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Selected Abstracts


Do Developing Countries Need a Development Box?

EUROCHOICES, Issue 2 2003
Jonathan Brooks
Summary Do Developing Countries Need a Development Box? Developing country proposals for a Development Box focus on changes to WTO rules on agricultural trade that would enable them to address more effectively their objectives related to food security, poverty alleviation and economic development. Yet, there are few instances where developing countries have been constrained in the policies they can adopt. This does not mean that demands for a Development Box are pointless, for if the next WTO agreement is to have a real impact on rates of protection, there will be a need for tighter commitments in both developed and developing countries. Hence proposals for a Development Box can be seen as an insurance policy, given the prospect of deeper multilateral reforms. There is a strong case for easier access to safeguards, under which developing countries could temporarily apply higher tariffs on food security crops when world prices are depressed below threshold levels. There may be an economic justification for expanding the types of domestic support measures that developing countries can employ, in those rare cases where policies would otherwise be constrained. However, these demands should not constrain progress on the most important issue; namely, how OECD countries can do more for developing countries through improvements in market access, the elimination of explicit and implicit export subsidies, and reductions in trade-distorting domestic support. Faut-il une boite spéciale pour le développement ? Les propositions des pays en développement en vue ?établir une ,boîte pour le développement'à,OMC sont centrées sur ,idée qu'il convient de modifier les règies du commerce international agricole, afin de leur permettre ?aborder de façon plus efflcace leurs problèmes spécifiques de sécurité alimentaire, de réduction de la pauvreté et de développement économique. Pourtant, il existe peu ?exemples de situations dans lesquelles un pays en développement ait pu être gêné dans ,adoption ?une politique particulière. Cela ne veut pas dire qu'une boîte pour le développement soit inutile: si le prochain accord à,OMC doit avoir un effet réel sur les taux de protection, des engagements encore plus stricts seront nécessaires de la part, aussi bien des pays en développement que des pays développés. II en résulte que les propositions en vue ?une ,boîte pour le développement' peuvent être considérées comme une politique ?assurance, dans ,optique de réformes multilatérales plus approfondies. II y a des raisons sérieuses pour faciliter le recours aux clauses de sauvegarde, grâce auxquelles les pays en développement pourraient imposer temporairement des droits plus élevés sur les denrées importantes pour leur sécurité alimentaire lorsque les cours mondiaux descendent en deçà?un certain seuil. Il peut exister une justification économique à,extension des catégories de soutien que les pays en développement peuvent employer, dans les cas peu fréquents où les engagements pris seraient contraignants à cet égard. Mais surtout, il faut que les pays en développement prennent garde à ne pas entraver les progrès dans les domaines vraiment importants, à savoir ce que les pays de ,OCDE peuvent faire pour eux en améliorant ,accès aux marchés, en eliminant les subventions implicites et explicites aux exportations, et en réduisant les mesures de soutien intérieures qui affectent les échanges. Benötigen Entwicklungsländer eine Development Box? Die Vorschläge der Entwicklungsländer für eine Development Box zielen auf Änderungen in den Agrarhandelsvorschriften der WTO ab; es soil ihnen ermöglicht werden, ihre Zdele hinsichtlich der Nahrungsmt-telsicherheit, Armutsbekämpfung und Wirtschaftsentwicklung wirkungsvoller zu verfolgen. Bis heute jedoch wurden die Entwicklungsländer nur in wenigen Fällen bei der Ausgestaltung bestimmter Politikmaßnahmen eingeschränkt. Damit ist nicht gesagt, dass Forderungen nach einer Development Box zwecklos sind, denn wenn sich das kommende WTO-Abkommen tatsächlich auf die Protektionsraten auswirken soil, werden sowohl den entwickelten Ländern als auch den Entwicklungsländern mehr Verpflichtungen abverlangt werden. Daher können Vorschläge für eine Development Box als eine Versicherungspolirik vor dem Hintergrund der Aussicht auf tiefergreifende multilaterale Reformen angesehen werden. Es spricht vieles für einen einfacheren Zugang zu Schutzmaßnahmen, unter denen Entwicklungsländer vorübergehend höhere Zölle auf pflanzliche Erzeugnisse mit Bedeutung für die Nahrungsmittelsicherheit erheben könnten, wenn die Weltpreise unterhalb von Schwellenwerten liegen. Es mag aus ökonomischer Sicht eine Rechtfertigung für die Ausdehnung der inlandischen marktstützenden Maßnahmen geben, welche Entwicklungsländer anwenden dürfen; dies kann sinnvoll sein, wenn andernfalls, allerdings in seltenen Fällen, Politikmaßnahmen eingeschränkt werden müssten. Diese Forderungen sollten den Fortschritt bei den allerwichtigsten Themen jedoch nicht behindern; OECD-Länder können mehr für Entwicklungsländer tun, und zwar durch Verbesserung des Marktzugangs, durch die Abschaffung von expliziten und impliziten Exportsubventionen und durch Kürzungen bei den handelsverzerrenden Inlandssubventionen. [source]


