Domestic Support (domestic + support)

Distribution by Scientific Domains


Selected Abstracts


WTO Constraints on Domestic Support in Agriculture: Past and Future

CANADIAN JOURNAL OF AGRICULTURAL ECONOMICS, Issue 1 2009
Lars Brink
The domestic support provisions in the WTO Agreement on Agriculture originate in the 1958 Haberler Report. Economic analysis often overlooks the agreement's legally important distinctions. Few domestic support issues lead to dispute settlement proceedings. The Doha negotiations would result in more constraints on domestic support than the sole commitment on Total Aggregate Measurement of Support (AMS) in the present agreement: ceilings on overall trade-distorting support and blue box payments, and also product-specific caps. Some 18 members would reduce their Total AMS commitments, and 25 would reduce the de minimis percentages. Most members would not reduce their constraints at all or only little. If today's developing countries continue to grow as they did in recent decades, their capacity to support agriculture increases significantly. If they then choose to support agriculture as today's developed countries did at the same stage of economic development, the future WTO constraints on trade-distorting domestic support would allow them to provide considerably more such support than developed countries. Les règles sur le soutien interne de l'Accord sur l'agriculture de l'OMC tirent son origine du rapport ,Haberler, de 1958. L'analyse économique oublie souvent les distinctions d'importance juridique de l'accord. Peu de questions en soutien interne entraînent des procédures de règlement des différends. Les négociations de Doha se solderaient par plus de contraintes sur le soutien que le seul engagement de l'accord actuel, celui sur la mesure globale de soutien (MGS) totale. Ces contraintes comprennent des plafonds sur le soutien interne global ayant des effets de distorsion des échanges et sur les paiements dans la boîte bleue, ainsi que des plafonds par produit. Environ 18 membres réduiraient leurs engagements sur la MGS totale, et 25 membres réduiraient les pourcentages de minimis. La plupart des membres ne réduiraient pas leurs engagements ou les réduiraient seulement un peu. Si la croissance économique des pays, qui aujourd'hui sont en voie de développement, continue au même taux que dans les décennies récentes, leur capacité de soutenir leur agriculture augmente. S'ils choisissaient dans l'avenir de soutenir leur agriculture, comme l'ont fait les pays qui sont aujourd'hui les pays développés lorsqu'ils se trouvaient au même stage de développement, les contraintes futures de l'OMC sur le soutien interne faussant les échanges permettraient aux pays en voie de développement d'accorder de tel soutien dans des montants considérablement plus importants que ceux des pays développés. [source]


After Cancún: what next for agricultural subsidies?

EUROCHOICES, Issue 3 2003
Tim Josling
Summary After Cancún: what next for agriculturalsubsidies? The collapse of the Ministerial in Cancún highlighted the enhanced role of the developing countries in the WTO and the reduced ability of the US and the EU to manage the trade system. One aspect of these changes has been that developing countries have taken much more interest in the level of domestic support in developed countries. Developed countries believe that the shift of support from production-linked to decoupled instruments has had a positive impact on trade. Developing countries maintain that this reform has not helped them, and has perpetuated inequities in the trade system. Research suggests that the output effect of decoupled support is limited, if not negligible. Such decoupling may be necessary to reform domestic polices. Additionally, domestic policies are being challenged by developing countries using the trade litigation of the WTO. But such challenges risk undermining support for the WTO. Until agreement is reached on these issues there will be little progress in further agricultural trade reform. A political solution must be found that continues the slow process of improvement of domestic farm policies and at the same time offers hope to developing countries that they will benefit from the improvement in the trade conditions for agricultural products. Après Cancún:quel avenir pour les subventions? L'échec de la conférence ministérielle de Cancun met en évidence !e rôle accru des pays en voie de développement à l'OMC, ainsi que la faible aptitude des Etats-Unis et de l'Europe à gérer le système des échanges internationaux. Ces changements impliquent que les pays en voie de développement s'intéressent de plus en plus aux niveaux de protection internes des pays développés. Les pays développés croient que le glissement des aides vers plus de découplage aura eu un effet positif sur les échanges. Mais les pays en voie de développement continuent à penser que ces réformes ne les ont pas aidés, et qu'elles ont perpétué les inégalités du commerce mondial. Le travail présenté ici semble montrer que l'effet du découplage sur l'offre est très faible, voire nul. Peut-être le decouplage est-il utile pour la réforme des politiques internes. Mais, au delà, ces politiques internes sont mises en cause par les pays en voie de développement, qui utilisent à leur encontre les ressources de procédure mises à leur disposition par l'OMC. De telles mises en cause sont de nature à détruire le soutien de l'opinion à l'OMC. II ne faut pas s'attendre à beaucoup de progrès dans les réformes du commerce international agricole tant qu'on n'aura pas trouve un accord sur ces questions. II est done necessaire d'élaborer des solutions qui confortent le lent progrès des politiques internes des pays developpes, tout en offrant aux pays en voie de développement 1, espoir de bénéficier de l'amélioration des conditions des échanges agricoles. Nach Cancún: Was geschieht als nächstes mitAgrarsubventionen? Das Scheitern des Ministerialtreffensin Cancún hob die verbesserte Position der Entwicklungsländer in der WTO und die verminderte Fähigkeit der USA und der EU hervor, das Handelssystem zu lenken. Finer der Aspekte dieser Veränderungen bestand darin, dass die Entwicklungsländer ein sehr viel größeres Interesse am Ausmaß der Inlandsstützung in Industrieländern gezeigt haben. Die Industrieländer glauben, dass sich der Schritt von einer produktionsgebundenen Inlandsstützung hin zu einer entkoppelten Inlandsstützung positiv auf den Handel ausgewirkt hat. Die Entwicklungsländer behaupten jedoch, dass ihnen diese Reform nicht geholfen habe und dass so Ungerechtigkeiten im Handelssystem aufrecht erhalten würden. Forschungsergebnisse legen es nahe, dass sich die entkoppelte Inlandsstützung sehr begrenzt, möglicherweise nur geringfügig, auf die Produktion auswirkt. Eine solche Entkopplung ist möglicherweise notwendig, urn inländische Politikmaßnahmen zu reformieren. Zusátzlich werden die inländischen Politikmaßnahmen von den Entwicklungsländern zur Zeit im Rahmen der WTO-Verfahren zur Beilegung von Handelsstreitigkeiten angefochten. Solche Anfechtungen bergen jedoch immer das Risiko einer abgeschwächten Unterstützung für die WTO. Bis in diesen Punkten Einigkeit herrscht, wird es nur geringe Fortschritte für die Agrarhandelsreformen geben. Es muss eine politische Lösung gefunden werden, welche den langsamen Verbesserungsprozess bei den inländischen Agrarpolitikmaßnahmen voran treibt und welche die Entwicklungsländer zugleich hoffen lässt, von der Verbesserung der Handelsbedingungen für landwirtschaftliche Erzeugnisse profitieren zu können. [source]


