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Et La Composition (et + la_composition)
Selected AbstractsImpact of habitat disturbance in the wetland forests of East Usambara, TanzaniaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 2 2010Ramadhani Senzota Abstract We evaluated habitat characteristics of East Usambara wetland forests. The abundance and species composition in the tree, shrub and herbaceous layers were enumerated in two sets of nested plots, one set in a natural wetland forest and the second in a wetland forest that had been disturbed by small-scale gold mining activities. Each set had thirty-six 1 m × 1 m plots for herbs, inside nine 5 m × 5 m plots for shrubs, in three 20 m × 20 m plots for trees. The habitat profile of herbaceous , shrub , tree layers was found to be sharply different from one obtained in previous studies at the surrounding nonwetland forests as were species composition and abundance. Unlike in the nonwetland forests, the herbaceous layer was thick, the shrub layer very thin and the woody species density and richness much lower. Disturbance significantly reduced woody cover and changed species composition in the herbaceous layer. Recovery of the woody vegetation was low. Wetland forests in the East Usambaras form a small fraction of the total area, but they are a unique biodiversity repository, they appear to be an important carbon dioxide sink and to reserve and purify water. They are sensitive to disturbance and need protection. Résumé Nous avons évalué les caractéristiques de l'habitat des forêts humides d'East Usambara. L'abondance et la composition des espèces dans les étages d'arbres, d'arbustes et d'herbes furent dénombrées dans deux ensembles de parcelles emboitées, un situé dans une forêt humide naturelle, l'autre dans une forêt humide qui avait été perturbée par les activités d'orpaillage à petite échelle. Chaque ensemble se composait de 36 carrés de 1 m² pour les herbes, situés dans neuf carrés de 5 m × 5 m pour les buissons, eux-mêmes situés à l'intérieur de trois carrés de 20 m × 20 m pour les arbres. Le profil des habitats pour les trois couches d'herbes , d'arbustes , d'arbres s'est révélé très différent de celui qui avait été obtenu lors d'études précédentes réalisées dans des forêts environnantes non humides; il en était de même pour la composition et l'abondance des espèces. Contrairement aux forêts non humides, la couche herbeuse était épaisse, la couche des arbustes très claire et la densité et la richesse des espèces ligneuses étaient beaucoup plus faibles. La perturbation avait significativement réduit le couvert ligneux et changé la composition des espèces de l'étage herbacé. La restauration de la végétation ligneuse était faible. Les forêts humides des East Usambara ne constituent qu'une petite fraction de la superficie totale, mais elles sont un sanctuaire unique pour sa biodiversité, elles semblent être un puits de carbone important et aussi retenir et purifier l'eau. Elles sont sensibles à toute perturbation et doivent être protégées. [source] Climate and landscape correlates of African lion (Panthera leo) demographyAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 1 2010Gastone G. Celesia Abstract Although many studies have documented aspects of lion ecology, they have generally focused on single sites, leaving broader-scaled factors unanalysed. We assessed range-wide effects of eight biotic and 26 abiotic variables on lion distribution and ecology, based on data compiled from published sources on lion population ecology in 27 protected areas in Africa. Lion pride size and composition were independent of lion density; lion density and home range size were inversely related; and lion density was positively related to rainfall, soil nutrients and annual mean temperature, with some interactive effects between rainfall and soil nutrients. Lion demography was associated most strongly with rainfall, temperature and landscape features. Herbivore biomass and lion density were correlated in univariate regression analyses. However, because herbivore biomass was also related to rainfall and temperature, hierarchical partitioning (HP) allowed us to evaluate independent effects of each variable on lion demography revealing that herbivore biomass had negligible independent contributions. HP indicated that climatic parameters explained 62% of overall variance in demographic parameters, whereas landscape features explained only 32%; climatic parameters were fairly balanced between effects of temperature (34%) and rainfall (28%). Prey (herbivore) biomass is important for lion survival, but its effects appear secondary to environmental factors. Résumé Bien que de nombreuses études apportent des informations sur des aspects de l'écologie des lions, elles se sont généralement focalisées sur des sites individuels, laissant de côté les facteurs à plus grande échelle. Nous avons analysé les effets à grande échelle de huit variables biotiques et de 26 variables abiotiques de la distribution et de l'écologie du lion, en nous fondant sur des données compilées à partir de publications portant sur l'écologie de populations de lions dans 27 aires protégées africaines. La taille et la composition des troupes de lions étaient indépendantes de leur densité; la densité et la taille du territoire des lions étaient inversement liées; et la densité des lions était directement liée aux chutes de pluies, aux nutriments du sol et à la moyenne annuelle des températures, certains effets interactifs étant observés entre les chutes de pluies