The Significance of Property Restitution to Sustainable Return in Bosnia and Herzegovina

INTERNATIONAL MIGRATION, Issue 3 2006
Rhodri C. Williams
ABSTRACT The restitution of property to refugees and displaced persons (RDPs) who fled their homes during the 1992 to 1995 conflict in Bosnia and Herzegovina has been highly successful on its own terms. After getting off to a slow start in the immediate post-war years, this process saw the return of more than 200,000 claimed properties to their pre-war residents by mid-2004. Although property restitution has facilitated durable solutions for RDPs who have benefited from it, these durable solutions have not exclusively taken the form of voluntary and permanent return. In many cases, RDPs have chosen instead to sell, exchange, or lease their restituted homes in order to finance voluntary internal resettlement in parts of the country other than their pre-war places of residence. In all cases, however, property restitution has been crucial to the viability and sustainability of either return or resettlement, facilitating free and informed choices by RDPs regarding their future. Property restitution in Bosnia and Herzegovina has often been held up as a model for other post-conflict settings characterized by mass-displacement. However, the utility of Bosnia and Herzegovina as an example must be assessed in light of favourable domestic and international factors that are unlikely to be repeated in other contexts. This paper argues that these factors should not disqualify Bosnia and Herzegovina as an example, but should instead underscore the importance that lessons learned in Bosnia and Herzegovina be incorporated early in the planning of other peace missions and implemented consistently. One of the foremost of these lessons was the efficacy of shifting the focus from the highly politicized concept of return to a more impartial "rule of law" approach, connoting an emphasis on individuals' rights to their former homes. The unusual level of resources that allowed the international community to correct its own early mistakes would not have been enough to guarantee property restitution in the absence of this successful implementation strategy. La restitution des biens aux réfugiés et aux personnes déplacées (RPD) ayant fui leurs foyers durant le conflit qui a sévi en Bosnie-Herzégovine entre 1992 et 1995 a été un vrai succès. Après un démarrage lent au lendemain immédiat de la guerre, ce processus avait permis la restitution, à la mi-2004, de plus de 200.000 propriétés à leurs occupants d'avant la guerre. Si la restitution des propriétés a apporté une solution durable aux RPD qui en ont bénéficié, cette solution durable n'a pas exclusivement pris la forme d'un retour volontaire et définitif. Dans de nombreux cas, les RPD ont plutôt choisi de rendre, d'échanger ou de mettre en location leurs logements restitués afin de financer une réinstallation volontaire dans d'autres régions du pays. Dans tous les cas, cependant, la restitution des propriétés a été cruciale pour la viabilité et la durabilité soit du retour soit de la réinstallation, facilitant des choix libres et en connaissance de cause de la part des RPD quant à leur avenir. La restitution des propriétés en Bosnie-Herzégovine a souvent été donnée en exemple pour d'autres contextes d'après-guerre caractérisés par des déplacements massifs. Cependant, l'utilité de la Bosnie-Herzégovine comme exemple doit être évaluée à la lumière des facteurs internes et internationaux favorables qui ont peu de chance de se produire dans d'autres contextes. L'auteur considère que ces facteurs ne doivent cependant pas disqualifier la Bosnie-Herzégovine en tant que modèle à suivre, mais qu'il faut plutôt souligner l'importance des enseignements tirés dans cette partie du monde pour les incorporer à un stade avancé dans la planification des autres missions de paix et faire en sorte qu'ils soient appliqués de manière cohérente. L'une des principales leçons à tirer en l'occurrence a été l'efficacité avec laquelle le concept hautement politisé du retour a opéré un glissement vers une approche plus impartiale favorisant la "primauté du droit", en ce sens qu'un accent particulier a été mis sur le droit des personnes à reprendre possession de leurs anciens logements. Le niveau de ressources inhabituel ayant permis à la communauté internationale de corriger ses propres fautes initiales n'aurait pas suffi pour garantir la restitution des biens en l'absence de cette stratégie positive de mise en ,uvre. La restitución de propiedades de refugiados y desplazados que tuvieron que abandonar sus hogares durante el conflicto de Bosnia y Herzegovina entre 1992 y 1995, ha tenido mucho éxito de acuerdo con lo estipulado en su propio mandato. Tras un inicio sumamente lento en los primeros años de posguerra, a mediados de 2004 el proceso dio lugar a la restitución, de más de 200.000 bienes reclamados por sus residentes de antes de la guerra. Si bien la restitución de bienes ha facilitado soluciones duraderas para los refugiados y desplazados que se han beneficiado de la misma, estas soluciones duraderas no se han traducido exclusivamente en un retorno voluntario y permanente. En muchos casos, los refugiados y desplazados han decidido vender, intercambiar o alquilar las propiedades restituidas a fin de financiar su reasentamiento interno voluntario en otras partes del país, distintas de aquéllas donde residían antes de la guerra. En cualquier caso, la restitución de propiedades ha sido fundamental a la viabilidad y sostenimiento del retorno o reasentamiento, facilitando así las opciones libres e informadas de los refugiados y desplazados con relación a su futuro. La restitución de bienes en Bosnia y Herzegovina se considera como un modelo para otros entornos posconflicto caracterizados por desplazamientos masivos. Ahora bien, la utilidad de Bosnia y Herzegovina como ejemplo debe evaluarse a la luz de factores nacionales e internacionales favorables que probablemente no se den en otros contextos. Este estudio arguye que estos factores no descalifican a Bosnia y Herzegovina como ejemplo pero deben poner de relieve la importancia de las enseñanzas extraídas de la experiencia de Bosnia y Herzegovina en la planificación temprana de otras misiones de paz y llevarse a cabo de manera consecuente. Otra de las principales lecciones fue la eficacia de transferir el centro de atención del concepto altamente politizado del retorno a una perspectiva más imparcial de imperio de ley, que hizo hincapié en los derechos individuales de cara a sus ex hogares. El nivel inusual de recursos que permitió que la comunidad internacional corrigiese sus propios errores anteriores, y no habrían sido suficientes para garantizar la restitución de propiedades si no hubiera habido una estrategia acertada de puesta en práctica. [source]


