Entre Les Sites (entre + le_site)

Distribution by Scientific Domains


Selected Abstracts


Location-related differences in structure and function of the stratum corneum with special emphasis on those of the facial skin

INTERNATIONAL JOURNAL OF COSMETIC SCIENCE, Issue 6 2008
H. Tagami
Synopsis Between the two different kinds of the skin covering the body, the glabrous skin is found only on the palmo-plantar surface because of its rather simple function to protect the underlying living tissue with its remarkably thick stratum corneum (SC) from strong external force and friction. Thus, its barrier function is extremely poor. In contrast, the hair-bearing skin covers almost all over the body surface regardless of the presence of long hair or vellus hair. In regard to its SC, many dermatologists and skin scientists think that it is too thin to show any site-specific differences, because the SC is just present as an efficient barrier membrane to protect our body from desiccation as well as against the invasion by external injurious agents. However, there are remarkable regional differences not only in the living skin tissue but also even in such thin SC reflecting the function of each anatomical location. These differences in the SC have been mostly disclosed with the advent of non-invasive biophysical instruments, particularly the one that enables us to measure transepidermal water loss (TEWL), the parameter of the SC barrier function, and the one that evaluates the hydration state of the skin surface, the parameter of the water-holding capacity of the SC that brings about softness and smoothness to the skin surface. These in vivo instrumental measurements of the SC have disclosed the presence of remarkable differences in the functional properties of the SC particularly between the face and other portions of the body. The SC of the facial skin is thinner, being composed of smaller layers of corneocytes than that of the trunk and limbs. It shows unique functional characteristics to provide hydrated skin surface but relatively poor barrier function, which is similar to that observed in retinoid-treated skin or to that of fresh scar or keloidal scars. Moreover, there even exist unexpected, site-dependent differences in the SC of the facial skin such as the forehead, eyelid, cheek, nose and perioral regions, although each location occupies only a small area. Between these locations, the cheek shows the lowest TEWL in contrast to the perioral region that reveals the highest one. Moreover, these features are not static but change with age particularly between children and adults and maybe also between genders. Among various facial locations, the eyelid skin is distinct from others because its SC is associated with poor skin surface lipids and a thin SC cell layer composed of large corneocytes that brings about high surface hydration state but poor barrier function, whereas the vermillion borders of the lips that are covered by an exposed part of the oral mucosa exhibit remarkably poor barrier function and low hydration state. Future studies aiming at the establishment of the functional mapping in each facial region and in other body regions will shed light on more delicate site-dependent differences, which will provide us important information in planning the strategy to start so called tailor-made skin care for each location of the body. Résumé Entre les deux types différents de peau couvrant le crops, on trouve la peau glabre uniquement sur la surface palmo-plantaire du fait de sa fonction plutôt simple de protection du tissu vivant sous-jacent par un stratum corneum (SC) trés épais vis-à-vis des forces extérieures et de la friction. De ce fait, sa fonction barrière est extrêmement pauvre. Au contraire, la peau velue courve la presque totalité de la surface du crops, que ce soit par la présence de longs cheveux ou de duvet. En ce qui concerne son SC, la plupart des dermatologues et des scientifiques de la peau pensent qu'il est trop mince pour montrer une différence spécifique au site, attendu que le SC est simplement présent en tant que membrane barriére efficace pour protéger notre corps de la