Croissance

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    Directions in Rural Development Policy , Lessons from Both Sides of the Atlantic Richtlinien für die ländliche Entwicklungspolitik , Beispiele von diesseits und jenseits des Atlantiks Les orientations de la politique de développement rural , Enseignements en provenance des deux côtés de l'Atlantique

    EUROCHOICES, Issue 1 2008
    David Blandford
    Directions in Rural Development Policy , Lessons from Both Sides of the Atlantic A workshop comparing rural development policies in Europe and the US found differences in the social values that shape them. These include different attachments to place, concerns with lagging regions, and interests in the assessment of public interventions. There is also a difference in coverage. In the EU environmental and landscape issues form part of the CAP's Rural Development Pillar, using agriculture as an instrument, whereas in the US these are handled by other policies, some of which can claim deeper historical roots. In the context of rural development policy, the EU attaches intrinsic value to the environment, while in the US the focus is more on economic spin-offs from environmental quality. There are also differences in governance; a complete US view requires taking in Federal, State and local initiatives whereas in the EU a more organised framework is apparent. Nevertheless, when policy is viewed from a bottom-up perspective many common features are found. Improving human and social capital and infrastructure are key factors to stimulating economic development on both sides of the Atlantic, though only some of these drivers form part of the CAP's Pillar II. While in the EU the role of rural development is set to expand, this is far less certain in the US where the emphasis on agricultural support is likely to continue to dominate the political agenda. Les orientations de la politique de développement rural , Enseignements en provenance des deux côtés de l'Atlantique Un atelier comparant les politiques de développement rural en Europe et aux États-Unis a mis en évidence des différences entre les valeurs sociales sur lesquelles sont fondées ces politiques. Ces différences concernent entre autre l'attachement à des lieux particuliers, l'inquiétude pour les régions en retard de croissance, et l'intérêt pour une évaluation des pouvoirs publics. Les différences portent aussi sur l'étendue de la question. Dans l'Union européenne, les questions portant sur le paysage et l'environnement sont abordées dans le cadre du pilier de la PAC sur le développement rural, qui porte sur l'agriculture comme instrument du développement rural, alors qu'aux États-Unis, ces questions sont traitées par d'autres politiques dont certaines remontent à loin. Dans le contexte de la politique de développement rural, l'Union européenne attache une valeur intrinsèque à l'environnement tandis qu'aux États-Unis, l'accent est mis plutôt sur les retombées économiques d'un environnement de qualité. Les différences portent également sur la gouvernance : pour avoir une vue d'ensemble sur les États-Unis, il faut considérer les actions aux niveaux fédéral, des États et du local alors que dans l'Union européenne, un cadre plus organisé est apparent. Cependant, dans le cas de politiques partant de la base (bottom-up), de nombreux points communs existent. L'amélioration du capital social et humain, et celle des infrastructures sont des éléments clés pour stimuler le développement économique des deux côtés de l'Atlantique, même si seuls quelques uns de ces facteurs sont compris dans le deuxième pilier de la PAC. Alors que le rôle du développement rural devrait s'étendre dans l'Union européenne, c'est beaucoup moins certain aux États-Unis où l'accent sur le soutien à l'agriculture continuera probablement à dominer l'ordre du jour de la politique. Richtlinien für die ländliche Entwicklungspolitik , Beispiele von diesseits und jenseits des Atlantiks Im Rahmen eines Workshops wurden europäische und US-amerikanische Politikmaßnahmen zur Entwicklung des ländlichen Raums miteinander verglichen. Die Ergebnisse zeigen, dass sich die gesellschaftlichen Werte für die Ausgestaltung der Politikmaßnahmen im Hinblick auf Ortsverbundenheit, die Belange der rückständigen Regionen und das Interesse bei der Bewertung öffentlicher Interventionen unterscheiden. Die jeweiligen Geltungsbereiche unterscheiden sich ebenfalls. In der EU bilden Fragestellungen in Bezug auf Umwelt und landschaftliche Gestaltung einen Teil der zweiten Säule der GAP (Entwicklung des ländlichen Raums), und die Landwirtschaft ist dabei ein Mittel zum Zweck. In den USA hingegen werden diese Fragestellungen durch andere Politikmaßnahmen abgedeckt, von denen einige über längere historische Wurzeln verfügen. Im Rahmen der Politik zur Entwicklung des ländlichen Raums misst die EU der Umwelt intrinsischen Wert bei, während sich die USA mehr auf aus der Umweltqualität resultierende wirtschaftliche Nebeneffekte konzentriert. Im Hinblick auf die Governance sind ebenfalls Unterschiede vorhanden: Während es im Falle der USA erforderlich ist, in einer Gesamtbetrachtung die Initiativen auf staatlicher, bundesstaatlicher und kommunaler Ebene zu berücksichtigen, lassen die Rahmenbedingungen in Europa ein höheres Maß an Organisation erkennen. Wird die Politik jedoch aus einer Bottom-up-Perspektive heraus betrachtet, können zahlreiche Gemeinsamkeiten gefunden werden. Bei der Verbesserung des Human- und Sozialkapitals und der Infrastruktur handelt es sich um Schlüsselfaktoren für die Ankurbelung der wirtschaftlichen Entwicklung diesseits und jenseits des Atlantiks, wenngleich nur einige dieser Triebfedern die zweite Säule der GAP ausmachen. Während die Entwicklung des ländlichen Raums in der EU eine immer größere Rolle spielen wird, ist dies in den USA längst nicht sicher; dort wird der Schwerpunkt auf die Agrarstützung wahrscheinlich weiterhin die politische Agenda dominieren. [source]


    Aid to Agriculture, Growth and Poverty Reduction

    EUROCHOICES, Issue 1 2006
    Peter Hazell
    Agriculture and rural growth promotion show a recent ,comeback' in development cooperation, but action on the ground so far is not sufficient. After years of neglect, policy makers have recognized that poverty reduction in many low income countries can only be achieved if development efforts are clearly focused on the sector which employs most of the poor, and the space where most of the poor live. The importance of agricultural growth was amply demonstrated during the economic transformation of Asia. Forty years ago, Asia was a continent of widespread poverty. Today, most Asian countries are experiencing significant growth and poverty reduction. Rapid growth in productivity in the small-farm sector helped drive this process. Sub-Saharan Africa, however, failed to achieve rapid agricultural growth and remains mired in poverty and hunger. If Africa is to halve poverty by 2015 in accordance with the Millennium Development Goals (MDG), agriculture will need to maintain an annual growth rate of 6 per cent between 2000 and 2015. China's experience from 1978 to 1984 shows such growth is possible. Achieving the desired rapid rates of growth in Africa will require coherent policies by governments and donors, a substantial investment of public resources in rural infrastructure and access to agricultural technology, and significant improvement in national governance. Dans les milieux de la coopération et de l'aide au développement, même si les actions sur le terrain sont encore insuffisantes, on assiste depuis peu au retour en scène de l'agriculture et du monde rural. Après s'en être désintéressés pendant des années, les décideurs politiques finissent par admettre que, dans beaucoup de pays a faible revenu, il ne sera pas possible de réduire la pauvreté sans focaliser les efforts de développement sur les secteurs qui emploient le plus de pauvres et les zones dans lesquelles ils vivent pour la plupart. Les transformations économiques de l'Asie montrent bien l'importance de la croissance agricole. Il y a quarante ans, l'Asie étaient le continent de la pauvreté généralisée. Aujourd'hui, la plupart des pays d'Asie connaissent une croissance très significative et la pauvreté s'y réduit. L'augmentation de la productivité dans le secteur des petites exploitations a contribuéà la mise en ,uvre de ce processus. L'Afrique sub-saharienne, au contraire, n'a pas réussi à développer une croissance agricole rapide, ce qui la fait s'embourber dans la faim et la pauvreté. Si l'Afrique doit réduire de moitié la pauvreté d'ici 2015 comme l'y invitent les objectifs millénaires du développement (MDG), il faudra y maintenir un taux de croissance annuel de 6% pour l'agriculture entre 2000 et 2015. L'expérience de la Chine entre 1978 et 1984 montre que c'est possible. Mais pour obtenir en Afrique le taux de croissance élevé qui est souhaité, il faudra de la cohérence dans les politiques entre les gouvernements et des donneurs, un investissement public substantiel dans les infrastructures rurales et les moyens d'accès aux techniques modernes, enfin, des modes de gestion publique significativement améliorés Die Förderung der Landwirtschaft und des Wachstums im ländlichen Raum erfreut sich seit kurzem erneuter Beliebtheit in der Entwicklungszusammenar beit; die bisher ergriffenen Maßnahmen sind jedoch noch nicht ausreichend. Nachdem dieses Thema jahrelang vernachlässigt wurde, haben die Politikakteure festgestellt, dass die Armutsbekämpfung in zahlreichen Ländern mit geringem Einkommen nur dann erfolgreich durchgeführt werden kann, wenn die Bemühungen zur Entwicklung deutlich auf den Sektor ausgerichtet werden, in welchem die meisten Armen beschäftigt sind, und auf die Räume, in welchen die meisten Armen leben. Bei der wirtschaftlichen Transformation in Asien wurde sehr deutlich, wie wichtig das landwirtschaftliche Wachstum ist. Vor 40 Jahren war Armut in Asien weit verbreitet. Heute zeichnen die meisten asiatischen Länder durch signifikantes Wachstum und durch Armutsverringerung aus. Ein schneller Anstieg der Produktivität bei den kleineren landwirtschaftlichen Betrieben half dabei, diese Entwicklung voran zu treiben. In den afrikanischen Ländern unterhalb der Sahara (Sub-Sahara-Afrika) konnte schnelles landwirtschaftliches Wachstum jedoch nicht erreicht werden, dort dominieren weiterhin Armut und Hunger. Wenn Afrika gemäß der Millenniumsentwicklungsziele (Millennium Development Goals, MDG) die Armut bis zum Jahr 2015 halbieren soll, muss die Landwirtschaft eine jährliche Wachstumsrate von sechs Prozent zwischen den Jahren 2000 und 2015 aufrecht erhalten. Die Erfahrungen aus China aus den Jahren 1978 bis 1984 belegen, dass ein solches Wachstum möglich ist. Damit die gewünschten hohen Wachstumsraten in Afrika erzielt werden können, sind kohärente Politikmaßnahmen seitens der Regierungen und der Geldgeber, erhebliche Investitionen von öffentlichen Ressourcen in die ländliche Infrastruktur und in den Zugang zur Agrartechnologie sowie eine signifikante Verbesserung der nationalen Governance erforderlich. [source]