Indicators of community economic development through mural-based tourism

THE CANADIAN GEOGRAPHER/LE GEOGRAPHE CANADIEN, Issue 1 2005
Rhonda Koster
Community Economic Development (CED) has become a recognised form of economic development, despite contention regarding its definition and applications. It is acknowledged that development planning benefits from a more holistic approach with a focus on community participation. The objective of this paper was to explore the process and selected indicators of CED success through an examination of five Saskatchewan communities that have made the conscious decision to develop tourism through the use of wall murals on the exteriors of buildings. Extensive in-person interviews were conducted with stakeholders in each of these communities. Generally, this research has found that both the CED process undertaken and the measurement of success are dependent upon the desired outcomes of mural development. For example, in communities that created murals-as-community-beautification, the process was less formalised and success was measured more qualitatively, for example in increased community pride and the development of social relationships. For those communities where murals were developed as part of an explicit economic development strategy, the process was more formalised and the outcomes measured more quantitatively, including the numbers of visitors, employment and businesses created. This research also indicates that particular attributes of rural places play a critical role in how CED is understood, defined and carried out, and how successes, both tangible and intangible, are measured. Le Développement économique communautaire (DEC)est désormais une forme de développement économique reconnue, malgré le débat qui entoure sa définition et ses applications. On admet qu'une approche plus globale, axée sur la participation de la collectivité, favorise la planification du développement. L'objectif de cette étude est d'examiner la démarche du DEC ainsi que des indicateurs spécifiques de succès dans cinq collectivités de la Saskatchewan qui ont pris la décision délibérée de développer le tourisme grâce à la réalisation de murales sur les murs extérieurs d'édifices. Nous avons mené des entrevues en profondeur, en personne, avec des intervenants dans chacune de ces collectivités. D'une manière générale, cette recherche a mis en évidence le fait quele processus du DEC ainsi que la mesure de son succès dépendent des résultats que l'on attend de la réalisation des murales. Ainsi, là où les murales ont été réalisées dans le but d'embellir la collectivité, le processus était moins formel et le succès se mesurait surtout par des critères qualitatifs tels que le développement de relations sociales ou un sentiment de fierté accru de la part des résidents. Par contre, là où la réalisation des murales résultait d'une stratégie de développement économique explicite, le processus était plus formel et les résultats se mesuraient en termes quantitatifs comprenant le nombre de visiteurs, ainsi que le nombre d'emplois et de commerces créés. Cette recherche démontre également que certains attributs de lieux ruraux jouent un rôle crucial dans la façon dont on comprend, définit et met en ,uvre le DEC, ainsi que sur la manière dont on mesure les succès, tangibles autant qu'intangibles. [source]


CONFIANCE DANS LES ASSOCIATIONS DE DEFENSE DE L'ENVIRONNEMENT ET OPPOSITION AUX OGM EN EUROPE

ANNALS OF PUBLIC AND COOPERATIVE ECONOMICS, Issue 1 2007
Samira Chaklatti