dessiccation ainsi que pour lutter contre l'invasion d'agents nuisibles externes. Cependant, il existe des différences importantes entre les sites, non seulement dans la peau vivante, mais également dans ce SC aussi mince, qui révèlent la fonctin de chaque site anatomique. Ces différences dans le SC ont surtout été révélées avec l'apparition d'instruments biophysiques non invasifs, en particulier celui qui nous permet de mesurer la perte transépidermale en eau (TEWL), le paramétre de la fonction barrière du SC et celui qui évalue l'état d'hydratation de la surface de peau, le paramètre de la capacité en rétention de l'eau du SC qui est liéà la souplesse et à la douceur à la surface de peau. Ces mesures instrumentales in vivo du SC ont révélé la présence de différences remarquables entre les propriétés fonctionnelles du SC particulièrement entre le visage et d'autres parties du corps. Le SC de la peau de la face est plus mince, car li est composé de couches plus petites de corneocytes que celui du tronc et des membres. Il montre des caractéristiques fonctionnelles uniques pour permettre l'hydratation de la surface de peau, mais une fonction barrière relativement faible, semblable à celle observée dans la peau traitée avec un rétinoïde ou à celle d'une cicatrice récente ou de cicatrices kéloidales. De plus, il existe des différences sites-dépendantes inattendues dans le SC de la peau de la face comme le front, la paupière, la joue, le nez et les régions périorales, et ce, bien que chaque emplacement occupe seulement un petit secteur. Entre ces divers emplacements, la joue montre le TEWL le plus bas par comparaison avec la région périorale qui montre le plus élevé. De plus, ces caractéristiques ne sont pas fixes, mais changent avec l'âge en particulier entre enfants et adultes et peut-être aussi entre sexes. Entre les diverses régions de la face, la peau de la paupière se distingue parce que son SC est associéà une peau pauvre en lipides de surface constituée par une mince couche de cellule composée de grand cornéocytes qui provoquent un haut état d'hydratation superficiel, mais une faible fonction barrière. A l'inverse les bordures vermillion des lévres recouvertes par une partie exposée de muqueuse orale, possèdent une fonction barrière très faible et un état d'hydratation bas. Les études futures visant àétablir la configuration fonctionnelle de chaque région de la face et d'autres régions du corps mettrons en lumière des différences sites-dépendantes plus subtiles, qui nous fourniront des informations importantes pour planifier la stratégie pour commencer le soin de la peau sur mesure si attendu pour chaque partie du corps. [source]


Differences in stable isotope composition within and among zooplanktivorous Utaka cichlid populations from Lake Malawi

AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 2 2010
Dieter Anseeuw
Abstract Stable isotope analysis was used to determine whether five sympatric zooplanktivorous cichlids of the Utaka assemblage from Lake Malawi vary in isotopic signature as an indication of possible differences in food resource composition. The isotopic composition of the Utaka in combination with literature data about diet composition suggests that these species exploit a narrow range of zooplanktonic prey types. At five sampling locations, significant differences in ,13C and ,15N were detected among species but a consistent pattern across locations was absent. Significant intraspecific differences between locations were found. These differences were relatively low in view of the large geographic distances between the populations and there was no consistent spatial pattern among the species. The observed differences may be indicative of local variations in diet composition, which may help in reducing niche overlap among these zooplanktivores. Résumé Nous avons utilisé une analyse des isotopes stables pour déterminer si cinq cichlides sympatriques zooplanctivores appartenant à l'assemblage Utaka du lac Malawi ont une signature isotopique différente, ce qui serait une indication de différences possibles dans la composition de leurs ressources alimentaires. La composition