    The Contribution of Bioenergy to a New Energy Paradigm

    EUROCHOICES, Issue 3 2005
    Daniel De La Torre Ugarte
    Biomass is a widely available resource that is receiving increased consideration as a renewable substitute for fossil fuels. Developed sustainably and used efficiently, it can induce growth in developing countries, reduce oil demand, and address environmental problems. The potential benefits include: reduction of greenhouse gases, recuperation of soil productivity and degraded land, economic benefits from adding value to agricultural activities and improving access to and quality of energy services. The production of bioenergy involves a range of technologies, including solid combustion, gasification, and fermentation. These technologies produce energy from a diverse set of biological resources - traditional crops, crop residues, energy-dedicated crops, dung, and the organic component of urban waste. The results are bioenergy products that provide multiple energy services: cooking fuel, heat, electricity and transportation fuels. It is this very diversity that holds the potential of a win-win-win for the environment, social and economic development. Bioenergy has to be viewed not as a replacement for oil, but as an element of a portfolio of renewable sources of energy. Coherent and mutually supportive environmental and economic policies may be needed to encourage the emergence of a globally dispersed bioenergy industry that will pursue a path of sustainable development. La biomasse est une resource largement répandue, qui commence à retenir l'attention comme substitut renouvelable aux énergies fossiles. En l'utilisant de façon efficace et durable, on peut accélérer la croissance des pays en voie de développement, réduire la demandepour le pétrole et résoudre certains problèmes d'environnement. Au nombre des bénéfices potentiels il faut mettre : la réduction des émissions de gaz à effet de serre, la reconstitution de la fertilité dessols et des terres dégradées, les avantages économiques liés à l'accroissement de la production agricole et à l'amélioration des services énergétiques, tant en qualité qu'en accessibilité. La production de bioénergie met en oeuvre un large éventail de techniques parmi lesquelles la combustionde produits solides, la gazéification et la fermentation. Elles produisent de l'énergie à partir d'une grande variété de sources biologiques : cultures traditionnelles, résidus de cultures, cultures spécialisées, fumiers et déchets organiques urbains. Les produits bio-énergétiques qui en résultent couvrent une grande variété d'usages : énergie de cuisson, chauffage, électricité et transports. C'est précisément sur cette diversité que repose l'espoir de gains dans toutes les directions, sociales, environnementales et économiques. Il ne faut pas voir la bioénergie comme un simple substitut au pétrole, mais comme un portefeuille de ressources renouvelables. Pour encourager l'émergence d'une industrie bioénergétique largement répandue et susceptible de contribuer au développement durable, il faudra sans doute élaborer des politiques économiques et environnementales cohérentes, capables de se soutenir mutuellement. Bei Biomasse handelt es sich umeine weithin verfügbare Ressource, welche zunehmend als erneuerbarer Ersatz für fossile Brennstoffe in Betracht gezogen wird. Sie kann bei nachhaltiger Entwicklung und effizienter Nutzung zu Wachstum in den Entwicklungsländern führen, die Nachfrage nach Öl senken und dazu beitragen, die Umweltprobleme in den Griff zu bekommen. Zu den potenziellen Nutzen gehÖren: Verringerung der Treibhausgase, Wiederherstellung von Bodenproduktivität sowie von erodiertem Land, wirtschaftlicher Nutzen durch zusätzliche Wertschöpfung aus landwirtschaftlicher Aktivität und besserer Zugang zu und Qualität in der Energieversorgung. Bei der Erzeugungvon Bioenergie kommen eine Reihe von verschiedenen Technologien zur Anwendung, z.B. Verbrennung fester Brennstoffe, Vergasung sowie Gärung. Diese Technologien erzeugen Energie mittels unterschiedlicher biologischer Ressourcen , traditionelle Feldfrüchte und deren Rückstände, spezielle Energiepflanzen, Mist sowie der organische Anteil städtischer Abfälle. Die daraus erzeugte Bioenergie kann zum Kochen, zum Heizen, als Elektrizität oder als Treibstoff genutzt werden. Gerade in dieser Vielfalt liegt der potenzielle Gewinn für die Umwelt und die soziale sowie die wirtschaftliche Entwicklung. Bioenergie sollte nicht als ein Ersatz für Öl, sondern als Bestandteil des Portfolios erneuerbarer Energiequellen angesehen werden. Kohärente und sich gegenseitig unterstützende ökologische und Ökonomische Politikmaßnahmen könntenerforderlich sein, um die Entstehung einer global verbreiteten Bioenergieindustrie zu begünstigen, welche eine nachhaltige Entwicklung verfolgt. [source]


    Reaction of Armillaria ostoyae to forest soil microfungi

    FOREST PATHOLOGY, Issue 3 2004
    H. Kwa
    Summary Fungi isolated from the oak (Quercus robur) rhizosphere were tested for their effects on rhizomorph formation and growth of 16 isolates of Armillaria ostoyae sampled in three localities in western Poland. The number of rhizomorphs, number of rhizomorph apices, and rhizomorph length and weight increased most in the presence of Penicillium lanosum, Penicillium notatum, Cylindrocarpon destructans, Penicillium spinulosum and Mycelium radicis atrovirens , and, to a lesser extent, in the presence of Nectria grammicospora. Inhibition of rhizomorph formation was caused by Trichoderma hamatum and Trichoderma viride in two A. ostoyae isolates and by M. radicis atrovirens , and P. spinulosum in one A. ostoyae isolate. It is suggested that variation in sensitivity to microbial stimulation within A. ostoyae is associated with the environmental and nutritional conditions of its original habitat. Isolates from nutrition-rich localities, with 20% of the land area covered by deciduous trees, were particularly susceptible to stimulation by rhizosphere fungi. Résumé Les champignons isolés de la rhizosphère de chêne (Quercus robur) ont été testés pour leurs effets sur la formation et la croissance des rhizomorphes de 16 isolats d'Armillaria ostoyae provenant de 3 localités de Pologne occidentale. L'augmentation du nombre de rhizomorphes et d'apex de rhizomorphes, de la longueur et du poids des rhizomorphes a été la plus importante en présence de Penicillium lanosum, Penicillium notatum, Cylindrocarpon destructans, Penicillium spinulosum et Mycelium radicis atrovirens, et, à un moindre degré, en présence de Nectria grammicospora. Trichoderma hamatum et Trichoderma viride ont inhibé la formation de rhizomorphes chez deux isolats d'A. ostoyae et M. radicis atrovirens, et P. spinulosum chez un isolat. Nos résultats suggèrent que la variation de sensibilitéà la stimulation microbienne entre isolats d'A. ostoyae est associée aux conditions environnementales et nutritionnelles de leurs habitats d'origine. Les isolats provenant de localités riches sur le plan nutritif, avec 20% de la surface couverte par des essences feuillues, sont particulièrement sensibles à la stimulation par des champignons de la rhizosphère. Zusammenfassung Verschiedene Rhizosphärenpilze von Quercus robur wurden auf ihre Wirkung auf die Bildung und das Wachstum der Rhizomorphen von 16 A. ostoyae -Isolaten getestet, die aus drei Gebieten in Westpolen stammten. Penicillium lanosum, P. notatum, Cylindrocarpon destructans, Penicillium spinulosum und Mycelium radicis atrovirens , erhöhten sowohl die Anzahl der Rhizomorphen und der Rhizomorphenspitzen als auch die Länge und das Gewicht der Rhizomorphen am deutlichsten. Nectria grammicospora war weniger wirksam. Trichoderma hamatum und T. viride hemmten die Rhizomorphenbildung bei zwei Isolaten von A. ostoyae, M. radicis atrovirens , und P. spinulosum hatten diesen Effekt bei einem Isolat. Aus den Daten ergibt sich, dass die unterschiedliche Empfindlichkeit der verschiedenen Isolate von A. ostoyae auf die mikrobielle Stimulation mit den Umweltbedingungen am Herkunftsort zusammenhängen könnte. Isolate von nährstoffreichen Standorten, wo 20% der Fläche mit Laubgehölzen bestockt waren, reagierten besonders deutlich auf die Präsenz von Rhizosphärenpilzen. [source]


    Biomass, nutrient and pigment content of beech (Fagus sylvatica) saplings infected with Phytophthora citricola, P. cambivora, P. pseudosyringae and P. undulata

    FOREST PATHOLOGY, Issue 2 2004
    F. Fleischmann
    Summary Fagus sylvatica saplings were infected with Phytophthora citricola, Phytophthora cambivora, Phytophthora pseudosyringae and Phytophthora undulata to study the influence of these root pathogens on total belowground and aboveground biomass, on the nutrient distribution within plants, on the concentration of plastid pigments, including tocopherol and on components of the xanthophyll cycle. Phytophthora citricola and P. cambivora infection significantly reduced total biomass of beech when compared with control plants and finally most of these plants died at the end of the experiment. However, beech invaded by the other two Phytophthora spp. did not differ from control plants and none of them was killed. Fine root length as well as the number of root tips of all infected beeches were reduced between 30 and 50%. The excellent growth of beech infected with P. pseudosyringae and P. undulata when compared with control plants was correlated with a strong increase of important root efficiency parameters. Phytophthora citricola and P. cambivora caused a significant reduction in nitrogen concentration of leaves in comparison with control and other infected plants, whereas this nutrient was slightly increased in fine and coarse roots. Furthermore, the phosphorus and potassium concentrations in leaves were impaired after infection with P. citricola. However, foliar concentrations of Ca and Mg were not affected by the different Phytophthora spp., whereas fine and coarse roots were significantly enriched with Ca in beech infected with P. citricola or P. cambivora. The concentrations of , -tocopherol and xanthophyll cycle pigments were increased in plants infected by P. citricola and P. cambivora, indicating that several reactive oxygen species might be formed in leaves during infection. Résumé Des plants de Fagus sylvatica ont été infectés par Phytophthora citricola, Phytophthora cambivora, Phytophthora pseudosyringae et Phytophthora undulata pour étudier l'effet de ces pathogènes racinaires sur la biomasse totale aérienne et racinaire, la distribution des éléments minéraux dans les plantes et la concentration en pigments des plastes, tocophérol et composants du cycle des xanthophylles. L'infection par P. citricola et P. cambivora a entraîné une réduction significative de la biomasse totale par rapport aux plantes témoins et la plupart des plants infectés sont morts au cours de l'expérience. Par contre, les hêtres infectés par les deux autres espèces de Phytophthora ne différent pas des témoins et aucune mortalité n'a été observée. Chez tous les hêtres infectés, une réduction de 30 à 50% de la longueur de racines fines et du nombre d'extrémités racinaires a été observée. La très bonne croissance des plants infectés par P. pseudosyringae et P. undulata par rapport aux témoins est associée à une forte augmentation de paramètres importants d'efficience racinaire. P. citricola et P. cambivora ont causé une réduction significative de la concentration foliaire en azote par rapport aux plantes témoins et aux autres plantes infectées, alors que la concentration était légèrement augmentée dans les fines et grosses racines. De plus, la concentration foliaire en phosphore et potassium a été altérée après infection par P. citricola. Les concentrations foliaires en Ca et Mg n'ont pas été affectées par les différentes espèces de Phytophthora, les fines et grosses racines étant significativement enrichies en Ca chez les plants infectés par P. citricola ou P. cambivora. La concentration en , -tocophérol et pigments du cycle des xanthophylles a augmenté dans les plants infectés par P. citricola et P. cambivora, suggérant la formation de plusieurs espèces actives de l'oxygène dans les feuilles pendant l'infection. Zusammenfassung Buchensämlinge wurden mit Phytophthora citricola, Phytophthora cambivora, Phytophthora pseudosyringae und mit Phytophthora undulata infiziert, um den Einfluss dieser Wurzelpathogene auf die oberirdische und unterirdische Biomasse, auf die Nährstoffverteilung innerhalb verschiedener Pflanzenorgane, sowie auf die Gehalte unterschiedlicher Photosynthesepigmente und Komponenten des Xanthophyll- Zyklus studieren zu können. Die Infektion mit P. citricola und P. cambivora führte zu einer deutlich reduzierten Gesamtbiomasse und am Versuchsende waren die meisten Pflanzen abgestorben. Dagegen überlebten alle mit P. pseudosyringae oder P. undulata infizierten Buchen und sie zeigten keine Unterschiede in ihren Biomassen verglichen mit Kontrollpflanzen bzw. übertrafen diese sogar. Die Feinwurzellänge und die Anzahl ihrer Wurzelspitzen war bei allen Phytophthora infizierten Pflanzen zwischen 30 und 50% im Vergleich zu denen der Kontrollen reduziert. Das ausgezeichnete Wachstum der P. pseudosyringae und P. undulata infizierten Pflanzen ging mit stark gesteigerten Wurzeleffizienzparametern einher. Die P. citricola und P. cambivora Infektion führte zu reduzierten Stickstoffgehalten in den Blättern. Die Gehalte in den Wurzeln waren jedoch leicht erhöht. Zudem wurden reduzierte Gehalte an Phosphor und Kalium in den Blättern gemessen. Die Calcium und Magnesium- Konzentrationen der Blätter unterschieden sich nicht von denen der Kontrollen. Allerdings wurde eine Calcium-Anreicherung in den Fein- und Grobwurzeln infizierter Pflanzen gemessen. Weiterhin zeigten wir, dass die Konzentrationen von , -Tocopherol und Pigmenten des Xanthophyll-Zyklus in Blättern P. citricola und P. cambivora infizierter Pflanzen erhöht waren, was möglicherweise auf die Bildung reaktiver Sauerstoffspezies hindeutet. [source]