Do Developing Countries Need a Development Box?

EUROCHOICES, Issue 2 2003
Jonathan Brooks
Summary Do Developing Countries Need a Development Box? Developing country proposals for a Development Box focus on changes to WTO rules on agricultural trade that would enable them to address more effectively their objectives related to food security, poverty alleviation and economic development. Yet, there are few instances where developing countries have been constrained in the policies they can adopt. This does not mean that demands for a Development Box are pointless, for if the next WTO agreement is to have a real impact on rates of protection, there will be a need for tighter commitments in both developed and developing countries. Hence proposals for a Development Box can be seen as an insurance policy, given the prospect of deeper multilateral reforms. There is a strong case for easier access to safeguards, under which developing countries could temporarily apply higher tariffs on food security crops when world prices are depressed below threshold levels. There may be an economic justification for expanding the types of domestic support measures that developing countries can employ, in those rare cases where policies would otherwise be constrained. However, these demands should not constrain progress on the most important issue; namely, how OECD countries can do more for developing countries through improvements in market access, the elimination of explicit and implicit export subsidies, and reductions in trade-distorting domestic support. Faut-il une boite spéciale pour le développement ? Les propositions des pays en développement en vue ?établir une ,boîte pour le développement'à,OMC sont centrées sur ,idée qu'il convient de modifier les règies du commerce international agricole, afin de leur permettre ?aborder de façon plus efflcace leurs problèmes spécifiques de sécurité alimentaire, de réduction de la pauvreté et de développement économique. Pourtant, il existe peu ?exemples de situations dans lesquelles un pays en développement ait pu être gêné dans ,adoption ?une politique particulière. Cela ne veut pas dire qu'une boîte pour le développement soit inutile: si le prochain accord à,OMC doit avoir un effet réel sur les taux de protection, des engagements encore plus stricts seront nécessaires de la part, aussi bien des pays en développement que des pays développés. II en résulte que les propositions en vue ?une ,boîte pour le développement' peuvent être considérées comme une politique ?assurance, dans ,optique de réformes multilatérales plus approfondies. II y a des raisons sérieuses pour faciliter le recours aux clauses de sauvegarde, grâce auxquelles les pays en développement pourraient imposer temporairement des droits plus élevés sur les denrées importantes pour leur sécurité alimentaire lorsque les cours mondiaux descendent en deçà?un certain seuil. Il peut exister une justification économique à,extension des catégories de soutien que les pays en développement peuvent employer, dans les cas peu fréquents où les engagements pris seraient contraignants à cet égard. Mais surtout, il faut que les pays en développement prennent garde à ne pas entraver les progrès dans les domaines vraiment importants, à savoir ce que les pays de ,OCDE peuvent faire pour eux en améliorant ,accès aux marchés, en eliminant les subventions implicites et explicites aux exportations, et en réduisant les mesures de soutien intérieures qui affectent les échanges. Benötigen Entwicklungsländer eine Development Box? Die Vorschläge der Entwicklungsländer für eine Development Box zielen auf Änderungen in den Agrarhandelsvorschriften der WTO ab; es soil ihnen ermöglicht werden, ihre Zdele hinsichtlich der Nahrungsmt-telsicherheit, Armutsbekämpfung und Wirtschaftsentwicklung wirkungsvoller zu verfolgen. Bis heute jedoch wurden die Entwicklungsländer nur in wenigen Fällen bei der Ausgestaltung bestimmter Politikmaßnahmen eingeschränkt. Damit ist nicht gesagt, dass Forderungen nach einer Development Box zwecklos sind, denn wenn sich das kommende WTO-Abkommen tatsächlich auf die Protektionsraten auswirken soil, werden sowohl den entwickelten Ländern als auch den Entwicklungsländern mehr Verpflichtungen abverlangt werden. Daher können Vorschläge für eine Development Box als eine Versicherungspolirik vor dem Hintergrund der Aussicht auf tiefergreifende multilaterale Reformen angesehen werden. Es spricht vieles für einen einfacheren Zugang zu Schutzmaßnahmen, unter denen Entwicklungsländer vorübergehend höhere Zölle auf pflanzliche Erzeugnisse mit Bedeutung für die Nahrungsmittelsicherheit erheben könnten, wenn die Weltpreise unterhalb von Schwellenwerten liegen. Es mag aus ökonomischer Sicht eine Rechtfertigung für die Ausdehnung der inlandischen marktstützenden Maßnahmen geben, welche Entwicklungsländer anwenden dürfen; dies kann sinnvoll sein, wenn andernfalls, allerdings in seltenen Fällen, Politikmaßnahmen eingeschränkt werden müssten. Diese Forderungen sollten den Fortschritt bei den allerwichtigsten Themen jedoch nicht behindern; OECD-Länder können mehr für Entwicklungsländer tun, und zwar durch Verbesserung des Marktzugangs, durch die Abschaffung von expliziten und impliziten Exportsubventionen und durch Kürzungen bei den handelsverzerrenden Inlandssubventionen. [source]


