuges pour les baobabs. Dans ces endroits inaccessibles, la population de baobabs a une distribution de classes semblable à celles des populations du LNP. Cependant, ces refuges pour baobabs se limitent au paysage nord du KNP et ne sont donc probablement pas suffisants pour accueillir une population de baobabs viable. [source] Plant species as indicators of the extent of desertification in four sandy rangelandsAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 1 2007Ping An Abstract We examined the distribution of plants in sandy rangelands with different degrees of desertification in (i) Horqin and Mu Us sandy lands in north China, (ii) Darfur district in north-west Sudan and (iii) southern Tunisia. The severity of desertification in these areas was classified as light, moderate, severe or extreme. The following vegetation changes were observed with increasing severity of desertification: a decrease in the number of plant species, an increase in drought-tolerant plants, a decrease in the proportion of palatable grasses and the occurrence of some species in only one category of desertification, whereas other species occurred in several categories. Plant species with unique niche requirements were identified and recommended as indicators of the degree of desertification for particular areas. We discuss the characteristics of species in areas with severe desertification and the method of using plant species as indicators of the extent of desertification. Résumé Nous avons examiné la distribution des plantes dans des régions sableuses touchées à différents degrés par la désertification 1) dans les terres sableuses de Horqin et de Mu Us, dans le nord de la Chine, 2) dans le district du Darfur, au nord-ouest du Soudan et 3) dans le sud de la Tunisie. La gravité de la désertification était classifiée comme légère, modérée, sévère ou extrême. Les changements de végétation suivants ont été observés en fonction de l'accroissement de la désertification: une diminution du nombre d'espèces de plantes, une augmentation des plantes supportant la sécheresse, une diminution de la proportion de plantes appétantes, et l'occurrence de certaines espèces qui ne vivent que dans une catégorie de désertification, alors que d'autres espèces apparaissent dans plusieurs catégories. On a identifié les espèces végétales qui exigent une niche précise et on les a recommandées comme indicateurs du degré de désertification dans des zones particulières. Nous discutons des caractéristiques des espèces dans des régions où la sécheresse est sévère et de la méthode pour utiliser les espèces végétales comme indicateurs de la gravité de la désertification. [source] Bat species diversity and distribution in three vegetation communities of Meru National Park, KenyaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 3 2004Paul W. Webala Abstract Diversity and distribution of bats was determined in four vegetation types in and around Meru National Park, Kenya between September 2000 and February 2001. Bat-habitat studies were based on plant species dominance, cover and farming activities. Bats were captured using standard mist nets (18 m long × 2 m high) erected on poles averaging 3 m. Vegetation was broadly grouped as Acacia or Combretum wooded grassland, or Acacia,Commiphora bushland and studied using the Braun-Blanquet method. Analysis of floristic similarity showed five vegetation species assemblages in the three broad categories. Four hundred and ninety-five bats representing eleven genera in seven families were recorded. These were Epomophorus labiatus, E. wahlbergi, Cardioderma cor, Lavia frons, Myotis welwitschii, Scotoecus hirundo, S. leucogaster, Pipistrellus kuhlii, Mops condylurus, Chaerephon bemmeleni, Mormopterus sp., Hipposideros caffer, H. commersoni, Nycteris arge and Rhinolophus landeri. This was the first record of N. arge, M. welwitschii, C. bemmeleni and a Mormopterus species in eastern Kenya. The Combretum community was most equitable (E = 0.51) with nine bat species records, while farming areas had only four. The low species richness and increased dominance of a few generalist species on farms may be indicative of different levels of disturbance. Résumé On a déterminé la diversité et la distribution des chauves-souris dans quatre types de végétation dans et autour du Parc National de Meru, au Kenya, entre septembre 2000 et février 2001. Les études de l'habitat des chauves-souris se basaient sur la dominance et le couvert de certaines espèces végétales et sur les activités agricoles. On a capturé les chauves-souris en utilisant les filets standards (18m de long sur 2 m de haut) fixés sur des piquets d'environ 3 m de haut. La végétation fut grossièrement regroupée en prairie arborée à Acacia ou à Combretum, ou en brousse à Acacia-Commiphora, et étudiée suivant la méthode Braun-Blanquet. L'analyse des similarités floristiques a montré cinq assemblages d'espèces végétales dans ces trois grandes catégories. On a relevé 495 chauves-souris représentant onze genres appartenant à sept familles. Ce sont: Epomophorus labiatus, E. wahlberghi, Cardioderma cor, Lavia frons, Myotis welwitschii, Scotoecus hirundo, Scotophilus