isotopique d'Utaka, combinée aux données publiées au sujet de la composition du régime alimentaire, suggère que ces espèces exploitent une gamme réduite de types de proies zooplanctoniques. À cinq endroits échantillonnés, on a détecté des différences significatives de ,13C et ,15N parmi les espèces, mais il n'y avait pas de schéma cohérent parmi tous les sites. On a découvert des différences intraspécifiques significatives entre les sites. Ces différences étaient relativement faibles compte tenu des grandes distances entre les populations et il n'y avait pas de schéma spatial cohérent parmi les espèces. Les différences observées peuvent indiquer des variations locales de la composition du régime alimentaire, ce qui pourrait aider à réduire le recouvrement des niches chez ces zooplanctivores. [source]


Relationship between periodontal pocket sulfide levels and subgingival species

JOURNAL OF CLINICAL PERIODONTOLOGY, Issue 11 2003
G. Torresyap
Abstract Background: Many species implicated in the pathogenesis of periodontal disease produce volatile sulfur compounds (VSC). This investigation examined the relationship between levels of sulfide and subgingival bacterial species in the same periodontal pockets. Material and Methods: Twenty chronic periodontitis subjects were measured clinically at six sites per tooth for plaque, gingivitis, bleeding on probing, suppuration, pocket depth and attachment level. Subgingival plaque samples, taken from the mesial aspect of each tooth, were individually analyzed for their content of 40 bacterial species using checkerboard DNA,DNA hybridization. Sulfide levels were measured at the same sites using a Diamond Probe/Perio 2000 system. Clinical and microbiological data were averaged for sulfide-positive and -negative sites separately in each subject and then averaged across subjects. Significance differences in clinical and microbial parameters between sulfide-positive and -negative sites were sought using the Wilcoxon signed ranks test. Results: Mean total DNA probe counts (×105, ±SEM) at sulfide-negative and -positive sites were 44.0±9.9 and 65.0±13.3, respectively (p<0.01). Seventeen species were found at significantly higher levels in sulfide-positive than -negative sites. These included abundant producers of VSC such as members of the genera Fusobacterium, Campylobacter, Prevotella, Treponema and Eubacterium, and Bacteriodes forsythus, Selenomonas noxia and Propionibacterium acnes. Prevotella intermedia, Bacteriodes forsythus, Prevotella nigrescens, Fusobacterium nucleatum ss vincentii and Treponema denticola exhibited the greatest difference in mean counts between sulfide-negative and -positive sites. Orange and red complex species were at higher counts at shallow (<4 mm) sulfide-positive than shallow sulfide-negative sites. Although not statistically significant, mean clinical parameters were somewhat higher at sulfide-positive than sulfide-negative sites. Conclusions: Intra-pocket sulfide levels reflect the levels of sulfide-producing species and may provide useful diagnostic information. Zusammenfassung Grundlagen: Viele Spezies, die mit der Pathogenese der Parodontalerkrankung verbunden sind produzieren flüchtige Schwefelkomponenten (VSC). Diese Studie untersuchte die Verbindung zwischen dem Sulfid-Niveau und subgingivalen Spezies in den gleichen parodontalen Taschen. Methode: 20 Patienten mit chronischer Parodontitis wurden an 6 Stellen pro Zahn klinisch befundet hinsichtlich Plaque, Gingivitis, BOP, Eiterentleerung, Taschentiefe und Attachmentniveau. Unter Verwendung der Schachbrett-DNA,DNA-Hybridisierung wurden subgingivale Plaqueproben von der mesialen Stelle eines jeden Zahns individuell hinsichtlich des Vorkommens von 40 bakteriellen Spezies untersucht. An der gleichen Stelle wurde mittels des Diamond Probe/Perio 2000 Systems das Niveau des Sulfids gemessen. Von den klinischen und mikrobiologischen Daten wurden bei jedem Patienten getrennt für Sulfid-positiv und Sulfid-negativ ein Durchschnitt gebildet und anschließend der Durchschnitt für alle Patienten berechnet. Nach signifikanten Unterschieden in den klinischen und mikrobiologischen Parametern