    The use of the green fluorescent protein as a biomarker for sapstain fungi

    FOREST PATHOLOGY, Issue 3 2002
    S. LEE
    To understand wood colonization by sapstain fungi and their potential biocontrol agents, it is necessary to differentiate these organisms directly on their natural substrates. In the present study the feasibility of transforming with the green fluorescent protein (GFP), the sapstain fungus Ophiostoma piceae and a potential biocontrol agent Cartapip®, an Ophiostoma piliferum albino strain was assessed. Transformants of the two fungal species were screened by polymerase chain reaction and Southern blot analyses. The GFP was expressed in spores, synnemata and mycelia of the transformants grown in artificial media or wood. The growth, pigmentation and wood colonization of the transformants were similar to that of the non-transformants, suggesting that the presence of the gfp gene had no negative effect on the biology of the transformants. Using fluorescence and confocal microscopy, the GFP-expressing fungi were easily differentiated from the wild-type strains and other fungal species in wood, even 4 months after inoculation. The results show that the use of the GFP system is feasible to monitor Ophiostoma fungi in wood. Utilisation de la protéine fluorescente verte (GFP) comme marqueur biologique des champignons de bleuissement du bois Pour comprendre la colonisation du bois par les champignons de bleuissement et par les agents de lutte biologique potentiels, il est nécessaire de distinguer ces organismes directement dans leur substrat naturel. Nous avons évalué la possibilité de transformation par la protéine fluorescente verte (GFP) du champignon de bleuissement Ophiostoma piceae et d'une souche albinos de Ophiostoma piliferum, agent de lutte biologique potentiel Cartapip®. Des transformants des deux espèces fongiques ont été triés par analyses PCR et Southern blot. La GFP a été exprimée dans les spores, les synnemas et le mycélium des transformants cultivés sur milieux artificiels et sur bois. Avec les transformants, la croissance, la pigmentation et la colonisation du bois étaient semblables à celles des non transformants, ce qui suggère que la présence du gène gfp n'a pas d'effet négatif sur la biologie des transformants. Par microscopie confocale à fluorescence, les champignons exprimant la GFP ont été facilement distingués des souches de type sauvage et d'autres espèces fongiques dans le bois, même 4 mois après inoculation. Nos résultats montrent que l'utilisation de la GFP est possible pour suivre les Ophiostoma dans le bois. Verwendung des Grünen Fluoreszenzproteins als Biomarker für Bläuepilze Um die Besiedelung von Holz durch Bläuepilze und ihre möglichen Antagonisten zu verstehen, muss man diese Organismen direkt auf ihrem natürlichen Substrat unterscheiden können. Es wurde überprüft, ob sich der Bläuepilze Ophiostoma piceae und der mögliche Antagonist Cartapip®, ein Albinostamm von Ophiostoma piliferum, mit dem Grünen Fluoreszenzprotein (GFP) transformieren lassen. Transformierte Stämme der beiden Pilzarten wurden mit PCR und Southern Blot Analysen untersucht. Das GFP wurde in Sporen, Synnemata und Myzelien der transformierten Stämme exprimiert. Dies war auf künstlichen Medien ebenso wie auf Holz der Fall. Wachstum, Pigmentierung und Holzbesiedelung waren bei den transformierten Stämmen ähnlich wie bei den nichttransformierten; somit dürfte die Präsenz des gfpGens keine negativen Auswirkungen auf die Biologie der transformierten Stämme haben. Mit Hilfe der Fluoreszenz- und Konfokal-Mikroskopie konnten die GFP exprimierenden Pilze leicht von den Wildtyp-Stämmen und anderen Pilzarten auf Holz unterschieden werden. Dies war auch noch vier Monate nach der Inokulation der Fall. Die Ergebnisse zeigen, dass das GFP-System zur Beobachtung von Ophiostoma -Arten im Holz geeignet ist. [source]


    Advances in sebaceous gland research: potential new approaches to acne management

    INTERNATIONAL JOURNAL OF COSMETIC SCIENCE, Issue 6 2004
    M. M. T. Downie
    Synopsis Sebaceous gland development and function is regulated by an expanding array of molecules including transcription factors, hormones, retinoids, growth factors, cytokines and nuclear hormone receptors. We have reviewed the literature to present the current understanding of sebaceous gland development and physiology, with particular emphasis on the control of the sebaceous gland and its implications for acne management. Interestingly, retinoids, cytokines and nuclear hormone receptors appear to be promising inhibitors of sebum synthesis, thus offering new approaches to acne management. Résumé Le développement et la fonction de la glande sébacée sont régulés par un grand nombre de molécules dont des facteurs de transcription, des hormones, des rétinoïdes, des facteurs de croissance, des cytokines et des récepteurs hormonaux nucléaires. Nous avons étudié la littérature pour présenter les dernières connaissances sur le développement et la physiologie de cet organe en insistant sur les facteurs les contrôlant et leurs implications sur le traitement de l'acné. De façon intéressante, des rétinoïdes, des cytokines, des récepteurs hormonaux nucléaires se montrent des inhibiteurs de synthèse du sébum prometteurs offrant de nouvelles approches pour le traitement de l'acné. [source]


    OECD Efforts to Address the Measurement and Policy Challenges Posed by the Information Society

    INTERNATIONAL STATISTICAL REVIEW, Issue 1 2003
    Andrew W. Wyckoff
    Summary The OECD has acted as a forum for the discussion of policies regarding the information society for over 20-years, producing guidelines and recommendations in areas such as privacy of personal information, computer security, cryptography, regulatory reform of communications, and most recently on-line consumer protection and the taxation of e-commerce. By and large, this work was undertaken without the benefit of statistical measures. But the economic performance of a number of OECD Member countries during the 1990s underscores that the policy challenges being posed by the information society are increasingly economic in nature,how ICT is affecting productivity, growth rates, inflation, labour markets etc.,necessitating the need for statistically rigorous data. This paper outlines how recent efforts by national statistical offices to improve this situation have allowed researchers to gain new insight into the economic impact associated with ICTs and applications like e-commerce, leading to a number of policy recommendations as to how best to exploit the economic potential of these technologies. The paper ends by outlining important policy issues that require new statistical efforts. Résumé L'OCDE offre aux gouvernements depuis plus de 20 ans un cadre de discussion sur les questions liées à la société de l'Information et propose des lignes directrices ainsi que des recommandations sur des sujets tels que la vie privée et l'informatique, la sécurité informatique, la cryptographie, la réforme réglementaire en matière de communications et, plus récemment, la protection des consommateurs en-ligne et la fiscalité en matière de commerce électronique. Jusqu'ici, ce travail a été plus ou moins accompli sans le bénéfice d'études statistiques approfondies. Cependant, à en juger des performances économiques d'un certain nombre de pays membres de l'OCDE au cours des années 90, il est évident que les problèmes auxquels est confrontée la société de l'Information ont un caractère de plus en plus économique,l'impact des technologies de l'information et des communications sur la productivité, les taux de croissance, l'inflation, le marché de l'emploi, etc.,et nécessitent des statistiques fiables. Le présent document explique comment les offices nationaux des statistiques ont contribué par leurs efforts à améliorer la situation en donnant aux chercheurs les moyens de mieux comprendre l'impact des technologies de l'information et des communications (TIC), notamment du commerce électronique, sur l'économie. Enfin, ce travail a abouti à un certain nombre de recommandations sur la meilleure façon pour les pouvoirs publics d'exploiter le potentiel économique de ces technologies. La dernière partie du document met en exergue des problèmes importants liés à la politique économique qui nécessitent de nouveaux efforts en matière de statistiques. [source]


    Estimating the effectiveness of a rotational irrigation delivery system: A case study from Pakistan,

    IRRIGATION AND DRAINAGE, Issue 3 2010
    Noor ul Hassan Zardari
    warabandi; allocation de l'eau; bassin de l'Indus; Pakistan Abstract In this study, basic principles of the rotational irrigation water delivery system of Pakistan (i.e. the warabandi) and the performance of the warabandi system under current socio-economic conditions have been investigated from a farmers' survey completed from 154 farmers located on five watercourses of the lower Indus River Basin. It is shown that irrigation water allocation based on very limited criteria does not give much incentive to the farmers for improving agricultural income. Also, the survey results suggest that the productivity of limited irrigation water could not be maximized under the warabandi system. We have therefore suggested the basic principles of the warabandi system should be revised by making them suitable for the current socio-economic conditions. We propose that the existence or non-existence of fresh groundwater resources along with other critical variables should be taken into consideration when making canal water allocation decisions. A framework to allow distribution equity and efficiency in water allocations , such as considering the gross area of a tertiary canal, sensitivity of crop growth stage to water shortage, crop value, bias of allocation towards most water use efficient areas, the potential losses from water deficiency, etc. , should be developed as a tool to improve water productivity for Pakistan and for individual farmers. The contribution of groundwater in the farmers' income from agriculture and the economic value of irrigation water have also been estimated. Copyright © 2009 John Wiley & Sons, Ltd. Cette étude analyse les principes de base et la performance du tour d'eau (le warabandi) selon les conditions socio-économiques à partir d'une enquête auprès de 154 agriculteurs situés sur cinq cours d'eau du bassin inférieur de l'Indus. Il est montré que la répartition de l'eau d'irrigation basée sur peu de critères n'incite pas les agriculteurs à améliorer leurs revenus. En outre, les résultats de l'enquête suggèrent que la productivité de l'eau rare ne peut pas être améliorée dans le cadre du système warabandi. Nous avons donc proposé que les principes de base du warabandi soient révisés de façon à les adapter à la situation socio-économique actuelle. Nous proposons que la disponibilité en eaux souterraines ainsi que d'autres variables soient prises en compte dans les décisions d'allocation. Un cadre permettant une allocation de l'eau équitable et efficace , prenant en compte la surface brute commandée par un canal tertiaire, la sensibilité de la croissance des cultures au moment de la pénurie d'eau, la valeur de la récolte, l'orientation vers les zones valorisant le mieux l'eau, les pertes dues au déficit en eau, etc. , devrait être développé comme un outil pour améliorer la productivité de l'eau pour le Pakistan et pour les agriculteurs. La contribution des eaux souterraines au revenu des irrigants et la valeur économique de l'eau ont également été estimées. Copyright © 2009 John Wiley & Sons, Ltd. [source]


    Drainage and salinity assessment in the Huinong Canal Irrigation District, Ningxia, China,

    IRRIGATION AND DRAINAGE, Issue 2 2005
    Peter Hollanders
    irrigation; drainage; salinisation; développement durable Abstract In the Huinong Canal Irrigation District, Ningxia, China, annually almost half of the amount of irrigation water, which is supplied from the Yellow River, is drained back to the river through an open drainage system. Waterlogging and salinization occur in parts of the irrigated area and part of the water drains to the surrounding desert. While 85,90% of inflow to the area is irrigation water there are good possibilities for water saving. To analyse water movement at field level and resulting drainage needs, from autumn 1998 until spring 2001 observations were made in two experimental areas: Pingluo and Huinong. The data were used for the calibration and validation of three computer models: SWAP, MODFLOW and DUFLOW. Different scenarios of water and salt behaviour in the unsaturated and saturated zone were simulated, as well as the flow through one of the main drains. The effects of various irrigation amounts and groundwater tables on crop growth, percolation and drainage needs were analysed. The present average irrigation water application during the growing season is 630,mm. On average 15% of the supplied water (665 million m3,yr,1) remains in the area. This is mainly irrigation water that was not used by the crops and did not reach the drainage system. It was found that an irrigation level of 75% of the present practice with a groundwater table of 1.0,m below the surface during the growing season gave the best results. Under such a practice the soil salinity will fluctuate around 3,3.5,dS,m,1, resulting in a good growth of wheat and a yield reduction for maize of about 20%. When adequate amounts of irrigation water are supplied in combination with local drainage improvements, the areas with middle and low-yielding crops can be reduced, as well as the area of wasteland. Copyright © 2005 John Wiley & Sons, Ltd. Annuellement presque la moitié de la quantité d'eau d'irrigation dans le district d'irrigation du canal Huinong, Ningxia, Chine, alimenté par la Rivière Jaune, est retournée à la rivière par un système de drainage à ciel ouvert. Des cas de saturation d'eau et de salinisation surgissent dans certaines parties de la zone irriguée et une partie de l'eau suinte vers le désert environnant. Comme 85,90% de l'entrée de l'eau dans la zone est de l'eau d'irrigation il y a de bonnes possibilités pour économiser de l'eau. Pour analyser la circulation de l'eau au niveau du champ et la nécessité de drainage des observations ont été effectuées pendant la période d'automne 1998 jusqu'au printemps 2001 dans deux zones expérimentales, Pingluo et Huinong. Les données rassemblées ont servi pour le calibrage et la validation de trois modèles informatiques: SWAP, MODFLOW et DUFLOW. Ces modèles ont été employés pour simuler plusieurs scénarios de comportement de l'eau et du sel dans la zone non saturée et dans la zone saturée tout comme l'écoulement par un des tuyaux d'écoulement principaux: le cinquième tuyau d'écoulement. L'effet de l'apport de différentes quantités d'eau d'irrigation, de différents niveaux de la nappe phréatique sur la croissance des cultures, la percolation et la nécessité de drainage a été analysé. L'actuel apport d'eau d'irrigation est de 630,mm en moyenne pendant la saison de croissance. Quinze pour cent en moyenne de l'eau fournie (665 millions m3/année) reste dans la zone, principalement de l'eau d'irrigation qui n'a pas servi aux cultures et qui n'a pas atteint le système de drainage. Un niveau d'irrigation représentant 75% des valeurs actuelles et une surface de la nappe phréatique de 1.0,m sous la surface donnent les meilleurs résultats pendant la saison de croissance. De tels apports entretiennent une salinisation du sol qui fluctuera entre environ 3 et 3.5,dS,m,1, donnant un bon résultat de la croissance du blé et une diminution du rendement pour le maïs d'environ 20%. Lorsque l'alimentation par des quantités adéquates d'eau d'irrigation sera assurée en combinaison avec des améliorations du drainage local, la zone donnant des récoltes moyennes et basses peut être réduite ainsi que les zones incultes. Copyright © 2005 John Wiley & Sons, Ltd. [source]