leucogaster, Pipistrellus kuhlii, Mops condylurus, Chaerephon bemmeleni, Mormopterus sp., Hipposideros caffer, H. commersoni, Nycteris arge et Rhinolophus landeri. Ce sont les premiers cas rapportés pour N. arge, M. welwitschii, C. bemmemeni et pour une espèce de Mormopterus dans l'est du Kenya. La communautéà Combretum était la plus équitable (E = 0,51), avec neuf espèces de chauves-souris rapportées, alors que les aires cultivées n'en comptaient que quatre. La faible richesse en espèces et la dominance croissante de quelques espèces généralistes dans les fermes pourraient indiquer divers degrés de perturbation. [source] Diet and distribution of elephant in the Maputo Elephant Reserve, MozambiqueAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 3 2000Willem F. De Boer The distribution and diet of the elephants of the Maputo Elephant Reserve were studied using dung counts, satellite tracking and faecal analysis. The results were compared with earlier data from before the civil war in Mozambique. The elephant population decreased during the civil war, but 180 animals still remain. Earlier studies described the elephants as preferring the grass plains. Currently, the elephants prefer the dense forest patches over the high quality forage found in the grass plains. Water salinity affected distribution; elephant dung piles were found closer to fresh water in the dry season. A total of 95 different plant species were identified in the faeces. The percentage of grass was relatively low compared with other studies, increasing at the beginning of the rainy season. At the end of the dry season, elephants concentrated on the few available browse species with young leaves, but generally preferred grass species to browse species. Diet composition was mainly affected by season and less by habitat. The elephants have changed their habitat preference in reaction to poaching, and probably increased the contribution of browse species in the diet. The presence of forest patches has been vital for the survival of the elephants. Résumé On a étudié la distribution et le régime alimentaire des éléphants de la Réserve áéléphants de Maputo en utilisant le comptages des crottes, le tracking par satellite et l'analyse des excréments. On a comparé les résultats avec des données recueillies avant la guerre civile au Mozambique. La population d'éléphants a baissé pendant la guerre civile mais il reste 180 animaux. Des études antérieures montraient que les éléphants préféraient les plaines herbeuses. Actuellement, ils préfèrent les ,^lots de forêt dense au fourrage de haute qualité qui se trouve dans les plaines herbeuses. La salinité de l'eau modifie la distribution; on trouvait les crottes d'éléphants plus près de l'eau douce en saison sèche. On a identifié un total de 95 espèces végétales différentes dans les excréments. Le pourcentage d'herbes était relativement bas par rapport aux études antérieures, il augmentait au début de la saison des pluies. A la fin de la saison sèche, les éléphants se concentraient sur les quelques espèces de buissons comestibles ayant des jeunes feuilles, mais ils préféraient généralement les espèces herbeuses aux buissons. La composition du régime était surtout affectée par la saison et moins par l'habitat. Les éléphants ont changé leurs préférences en matière d'habitat en réaction au braconnage et ont sans doute ainsi augmenté la contribution des espèces buissonnantes dans le régime alimentaire. La présence des ,^lots forestiers a été vitale pour la survie des éléphants. [source] Genetic differences of rock glaciers and the discontinuous mountain permafrost zone in Kanchanjunga Himal, Eastern NepalPERMAFROST AND PERIGLACIAL PROCESSES, Issue 3 2001Mamoru Ishikawa Abstract A number of rock glaciers, including glacier-derived and talus-derived rock glaciers, were identified in Kanchanjunga Himal, easternmost Nepal. DC resistivity imagings were applied to representative rock glaciers of both types. The distribution of resistivity values in the subsurface within these rock glaciers was significantly different. A massive glacial ice body was found within the glacier-derived rock glacier, suggesting this rock glacier originated from glacial dead ice (ice-cored rock glacier). The lower limits of discontinuous mountain permafrost zone in Kanchanjunga Himal were inferred from the distribution of talus-derived rock glaciers (ice-cemented rock glaciers) and the estimated mean annual air temperature. The lower limit of the discontinuous mountain permafrost zone is 4800 m ASL on the north-facing slopes, while 5300 m ASL on the south- to east-facing slopes. These altitudes were considerably higher than those of the western Himalaya, which are under dry continental climatic conditions. Copyright © 2001 John Wiley & Sons, Ltd. RÉSUMÉ Plusieurs glaciers rocheux comprenant à la fois des formes dérivéees de vrais glaciers et des formes provenant de la mise en mouvement de talus, ont été identifiés dans le Kanchanjunga Himal, dans le Népal le plus oriental. Des images par résistivité DC ont été obtenues pour des glaciers représentatifs des deux catégories. La distribution des valeurs de résistivité en profondeur dans