zwischen Sulfid-positiven und Sulfid-negativen Stellen wurde unter Verwendung des Wilcoxon signed ranks Test gesucht. Ergebnisse: Die mittlere Bakterienanzahl mit Gesamt-DNA-Sonden (× 105, ±SEM) betrug an den Sulfid-negativen Stellen und Sulfid-positiven Stellen 44.0±9.9 bzw. 65.0±13.3 (p<0.01). Bei 17 Spezies wurde ein signifikant höheres Niveau in den Sulfid-positiven Stellen vorgefunden. Die umfasste Bakterien die reichlich VSC produzieren, wie Mitglieder der Genera Fusobacterium, Campylobacter, Prevotella, Treponema und Eubacterium und B. forsythus, S. noxia und P. acnes. P. intermedia, B. forsythus, P. nigrescens, F. nucleatum ssvincentii und T. denticola zeigten den größten Unterschied zwischen Sulfid-positiven und Sulfid-negativen Stellen in der durchschnittlichen Bakterienanzahl. Spezies des orangen und roten Komplexes lagen in höherer Anzahl in flachen (<4 mm) Sulfid-positiven, als in flachen Sulfid-negativen Taschen vor. Obwohl statistisch nicht signifikant, lagen die durchschnittlichen klinischen Parameter bei den Sulfid-positiven etwas höher als bei den Sulfid-negativen Taschen Schlussfolgerungen: Die innerhalb der Taschen gemessenen Sufiid-Niveaus spiegeln das Niveau der Sulfid-produzierenden Spezies wieder und könnten eine nützliche diagnostische Information liefern. Résumé Plusieurs espèces impliquées dans la pathogenèse de la maladie parodontale produisent des composés de sulfate volatiles (VSC). Cette étude examine la relation entre les niveaux de sulfate et les espèces bactériennes sous-gingivales dans les mêmes poches parodontales. Vingt sujets avec parodontite chronique ont subi un examen clinique au niveau de six sites par dent pour la plaque dentaire, la gingivite, la profondeur de poche au sondage (BOP), la suppuration, la profondeur de poche et le niveau d'attache. Des échantillons de plaque sous-gingivale prélevés en mésial de chaque dent ont été analysés individuellement pour leur contenu de 40 espèces bactériennes à l'aide de l'hybridisation ADN-ADN croisée. Les niveaux de sulfate ont été mesurés au niveau des mêmes sites par le système de sonde Diamond/Perio 2000. Les moyennes des données cliniques et microbiologiques ont étéétablies pour les sites sulfate positif et négatif chez chaque sujet et par sujet. Des différences significatives dans les paramètres cliniques et microbiologiques entre les sites sulfate positif et négatif ont été observées via le test de Wilcoxon. Les moyennes totales des comptes de la sonde ADN (x105,+/,ES) au niveau des sites sulfate négatif et positif étaient respectivement de 44,0 +/,9,9 et 65,0+/,13,3 (p<0,01). Dix sept espèces ont été trouvées à des niveaux hautement plus significatifs dans des sites sulfate positif que négatif. Ceux-ci comprennaient d'abondants producteurs de VSC tels que les Fusobacterium, Catnpylobacter, Prevotella, Treponema, Eubacterium, B. forsythus, S. noxia etP. acnes, P. intermedia, B. forsythus, P. nigrescens, F. nucleatum ss vincentii et T. denticola qui montraient la plus grande différence dans la moyenne des comptes entre les sites sulfate négatif et positif. Les espèces complexe orange et rouge étaient plus nombreuses dans les sites de faible profondeur (<4 mm) sulfate positif que dans les sites peu profonds sulfate négatif. Bien que statistiquement non significative la moyenne des paramètres cliniques a été quelque peu plus élevée au niveau des sites sulfate positif qu'au niveau des négatifs. Les niveaux de sulfate intrapoche reflètent les niveaux des espèces produisant du sulfate et pourraient apporter une information de diagnostic pratique. [source]


Some effects of enamel matrix proteins on wound healing in the dento-gingival region

JOURNAL OF CLINICAL PERIODONTOLOGY, Issue 1 2002
Jan L. Wennström