    Linear and non-linear optimization models for allocation of a limited water supply,

    IRRIGATION AND DRAINAGE, Issue 1 2004
    Bijan Ghahraman
    optimisation de l'irrigation; déficit d'irrigation; Iran Abstract One partial solution to the problem of ever-increasing demands on our water resources is optimal allocation of available water. A non-linear programming (NLP) optimization model with an integrated soil water balance was developed. This model is the advanced form of a previously developed one in which soil water balance was not included. The model also has the advantage of low computer run-time, as compared to commonly used dynamic programming (DP) models that suffer from dimensionality. The model can perform over different crop growth stages while taking into account an irrigation time interval in each stage. Therefore, the results are directly applicable to real-world conditions. However, the time trend of actual evapotranspiration (AET) for individual time intervals fluctuates more than that for growth-stage AETs. The proposed model was run for the Ardak area (45,km NW of the city of Mashhad, Iran) under a single cropping cultivation (corn) as well as a multiple cropping pattern (wheat, barley, corn, and sugar beet). The water balance equation was manipulated with net applied irrigation water to overcome the difficulty encountered with incorrect deep percolation. The outputs of the model, under the imposed seasonal irrigation water shortages, were compared with the results obtained from a simple NLP model. The differences between these two models (simple and integrated) became more significant as irrigation water shortage increased. Oversimplified assumptions in the previous simple model were the main causes of these differences. Copyright © 2004 John Wiley & Sons, Ltd. L'allocation optimale des ressources d'eau disponibles est une réponse partielle au problème de la demande sans cesse croissante de consommation d'eau. Un modèle d'optimisation à programmation non linéaire (NLP) qui intègre un bilan hydrique a été développé. Ce modèle est une version avancée d'un modéle précédent qui n'intégrait pas ce bilan hydrique. Il présente l'avantage de nécessiter moins de puissance informatique en comparaison des modèles à programmation dynamique (DP) généralement utilisés. Le modèle peut s'appliquer à différentes étapes de la croissance des cultures et prend en compte des fréquences d'irrigation variables. Ainsi, les résultats sont directement applicables aux conditions réelles. Le modèle proposé a été utilisé sur une seule culture (maïs) dans la région d'Ardak à 45,km nord-ouest de Mashad, Iran, et sur de multiples cultures (blé, orge, maïs, betterave sucrière). L'équation de bilan hydrique a été calibrée pour maîtriser les difficultés rencontrées avec des mesures d'infiltration incorrectes. Les résultats du modèle, dans le cadre de restrictions d'irrigation saisonnière imposées, ont été comparés avec ceux obtenus par un modèle simple NLP. Les différences entre ces deux modèles (simple et intégré) deviennent plus significatives à mesure que les restrictions d'irrigation augmentent. Les hypothèses trop simplistes du modèle simple sont la cause de ces différences. Copyright © 2004 John Wiley & Sons, Ltd. [source]


    Brackish water subirrigation for vegetables,

    IRRIGATION AND DRAINAGE, Issue 2 2003
    R. M. Patel
    eaux saumâtres; irrigation souterraine; poivron vert; pommes de terre Abstract As freshwater resources for irrigation are being depleted rapidly, recent emphasis has been on the development of nonconventional water sources: reuse of agricultural drainage water, use of industrial or municipal wastewater, and use of brackish water for irrigation. Experiments conducted in field lysimeters over three seasons sought to investigate the feasibility of using brackish water for growing moderately sensitive crops. Brackish waters, with salinity levels of 1, 5 and 9 dS m,1, were used. In 1993 the effects of a factorial combination of three subirrigation water salinity levels, two water table depths and four NPK fertilizer combinations on salt buildup in an initially nonsaline soil and on green pepper (Capsicum annuum L.) performance were assessed. A gradual increase in soil solution salinity (ECsw) from the water table to the soil surface was evident; however, throughout the growing season, the ECsw did not reach a level that could seriously damage the crop. There was no significant difference in pepper yields due to either salinity of subirrigation water or water table depth. In 1994, two potato (Solanum tuberosum L.) cultivars were grown in the soil, which was salinized with 3.5 dS m,1 water before planting tubers. The salt buildup pattern was similar to that observed in 1993; however, the ECsw levels were higher in 1994 due to the higher initial soil salinity. Moreover, a decrease in ECsw was observed near the water table in lysimeters subirrigated with 1 dS m,1 water. For both cultivars, no significant difference in tuber yield was observed due to either water table depth or subirrigation water salinity. In 1995, three potato cultivars were grown in a nonsaline soil as well as a soil presalinized with 2 dS m,1 water. In the topsoil layer, higher rate of increase in ECsw was observed in the saline soil compared to the nonsaline soil. No significant difference in total tuber yield was observed due to either the initial soil salinity levels or subirrigation water salinity levels. Brackish water with salinity levels of up to 9 dS m,1, when applied through subirrigation, could be used to successfully produce green peppers and potatoes under semiarid to arid conditions. Copyright © 2002 John Wiley & Sons, Ltd. RÉSUMÉ Comme les ressources en eau douce utilisées poor l'irrigation s'épuisent rapidement, les récentes recherches tentent de mettre l'emphase sur le développement de sources d'eau non-conventionnelles: la réutilisation de l'eau de drainage agricole, l'utilisation des eaux usées municipales et des eaux saumâtres pour l'irrigation des cultures. Lors de pénuries d'eau douce les eaux saumâtres ont été utilisées pour l'irrigation souterraine de maïs, mais la salinité de la couche supérieur du sol a été réduite en raison de la pluie. Dans les régions arides et semi-arides cette méthode s'est limitée à quelques essais seulement. En raison des quantités limitées d'eau de bonne qualité, on ne peut irriguer de vastes étendues agricoles en régions arides. Or, si l'utilisation des eaux saumâtres s'avérait un succès il serait possible d'améliorer les rendements agricoles. Il est donc nécessaire d'évaluer l'utilisation des eaux saumâtres dans les systèmes d'irrigation souterrains en milieu aride. Des expériences en lysimètres au cours de trois saisons, dans le but d'étudier la faisabilité d'utiliser des eaux saumâtres pour l'irrigation souterraine de cultures moyennement sensibles, furent entreprises en 1993 et 1994. Des eaux saumâtres avec des niveaux de salinité de 1, 5 et 9 dS m,1, furent utilisés. En 1993, les effets d'une combinaison factorielle de trois niveaux de salinité, deux profondeurs de nappe phréatique et quatre combinaisons de fertilisation NPK ont servi à évaluer l'accumulation de sel dans un sol initialement non-salin où le poivron vert (Capsicum annuum L.) a été cultivé. Une augmentation graduelle de la salinité de la solution du sol, de la nappe d'eau souterraine jusqu'à la surface, fut évidente. Bien que durant la saison de croissance, la conductivité électrique de la solution du sol (ECsw) n'ait pas atteint un niveau qui aurait pu endommager sérieusement la culture. Ni les différents niveaux de salinité ni la profondeur de la nappe d'eau souterraine n'ont affecté de façon significative les rendements de poivrons. En 1994, deux cultivars de pommes de terre (Solanum tuberosum L.) furent cultivés dans un sol rendu salin, après avoir été irrigué avec une eau d'un niveau de salinité de 3.5 dS m,1, préalablement à la plantation des tubercules. L'accumulation de sel suivit une tendance semblable à celle observée en 1993. Cependant, les niveaux de ECsw enregistrés en 1994 furent plus élevés en raison du taux de salinité initial plus élevé. De plus, une baisse de ECsw fut observée près de la nappe d'eau souterraine dans les lysimètres irrigués avec une eau d'un niveau de salinité de 1 dS m,1. Ni les différents niveaux de salinité ni la profondeur de la nappe d'eau souterraine n'ont affecté de façon significative le rendement de pommes de terre de chacun des cultivars. En 1995, trois cultivars de pommes de terre ont été cultivés dans un soil non salin ainsi que dans un sol rendu salin au moyen d'une eau avec une conductivité électrique de 2 dS m,1. Dans la couche supérieure du sol, un plus important taux d'augmentation de conductivité électrique a été observé dans le sol salin que dans le sol non salin. Il n'y a pas eu de différence significative observée en raison des taux initiaux de salinité ou encore en raison des taux de salinité de l'eau dans le système d'irrigation souterrain. Cette étude suggère que les eaux saumâtres d'un niveau de salinité jusqu'à 9 dS m,1 pourraient être utilisées dans les systèmes d'irrigation souterrains pour la culture du poivron vert et de la pomme de terre en régions semi-arides et arides. Copyright © 2002 John Wiley & Sons, Ltd. [source]


    Density dependence and population dynamics of black rhinos (Diceros bicornis michaeli) in Kenya's rhino sanctuaries

    AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 3 2010
    Benson Okita-Ouma
    Abstract Density-dependent feedback mechanisms provide insights into the population dynamics and interactions of large herbivores with their ecosystem. Sex ratio also has particularly important implications for growth rates of many large mammal populations through its influence on reproductive potential. Therefore, the interrelationships between density-dependent factors, comprising density, sex ratio and underlying growth rates (r) were examined for the Eastern black rhino (Diceros bicornis michaeli) living in three rhino sanctuaries in Kenya using four population models. The exponential and logistic models gave similar results and the former were accepted because they better portrayed the actual situation on the ground. Sex ratios in all sanctuary populations were positively correlated with r but interpreted with realization of other factors also affecting r. We caution that the results of population models should be interpreted alongside ground-truthed observations. We recommend that future translocation strategies should take into account sex and age structures of the donor population, while future studies of density dependence should take into account both biotic and abiotic factors. Résumé Des mécanismes de feedback de densité-dépendance chez les grands herbivores donnent un aperçu de la dynamique des populations et de l'interaction avec l'écosystème. Les sex-ratios ont aussi d'importantes implications pour la dynamique des populations de nombreux grands mammifères, spécialement par leur influence sur le potentiel reproducteur. On a étudié ces relations croisées entre les facteurs densité-dépendants du rhino noir de l'Est Diceros bicornis michaeli, le sex-ratio et le taux de croissance (r) sous-jacent dans trois sanctuaires de rhinos du Kenya en utilisant quatre modèles de population. Les modèles exponentiel et logistique donnaient des résultats similaires, les résultats du premier étant acceptés parce qu'ils représentaient la situation actuelle sur le terrain. Les sex-ratios de toutes les populations étaient positivement liés àr mais interprétés en réalisant que d'autres facteurs affectent aussi r. Nous attirons l'attention sur le fait que les résultats de la modélisation des populations doivent être interprétés tout en les confirmant par des observations sur le terrain; nous recommandons des stratégies de translocations qui prélèvent des individus dans les diverses structures de sexe et d'âge de la population d'origine; et nous suggérons que de futures études de densité-dépendance tiennent compte de facteurs biotiques et abiotiques. [source]


    Response of Faidherbia albida (Del.) A. Chev., Acacia nigrescens Oliver. and Acacia nilotica (L.) Willd ex Del. seedlings to simulated cotyledon and shoot herbivory in a semi-arid savanna in Zimbabwe

    AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 2 2010
    Sijabulile Dube
    Abstract Woody plant seedling establishment is constrained by herbivory in many semi-arid savannas. We clipped shoots and cotyledons of three woody species 5-day (=,early') or 28-day (= ,late') post-emergence to simulate herbivory. Seedlings had shoot apex, one or two cotyledon(s) removed, or were retained intact. Survival rates were ,80%, ,40% and ,20% for Acacia nilotica, Acacia nigrescens and Faidherbia albida respectively. F. albida mobilized stored cotyledon reserves faster and consequently shed the cotyledons earlier than the two Acacia species. Cotyledons were shed off as late as 70 days post-emergence with 5-day shedding earlier than 28-day and cotyledon life-span decreasing with intensity of defoliation. Shoot apex removal 28-day resulted in higher compensatory growth than 5-day in all three species. Cotyledon removal had no effect on shoot length, while shoot apex removal reduced shoot length. In F. albida root growth was stimulated by shoot apex removal. We conclude that potential tolerance to herbivory in terms of seedling survival was of the order A. nilotica > A. nigrescens > F. albida, timing of shoot apex and cotyledon removal influenced seedling growth in terms of biomass and that shoot apex removal stimulated compensatory growth which is critical to seedling survival. Résumé L'établissement de jeunes plants ligneux est contrarié par l'herbivorie dans de nombreuses savanes semi arides. Nous avons coupé les pousses et les cotylédons de trois espèces ligneuses à 5-j (= tôt) ou à 28 j (= tard) après leur émergence pour simuler l'herbivorie. On coupait l'apex de la tige et un ou deux cotylédons, ou on les laissait intacts. Le taux de survie était , 80%, , 40% et , 20% pour Acacia nilotica, Acacia nigrescensetFaidherbia albida respectivement. F. albida mobilisait plus rapidement les réserves stockées dans les cotylédons et par conséquent perdait les cotylédons plus tôt que les deux espèces d'acacia. Les cotylédons étaient perdus jusqu'à 70 jours après leur apparition, les 5-j les perdant plus tôt que les 28-j, et la durée de vie des cotylédons diminuait avec l'intensité de la défoliation. L'enlèvement des cotylédons n'avait pas d'effet sur la longueur de la pousse, tandis que celui de l'apex la réduisait. Chez F. albida, la croissance des racines était stimulée par l'enlèvement de l'apex. Nous concluons que la tolérance potentielle à l'herbivorie, en termes de survie des jeunes plants, suit cet ordre-ci : A. nilotica > A. nigrescens > F. albida; que le moment de l'enlèvement du bourgeon apical et des cotylédons influence la croissance des jeunes plants en termes de biomasse; et que l'enlèvement du bourgeon apical stimule une croissance compensatoire qui est critique pour la survie du jeune plant. [source]


    Age, growth and reproduction of Marcusenius pongolensis, Oreochromis mossambicus and Schilbe intermedius in an oligotrophic impoundment in Swaziland

    AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 2 2010
    Anthony J. Booth
    Abstract The age, growth and reproductive biology of Marcusenius pongolensis, Oreochromis mossambicus and Schilbe intermedius were investigated in the Mnjoli Dam, Swaziland. Otolith annulus formation occurred in winter for M. pongolensis, and in spring/summer for O. mossambicus and S. intermedius. Maximum ages of 8, 6 and 8 years were recorded for M. pongolensis, O. mossambicus and S. intermedius, respectively. Growth was described by the von Bertalanffy growth model as Lt = 238.73(1 , exp,0.27(t+2.27) mm fork length (FL) for M. pongolensis, Lt = 226.83(1 , exp,0.45(t+2.02)) mm total length (TL) for O. mossambicus, and Lt = 214.59(1 , exp,0.60(t+1.20)) mm FL for S. intermedius. Sexual maturity was estimated for male and female M. pongolensis at 134 mm FL and 119 mm FL, respectively. Marcusenius pongolensis matured within their first year. Female O. mossambicus and S. intermedius matured at 239 mm TL and 205 mm FL, corresponding to 2 and 4 years of age, respectively. Extended spawning periods, with two spawning peaks was observed for M. pongolensis, one in spring (September) and the second in autumn (March) and one peak over late-summer for S. intermedius. Résumé L'âge, la croissance et la biologie reproductive de Marcusenius pongolensis, Oreochromis mossambicus et Schilbe intermedius ont étéétudiés dans le barrage de Mnjoli, au Swaziland. La formation des anneaux des otolithes se passe en hiver pour M. pongolensis et au printemps/été pour O. mossambicus et S. intermedius. On a enregistré les âges maximum de 8, 6 et 8 ans respectivement pour Marcusenius pongolensis, Oreochromis mossambicus et Schilbe intermedius. La croissance a été décrite selon le modèle de croissance de von Bertalanffy selon la formule suivante: Lt = 238.73(1 , exp,0.27(t+2.27) mm LF pour M. pongolensis, Lt = 226.83(1 , exp,0.45(t+2.02)) mm LT pour O. mossambicus, et Lt = 214.59(1 , exp,0.60(t+1.20)) mm LF pour S. intermedius. On a estimé que la maturité sexuelle était atteinte à 134 LF et à 119 LF respectivement pour le mâle et la femelle de M. pongolensis, qui arrivaient à maturité au cours de leur première année. Les femelles d'O. mossambicus et de S. intermedius devenaient matures à 239 mm LT et 205 mm LF, ce qui correspond à l'âge de 2 et de 4 ans, respectivement. On a observé des périodes de frai prolongées, avec deux périodes de frai pour M. pongolensis, une au printemps (septembre) et la seconde en automne (mars), et un pic en fin d'été pour S. intermedius. [source]


    Wild coffee management and plant diversity in the montane rainforest of southwestern Ethiopia

    AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 1 2010
    Christine B. Schmitt
    Abstract Coffea arabica occurs naturally in the montane rainforests of Ethiopia, but large areas of these unique forests have been converted to other land-uses. In the remaining forest, wild coffee is managed and harvested with increasing intensity because of rising coffee prices in the world market. This study evaluated the impact of coffee management on wild coffee populations and the forest vegetation as a basis for conservation planning in southwestern Ethiopia. Vegetation surveys and yield assessments were carried out in unmanaged natural forest and in managed semi-forest coffee (SFC) systems. Analyses show that wild coffee density and coffee yields were low in natural forest (max. 15 kg ha,1 year,1). In SFC systems, 30% of the canopy trees and most undergrowth vegetation were removed. This stimulated wild coffee growth and strongly enhanced yields (max. 54 kg ha,1 year,1), but severely disturbed forest structure. Species richness increased by 26% because of an increase in species of ruderal and secondary vegetation; however, species richness and abundance of typical forest species declined. Conservation of the natural forest therefore requires the control of wild coffee management. Wild coffee certification is discussed as one tool to reconcile conservation measures and the interests of local farmers. Résumé Coffea arabica pousse naturellement dans les forêts pluviales de montagne en Ethiopie, mais de grandes superficies de ces forêts uniques ont été transformées pour d'autres usages. Dans la forêt restante, le café sauvage est géré et récolté de façon de plus en plus intense en raison de l'augmentation du prix du café au niveau mondial. Cette étude a évalué l'impact de la gestion des populations sauvages de café, ainsi que la végétation forestière, afin d'établir une base pour la planification de la conservation dans le sud-ouest de l'Ethiopie. Des études de végétation et des évaluations des récoltes ont été réalisées dans une forêt naturelle non gérée et dans des systèmes semi forestiers où les caféiers sont gérés. Les analyses révèlent que la densité des caféiers sauvages et les récoltes de café sont faibles dans la forêt naturelle (max 15 kg ha,1an,1). Dans les systèmes semi forestiers, 30% des arbres de la canopée et la plus grande partie de la végétation en sous-bois ont été enlevés. Cela stimule la croissance des caféiers et augmente fortement les récoltes (max 54 kg ha,1an,1), mais cela perturbe gravement la structure forestière. La richesse en espèces a augmenté de 26%à cause de l'augmentation des espèces dans la végétation rudérale et secondaire; cependant, la richesse et l'abondance des espèces typiquement forestières ont décliné. La conservation de la forêt naturelle exige dès lors le contrôle de la gestion du café sauvage. On discute de la certification du café sauvage comme moyen de réconcilier les mesures de conservation et les intérêts des fermiers locaux. [source]


    Effects of secondary tuber harvest on populations of devil's claw (Harpagophytum procumbens) in the Kalahari savannas of South Africa

    AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 1 2010
    Kristine M. Stewart
    Abstract Devil's claw (Harpagophytum procumbens) is an internationally traded species that is harvested for its secondary tubers. Root extracts are used to treat arthritis and other inflammatory diseases. This study examined population structure, density, growth, mortality, and seed and fruit production in harvested and unharvested populations in the Kalahari savannas of South Africa over 4 years. Plant density and population structure differed significantly between overgrazed and grass-dominated areas, suggesting that the differences may be due to competition for water and nutrients. Experimental removal of secondary tubers (harvest) was not a significant factor for mortality in any of the harvested size classes. Harvest also did not affect growth, although plants in the 3,4 cm size class grew more in both the harvested and unharvested populations. Fruit production was variable; fruits matured only after sufficient rains. Under the conditions of this study, the species appears to be resilient to harvest, with both harvested and unharvested plants surviving. After harvest, both groups recovered and grew (on average) at the same rate. Because of the spatially variable habitat and the plasticity of the plants themselves, a large number of plants over a wide area are required to better understand the species' life history. Résumé La griffe du diable Harpagophytum procumbens est une espèce qui est commercialisée à l'échelle internationale; on en récolte les tubercules poussant sur les racines secondaires. Les extraits de racines sont utilisés pour traiter l'arthrite et d'autres maladies inflammatoires. Cette étude examine la structure de sa population, sa densité, sa croissance, sa mortalité et sa production de semences et de fruits chez les populations récoltées ou non des savanes du Kalahari en Afrique du Sud, pendant quatre ans. La densité des plantes et la structure des populations différaient significativement entre les zones surpâturées et celles où les herbes dominaient, ce qui suggère que les différences pourraient être dues à la compétition pour l'eau et les nutriments. Le prélèvement expérimental des tubercules secondaires (récolte) n'était un facteur significatif de mortalité dans aucune des classes de taille récoltées. La récolte n'affectait pas non plus la croissance, même si les plants de la classe de taille des 3,4 cm croissaient plus chez les populations aussi bien récoltées que non récoltées. La production de fruits était variable; les fruits n'arrivaient à maturité qu'après des pluies suffisantes. Dans les conditions où fut réalisée cette étude, les espèces ont semblé résilientes à la récolte, les plants récoltés survivant aussi bien que ceux qui ne l'avaient pas été. Après la récolte, les deux groupes se rétablissaient et croissaient (en moyenne) au même rythme. Étant donné que l'habitat est très variable selon les endroits et vu la plasticité des plantes elles-mêmes, il faut étudier un grand nombre de plantes sur une grande superficie pour mieux comprendre l'histoire complète de cette espèce. [source]


    Performance of seedlings of the invasive alien tree Schinus molle L. under indigenous and alien host trees in semi-arid savanna

    AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 1 2010
    Donald M. Iponga
    Abstract We assessed the importance of host trees in influencing invasion patterns of the alien tree Schinus molle L. (Anacardiaceae) in semi-arid savanna in South Africa. Recruitment of S. molle is dependent on trees in its invaded habitat, particularly Acacia tortilis Hayne. Another leguminous tree, the invasive alien mesquite (Prosopis sp.), has become common in the area recently, but S. molle rarely recruits under canopies of this species. Understanding of the association between these species is needed to predict invasion dynamics in the region. We conducted experiments to test whether: (i) seedling survival of S. molle is better beneath A. tortilis than beneath mesquite canopies; (ii) growth rates of S. molle seedlings are higher beneath A. tortilis than beneath mesquite. Results showed that growth and survival of S. molle did not differ significantly beneath the native A. tortilis and the alien Prosopis species. This suggests that microsites provided by canopies of mesquite are as good for S. molle establishment as those provided by the native acacia. Other factors, such as the failure of propagules to arrive beneath mesquite trees, must be sought to explain the lack of recruitment beneath mesquite. Résumé Nous avons évalué l'importance des arbres hôtes dans les facteurs qui influencent les schémas d'envahissement de l'arbre exotique Scinus molle L. (Anacardiaceae) dans une savane semi aride d'Afrique du Sud. Le recrutement de S. molle dépend des arbres de l'habitat qu'il envahit, et particulièrement de l'Acacia tortilis Hayne. Un autre arbre de la famille des légumineuses, l'envahissant « mesquite » (Prosopis sp.), est devenu commun dernièrement dans la région, mais S. molle recrute rarement sous la canopée de cette espèce. Il est nécessaire de bien comprendre l'association entre ces espèces pour prévoir la dynamique des envahissements dans la région. Nous avons réalisé des expériences pour tester si : i) la survie des jeunes plants de S. molle est meilleure sous une canopée d'Acacia tortilis que de « mesquite »; ii) le taux de croissance des jeunes plants de S. molle est supérieur sous les A. tortilis que sous les « mesquite ». Les résultats montrent que la croissance et la survie de S. molle ne sont pas significativement différentes sous les espèces natives Acacia tortilis natifs et sous les espèces exotiques de Prosopis. Ceci suggère que les microsites constitués par les canopées de « mesquite » sont aussi bons pour l'établissement de S. molle que ceux qu'offrent les acacias natifs. D'autres facteurs, tels que le fait que les propagules ne parviennent pas à arriver jusque sous les « mesquite », pourraient être invoqués pour expliquer le manque de recrutement sous ces arbres. [source]


    Effects of simulated browsing on growth and leaf chemical properties in Colophospermum mopane saplings

    AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 1 2010
    Edward M. Kohi
    Abstract Browsing intensity influences a plant's response to herbivory. Plants face a trade-off between investment in the production of secondary compounds and investment in growth. To elucidate this trade-off, we simulated four browsing intensities (0%, 50%, 75% and 100%) on mopane saplings, Colophospermum mopane (J. Kirk ex Benth.) J.Léonard, in a greenhouse experiment. This showed that, with increasing defoliation intensity, plants change their investment strategy. At intermediate levels of defoliation (50%), mopane saplings increased the synthesis of condensed tannins, so that tannin concentrations followed a hump-shaped relation with defoliation intensity, with significantly higher tannin concentration at intermediate defoliation levels. When defoliated heavily (75% and 100%), tannin concentrations dropped, and plants were carbon stressed as indicated by a reduced growth rate of the stem diameter, and leaf production and mean individual leaf mass were reduced. This suggests that, at intermediate defoliation intensity, the strategy of the plants is towards induced chemical defences. With increasing defoliation, the relative costs of the secondary metabolite synthesis become too high, and therefore, the plants change their growing strategy. Hence, browsers should be able to benefit from earlier browsing by either adopting a low or a relatively high browsing pressure. Résumé La réponse d'une plante à sa consommation dépend de l'intensité de ce phénomène. Les plantes sont confrontées à un compromis entre un investissement dans la production de composants secondaires et un investissement dans leur croissance. Pour élucider ce compromis, nous avons simulé quatre intensités de consommation (0%, 50%, 75% et 100%) sur des jeunes mopanes, Colophospermum mopane (J. Kirk ex Benth.) J.Leonard, lors d'expériences sous serre. Ceci a montré que, lorsque la défoliation s'intensifie, les plantes changent leur stratégie d'investissement. À des niveaux de défoliation intermédiaires (50%), les jeunes plants de mopanes augmentaient la synthèse de tanins condensés, de sorte que les concentrations en tanins suivaient une courbe en cloche (hump-shaped) selon l'intensité de la défoliation; elles étaient significativement plus élevées aux niveaux de défoliation intermédiaires. Lorsque les plantes sont fortement défoliées (75% et 100%), leurs concentrations en tanins chutent, et elles sont en stress carbone comme le montre le taux de croissance réduit du diamètre du tronc; la production de feuilles et la masse moyenne de feuilles par individu sont aussi réduites. Cela suggère que, quand l'intensité de défoliation est intermédiaire, la stratégie des plants va vers une défense chimique induite. Lorsque la défoliation augmente, le coût relatif de la synthèse du métabolite secondaire devient trop élevé et le plant change de stratégie de croissance. Donc, les herbivores qui les consomment devraient pouvoir bénéficier d'une consommation antérieure en adoptant une pression de consommation faible ou relativement élevée. [source]


    Some aspects of the biology of the stargazer mountain catfish, Amphilius uranoscopus (pfeffer); (Siluriformes: Amphiliidae) indigenous to Kenya streams

    AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 4 2009
    Charles C. Ngugi
    Abstract A study on some biological parameters of the mountain catfish, Amphilius uranoscopus Pfeffer 1889 (Silurifomes: Amphiliidae), was carried out in the Thego stream on the slopes of Mount Kenya from February to December 2002. Physical and chemical profiles of the Thego show that the water quality parameters is typical of high altitude streams with temperatures rarely exceeding 18°C, DO ranging from 7.9 to 8.2 mg l,1 and relatively high conductivity (97,137 ,S cm,1) typical of perturbed lotic environments. A total of 1010 fish were caught by an electro-fisher, with sizes ranging between 8 and 24 cm fork length. The population structure had a unimodal distribution with maxima at 14,16 cm. The length,weight relationship showed relatively narrow range in the slope ranging from 2.61 in April to 2.98 in February 2002, thereby suggesting isometric growth pattern. The fitted growth pattern of A. uranoscopus showed an asymptotic length (L,) of 28.5 cm and a growth curvature (K) of 0.56 year,1 resulting in an estimated natural mortality coefficient (M) of 0.90 year,1. The Fulton's condition factor (K) was also relatively stable with a peak in April (0.92 ± 0.21) and lowest value in June (0.86 ± 0.10). As A. uranoscopus is not under commercial exploitation, the seemingly depressed population is possibly attributed to the introduced exotic rainbow trout that heavily predates on the species and environmental perturbations arising from changes in land use. The implications of such changes on A. uranoscopus are discussed. Résumé Une étude de certains paramètres du poisson-chat de montagne Amphilius uranoscopus Pfeffer 1889 (Silurifomes: Amphiliidae) a été réalisée dans le courant du Thego, sur les pentes du mont Kenya entre février et décembre 2002. Le profil physique et chimique du Thego montre que les paramètres de la qualité de l'eau sont typiques des cours d'eau de haute altitude, avec une température qui dépasse rarement 18°C, un OD qui varie de 7,9 à 8,2 mg/l, et une conductivité relativement haute (87 à 137 ,S/cm) typique d'environnements lotiques perturbés. Au total, 1 010 poissons ont été capturés au moyen d'une canne électrique, d'une taille allant de 8 à 24 cm de longueur à la fourche. La structure de la population avait une distribution unimodale avec des maxima de 14,16 cm. La relation longueur/poids présente une variation relativement étroite dans la pente, allant de 2,61 en avril à 2,98 en février 2002, ce qui suggère un schéma de croissance isométrique. Le schéma de croissance intégré d'A. uranoscopus montre une longueur asymptotique (L,) de 28,5 cm et une courbure de croissance (K) de 0,56/an, résultant en un coefficient de mortalité naturelle estimé (M) de 0,90/an. Le facteur de condition de Fulton (K) était aussi relativement stable, avec un pic en avril (0,92 ± 0,21) et la valeur la plus basse en juin (0,86 ± 0,10). Puisque A. uranoscopus ne fait pas l'objet d'une exploitation commerciale, la dépression apparente de la population doit peut-être être attribuée à la truite arc-en-ciel, espèce exotique introduite qui se nourrit abondamment de l'espèce, et à des perturbations environnementales provoquées par des changements d'utilisation des terres. Les implications de tels changements pour A. uranoscopus sont discutées. [source]


    Effects of moisture, nitrogen, grass competition and simulated browsing on the survival and growth of Acacia karroo seedlings

    AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 4 2009
    Keletso Mopipi
    Abstract The effects of irrigation, nitrogen fertilization, grass competition and clipping were investigated for one growing season at the research farm of the University of Fort Hare in the Eastern Cape Province of South Africa. The aim of the experiment was to assess the short-term performance of Acacia karroo seedlings under different environmental conditions and the implications of such factors on the long-term recruitment of plant species in savanna rangelands. There were no significant treatment effects on the survival of A. karroo seedlings. Using stem length and basal diameter as growth parameters, it was observed that irrigation enhanced both variables, while nitrogen fertilization did not have any significant effects. Clipping, grass competition and their interaction greatly suppressed the growth of the seedlings. Clipping increased the mean stem length when they were irrigated and fertilized. Control and fertilized plants had the highest stem length in the absence of grass competition, while grass competition combined with clipping resulted in the lowest stem length in both irrigated and nonirrigated plants. It was concluded that in the presence of grass competition, controlled browsing could be a viable solution to the problem of bush encroachment in savanna rangelands. Résumé Les effets de l'irrigation, d'une fertilisation à l'azote, de la compétition avec l'herbe et de la taille ont étéétudiés pendant une saison de croissance dans la ferme expérimentale de l'Université de Fort Hare, dans la Province du Cap oriental, en Afrique du Sud. Le but de l'expérience était d'évaluer les performances à court terme de jeunes plants d'Acacia karroo dans différentes conditions expérimentales, et les implications de ces facteurs sur le recrutement à long terme d'espèces végétales dans des pâturages de savane. Il n'y a pas eu d'effet significatif des traitements sur la survie des plants d'A. karroo. En utilisant la longueur des troncs et le diamètre de la base comme indicateurs de croissance, on a observé que l'irrigation augmentait les deux variables, alors que la fertilisation à l'azote n'avait aucun effet significatif. La taille, la compétition avec l'herbe et leur interaction supprimait fortement la croissance des jeunes plants. La taille augmentait la longueur moyenne des troncs lorsqu'ils étaient irrigués et fertilisés. Les plants témoins et les plants fertilisés avaient les troncs les plus longs en absence de toute compétition avec des herbes, alors que cette dernière, combinée avec la taille, aboutissait à la longueur la plus petite des troncs, chez les plants irrigués ou non. On en a conclu qu'en cas de compétition avec des herbes, un pâturage contrôlé pourrait être une solution viable au problème de l'envahissement des broussailles dans les pâturages de savane. [source]


    Modelling the effectiveness of contraception for controlling introduced populations of elephant in South Africa

    AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 4 2009
    Robin L. Mackey
    Abstract Re-introduced African elephant (Loxodonta africana Blumenbach) populations are growing at very high rates in many of southern Africa's reserves, have attained densities higher than previously thought possible and may be exhibiting irruptive growth. Active management of such populations is necessary to prevent the potentially negative effects on habitat and biodiversity that are associated with elephant overpopulation. One potentially feasible method of elephant management is immunocontraception, but very little is known about the long-term effectiveness of this method. Using demographic data from three South African elephant populations, we made model projections of the effects of contraception on population growth rates to determine whether contraception may be a feasible management tool for elephant. In comparison with noncontracepted populations, realistic reductions in population growth rate after 20 years of contraception were projected to be up to c. 64%, with 50% being a very feasible target. Through its ability to reduce population growth rates, immunocontraception should be an effective tool for preventing or minimizing irruption in elephants and, perhaps, other introduced ungulate species. Résumé Le taux de croissance des populations réintroduites d'éléphants d'Afrique (Loxodonta africana Blumenbach) est très élevé dans les réserves d'Afrique australe; elles ont atteint des densités plus élevées qu'on ne l'avait cru possible et elles pourraient présenter une croissance irruptive. La gestion active de telles populations est nécessaire pour empêcher les effets potentiellement négatifs liés à une surpopulation d'éléphants. Une méthode éventuellement possible pour la gestion des éléphants est l'immuno-contraception, mais on sait très peu de choses sur l'efficacitéà long terme de cette méthode. En utilisant les données démographiques portant sur trois populations d'éléphants d'Afrique du Sud, nous avons modélisé des projections des effets de la contraception sur le taux de croissance des populations pour déterminer si la contraception peut constituer un outil de gestion envisageable pour les éléphants. En comparaison avec les populations sans contraception, des projections réalistes de la réduction du taux de croissance de populations après 20 ans de contraception se chiffraient à environ 64%,50% représentant un objectif tout à fait réaliste. Par sa capacité de réduire le taux de croissance de la population, l'immuno-contraception devrait être un outil efficace pour empêcher ou pour réduire au minimum l'irruption des éléphants et, peut-être, celle d'autres espèces ongulés introduits. [source]


    Physiological and biochemical traits involved in the genotypic variability to salt tolerance of Tunisian Cakile maritima

    AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 4 2009
    Megdiche Wided
    Abstract Cakile maritima (family: Brassicaceae) was collected from three provenances belonging to different bioclimatic stages (humid, semi arid and arid) in Tunisia to study their eco-physiological and biochemical responses to salinity. Seedlings were cultivated on inert sand for 20 days under NaCl treatments (0, 100, 200, 400 mm NaCl). Plant response to salinity was provenance- and salt-dependent. At 100 mm NaCl, growth parameters (leaf biomass, area, number per plant and relative growth rate) were improved in plants from Jerba (originating from arid bioclimatic stage) compared with the control, while growth was reduced in those from Tabarka (from humid area). High salt levels (400 mm NaCl) decreased the plant growth in the three provenances, but plants in Tabarka were the most salt sensitive. The relative salt tolerance of plants from Jerba and Bekalta provenances was associated with low levels of malondialdehyde as well as of electrolyte leakage and endoproteolytic activity. Salt reduced leaf hydration, the decrease in water content being dose-dependent and more pronounced in Tabarka. Increase in salinity led to significant increase in leaf succulence and decrease in leaf water potential, especially in Jerba plants. The plants from the latter displayed the highest leaf levels of Na+ and Cl,, proline, soluble carbohydrates, soluble proteins, and polyphenols. Overall, the higher salt tolerance of plants from Jerba provenance, and to a lower extent of those from Bekalta, may be partly related to their better capacity for osmotic adjustment and to limit oxidative damage when salt-challenged. Résumé Cakile maritima a été collecté (famille des Brassicaceae) dans trois provenances appartenant à des étages bioclimatiques différentes (humide, semi-aride et aride) de la Tunisie, dans le but d'étudier leurs réponses éco-physiologique et biochimique à la salinité. Des plantules ont été cultivées dans du sable inerte pendant vingt jours avec des doses croissantes de NaCl (0, 100, 200 et 400 mm NaCl). La réponse de Cakile maritima dépend de la provenance et de la salinité du milieu. A 100 mm de NaCl, les paramètres de croissance (biomasse, surface et nombre des feuilles par plante ainsi que le taux de la croissance relative) ont été améliorés chez Djerba (zone bioclimatique aride) par comparaison aux plantes témoins, tandis que la croissance a été réduite chez Tabarka (zone humide). A la plus forte dose de sel (400 mm), une réduction de la croissance des trois provenances a été enregistrée avec une nette sensibilité chez les plantes de la provenance Tabarka. La tolérance relative des deux provenances Djerba et Bekalta est associée à une faible teneur en malondialdéhyde ainsi qu'une fuite d'électrolyte et activité endo-protéolytique modérées. Le traitement salin a réduit l'hydratation des feuilles et cette diminution du contenu en eau est dose-dépendante et elle est plus prononcée chez Tabarka. En outre, l'augmentation de la salinité du milieu a entrainé une élévation de la succulence des feuilles concomitante à une diminution du potentiel hydrique notamment chez Djerba. Les plantes de cette dernière ont été les plus riches en Na+ et Cl - , en proline, carbohydrates, en protéines solubles et en polyphénols. En général, la tolérance au sel de la provenance Djerba, et à moindre degré Bekalta, est en partie reliée à la meilleure capacité d'ajustement osmotique et la limitation des dommages oxydatifs sous stress salin. [source]