RÉSUMÉ,:,L'apparition des plantes génétiquement modifiées, en Europe, a donné lieu à des débats importants notamment en ce qui a trait à la consommation des produits alimentaires issus des procédures de génie génétique. Dans ce contexte le mouvement collectif associatif est apparu comme un acteur important de diffusion de l'information sur le sujet, influençant de cette manière les comportements individuels des consommateurs. A partir des données de l'Eurobaromètre 58.0, on utilise un probit multivarié pour préciser l'importance de la confiance dans les associations de défense de l'environnement sur le niveau d'acquiescement ou de refus des biotechnologies agricoles à usage alimentaire de la part des "citoyens ordinaires". Nous discutons les principaux faits stylisés ainsi caractérisés: notre approche confirme les résultats de la plupart des différentes recherches en théorie du consommateur sur l'importance des attitudes et valeurs personnelles et de l'inscription dans certains réseaux sociaux pour l'opposition ou, au contraire, l'acquiescement aux OGM. [source]


Industrial and Organisation Research on Self-Regulation: From Constructs to Applications

APPLIED PSYCHOLOGY, Issue 2 2005
Jeffrey B. Vancouver
L'autorégulation rencontre actuellement du succès en psychologie industrielle et organisationnelle. Les travaux théoriques et empiriques englobent des processus allant de l'entrée dans l'organisation à la sortie et à la réembauche. Les interventions et les concepts clés de l'autorégulation dans le monde du travail sont recensés en insistant sur la validité interne et de construction. Quelques concepts comme l'efficacité personnelle et l'implication ont bénéficié d'un grand intérêt de la part des psychométriciens et semblent constituer des cibles de premier ordre lors des interventions. Néanmoins, ces concepts restent entachés d'hypothèses dont la validité n'est pas garantie. D'autres concepts, en particulier la rétroaction et la divergence, souffrent de significations sensiblement différentes dans la littérature sur l'autorégulation, ce qui nuit à la compréhension et à la communication entre les universitaires et les praticiens. On a lancé des interventions relevant des principes de l'autorégulation; celles-ei ont ensuite étéévaluées avec sérieux: il est apparu qu'elles avaient un impact sur un ensemble de variables pertinentes du point de vue organisationnel comme l'amélioration des performances et la réduction de l'absentéisme. Malheureusement, les interventions sont rarement étudiées de façon détaúllée et systématique, ce qui ne permet pas de tirer des conclusions sur les aspects de l'intervention qui sont pertinents du point de vue de la causalité. La discussion insiste sur les lacunes dans la connaissance et l'appréhension des processus de l'autorégulation dans les contextes organisationnels, ainsi que sur la façon dont la discipline pourrait tenter de combler ces lacunes. The self-regulation perspective is currently well received in the industrial and organisational psychology literature. Theoretical and empirical work span processes ranging from organisation entry to exit and reentry. Key self-regulation constructs and interventions in work contexts are reviewed with a focus on construct and internal validity. Some constructs, such as self-efficacy and goal commitment, have received substantial psychometric attention and seem important targets for interventions. Nonetheless, potentially unwarranted assumptions remain regarding these constructs. Other constructs, particularly feedback and discrepancy, have acquired substantially different meanings within the self-regulation literature that inhibit understanding and communication among scholars and practitioners. Interventions based on self-regulatory principles have been developed, and rigorous tests of these interventions have been conducted. These interventions were found to influence a range of organisationally relevant outcomes such as increasing performance and reducing absenteeism. Unfortunately, studies of comprehensive interventions are rare and often lacked controls, making it difficult to draw conclusions regarding what aspects of the interventions are causally relevant. Discussion focuses on the gaps in the field's knowledge and understanding regarding self-regulatory processes in organisational settings and how the field might attempt to fill those gaps. [source]