Abstract Objective: The aim of the present study was to evaluate by clinical means the effect of enamel matrix proteins on the healing of a soft tissue wound produced by periodontal pocket instrumentation. Material and methods: The study was performed as an intra-individual, longitudinal trial of 3 weeks duration with a double-masked, split-mouth, placebo-controlled and randomized design. The patient material was comprised of 28 subjects with moderately advanced, chronic periodontitis. Each patient presented with 3 sites in each of 2 jaw quadrants with a probing pocket depth (PPD) of 5 mm and bleeding following pocket probing (BoP). Baseline examination, including assessments of plaque, gingival inflammation, PPD, BoP and root dentin sensitivity, was carried out one week after oral hygiene instruction and careful self-performed plaque control. All experimental sites were scaled and root planed, and the soft tissue wall of the pocket was curetted to remove the pocket epithelium and adjacent granulation tissue. The site was carefully irrigated with saline. When the bleeding from the pocket had ceased, a 24% EDTA gel was applied in the site and retained for 2 min. This was followed by careful irrigation with saline. Left and right jaw quadrants were then randomized to subgingival application of enamel matrix derivative (Emdogain®) or vehicle-control. All sites were re-examined after 1, 2 and 3 weeks. In addition, a visual analogue scale (VAS) was used to score the degree of post-treatment discomfort. The primary endpoints of treatment success were defined as (i) pocket closure (PPD 4 mm), (ii) no bleeding following pocket probing, (iii) no sign of gingival inflammation (GI score =0) and (iv) low degree of post-treatment discomfort (VAS 20). Statistical analyzes of intra-individual differences between the test and control treatments were performed by the use of Wilcoxon signed rank test. For comparison of the proportions of sites reaching the defined endpoints of treatment success, a site-based analysis was performed using 2×2 tables and the Fisher exact test. Results: The endpoint "GI score =0" was reached at 16% of the sites subjected to application of Emdogain® at 1 week and at 2% of the control sites (p=0.001). At 2 weeks, the corresponding figures were 25% versus 12% (p=0.028). Absence of BoP was at 1 week 57% for the Emdogain® treated sites compared to 35% for the control sites (p=0.003). At 2 weeks, this endpoint was reached in 73% and 59% of the test and control sites, respectively (p=0.051). In terms of the endpoint defined for probing pocket depth, PPD 4 mm, no differences between test and control sites were found. At 1 week, the proportion of patients reporting a VAS score 20 was significantly higher for the Emdogain® treated quadrants than for controls (p=0.002). Conclusion: The results indicated that Emdogain® topically applied in instrumented pockets enhance the early healing of periodontal soft tissue wounds. Zusammenfassung Zielsetzung: Klinische Untersuchung der Wirkung von Schmelzmatrixprotein (SMP) auf die Heilung der durch subgingivale Instrumentierung verursachten Wunde. Material und Methoden: Das Studiendesign entsprach einer randomisierten longitudinalen plazebokontrollierten doppelt verblindeten Halbseitenstudie, an der 28 Patienten mit mäßig fortgeschrittener chronischer Parodontitis teilnahmen. Jeder Patient wies an 3 Stellen zweier Quadranten Sondierungstiefen (ST) 5 mm und Bluten auf Sondieren (BOP) auf. Eine Woche nach Durchführung von Mundhygieneinstruktionen und gründlicher individueller Mundhygiene erfolgte die Basisuntersuchung: Plaque, gingivale Entzündung, ST, BOP und Zahnhalsüberempfindlichkeit. Alle Testzähne wurden subgingival instrumentiert (Scaling und Wurzelglättung), es wurde eine Weichgewebskürettage durchgeführt und mit Kochsalzlösung (NaCl) gespült. Nach dem Stillstand der Taschenblutung wurde ein 24%iges EDTA-Gel subgingival appliziert und für 2 min belassen. Nach gründlicher NaCl-Spülung erfolgte eine randomisierte Zuweisung der subgingivalen Instillation von SMP-Gel (Test) oder nur Trägergel (Plazebokontrolle) zum rechten bzw. linken Quadranten. Nachuntersuchungen erfolgten nach 1, 2 und 3 Wochen. Dabei wurden zusätzlich die postoperativen Beschwerden mit einer visuellen Analogskala (VAS) erfasst. Als Hauptzielkriterien des Behandlungserfolges wurden definiert: (1) Verschluß der parodontalen Tasche (ST 4 mm), (2) kein BOP, (3) keine Zeichen gingivaler Entzündung (GI=0) und (4) nur geringgradige postoperative Beschwerden (VAS 20). Der Vergleich zwischen Test und Kontrolle erfolgte mit dem Wilcoxon-Test bzw. mit 4-Felder-Tafeln und dem Fisher-Exakt-Test. Ergebnisse: Das Erfolgskriterium "GI=0" war nach 1 Woche bei 16% der Test- und und bei 2% der Kontrollstellen erfüllt (p=0.001). Nach 2 Wochen lagen die Proportionen für Test und Kontrolle bei 25% bzw. 12% (p=0.028). Kein BOP war nach 1 Woche bei 57% der Test- und bei 35% der Kontrollstellen zu beobachten (p=0.003), nach 2 Wochen lagen die Werte bei 73% bzw. 59% (p=0.051). Hinsichtlich des Kriteriums ST 4 mm konnten keine Unterschiede zwischen Test und Kontrolle gefunden werden. 