et les nutriments du sol. La démographie des lions était surtout liée aux chutes de pluies, à la température et à certaines caractéristiques du paysage. La biomasse des herbivores et la densité des lions étaient liées dans les analyses de régressions univariées. Cependant, comme la biomasse des herbivores est aussi liée aux chutes de pluies et aux températures, la partition hiérarchique (PH) nous a permis d'évaluer les effets indépendants de chaque variable sur la démographie des lions, ce qui révèle que la biomasse des herbivores, prise indépendamment, représentait une contribution négligeable. La PH indiquait que les paramètres climatiques expliquaient 62% de la variance globale des paramètres démographiques, alors que les caractéristiques du paysage n'en expliquaient que 32%; les paramètres climatiques étaient en assez bon équilibre entre les effets de la température (34%) et ceux des chutes de pluies (28%). La biomasse des proies (herbivores) est importante pour la survie des lions, mais ses effets semblent secondaires par rapport à ceux des facteurs environnementaux. [source] Diversity and composition of trees and shrubs in Kasagala forest: a semiarid savannah woodland in central UgandaAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 1 2010Samson Gwali Abstract The diversity and composition of trees and shrubs of ,5 cm diameter at breast height (DBH) were investigated in Kasagala woodland in central Uganda using 1 ha permanent sample plots. A total of 2745 trees and shrubs with a mean stem density of 686 ha,1 were recorded. These included 69 tree species belonging to 28 families and 47 genera. There was a larger number of small stems compared with that of larger stems. There was significant variation in stem size class distribution between the plots (F = 3.14, P = 0.027). The variation in stem densities (counts) across different size classes was significant (F = 8.31, P < 0.001). Species diversity was higher in the low lands compared with that in the elevated sites in the woodland. The species encountered were unevenly distributed across the plots. Species abundance was not significantly different across the sample plots (F = 2.63, P = 0.053). We suggest that the structure of the forest is typical of any regenerating forest, but other human influences may have played a part in the dominance of size classes <10 cm DBH. The causes of the present status and composition of the woodland require further investigation. Résumé La diversité et la composition des arbres et arbustes de plus de 5 cm dbh ont étéétudiées dans la forêt de Kasagala, au centre de l'Ouganda, en utilisant des parcelles échantillons permanentes d'un hectare. On a relevé la présence de 2745 arbres et arbustes, avec une densité moyenne de 686 troncs ha,1. Ceux-ci comprenaient 69 espèces d'arbres appartenant à 28 familles et à 47 genres. Il y avait un plus grand nombre de petits troncs que de gros. Il y avait une variation significative de la distribution des classes de taille entre les parcelles (F = 3.14, P = 0.027). La variation de la densité des troncs (comptages) entre les différentes classes de taille était significative (F = 8.31, P < 0.001). La diversité des espèces était plus grande dans les terres basses que dans les sites plus élevés dans la forêt. Les espèces rencontrées étaient distribuées de façon inégale entre les parcelles. L'abondance des espèces n'était pas significativement différente selon les parcelles échantillons (F = 2.63, P = 0.053). Nous suggérons que la structure de la forêt est typique de toute forêt en voie de régénération, mais que d'autres influences humaines peuvent avoir joué un rôle dans la dominance des classes de taille <10 cm dbh. Les raisons du statut et de la composition actuels de la forêt requièrent de nouvelles investigations. [source] Hunting differentially affects mixed-sex and bachelor-herds in a gregarious ungulate, the impala (Aepyceros melampus: Bovidae)AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 1 2010Christiane Averbeck Abstract We investigated herd-sizes and herd-compositions of Impala (Aepyceros melampus) inside a protected area [Lake Mburo National Park (LMNP) in western Uganda] and the unprotected adjacent ranchland [the Ankole Ranching Scheme (ARS)]. Impala experience intense hunting and poaching in the study area, and poaching is especially strong on the ARS. We found evidence for changes in overall group-sizes in both mixed-sex and pure bachelor herds between areas in and outside LMNP. Mixed-sex herds strongly decreased in size outside the National Park, but bachelor herds even slightly increased in size. While the group-composition of mixed-sex herds was very similar in areas in and outside LMNP, bachelor herds comprised more yearlings and subadult males on the ARS. Our study suggests that effects of hunting and other human nuisance may differ between herd types: mixed herds probably decrease in size because females are more strongly hunted. Around LMNP, impala are usually hunted using nets and spears, thereby increasing the hunters' chance of being injured. Poachers therefore prefer hornless females (and their calves), as it is less dangerous to handle net-caught females than males. As a result, males are less hunted, but increased vigilance and, therefore, reduced aggression among the members of a bachelor herd, may account for the observed increase in herd sizes and changes in group-compositions. Résumé Nous avons étudié la taille et la composition des hardes d'impalas (Aepyceros melampus) dans une aire protégée, le Parc National du