    Season of grazing and stocking rate interactively affect fuel loads in Baikiaea plurijuga Harms woodland in northwestern Zimbabwe

    AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 4 2008
    J. Gambiza
    Abstract Wildfire is a major disturbance in Baikiaea plurijuga Harms woodland savannas. We tested the hypothesis that the timing and intensity of herbivory influence fuel loads. We used three stocking rates namely light (three cows and four goats ha,1), medium (six cows and eight goats ha,1) and heavy (eleven cows and sixteen goats ha,1) and three times of grazing namely early-, middle- and late-growing seasons. Season of grazing and stocking rate influenced herbaceous phytomass. Phytomass was generally the highest (53.5 g DM m,2) in paddocks grazed during the early growing season and the lowest (27.8 g DM m,2) in those grazed during the late growing season. Phytomass was also generally the highest (40.4 g DM m,2) in lightly stocked paddocks and the lowest (32.7 g DM m,2) in heavily stocked ones. Litter mass was the lowest (160.8 g DM m,2) in paddocks grazed during the early season whereas there were no differences in ungrazed paddocks and those grazed during either mid- or late growing seasons (205.4 g DM m,2). There was a negative relationship between litter mass and stocking rate. Baikiaea Benth. woodlands should be grazed during either the mid- or late-growing season at stocking rates greater than 0.1 LU ha,1 to reduce grass fuel loads. Résumé Les feux de brousse sont une perturbation majeure dans les savanes arborées àBaikiaea plurijuga Harms. Nous avons testé l'hypothèse selon laquelle le timing et l'intensité de la consommation par les herbivores influenceraient la quantité de combustible. Nous avons utilisé trois taux de pâturage: léger (trois vaches et quatre chèvres par hectare), moyen (six vaches et huit chèvres par hectare) et élevé (11 vaches et 16 chèvres par hectare), et trois périodes de pâturage, à savoir au début, au milieu et à la fin de la période de croissance. La période de pâturage et le taux de pâturage influençaient la phytomasse herbacée. La phytomasse était généralement la plus élevée (53.5 g MS m,2) dans les enclos pâturés au début de la saison de croissance, et la plus faible (27.8 g MS m,2) dans ceux qui sont pâturés en fin de période de croissance. La phytomasse était aussi généralement la plus grande (40.4 g MS m,2) dans les enclos légèrement pâturés et la plus basse (32.7 g MS m,2) dans les enclos très pâturés. La biomasse végétale (litière) était la plus faible (160.8 g MS m,2) dans les enclos pâturés au début de la saison, alors qu'il n'y avait pas de différence entre les enclos non pâturés et ceux qui l'étaient au milieu ou à la fin de la période de croissance (205.4 g MS m,2). Il y avait une relation négative entre la masse de litière et le taux de pâturage. Les forêts àBaikiaea Benth. devraient être pâturés en milieu ou en fin de période de croissance, et à des taux plus élevés que 0.1 UFL ha,1, pour réduire la quantité de combustible herbacé. [source]


    Anthropogenic influences on population sizes, age and growth of naturalized rainbow trout, Oncorhynchus mykiss, in Kenya

    AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 1 2007
    Charles C. Ngugi
    Abstract Riverine fishery in Kenya has witnessed profound changes since the 1950s, especially after independence (in 1963) when watersheds on the south-eastern slopes of Mt Kenya were opened up for settlement. In particular, rainbow trout populations have declined essentially resulting from anthropogenic changes through over-exploitation and/or degraded habitats. While there still are self-sustaining rainbow trout populations in this stream among others they are in decline an indication that changes that have occurred on the watershed have altered their sizes, age and growth. The study was carried out in the Sagana, a third-order stream, which rises at about 4000 m altitude on the south-eastern slope of Mt Kenya, to obtain and document information on population sizes, age and growth of rainbow trout populations and to relate them with those recorded in the 1950s when trout streams were pristine (with little human influence). Stations were fished bi-monthly from 1996 to 1998 and later for 6 months in 2002. Information on age and growth was obtained by use of annual marks, tagging fish of known age, and by validating their age using captive fish of known age. The minimum mean back-calculated length at age for age one rainbow trout was 13.09 cm in upstream station and 15.10 cm for downstream stations. However, there was no significant difference in mean back-calculated lengths at age for all years between fish in upstream and downstream stations (t -test, t = ,0.01, P = 0.99). Although female fish showed higher mean annual back-calculated length increments than males, there was no significant difference in mean back-calculated lengths at age between sexes (t -test, t = ,0.27, P = 0.80). The rate of growth in length was rapid for 1-year-old fish and declined in the second and third years. This study observed that most of the fish were small with only a few reaching more than 2 years of age because of overfishing. There are good reasons for optimism about the future of trout populations in this stream but concerted efforts are required to rehabilitate them. If trout populations are to increase, a management strategy is required to reduce fishing pressure and to maintain stream fishery against competing needs for resources in the catchments. Résumé Une pêcherie riveraine kényane a été témoin de profonds changements depuis les années 1950, spécialement après l'indépendance (en 1963) lorsque les lignes de partage des eaux des versants sud-est du mont Kenya ont été ouvertes aux installations humaines. Les populations de truites arc-en-ciel ont particulièrement décliné, essentiellement suite aux changements anthropogéniques, surexploitations et/ou habitats dégradés. S'il existe encore des populations auto-suffisantes de truites arc-en-ciel dans ce cours d' eau, entre autres, elles sont en diminution, une indication que les changements qui ont touché la ligne de partage des eaux ont affecté leur taille, leur âge moyen et leur croissance. Cette étude a été réalisée dans la Sangana, un cours d'eau de troisième ordre sur le versant sud-est du mont Kenya, afin d'obtenir et de documenter des informations sur la taille de la population, l'âge et la croissance des populations de truites arc-en-ciel et les comparer à celles qui ont été relevées dans les années 1950, lorsque les rivières à truites étaient intactes (avec très peu d'influences humaines). On a pêché tous les deux mois dans les stations depuis 1996 jusqu'à fin 1.998 et plus tard, pendant six mois en 2002. Les informations sur l'âge et la croissance ont été obtenues par l'utilisation de marques annuelles, en marquant des poissons d'âge connu et en validant leur âge par comparaison avec des poissons captifs d'âge connu. La moyenne minimum de longueur par rétro-calcul aux différents âges pour une truite arc-en-ciel était de 13,09 cm dans une station en amont et 15,10 dans une station en aval. Cependant, toutes ces années, il n'y avait pas de différence significative de longueur par rétro-calcul aux différents âges entre les poissons des stations d'amont et d'aval (test de t, t = ,0,01, P = 0,99). Même si les femelles présentaient une plus forte augmentation moyenne de longueur par rétro-calcul que les mâles, il n'y avait pas de différence significative dans les longueurs moyennes obtenues par rétro-calcul aux différents âges entre les sexes (test de t, t = ,027, P = 0.80). Le taux de croissance en longueur était rapide pour un poisson d'un an et diminuait la deuxième et la troisième années. Cette étude a observé que la plupart des poissons sont petits et que peu atteignent l'âge de deux ans à cause de la sur-pêche. Il y a de bonnes raisons d'être optimistes pour l'avenir des populations de poissons de ce cours d'eau, mais il faut des efforts concertés pour la réhabiliter. Si l'on veut que les populations de truites augmentent, il faut adopter une stratégie de gestion pour réduire la pression de la pêche tout en maintenant la pêche dans le cours d'eau pour répondre aux besoins de ces ressources dans les stations. [source]


    Interactions between large African browsers and thorny Acacia on a wildlife ranch in Kenya

    AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 4 2006
    Antoni V. Milewski
    Abstract Some plants respond to browsing with compensatory regrowth of plant tissues and with increased thorn growth. Associations between browsers and their preferred forage were examined through wandering quarter vegetation sampling and observational studies in an effort to understand how some plants respond to browsing by large African herbivores. Acacia seyal (n = 2680) A. drepanolobium (n = 1850), and Balanites glabra (n = 960) were three species of frequently browsed indigenous plants examined on Game Ranching Ltd. in Kenya. There were several statistically significant associations revealed. Individual A. seyal exposed to intensive browser utilization were observed to lose shoot tips, produce long thorns, and have relatively few flowers and fruits. Browser utilization was associated with increased lateral branching in A. drepanolobium and with an increased occurrence of short, thickened spines in B. glabra. Thorns, spines and flowers were measurable indicators of relative browser utilization, and may be useful features to monitor in the management of large African mammals and their prickly forage Résumé Certaines plantes réagissent au pâturage par une repousse du tissu végétal et une croissance accrue d'épines. Les associations entre les animaux et leur nourriture favorite ont été examinées grâce à des échantillonnages de la végétation par quadrats aléatoires, et par des observations spécifiques afin de comprendre comment certaines plantes répondent au broutage par de grands mammifères africains. Acacia seyal (n = 2680), A. drepanolobium (n = 1850) et Balanites glabra (n = 960) sont trois espèces de plantes indigènes fréquemment consommées àGame Ranching Ltd, au Kenya. On y révèle plusieurs associations statistiquement significatives. On y a observé des A. seyal exposés à une consommation intensive perdre l'extrémité des pousses, produire de longues épines et relativement peu de fleurs et de fruits. La consommation par les herbivores était associée à une production accrue de branches latérales chez A. drepanolobium et à la présence accrue de piquants courts et épais chez Balanites glabra. Les piquants, les épines et les fleurs étaient des indicateurs mesurables de la consommation relative par des herbivores, et peuvent être des caractéristiques utiles à surveiller dans le cadre de la gestion des grands mammifères africains et de leur alimentation épineuse. [source]


    Power to detect trends in ecological indicators in the East Usambara Mountains, Tanzania

    AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 4 2003
    William D. Newmark
    Abstract We evaluated the statistical power of monitoring protocols to detect, over a 10-year period, trends in indices of abundance of primates, hornbills and forest interior dung beetles and growth rates of epiphytic ferns in the Amani Nature Reserve, in the East Usambara Mountains, Tanzania. Local technicians are responsible for the day-to-day gathering of data. The existing monitoring protocols for blue monkey, silver-cheeked hornbills, trumpeter hornbills, forest interior dung beetles and Asplenium nidus have sufficient statistical power (>0.80) to detect trends of 65% or less over a 10-year period. Monitoring protocols for black and white colobus and Asplenium holstii have lower statistical power (<0.80). We therefore conclude that the majority of monitoring protocols of the East Usambara Ecological Monitoring Project have the capacity both logistically and statistically to detect long-term trends in important functional groups in the East Usambara Mountains. Résumé Nous avons évalué le pouvoir prédictif des protocoles de surveillance continue pour détecter, sur une période de 10 ans, la tendance des indices d'abondance des primates, des calaos et des bousiers de forêt, et des taux de croissance des fougères épiphytes dans la Réserve Nature d'Amani, dans les East Usambara Mountains, en Tanzanie. Des techniciens locaux sont responsables de la récolte quotidienne des données. Les protocoles actuels de surveillance continue des cercopithèques à diadème, des calaos Ceratogymna brevis et Cerratogymna bucinator, des bousiers de forêt et d'Asplenium nidus ont un pouvoir prédictif suffisant (>0.80) pour déceler des tendances de 65% ou moins sur 10 ans. Les protocoles de surveillance continue du colobe blanc et noir et d'Asplenium holstii ont un pouvoir prédictif plus faible (<0.80). Nous avons donc conclu que la majorité des protocoles de surveillance continue du Projet de Surveillance Écologique Continue des East Usambara avaient les capacités logistique et statistique, de déceler des tendances à long terme de groupes fonctionnels importants dans les East Usambara Mountains. [source]