1 Woche nach Instrumentierung war der Anteil der Patienten in der Testgruppe, die eine VAS 20 angaben, höher als in der Kontrollgruppe (p=0.002). 3 Wochen nach Therapie wiesen beide Gruppen hinsichtlich keines der Erfolgskriterien mehr statistisch signifikante Unterschiede auf. Schlussfolgerungen: Die topische subgingivale Applikation von SMP in instrumentierte parodontale Taschen könnte die frühe Wundheilung des Weichgewebes begünstigen. Résumé But: Le but de l'étude présente a été d'évaluer cliniquement l'effet des protéines de la matrice amélaire (Emdogain®) sur la guérison des tissus mous produits par l'instrumentation de la poche parodontale. Matériaux et méthodes: Cette étude a été effectuée en tant qu'essai longitudinal intra-individuel de 3 semaines avec un modèle en double aveugle, par bouche divisée, au hasard et contrôlé par placebo. 28 sujets avec parodontite chronique modérement avancée ont participéà cette étude. Chaque patient présentait 3 sites dans 2 quadrants avec une profondeur au sondage (PPD) 5 mm et un saignement au sondage (BoP). L'examen initial comprenant la prise des indices de plaque, d'inflammation gingivale, de PPD, de BoP et de la sensibilité dentinaire a été effectué une semaine après l'instruction en hygiène buccale et le contrôle de plaque dentaire réalisé par la personne elle-même. Tous les sites expérimentaux ont été détartrés et surfacés, et la paroi de tissu mou de la poche a été curetée pour enlever l'épithélium de la poche et le tissu de granulation adjacent. Ce site a été irrigué avec du sérum physiologique. Lorsque le saignement de la poche avait cessé, un gel d'EDTA 24% a été appliqué dans le site et est resté in situ pendant 2 min. Ensuite une nouvelle irrigation avec du sérum physiologique a été prodiguée. Les quadrants gauches et droits étaient ensuite distribués au hasard pour l'application sous-gingivale du dérivé de la matrice amélaire (Emdogain®) ou en tant que véhicule contrôle. Tous les sites ont été ré-éxaminés aprés 1, 2 et 3 semaines. De plus une échelle analogue de vision (VAS) a été utilisée pour mesurer le degré d'inconfort post-traitement. Les points principaux du succès du traitement étaient définis comme suit (1) fermeture de la poche (PPD 4 mm), (2) absence de saignement au sondage, (3) aucun signe d'inflammation gingivale (GI=0) et (4) un faible degré d'inconfort post-traitement (VS20). Les analyses statistiques des différences intra-individuelles entre les traitements tests et contrôles ont été effectuées à l'aide du test par Wilcoxon Signed Rank. Pour la comparaison des proportions de sites atteignant le succès souhaité, une analyse basée sur les sites a été effectuée en utilisant des tables 2×2 et le test exact de Fisher. Résultats: Le but GI=0 a été atteint dans 16% des sites avec Emdogain® après 1 semaine seulement et dans 2% des sites contrôles (p=0.001). A 2 semaines, les figures correspondantes étaient 25% versus 12% (p=0.028). L'absence de BoP a 1 semaine atteignait 57% des sites traités par Emdogain® contre 35% pour les contrôles (p=0.003). A 2 semaines, ce but était atteint dans respectivement 73% et 59% des sites tests et contrôles (p=0.051). En terme de PPD4 mm, aucune différence n'a été trouvée entre les sites. A 1 semaine, la proportion de patients qui avaient un VAS 20 était significativement plus importante dans le groupe traité par Emdogain® que chez les contrôle (p=0.002). Conclusions: Les résultats ont indiqué que l'Emdogain® placé localement dans des poches nettoyées peut augmenter la guérison précoce des tissus mous parodontaux. [source]