Lac Mburo (LMNP) dans l'ouest de l'Ouganda, et dans le ranch adjacent non protégé, le Ankole Ranching Scheme (ARS). Les impalas subissent une chasse et un braconnage intenses dans la région étudiée et le braconnage est particulièrement grave dans l'ARS. Nous avons découvert des preuves de changement de la taille moyenne des groupes, aussi bien dans les hardes mixtes que dans celles composées uniquement de mâles, entre les aires situées dans et en dehors du LMNP. La taille des hardes mixtes diminuait fortement hors du parc national alors que les hardes composées de mâles augmentaient légèrement. Alors que la composition des groupes mixtes était très semblable dans et en dehors de l'aire protégée, les groupes de mâles comprenaient plus de jeunes de l'année et de subadultes dans l'ARS. Notre étude laisse penser que les effets de la chasse et des autres nuisances d'origine humaine pourraient différer selon le type de harde: la taille des hardes mixtes se réduit probablement parce que les femelles sont chassées davantage. Autour du LMNP, les impalas sont d'habitude chassés au moyen de filets et de flèches, ce qui augmente les risques que les chasseurs soient blessés. Les braconniers préfèrent donc les femelles, sans cornes, et leurs jeunes parce qu'il est plus facile de manipuler des femelles prises dans des filets que des mâles. Par conséquent, les mâles sont moins chassés, et une plus grande vigilance et donc une moins forte agression entre les membres d'une harde de mâles peuvent expliquer en partie pourquoi la taille des hardes augmente et la composition des groupes varie. [source] Seasonality in adult flight activity of two neuroptera assemblages of southern MaliAFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 4 2009Bruno Michel Abstract The seasonality of insect assemblages in Africa is poorly investigated. To provide information on the relationships between climate and insect assemblages in the Sudanian region, strongly affected by climate change, we studied Myrmeleontidae and Ascalaphidae assemblages (Insecta: Neuroptera) for 7 and 5 consecutive years respectively in southern Mali. To make the species inventory as exhaustive as possible, we performed weekly sampling by netting and light trapping. For both assemblages, results showed very similar patterns of variation in species diversity throughout the year. Adults of Myrmeleontidae and Ascalaphidae were active all year, and the species succession was influenced by a strong temporal segregation. Species diversity peaked at the end of the rainy season and surprisingly during the dry season. Principal component analysis of the climatic factors followed by co-inertia analysis applied to two data sets, one comprising climatic factors and the other reporting presence/absence of species, showed a good association between the annual trend of climatic factors and the species diversity. But no well defined species grouping was clearly linked to a particular period of the year. This tight association between climate and species composition suggests that even small climate changes could modify significantly species assemblage characteristics. Résumé La saisonnalité des assemblages d'insectes en Afrique est peu étudiée. Pour fournir des informations sur les relations entre le climat et les assemblages d'insectes dans la région soudanienne, très affectée par les changements climatiques, les assemblages de Myrmeleontidae et d'Ascalaphidae (Insectes: Neuroptera) ont étéétudiés respectivement pendant sept et cinq années consécutives dans le sud du Mali. Pour que l'inventaire des espèces soit le plus complet possible, on a réalisé des échantillonnages hebdomadaires au moyen de filets et de pièges lumineux. Pour les deux assemblages, les résultats ont montré des schémas de variation de la diversité des espèces très comparables tout au long de l'année. Il y avait des adultes de Myrmeleontidae et d'Ascalaphidae actifs toute l'année, et la succession des espèces était influencée par une ségrégation temporelle très forte. La diversité des espèces connaissait un pic à la fin de la saison des pluies et, étonnamment, pendant la saison sèche. L'analyse en composantes principales des facteurs climatiques suivie par une analyse de co-inertie appliquée à deux jeux de données, un comprenant des facteurs climatiques, l'autre rapportant la présence/l'absence d'espèces, a montré une bonne association entre la tendance annuelle des facteurs climatiques et la diversité des espèces. Mais aucun groupement bien défini d'espèces n'était clairement liéà une période particulière de l'année. Cette étroite association entre le climat et la composition des espèces suggère que même de petits changements climatiques pourraient modifier significativement les caractéristiques de l'assemblage d'espèces. [source] Comparison and Origin of Forest and Grassland Ant Assemblages in the High Plateau of Madagascar (Hymenoptera: Formicidae),BIOTROPICA, Issue 1 2002Brian L. Fisher ABSTRACT We assessed species richness and composition of ant assemblages in adjacent montane forest and secondary (anthropogenic) grassland habitats in the central plateau of Madagascar. We used five quantitative methods (leaf litter sifting, two types of pitfall traps, beating low vegetation, and soil digging) and compared methods within and across habitats. Sample,based and occurrence,based accumulation curves demonstrated that die efficiency of ant inventory methods is habitat specific. Litter sifting, however, was the single most efficient method in both habitats. Overall, our analyses of the