Risk Management with Duration: Potential and Limitations

CANADIAN JOURNAL OF ADMINISTRATIVE SCIENCES, Issue 2 2000
Gerald O. Bierwag
This paper demonstrates the applicability of duration as a risk management tool for government organizations. Drawing on a real case, we present methodologies for quantifying (a) the durations of real assets on a government's balance sheet, and (b) the durations of the financial assets represented by shares in state-owned enterprises (SOEs). In the area of real physical assets on the balance sheet we focus on the highway system and on real estate owned by the government. The methodology for measuring durations of SOEs focuses primarily on an electrical utility. Our main conclusion is that it is feasible to derive excellent practical measures of the real durations of physical assets on a government's balance sheet. Far from being academic curiosities,such durations can be estimated with a fair degree of accuracy in practice. The paper also indicates some of the potential limitations of duration analysis as a risk management tool for such organizations. Résumé En tant que grand succès de la finance académique, l'analyse de durée profite d'une application étendue de la part des praticiens de différents millieux du secteur privé. Cet article démontre la possibilité d'utiliser les durées comme outil de gestion du risque dans les organisations gouvernementales. En se basant sur un cas réel, nous présentons les méthodes pour quantifier (1) les durées des valeurs réelles d'un bilan gouvernemental et (2) les durées des valeurs financières représentées par des parts dans des sociétés d'état. Pour ce qui est des valeurs physiques réelles du bilan, nous nous arr,tons sur le système autoroutier et sur les biens immobiliers possédés par le gouvernement. La méthode de mesure des durées des sociétés d'état focalise sur une compagnie de service électrique. Notre conclusion principale est qu'il est possible de tirer d'excellentes mesures pratiques des durées réelles des valeurs physiques du bilan financier d'un gouvernement. Loin d',tre de pures curiosités académiques, de telles durées peuvent ,tre, en pratique, estimées avec un degré raisonnable de précision. L'article mentionne de plus certaines limites potentielles de l'analyse de durée comme outil de gestion de risque pour de telles organisations. [source]