    Adverse effects of arecoline and nicotine on human periodontal ligament fibroblasts in vitro

    JOURNAL OF CLINICAL PERIODONTOLOGY, Issue 3 2001
    Yu-Chao Chang
    Abstract Background, aims: The habit of betel nut chewing impinges on the daily lives of approximately 200 million people. Betel quid chewers have a higher prevalence of periodontal diseases than non-chewers. This study examined the pathobiological effects of arecoline, a major component of the betel nut alkaloids, on human periodontal ligament fibroblasts (PDLF) in vitro. Method: Cell viability, proliferation, protein synthesis, and cellular thiol levels were used to investigate the effects of human PDLF exposed to arecoline levels of 0 to 200 ,g/ml. In addition, nicotine was added to test how it modulated the effects of arecoline. Results: Arecoline significantly inhibited cell proliferation in a dose-dependent manner. At concentrations of 10 and 30 ,g/ml, arecoline suppressed the growth of PDLF by 20% and 50% (p<0.05), respectively. Arecoline also decreased protein synthesis in a dose-dependent manner during a 24-h culture period. A 100 ,g/ml concentration level of arecoline significantly inhibited protein synthesis to only 50% of that in the untreated control (p<0.05). Moreover, arecoline significantly depleted intracellular thiols in a dose-dependent manner. At concentrations of 25 ,g/ml and 100 ,g/ml, arecoline depleted about 18% and 56% of thiols (p<0.05), respectively. This suggests that arecoline itself might augment the destruction of periodontium associated with betel nut use. Furthermore, the addition of nicotine acted with a synergistic effect on the arecoline-induced cytotoxicity. At a concentration of 60 ,g/ml, arecoline suppressed the growth of PDLF by about 33%, and 5 mM nicotine enhanced the arecoline-induced cytotoxic response to cause about 66% cell death. Conclusion: During thiol depletion, arecoline may render human PDLF more vulnerable to reactive agents within cigarettes. Taken together, people who combine habits of betel nut chewing with cigarette smoking could be more susceptible to periodontium damage than betel nut chewing alone. Zusammenfassung Zielsetzung: Das Kauen von Betelnüssen gehört zum Alltag von ungefähr 200 Millionen Menschen. Betelnußkauer weisen eine höhere Prävalenz von Parodontalerkrankungen auf als Personen, die keine Betelnüsse konsumieren. In dieser Studie sollte der pathobiologische Effekt des Arekolins, das die Hauptkomponente des Betelnußalkaloides darstellt, auf menschliche Desmodontalfibroblasten (PDLF) in vitro untersuchen. Material und Methoden: Zellvitalität, Proliferationsrate, Proteinsynthese und zelluläre Thiolspiegel wurden genutzt, um zu untersuchen, welche Auswirkungen eine Exposition der PDLF gegenüber Arekolinspiegeln von 0 bis 200 ,g/ml hat. Zusätzlich wurde Nikotin beigefügt, um festzustellen wie das Nikotin den Effekt des Arekolins beeinflußt. Ergebnisse: Arekolin hemmt die Zellproliferation signifikant in dosisabhängiger Weise. Bei Konzentrationen von 10 und 30 ,g/ml unterdrückt Arekolin das Wachstum der PDLF um 20% bzw. 50% (p<0.05). Arekolin unterdrückt ebenfalls dosisabhängig die Proteinsynthese während der 24-stündigen Kultivierungsperiode. Ein Arekolinspiegel von 100 ,g/ml reduzierte die Proteinsynthese auf 50% im Vergleich zur unbehandelten Kontrollkultur (p<0.05). Auch die intrazellulären Thiolspiegel wurden dosisabhängig reduziert. Bei Konzentrationen von 25 und 100 ,g/ml wurden die Thiolspiegel um 18% bzw. 56% reduziert (p<0.05). Bei einer Konzentration von 60 ,g/ml unterdrückte das Arekolin das PDLF-Wachstum um 33%. Die Zugabe von 5 mM Nikotin verstärkte die durch Arekolin induzierte zytotoxische Wirkung, so daß es zum Zelltot von 66% kam. Schlußfolgerungen: Es scheint, daß Arekolin selbst zu der Schädigung des Parodonts beiträgt, die der Betelnuß zugeschreiben wird. Außerdem deuten die Ergebnisse darauf hin, daß Personen, die Betelnußkauen mit Nikotinkonsum kombinieren, empfindlicher für Schädigungen des Parodonts sind als solche, die nur Betelnüsse kauen. Während der Inaktivierung des Thiols könnte das Arekolin PDLF verletzlicher für andere reaktive Substanzen wie Nikotin machen. Résumé L'habitude de mastiquer de la noix de betel affecte la vie quotidienne de près de 200 millions de personnes. Les mâcheurs de betel présentent une prévalence plus élevée de maladies parodontales. Cette étude examine les effets pathologiques de l'arécoline, un composant majeur des alcaloïdes de la noix de betel, sur des fibroblastes du ligament parodontal humain (PDLF) in vitro. La viabilité cellulaire, la prolifération, la synthèse protéique, et les niveaux cellulaires de thiol ont été utilisés pour observer les effets de l'exposition de PDLF humains à des taux d'arécoline de 0 à 200 ,g/ml. De plus, de la nicotine fut ajouté pour tester la façon dont cela modulait les effets de l'arécoline. L'arécoline inhibait significativement la prolifération cellulaire de façon dose dépendante. A des concentrations de 10 à 30 ,g/ml, l'arécoline supprime la croissance des fibroblastes par 20 et 50% (p<0.05), respectivement. L'arécoline dimunuait également la synthèse des protéines de façon dose dépendante pendant une période de culture de 24 h. Une concentration de 100 ,g/ml d'arécoline inhibit la synthèse protéique à seulement 50% de celle du groupe controle non traité (p<0.05). De plus, l'arécoline réduit les thiols intracellulaires de façon dose dépendante. A des concentrations de 25 ,g/ml et 100 ,g/ml, l'arécoline réduit environ 18 à 56% des thiols, respectivement (p<0.05). Cela suggère que l'arécoline, elle même, peut augmenter la destruction du parodonte en association avec l'utilisation de noix de betel. De plus, l'addition de nicotine entrainait un effet synergique sur la cytotoxicité induite par l'arécoline. A une concentration de 60 ,g/ml, l'arécoline supprimait la croissance des PDLF d'environ 33% et 5 mM de nicotine augmentait cette réponse cytotoxique induite par l'arécoline, jusqu'à entrainer 66% de morts cellulaires. Lors de la réduction des thiols, l'arécoline pourrait rendre les PDLF humains plus vulnérables à des agents réactifs entrant dans la composition des cigarettes. Pris ensemble, les gens qui combinent des habitudes de mastication de noix de betel et de tabagisme, pourrait être plus susceptibles à des dommages parodontaux, que les gens qui utiliserait uniquement la noix de betel, mais sans fumer. [source]


    Effects of large herbivores and fire on the regeneration of Acacia erioloba woodlands in Chobe National Park, Botswana

    AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 4 2001
    Myra E. Barnes
    Abstract Acacia erioloba woodlands provide important forage and shade for wildlife in northern Botswana. Mortality of mature trees caused by browsing elephants has been well documented but the lack of regeneration of new trees has received little attention. Annual growth of new shoots and changes in height were measured to determine the influence of elephants and small ungulate browsers, rainfall and fire on the growth and survival of established A. erioloba seedlings from 1995 to 1997 in the Savuti area of Chobe National Park. All above-ground vegetation was removed from 40% of established seedlings in 1995 and 28% in 1997 by browsing elephants, and the mean height of remaining seedlings decreased from >550 mm to <300 mm. When seedlings browsed by kudu, impala and steenbok but not elephants are considered, mean seedling height increased <50 mm per year, even though mean new shoot growth remaining at the end of the dry season was 100,200 mm. Fires burned portions of the study area in 1993 and 1997, killing above-ground vegetation, but most established A. erioloba seedlings survived, producing coppice growth from roots. While elephants and fire caused the greatest reduction in established seedling height and number, small browsers suppressed growth, keeping seedlings vulnerable to fire and delaying growth to reproductive maturity. Résumé Les forêts d'Acacia erioloba procurent une nourriture et des abris importants pour la faune au nord du Botswana. On connaît bien la mortalité des grands arbres due aux éléphants mais on n'a accordé que peu d',attention au manque de régénération de nouveaux arbres. On a mesuré la croissance annuelle des jeunes pousses et le changement de hauteur pour déterminer l'influence des éléphants et des petits ongulés, des chutes de pluies et des feux sur la croissance et la survie des semis connus d',A. erioloba, de 1995 à 1997 dans la zone de Savuti au Parc National de Chobe. Toute la végétation au-dessus du sol a été supprimée sur 40% des semis connus en 1995, et 28% en 1997 par le broutage des éléphants, et la hauteur moyenne des plants restants a baissé de > 550 mm à < 300 mm. Lorsqu'on considère les pousses broutées par les koudous, les impalas et les steenbocks, mais pas par les éléphants, la hauteur moyenne des jeunes pousses augmentait de moins de 50 mm par an même si la croissance moyenne des nouvelles pousses subsistant à la fin de la saison sèche était de 100 à 200 mm. Les feux ont brûlé des portions de la zone étudiée en 1993 et en 1997, tuant toute la végétation au-dessus du sol, mais les pousses d',A. erioloba les mieux situées ont survécu, produisant de nouveaux taillis au départ des racines. Alors que les éléphants et les feux causaient les plus fortes réductions de la hauteur et du nombre des pousses établies, les petits ruminants en supprimaient la croissance, ce qui les laissait vulnérables aux feux et retardait la croissance jusqu'à la maturité. [source]


    Growth features of Acacia tortilis and Acacia xanthophloea seedlings and their response to cyclic soil drought stress

    AFRICAN JOURNAL OF ECOLOGY, Issue 2 2001
    D. O. Otieno
    Abstract Seedlings of Acacia tortilis (Forsk) Hyne and Acacia xanthophloea Benth. were raised under controlled glasshouse conditions. Control plants were watered daily while other treatments involved withholding water for 2, 4 and 6 days with 1-day rehydration to container capacity. Compared to A. tortilis, A. xanthophloea seedlings showed higher leaf area, relative growth rates and total dry weight production under adequate water supply conditions. However, with increased water stress, A. xanthophloea seedlings could not alter their pattern of carbon allocation, retaining their root : shoot (r : s) ratio of about 0.5. By comparison, A. tortilis seedlings shifted carbon allocation to the roots, leading to a r : s ratio of 1.5 in water-stressed seedlings, compared to 0.5 in the control plants. The ability of A. tortilis to reallocate carbon to the roots away from the shoots and to actually increase root growth compared to A. xanthophloea was a dehydration postponement strategy that may be important in species survival during drought. Résumé On a fait pousser des plants d'Acacia tortilis (Forsk) et d'Acacia xanthophloea Benth en serre, dans des conditions bien contrôlées. Les plants de contrôle étaient arrosés chaque jour, alors que les autres traitements consistaient à ne pas arroser pendant 2, 4 et 6 jours puis d'arroser un jour à la limite de capacité du container. Comparés àA.tortilis, les plants d'A.xanthophloea avaient une surface foliaire supérieure, un meilleur taux de croissance relative et une plus forte production totale de poids sec lorsque les conditions d'apport d'eau étaient correctes. Cependant, lorsque les conditions d'hydratation devenaient plus stressantes, les plants d'A.xanthophloea ne pouvaient pas modifier le schéma de leur répartition de carbone, conservant un rapport racines : pousses (r : p) d'environ 0,5. Par comparaison, les pousses d'A.tortilis pouvaient déplacer la répartition de carbone en faveur des racines, aboutissant à un rapport r : p de 1,5 chez les plants soumis à un stress hydrique, comparé au 0,5 relevé chez les plants de contrôle. La capacité qu'a A.tortilis de rediriger le carbone vers les racines au lieu des pousses et d'augmenter ainsi la croissance des racines, par comparaison avec ce qui se passe chez A. xanthophloea, est une stratégie destinée à retarder la déshydratation qui peut être importante pour la survie des espèces en période de sécheresse. [source]