relative efficiency of methods recommend the use of sifting and beating in the montane forest site, and sifting alone in the grassland site. In four of five methods, more species were collected in the grassland site (31 spp.) than in the forest site (26 spp.). Occurrence,based accumulation curves based on all methods demonstrated that species richness was similar in the two habitats, reaching a maximum difference of approximately one species. Only five species were shared between the grassland and forest sites. The presence of a high number of ant species restricted to the grassland site (18 spp.) is the first record of high endemism in this habitat in Madagascar and may have strong implications for the reconstruction of the natural vegetation types at the time humans arrived. Their presence suggests that a comparable open habitat, such as montane woodland, shrubland, or thicket, was present on Madagascar long before humans developed the secondary grasslands less than 2000 years ago. These results are contrary to the "classical hypothesis" that the central plateau was a continuous region of closed forest. These results support the hypothesis that the montane regions, including the central plateau, once contained areas of habitat with an open structure and that the endemic ants now found in the secondary grasslands were originally native to such a habitat. RéSUMé La richesse en espéces et la composition des fourmis ont été inventoriées dans la for,t montagneuse du plateau central de Madagascar et dans la prairie secondaire adjacente. Cinq méthodes quantitatives ont été utilisées (tamisage des litières, deux types de trous-pièges, battage des végétations basses et lavage de terre). Nous avons comparé I'efficacité de ces méthodes dans chacun et entre les deux habitats. Les courbes d'accumulation d'espèces basées sur I'échantillon et sur I'occurrence ont montré que I'efficacité des méthodes d'inventaire de fourmis est habitat-dépendant. Cependant, le tamisage des litières se montrait la méthode la plus efficace dans les deux habitats. Nos analyses sur I'efficacité relative des méthodes recommandent I'utilisation combinée du tamisage des litières et du battage de végétation dans la for,t montagneuse, et I'utilisation seule du tamisage des litières dans la prairie secondaire. Dans quatre des cinq méthodes, plus d'espèces ont été collectées dans la prairie (31 spp.) que dans la for,t (26 spp.). Les courbes d'accumulation d'occurrence basées sur routes les méthodes ont démontré que la richesse en espèces de ces deux habitats est similaire, atteignant seulement une difference maximale d'approximativement une espèce. Pourtant, seulement cinq espèces parta-geaient les deux habitats. La présence de plusieurs espèces de fourmis uniquement trouvées dans la prairie (18 spp.) est la première observation d'une forte endémicité de cet habitat et peut avoir une importante implication pour la restauration des types de végétation naturelle initiale de I'ile. Leur présence suggère que des habitats ouverts similaires tels que les formations arbustives de montagnes et les fourrés, étaient présentsà Madagascar longtemps avant la transformation de ces habitats en prairie secondaire par les humains. Ces résultats contredisent I'hypothèse classique qui avance que le plateau central a é té uniquement composé d'une région de for,t dense. Ainsi, ces résultats supportent I'hypothese que la région montagneuse contenant le plateau central, renfermait des habitats àstructure ouverte et que les fourmis endémiques actuellement trouvées dans la prairie secondaire sont, a I'origine natives de ces habitats. [source] Outsourcing, productivity, and input composition at the plant levelCANADIAN JOURNAL OF ECONOMICS, Issue 2 2009Catherine J. Morrison Paul Abstract We evaluate the productivity and input composition effects of outsourcing (or subcontracting) for Turkish textile and apparel manufacturing plants. We analyze differences in performance indicators for plants that subcontract inputs or outputs, and find that plants that outsource internationally perform better than those that outsource domestically. We evaluate labour productivity gaps and find that more productive plants both initiate outsourcing and subsequently increase their productivity. We then estimate a flexible production function, controlling for simultaneity and selection bias, and find that higher productivity from input subcontracting involves greater skilled labour intensity but the reverse is true for output subcontracting. Le texte évalue les effets de la sous-traitance sur la productivité et la composition des intrants des établissements manufacturiers de textile et vêtements en Turquie. On analyse les différences dans les indicateurs de performance des établissements qui sous contractent intrants et extrants, et on découvre que la performance des établissements qui sous contractent internationalement est supérieure à celle de ceux qui sous contractent au niveau domestique. On évalue les différentiels de productivité du travail, et on découvre que les établissements les plus productifs à la fois prennent l'initiative d'aller en sous-traitance, et accroissent subséquemment leur productivité. On calibre une fonction de production flexible, normalisant pour les biais de simultanéité et de sélection, et on découvre que les établissements à plus forte productivité, parce qu'ils sous contractent des intrants, ont une plus grande intensité de travail qualifié, et que c'est le contraire pour les établissements qui sous contractent des extrants. [source] |