ces glaciers rocheux a été significativement différente. Un corps de glace massif a été trouvé dans le glacier rocheux provenant d'un vrai glacier suggérant qu'il s'agissait de glace morte glaciaire (glacier rocheux à noyau de glace). Les limites inférieures de la zone du pergélisol discontinu dans le Kanchanjungga Himal ont été déduites de la distribution des glaciers rocheux provenant de talus (glaciers rocheux avec de la glace ciment) et d'une estimation de la température moyenne annuelle de l'air. La limite inférieure de la zone du pergélisol discontinu de montagne est de 4800 m d'altitude sur les pentes exposées au nord, tandis que la limite est de 5300 m sur les pentes exposées au sud. Ces altitudes sont considérablement plus élevées que celles de l'ouest de l'Himalaya exposé à des conditions climatiques continentales sèches. Copyright © 2001 John Wiley & Sons, Ltd. [source] Ghettos in Canada's cities?THE CANADIAN GEOGRAPHER/LE GEOGRAPHE CANADIEN, Issue 3 2006Racial segregation, ethnic enclaves, poverty concentration in Canadian urban areas Recent literature suggests a growing relationship between the clustering of certain visible minority groups in urban neighbourhoods and the spatial concentration of poverty in Canadian cities, raising the spectre of ghettoization. This paper examines whether urban ghettos along the U.S. model are forming in Canadian cities, using census data for 1991 and 2001 and borrowing a neighbourhood classification system specifically designed for comparing neighbourhoods in other countries to the U.S. situation. Ecological analysis is then performed in order to compare the importance of minority concentration, neighbourhood classification and housing stock attributes in improving our understanding of the spatial patterning of low-income populations in Canadian cities in 2001. The findings suggest that ghettoization along U.S. lines is not a factor in Canadian cities and that a high degree of racial concentration is not necessarily associated with greater neighbourhood poverty. On the other hand, the concentration of apartment housing, of visible minorities in general, and of a high level of racial diversity in particular, do help in accounting for the neighbourhood patterning of low income. We suggest that these findings result as much from growing income inequality within as between each visible minority group. This increases the odds of poor visible minorities of each group ending up in the lowest-cost, least-desirable neighbourhoods from which they cannot afford to escape (including social housing in the inner suburbs). By contrast, wealthier members of minority groups are more mobile and able to self-select into higher-status ,ethnic communities'. This research thus reinforces pleas for a more nuanced interpretation of segregation, ghettoization and neighbourhood dynamics. Il ressort de la littérature la plus récente qu'il existerait une association de plus en plus étroite entre la forte concentration en milieu urbain de personnes appartenant à des groupes de minorités visibles et la concentration spatiale de la pauvreté dans les villes canadiennes, phénomène qui n'est pas sans soulever le spectre de la ghettoïsation. C'est dans cette optique que ce papier examine si les ghettos urbains à l'américaine ont vu le jour dans les villes canadiennes, à partir des données des recensements de 1991 et de 2001 et à l'aide d'un système de classification des quartiers conçu spécifiquement pour établir des comparaisons entre les quartiers de différents pays et ceux des États-Unis. Une analyse écologique est ensuite menée afin de comparer l'importance de la concentration des minorités, la classification par quartier, et les caractéristiques du parc de logements et ainsi mieux comprendre la configuration spatiale des populations à faible revenu dans les villes canadiennes en 2001. Les résultats laissent entendre que la ghettoïsation à l'américaine n'est pas un facteur à prendre en compte en ce qui concerne les villes canadiennes, et que la tendance vers une concentration de groupes ethniques n'est pas nécessairement associée au niveau de pauvreté dans le voisinage. En revanche, la concentration d'immeubles à logements multiples, de minorités visibles en général et d'un niveau élevé de diversité raciale en particulier, expliquent, en partie, la distribution des personnes à faible revenu dans le voisinage. Ces résultats laissent entendre que la croissance de l'inégalité des revenus au sein des groupes de minorités visibles est aussi importante que l'inégalité qui existe entre eux. Ceci augmente les chances que les membres les plus défavorisés de tous les groupes de minorités visibles échouent dans un quartier précaire et moins que désirable duquel ils n'ont pas les moyens de s'échapper (y compris les logements sociaux dans les quartiers centraux). Par contre, les membres les plus aisés des groupes minoritaires peuvent choisir de vivre dans une ,communauté ethnique, dont le statut socio-économique est plus élevé. Cette recherche peut servir dans les plaidoyers en faveur d'une interprétation plus nuancée de la ségrégation, la ghettoïsation et les dynamiques de quartier. [source] |