Exporting governance: Lithuania adapts a Canadian policy management model

CANADIAN PUBLIC ADMINISTRATION/ADMINISTRATION PUBLIQUE DU CANADA, Issue 1 2005
Gordon Evans
A moribund policy management system offered scant hope for quick reversal. To break the impasse, Lithuania's prime minister negotiated a unique, CIDA-funded project to modernize their decision-making system by partnering with the Ontario Public Service and the Institute of Public Administration of Canada. Although slow to gain traction, inspired leadership by a new Lithuanian prime minister, his chancellor and government secretary re-energized efforts to adapt an Ontario policy management model, which endures today. The results, in terms of pace and scope of reform, were impressive. But did they make a difference? In the absence of useful public benchmarks from oecd governments, the project collaborated with the World Bank to develop its own set of indicators for each stage of the policy process. Two surveys, conducted in 2000 and 2002, revealed a dramatic turnaround, underscoring how major change can be quickly implemented when supported by determined leadership. This article reviews the project, the survey methodology and results. Given the centrality of Ontario to Lithuania's reform, the article concludes with a cursory exploration of whether the province applies its own best practices. The answer, not surprisingly, is that it does so, sometimes. Sommaire: Les efforts déployés par la Lituanie pour se joindre à l'Union européenne s'affaiblirent à la fin des années 1990. Un système moribond de gestion des politiques offrait peu d'espoir d'un revirement rapide. Pour mettre fin à l'impasse, le Premier ministre de la Lituanie a négocié un projet unique financé par lacdi pour moder-niser leur système de prise de décision, en établissant un partenariat avec la Fonction publique de l'Ontario et l'Institut d'administration publique du Canada. Même si ce projet fut lent à démarrer, un leadership inspiré par le nouveau Premier ministre litu-anien, son chancelier et secrétaire d'État relança les efforts pour adapter un modèle ontarien de gestion des politiques, qui se trouve toujours en place aujourd'hui. Les resultats, en termes de rapidité et de portée de la réforme, furent impressionnants. Mais ont-ils changé quelque chose? En l'absence de points de repère publics utiles de la part des gouvernements de locde, le projet a collaboré avec la Banque mondiale au développement de ses propres indicateurs pour chaque étape du processus de politique. Deux enquêtes, menées en 2000 et 2002, ont révélé un redressement remar-quable, soulignant comment un changement majeur peut être rapidement mis en ceuvre lorsqu'il a I'appui d'un leadership déterminé. Cet article passe en revue le projet, la méthodologie et les résultats des enquêtes. Étant donné la grande importance de l'Ontario dans la réforme de la Lituanie, en conclusion, l'article examine brièvement si la province applique elle-même ses meilleures pratiques. La réponse, qui n'est pas surprenante, est que oui, elle les applique,Parfois. [source]


Litigation in Canadian referendum politics

CANADIAN PUBLIC ADMINISTRATION/ADMINISTRATION PUBLIQUE DU CANADA, Issue 3 2003
Gregory Tardi
The Canada-wide referendum on the Charlottetown Constitutional Accord in 1992, the Quebec sovereignty referendum in 1995, and the British Columbia referendum on aboriginal treaty negotiations in 2002 are the most interesting and the most significant examples. The core issue in each case was determining the political direction a government or a jurisdiction should follow. In each of these instances, interested citizens representing a segment of public opinion sought court injunctions to stop the vote. The focus of this article is the use of the courts on the political process. In each of the three cases, the applications for injunction were denied and the referendum proceeded. Nevertheless, the legal proceedings highlighted the increasing impact of law in politics under the Charter, as well as the greater willingness of political actors to use litigation to achieve political goals. These trends point out lessons for democracy that public administrators ought not ignore. Sommaire: Au cows de la demière dénnie, divers governments au Canada ont organisé des référendums pour déterminer leurs options concemant des questions faisant l'objet de séneuses controversies. Le référendum Canadian de 1992 sur l Accord constitutional de Charlottetown, le référendum de 1995 sur la souverainets du Québec et le refbrendurn qui s'est tenu en 2002 en Colombie-Britan-nique sur les négociations des droits issus de traités des Autochtones sont les référendums les plus intéressants et les plus marquants. Dans chaque cas, le point essential consistait à determiner l'orientation politique que le gouvemement ou une juridiction devrait adopter. Dans chacun de ces examples, des citoyens concernés représentant un segment de l'opinion publique ont tenté d'empêcher la tenue du vote en solicitant des injunctions auprès des tribunaux. Le present article porte sur le recours à des moyens légaux pour influer sur le processus politique. Dans chacun des trois cas, les demandes d'injonctions ont été refusées et le réféerendum a eu lieu. Néanmoins, les actions en justice ont souligné l'impact grandissant du juridique dam le domaine des politiques, sous l'influence de la Charte, et une plus grande acceptance de la part des responsables politiques à recourir à des litiges pour atteindre des objectifs politiques. Ces tendances soulignent pour la démocratie des leçons que les administrateurs publics ne devraient pas ignorer. [source]