A self-restrained approach to nation-building by foreign powers

INTERNATIONAL AFFAIRS, Issue 1 2004
Amitai Etzioni
Nation-building by foreign powers can rarely be accomplished and tends to be very costly, not merely in economic resources and those of political capital, but also in human lives. Foreign powers often attempt to tackle numerous tasks with little discernible effect. Therefore, whatever resources foreign powers are willing and able to commit should be focused on a modest agenda,what is termed in this article a ,restrained approach,. A restrained approach focuses first and foremost on pacification and security, it deals with whoever is in power initially and it requires local people to overcome some challenges by themselves. Greatly curtailing foreign ambitions and promises will lead to much greater credibility of drives for democratization; will provide stronger domestic support for such efforts among the taxpayers and donors who have to foot the bills; and will pay off by focusing more resources on the few facets of society that are relatively easy to change. [source]


WTO Constraints on Domestic Support in Agriculture: Past and Future

CANADIAN JOURNAL OF AGRICULTURAL ECONOMICS, Issue 1 2009
Lars Brink
The domestic support provisions in the WTO Agreement on Agriculture originate in the 1958 Haberler Report. Economic analysis often overlooks the agreement's legally important distinctions. Few domestic support issues lead to dispute settlement proceedings. The Doha negotiations would result in more constraints on domestic support than the sole commitment on Total Aggregate Measurement of Support (AMS) in the present agreement: ceilings on overall trade-distorting support and blue box payments, and also product-specific caps. Some 18 members would reduce their Total AMS commitments, and 25 would reduce the de minimis percentages. Most members would not reduce their constraints at all or only little. If today's developing countries continue to grow as they did in recent decades, their capacity to support agriculture increases significantly. If they then choose to support agriculture as today's developed countries did at the same stage of economic development, the future WTO constraints on trade-distorting domestic support would allow them to provide considerably more such support than developed countries. Les règles sur le soutien interne de l'Accord sur l'agriculture de l'OMC tirent son origine du rapport ,Haberler, de 1958. L'analyse économique oublie souvent les distinctions d'importance juridique de l'accord. Peu de questions en soutien interne entraînent des procédures de règlement des différends. Les négociations de Doha se solderaient par plus de contraintes sur le soutien que le seul engagement de l'accord actuel, celui sur la mesure globale de soutien (MGS) totale. Ces contraintes comprennent des plafonds sur le soutien interne global ayant des effets de distorsion des échanges et sur les paiements dans la boîte bleue, ainsi que des plafonds par produit. Environ 18 membres réduiraient leurs engagements sur la MGS totale, et 25 membres réduiraient les pourcentages de minimis. La plupart des membres ne réduiraient pas leurs engagements ou les réduiraient seulement un peu. Si la croissance économique des pays, qui aujourd'hui sont en voie de développement, continue au même taux que dans les décennies récentes, leur capacité de soutenir leur agriculture augmente. S'ils choisissaient dans l'avenir de soutenir leur agriculture, comme l'ont fait les pays qui sont aujourd'hui les pays développés lorsqu'ils se trouvaient au même stage de développement, les contraintes futures de l'OMC sur le soutien interne faussant les échanges permettraient aux pays en voie de développement d'accorder de tel soutien dans des montants considérablement plus importants que ceux des pays développés. [source]